Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
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Bises libertines,
Sophie
Je m'appelle Bastien, j'ai vingt huit ans. Il est vendredi, et je rentre plus tôt que prévu, d'une longue semaine de déplacement. J'ai hâte de retrouver ma ravissante épouse, Barbara, vingt-six ans, professeur de danse à la plastique irréprochable. Je suis fier, quand nous allons faire du shopping, de la voir pendue à mon bras, malgré les regards coquins et dragueurs de certains hommes.
Il est vingt heures quand je lui téléphone, pour la prévenir de mon arrivé.
« Chouette, me dit-elle, quelle agréable surprise mon amour, je suis impatiente de te voir ! »
A peine le seuil de la porte franchi, Barbara me saute au cou. Elle est simplement vêtue, comme il en est convenu entre nous, de sa jupe ultra courte, sans culotte dessous, et d'un haut plus que décolleté. Elle me saisit par le revers de la veste, et m'attire sur la canapé.
Dans le mouvement, la jupe remonte sur les hanches, et mes doigts se perdent vite dans le duvet blond du pubis, caresse la fente, excite le clitoris.
« J'ai une petite faim ma chérie, si nous passions à table ?
- Je pensais que mon corps te suffirai, répond-elle en me prenant la bouche. J'espérais prendre un petit coup de queue avant le diner... Je plaisante mon chéri, allez, assieds-toi, je mets le couvert. »
On sort de table vers onze heures et passons directement a la chambre. Nous allons faire l'amour pendant deux heures. Barbara s'avère très gourmande, vicieuse, s'offre sans retenu, après ces quelques jours de restrictions.
Nous remettons ça au petit matin, avant de prendre une bonne douche.
« Tu sais que tu enterre la vie de garçon de Tony, ce soir, dit Barbara. J'espère que tu vas rester sage.
- Mais enfin ma chérie, je réponds, il n'y a que des mecs. Puis j'ai ce qu'il faut à la maison….
-Taratata...on dit ça.. Mais, je rigole mon chéri.. Mmoi, je vais en profiter pour inviter mes copines. »
Étant en déplacement toute la semaine, je n'ai pu participer à l'organisation de la soirée. On s'est cotisé pour louer un salon dans une boite branché de la ville, et d'après les échos, la fête réserve beaucoup surprises. J'arrive au rendez- vous vers vingt-deux heures. Je m'approche de la table, copieusement garni de bouteilles et de toasts, où se trouvent d'anciens copains, notamment Didier, avec qui j'ai eu une relation torride, faites de sodomie, de pipes et de féroces baisers, justement la nuit où j'ai enterré ma propre vie de garçon…
« Salut, je lui dis, tu vas bien, depuis le temps ? Alors ça y est, Tony se passe la corde au cou ?
- Ben oui, répond-il, et toi, ca va ? C'est vrai que ça fait un bail, et Barbara, toujours aussi belle et amoureuse ? »
Après quelques jeux de groupe, Bruno, le boute-en-train du groupe, prend la parole :
« Allez les gars, dit-il, on va faire un jeu en l'honneur du futur marié. Tout le monde à poil, chacun une chaise.
Je regarde autour de moi, et vois les gars ôter leurs vêtements. Je mets de côté ma pudeur, et me déshabille. On se retrouve tous nus, et nos regards fixent un endroit précis de nôtre anatomie, à titre comparatif.
Bruno distribue à chacun de nous un tour de cou en tissu rouge. Seul celui de Tony est noir.
Soudain, les lumières se tamisent, et les enceintes diffusent une musique digne des meilleurs cabarets. Du fond de la pièce, surgit alors une superbe créature brune, le visage en partie caché par un masque rouge reproduisant une tête de chat, un soutien gorge rouge, et d'une jupette à paillettes, laissant apparaitre un string rouge également. Seul les yeux bleus, et des lèvres pulpeuses sont visibles. Une stripteaseuse, c'était donc ça la surprise….
« Connasse, me souffle Didier, tu as vu comme elle est carrossée... Whoua, j'en ferai bien ma nuit ! »
La danseuse entame un déhanchement langoureux au rythme de la musique. Dans un geste précis, elle dégrafe son soutien gorge, le fait tournoyer en l'air, et le jette en direction de Tony. Puis d'une démarche féline, elle se dirige vers la première chaise. Elle fléchit sur ses jambes, et frotte ses seins sur le visage de Daniel, glisse une main entre les cuisses de Fred, caresse les bourses pleines de Cyril, frotte son entre-cuisses sur mon genou, et ainsi de suite, jusqu'à Tony.
