Sophie, marquise de
R.
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Bises libertines,
Sophie
Florence, jolie assistante sociale de vingt-huit ans, très séduisante et très amoureuse du sexe, se rend au pénitencier, dans la cadre de la remise en liberté de trois détenus. Elle s’occupe essentiellement de la réinsertion, et de l’orientation professionnelle de petits délinquants.
Elle est aussi mariée, mais son mari ne la satisfait jamais comme elle en a envie. Il est toujours fatigué, et ne fait pas assez l’amour à son gout à elle.
Mais aujourd’hui, elle est vêtue d’un tailleur noir, avec une jupe arrivant à mi -cuisses, d’un chemisier blanc, et d’escarpins noirs de huit centimètres, la faisant culminer à un mètre soixante dix-neuf. Elle se sait excitante, et c’est ce qu’elle recherche. Elle aime le regard des hommes sur elle. Elle aime encore plus faire l’amour avec n’importe qui, du moment qu’elle satisfait ses pulsions. Elle est souvent troublée par les attentes de ces hommes privés de sexe avec une femme depuis des années. Ils bavent devant elle, et elle, elle mouille de le savoir…
Après avoir traversé de nombreux couloirs, croisé des détenus et des matons qui la détaillent sans vergogne, elle s’installe dans la salle prévue pour les entretiens avec les détenus. Elle sort ses questionnaires, et attend le premier détenu.
C’est Abou, un bellâtre noir d’un mètre quatre-vingt-dix, menotté dans le dos. C’est sur, il doit faire de la musculation dans la salle de sports de la prison. On voit nettement ses muscles tendre le tissu de toile de ses bras.
« Whoua, se dit Florence, ça c’est du mâle, s’il est taillé partout comme ça… J’en ferai bien mon « quatre-heures » ! »
Pourtant, elle doit faire son travail. Elle entame donc ses questions, visant à savoir comment le détenu organise sa sortie.
Plus Florence avance dans le questionnaire, plus les propos du détenu, qui s’orientent systématiquement vers le sexe, la trouble. Elle essaie de soutenir son regard, mais s’aperçoit que celui-ci reluque l’échancrure de son chemisier, légèrement ouvert. Elle est confuse, se sent déshabillée par ce regard perçant, mais attirée aussi. Elle fait mine de s’arranger, mais en fait, fait sauter volontairement un second bouton. Ce regard intense la met quasiment en chaleur. Il faut qu’elle lui parle…
« Alors comme ça, on aime les filles ? demande-t-elle. Et elles, elles vous aiment aussi ?
- Oui, répond Abou, les femmes mariées aussi m’aiment bien. »
La voix est remplie de sensualité. Florence sent une agréable chaleur envahir son ventre. Elle se lève, arpente la salle. Arrivée à la porte, elle marque un temps d’arrêt, et finalement, donne un tour de clé, et appuie sur l’interphone.
« Qu’on ne nous dérange pas », dit-elle d’une voix péremptoire..
Elle passe derrière le détenu, à le frôler. Visiblement, ce corps d’athlète l’attire. Elle ne tient plus. Toutes ses frustrations remontent en elle, et elle sait que dans quelques minutes, elle ne se contrôlera plus. Presque machinalement, elle passe ses bras autour de la taille d’Abou, écarte l’élastique du pantalon, et plonge une main à l’intérieur. Elle rencontre une bite de vingt centimètres, bien tendue. Le prisonnier avait visiblement les mêmes envies qu’elle… D’une main sure, elle saisit les couilles dantesques, fait rouler les testicules, certainement pleins. Elle remonte sur le calibre de chair, le décalotte, lisse le gland de sa paume échauffée.
Aucun des deux ne parle, le silence se fait lourd, la chaleur envahit la salle si triste et grise.
Florence ne lâche pas le membre dur, qui la ravit. De sa main libre, elle entièrement ses magnifiques seins de son chemisier, remonte sa jupe, ouvre ses jambes. Elle sent l’acier des menottes sur sa peau, puis les doigts recroquevillés écarter la culotte.