Là, elle ôte la jupe, et le string. La jeune danseuse est entièrement nue. La bite en érection, nous sommes tous pendus aux faits et gestes de la stripteaseuse. Elle se penche en avant, campée sur se hauts escarpins, et saisit l'énorme pieux en érection du futur marié, qu'elle décalotte d’un geste sûr. Tony ne se démonte pas. Il saisit la jeune danseuse par les hanches, la fait pivoter, pour la placer dos à lui. Malgré le faible éclairage, je distingue la chatte épilée de la jeune femme.
Étonnamment, elle me semble familière, même si celle de Barbara garde une fine toison dorée…
Petit à petit, il la force à descendre. C'est avec un grand soupir que sa chatte coulisse sur la hampe raide de Tony, pour son plus grand plaisir. Les mains derrière la tête, elle commence des va et vient sur la bite tendue. Tony lui prend les seins, roule les bouts durcit entre le pouce et l'index. En fille expérimentée, la danseuse sent la sève du jeune homme monter. Elle se retire, et se tourne face à lui. Elle fléchit sur ses longues jambes, absorbe entre ses lèvres carmin le gland violacé, et le suce, juste au moment ou Tony lâche de longs jets de sperme.
« Ah, quelle pipe... Vas-y salope, avale, souffle Tony. Whoua !!! »
Le futur marié lance une main entre les cuisses de la danseuse, lisse la fente, ouvre les lèvres intimes, libère le clitoris. Un doigt, plus curieux que les autres, va plus loin, jusqu'au petit trou. Là, la jeune fille se pique au jeu, appuie ses mains sur les épaules Tony. Celui-ci lui fait signe qu'une goutte de foutre est resté sur ses lèvres.
Elle sort sa langue pour la récupérer, en gloussant de plaisir. Le spectacle est hallucinant.
Je suis surpris de l'attitude soumise da la stripteaseuse, normalement habituée à ce genre d'activité. D’habitude, on a à peine le droit de les effleurer… et là, ell efait la totale !
« Hé les gars, sourit Tony, regardez comme elle bouge son cul... Elle est pleine de mouille la garce.
- C'est ta faute salaud, gémit-elle. Tu m’excites...Oh putain, comme tu me doigtes... hum... hum... vas-y...fais-moi jouir... Ca y est, je jouis, ouiiiiiiii... je jouiiiiiiis ! Que c'est bon...
- Ben dis donc, sourit Tony. La pute avait une grosse envie ! Quel cadeau... C'est la première fois qu'on te doigte ?
- Comme ça, oui, soupire-t-elle. Regarde comme tu m'as écartée... »
Je me sens mal, la voix ne m’est pas inconnue. Mais où ?... sans doute une ex petite amie qui a « mal tourné » !
La stripteaseuse donne ses derniers coups de reins sur les doigts vicieux de Tony, puis, rouge de honte ramasse ses effets, prend l'enveloppe que lui tend Bruno, et se sauve.
Dans un élan, j’ai envie de l’arrêter, d’en avoir le cœur net... Et puis, elle m’a tant excité, que je lea prendrais bien aussi… Mais je me retiens, les autres me regardent un peu de travers. Logique, je ne joue pas le jeu ! La pute, c’est uniquement pour le fiancé !
Je me retourne vers l’intérieur du salon. Il est en surchauffe. Les bites sont dressées au plafond. Les jeunes loups se regardent, des couples se forment. Pourtant aucun n’avouerait jamais baiser un jour avec un autre homme ! Mais ils sont trop excités, les couilles pleines ne demandent qu’à juter.
Un jeune maghrébin prend Daniel par la taille et l'enveloppe dans ses bras musclés. Une main joue avec les couilles, pendant que l'autre branle la bite. A côté, c'est Bob qui se fait prendre en levrette par le Mika, tout en taillant une pipe à Fred.
Je suis de plus ne plus troublé, et j’ai aussi envie d’une bonne bite…
A ce moment-là, je me sens tiré en arrière, et basculé sur les genoux de Didier. De suite, celui-ci saisit ma queue en érection, fait rouler le prépuce entre ses doigts, et me décalotte lentement. Il se rappelle comme j'aimais ça…
« Ca te remémore pas une certaine vie de garçon ? sourit-il. Comme on s'était amusés... Whoua... On devrait recommencer plus souvent, tu ne crois pas ? »
J’acquiesce d’un regard, et d’un coup de rein, pour qu’il me branle plus fort.
Du coup, sa main va plus bas, machinalement, ou volontairement, j'écarte les jambes pour qu'il puisse me saisir les couilles incroyablement grosses et dures.
« Vas-y, dis-je en soupirant. Caresse-moi... »
Doucement, il me soulève la tête, et m'ouvre les lèvres avec sa langue. J'adore sa façon d'embrasser, je réponds farouchement au baiser. Nous glissons au sol, Didier et s'assied sur ma poitrine, se penche avec souplesse, et me suce le gland. Petit à petit, cette caresse se transforme en pipe de légende. Ma bite en érection est avalée par la bouche gourmande de Didier. Je pousse un long soupir de plaisir. Comme il est placé, j'ai sa bite et ses couilles à porté de lèvres. Je m'apprête à honorer mon copain de la même façon, quand une bite énorme accompagnée d'un belle paire de couille frôlent mes joues.