Bien qu’entravé, Abou fait courir son majeur sur la fente humide de Florence, qui ne peut retenir un gloussement de plaisir. Elle ne reste pas inactive, ses doigts courent sur la queue en pleine érection, la branle, arrachant à son tour des râles de plaisir au jeune black.
Il tend son visage vers la poitrine gonflée, et parvient à ter goulument un téton très érigé. C’est au tour de Florence de pousser un soupir de plaisir. Il aspire tellement qu’elle en a presque mal. Mais c’est si bon de se sentir enfin touchée par un vrai mâle….
L’index d’Abou rejoint le majeur. Les deux doigts jouent avec les lèvres de la jeune assistante, pénètrent la chatte, franchement mouillée maintenant.
« Hou… hou, gémit Florence. Qu‘est-ce-que tu fais salaud ? Comment peux-tu oser…
- C’est vous qui l’avait cherché Madame, répond Abou. Restons-en là si vous voulez.
- Trop tard, vas-y… Branle moi… fais-moi jouir ! Oh… mais tu décalottes bien mon clito là… Ah, gratte-le, oui, comme ça. Elle a perdu le contrôle, la tête, elle n’a qu’une envie : jouir à fond, se libérer enfin de ses tensions inassouvies…
Violemment, Florence envoie des coups de reins à l’encontre des doigts crochetés en elle. Elle colle son visage entre les omoplates, mord la chemise de toile, pour étouffer ses cris.
« Et toi, tu ne viens pas ? Ce n’est pas bien ce que je te fais ? Attends… »
L’assistante sociale se place devant Abou, quitte entièrement le pantalon. Elle continue ses caresses, puis se baisse jusqu’à être à la hauteur de son sexe. D’une bouche avide, elle embouche la queue, pourtant malodorante.. Les effluves de la prison, sans doute. Cette odeur « sale » l’électrise encore un peu plus.
Affamée, elle enroule sa langue autour du gland, parcourt la queue noire de haut en bas, gobe les testicules, puis entame une fellation de légende. L’énorme bite vibre dans la bouche de Florence, les râles du jeune black s’intensifient. Il ondule du bassin, comme pour la forcer à le sucer plus vite, plus loin, plus fort.
Soudain, de puissants jets de sperme giclent au fond de la gorge de la jeune femme. Elle se relève fière d’elle, et lui donne un langoureux baiser, plein de la crème blanche. Abou tente un geste de recul, mais les menottes l’en empêchent...
Mais Florence en veut encore. Elle prend le jeune détenu par la queue, et s’assied sur la table, cuisses totalement ouverte. Petit à petit, la bite se redresse en pieu insolent, et ouvre les lèvres intimes. Lentement, en grossissant encore, il pénètre la chatte.
« Ah, ah… Je comprends que les femmes aiment… Quel coup de queue tu as ! Vas-y, fais-moi plaisir, vide-toi les couilles salaud… Fais-moi jouir encore… Oh oui tu me rends folle mon salaud… Oui, oui.. »
Abou accélère. Ses coups de reins sont de plus en plus violents, il prend plaisir de voir la jeune femme s’agiter au bout de sa bite. Il la sent soumise, prête à tout. Florence hurle de plaisir, se fichant totalement que l’on entende ou pas ses cris. Son corps est pris de spasmes violents. Elle se prend les seins, fait rouler les bouts surdimensionnés par l’excitation entre ses doigts.
Puis, une fois la jouissance terminée, elle se laisse couler sur la table. Florence reprend son souffle, bras et jambes écartés sur la table. Elle croise le regard dominateur d’Abou.
« Salaud, soupire-t-elle, comme tu m’as niquée. Quel dommage que tu es les menottes… Quoi ?
Qu’est-ce que tu as à me regarder comme çà ?
- Je suis déçu, j’espérais une petite sodomie, » répond Abou avec aplomb.