C'est Tony.
« Alors les gars, dit-il, je vois qu'on s'amuse sans penser au futur marié... Pas très sympa ça... »
Il tient son calibre dans la main, et l'approche du petit trou de Didier. Il pose son gland contre l’orifice bien fermé. Il force, force encore, et la rosette brune finit par s’ouvrir sous la poussée. Je suis fou de désir de voir cela à quelques centimètres de me yeux. Le gland dilate enfin le petit orifice, et entame une lente progression. Je n’y tiens plus, et suce les grosses bourses, puis la partie visible du gros pieu...
Ma salive favorise la pénétration dans l’anus de plus en plus ouvert. Enfin la hampe disparait entièrement dans les entrailles de mon copain. Je vois le membre coulisser dans le cul de Didier, qui est pris de soubresauts, je vois les couilles balancer, frapper contre les fesses. Je me soulève pour les gober, les aspirer. Elles me font trop envie !
« Whoua, gémit Didier. Vas-y, encule-moi enfoiré, bien profond, comme j'aime... »
Tout se passe à dix centimètres sous mes yeux, jamais je n’ai vu cela de si près. Mon excitation est maximale. Les va et viens s'accélèrent, jusqu'à ce que Tony se retire. Je prends la bite odorante de plein fouet sur le visage. Tony la guide, et force mes lèvres. Je renacle, en sentant l’odeur peu mène, et le gout âcre qui s’en dégage. Mais je suis bloqué par le poids des deux hommes sur moi. Inexorablement, le calibre prend sa place dans ma bouche.
Puis le dégout passe, et comme une lopette, je ne le rejette pas, mieux, je lui taille une pipe. Je gobe come msi ma vie en dependait.
Deux minutes plus tard, je sens l'épaisse semence envahir le fond de ma gorge, presque en m'en étouffer.
« Ah, ah, râle Tony. Vas-y, avale pédé... Mais c'est qu'elle est doué la salope ! Elle sait sucer ! Ah, ahhhhhh… »
J'essaie de me dégager, mais Tony me maintient fermement.
« Attends mon ami, tu es bien pressé... Tu n'as pas le temps ? Il m'en reste encore un peu de réserve... Il faut tout vider, la pute de tout à l’heure ne m’a pas purgé à fond. Tu vas finir le travail ! »
Tony reprend ses va et viens dans ma bouche, certainement pour éliminer le surplus. Au bout de cinq minutes, il m'envoie la deuxième couche de purée, que je ne peux cette fois avaler. Je sens le sperme couler sur ma joue. Il se retire lentement, un sourire radieux. Il stabilise son gland entre mes lèvres.
« Allez, fais la toilette au petit bébé... Gentil, bien, tu m'as régalé petite salope... »
Comme un automate, je nettoie goulument le nœud du futur marié. Je me suis à peine rendu compte, que j'avais craché dans la bouche de Didier, pendant que celui-ci se branlait.
Il est six heures du matin quand le rentre chez moi. J'espère que ma ravissante épouse dort. Il faut que je me douche avant qu’elle ne sente l’odeur si caractéristique du foutre sur moi. Je pénètre dans hall sur la pointe des pieds. Je vois le répondeur clignoter.
« Tiens, un message que Barbara n'a pas du effacer. Il a l'air récent. »
J'appuie sur le bouton.
« Ma chérie, c'est Tony, je t'envoie ce message avant que ton mari rentre à la maison. C'est pour te remercier de m'avoir autorisé à te mettre un bon coup de queue, et de m'avoir taillé une super pipe devant mes copains, pour ma vie de garçon, en présence de ton mari. Tu étais magnifique en stripteaseuse. La nuit s'est très bien terminée. Je me suis même permis de me vider les couilles à deux reprises dans la bouche de ton cher époux. Il a adoré. Allez, bisous et encore merci. »
Je ne réagis pas immédiatement à ce message. Je fais le tour de la pièce, et là, je découvre stupéfait l'impensable.
Un masque représentant un chat, une perruque brune, et une enveloppe. Je l'ouvre. Cinq cent euros. J'ai l'impression que le plafond du salon me tombe sur la tête.
D'un bond, je me lève, j'ai encore un truc à vérifier. Je vais à la chambre, où mon épouse dort à poings fermés, Elle est entièrement nue. Je m'approche sans bruit, et glisse une main entre
Ses cuisses. La chatte est fraichement épilée, alors qu'hier, je me rappelle avoir joué avec son fin duvet blond.
Aucun doute, la stripteaseuse de cette nuit, c'était bien elle : MA PROPRE FEMME !!!!
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