Lentement, Florence se lève, prend le jeune black par le revers de sa veste. Depuis le temps qu’elle n’a pas eu un tel étalon sous la main, son désir est exacerbé.. Elle se retourne, monte un genou sur la table pour mieux s’offrir, sans le quitter des yeux, le défié du regard, tout en lui prenant la bite.
« Viens », souffle-t-elle.
Elle présente le membre d’Abou, qui n’a pas faibli d’un poil, le frotte contre sa chatte pour en mouiller le bout, et le guide à l’entrée de son petit trou. Petit à petit, l’œillet de l’assistante sociale se dilate sous la pression de l’énorme calibre. Le dernier coup de rein lui arrache un cri. Le mandrin du détenu la pénètre jusqu’aux couilles, coulisse dans le petit orifice.
« Enfoiré ! Comme tu m’encules…vas-y… Bourre moi le cul salaud… Pourquoi je t’ai pas enlevé les menottes ?? »
Florence glisse une main sous son ventre, et se doigte violemment le clitoris. Au bout de dix minutes d’un pilonnage intensif, elle a un orgasme terrible. Son corps, couvert de sueur, vibre sous les coups de boutoirs du détenu. Elle sent enfin la semence affluer dans ses entrailles.
Lentement, Abou se retire. Elle le suit, comme si elle voulait le garder en elle. Epuisée, mais heureuse, elle s’affale sur la table, pour reprendre ses esprits. Elle arrange sa tenue, va pour remonter le pantalon du jeune détenu, et s’aperçoit que la bite n’a toujours pas faibli.
« Tu me laisses dans cet état ? dit-il.
- Putain, répond-t-elle, mais tu es increvable, tu veux encore me le mettre ? Oh non, j’en peux plus, là. Je te taille une pipe avant de partir, si tu veux ? »
Florence n’attend pas la réponse, elle se penche, et le prend en bouche. Abou s’y branle carrément dedans, il baise sa bouche sans aucune précaution, comme il vient de baiser sa chatte puis son cul. Enfin, il explose dans la gorge de la jeune femme. Elle avale le foutre épais, se relève et s’essuie les lèvres d’un revers de main, puis réajuste le pantalon du détenu.
« Qu’est-ce-que tu m’as mis salaud, sourit-elle, j’en ai pris pour la journée. Embrasse-moi, espèce de sale voyou… »
La relation a été forte, très forte. Malgré son dévouement, Florence a succombé sous les coups violent du jeune délinquant, qui jusqu’à aujourd’hui, se contentait de gâteries manuelles.
« Quel amant merveilleux tu es, murmure-t-elle. Dommage que je sois obligée de partir, j’aurai bien pris un autre coup de ta bonne bite maintenant. Tu sors demain je crois, as-tu un endroit ou aller ? J’ai un ami qui peut t’héberger quelques jours si tu veux. Tiens sa carte, tu dis que tu viens de ma part.
- C’est gentil, répond-il, mais je ne suis pas seul, mon frère ainé est libéré aussi.
- Mais ce n’est pas grave, sourit-elle. Mon mari est absent ce week-end, je vous invite chez moi, d’accord ? Tu n’auras plus tes menottes. Et ton frère, Il est de ton gabarit ? Allez, c’est réglé, embrasse-moi encore. Je préparais votre cham…heu… la chambre, pardon. »
Florence quitte le pénitencier sans se douter qu’elle vient de commettre une erreur monumentale. Elle n’a pas pensé que, comme dans toutes les prisons, la salle était équipée d’une caméra de surveillance.
Dans la pièce à côté, les deux gardiens n’ont rien perdu des ébats sulfureux de la jeune assistante sociale.
Les attouchements entre eux sont allés bon train. Leurs pantalons sont enroulés à leur cheville.
Une relation gay serait-elle en train de naitre ? Allez savoir. En tout cas, ils se sont fait jouir en se branlant mutuellement..
Et ils ne seraient pas contre une petite visite à l’assistante sociale ce week-end. Après tout, leur silence mérite un encouragement, non ?
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