Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
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Bises libertines,
Sophie
Jour de semaine, sortie de fac à onze heures, beau temps, j'me demande bien qu'est-ce que je vais bien pouvoir faire. A la sortie de la gare, je l'aperçois. Cette fille, je la connais, il me semble qu'elle était lycéenne dans le même établissement que moi.
Je ne lui jamais adressé la parole pour autant. Il me semble qu'elle a grossi. Pris des fesses. Elle doit mesurer dans les 160 cm, et elle a, ce qu'on dirait vulgairement, un gros cul. La voyant marcher dans la même direction que moi, je décide de prendre un peu de recul pour mater. Je ne suis pas spécialement fana des grosses fesses mais des pensées perverses affluent de toutes parts.
Fessées, levrette, pipe, encore fessées. Un malin sourire se dessine sur mes lèvres tandis que je la suis toujours. Quelques regards éparts m'indiquent que de rares personnes se trouvent dans la rue où je suis, je peux donc m'intéresser pleinement à la vision de ce fessier et aux pensées les plus abjectes sans risquer d'attirer des regards étonnés. Je suis à quelques mètres d'elle, elle toujours tête baissée les mains pleines de sacs de courses.
Je la suis tranquillement l'air de rien. Arrivés à un carrefour, j'espère de tout cœur qu'elle continuera de marcher tout droit (menant à chez moi). Oh seigneur, oui, elle continue sa marche
droit devant elle. Je continue donc mes regards lubriques, remarquant qu'elle porte une culotte façon cartoon, qui ressort un peu de son jean, elle porte un haut blanc dont je ne sais si
décolleté il y a, ce que je suppose néanmoins.
J'imagine alors mes mains sur ses seins, ses yeux bleus à travers ses lunettes se retrouver plein d'émoi, d'envie... Hum ... Je suis un obsédé, et puis je pense aux pulsions des violeurs, en ai-je une à l'heure actuelle ? Serai-je capable de la violer si elle se refuse à moi ? Quoi que je pense, je la rattrape sans m'en rendre plus compte, et lui rentre dedans alors qu'il n'y a bien personne dans la rue, ni sur aucun des deux trottoirs.
... Quel con. Regard interrogateur de la demoiselle qui a l'air de se réveiller, elle devait être plongée dans ses pensées, tout comme moi. Je m'excuse poliment, lui demande si elle va bien. Je me rends compte que son haut blanc façon tricot est bien un décolleté, pas non plus resplendissant, elle n'a pas une poitrine de folie mais bon, heureusement pour moi, elle ne remarque pas ce regard inquisiteur. Un des sacs étant tombé, je l'aide à le ramasser et lui demande si elle souhaiterait que je lui porte.
Elle me répond par la négative que ça ira, alors je lui demande tout à coup si elle n'était pas au lycée G. Ce à quoi elle me répond oui. Alors je prends le sac et lui fait signe de continuer sa
route à mes côtés. Je commence à lui parler de ce fameux lycée (ni plus ni moins qu'un lycée de banlieue, réglo, et assez bien côté). Ce faisant, elle ne cherche pas à reprendre son sac et répond
simplement à mes questions. Toujours tête baissée.
Arrivés devant une petite ruelle, elle me remercie et me demande de lui rendre ses courses.
Moment fatidique. Je dois faire quelque chose, et vite avant de paraître con ou trop louche...
Je la regarde, lui demande pourquoi elle reste tête baissée quand elle marche, ne lui laisse pas le temps de répondre, que je m'approche d'elle, lui relevant la tête et l'embrassant.
Surprise, elle lâche ses sacs, mais ne me repousse pas. Je m'arrête, recule la regarde, dans les yeux, et lui dit qu'elle n'a pas à être étonnée, puisqu'elle est jolie et que j'en avais envie. Un
frisson paraît lui parcourir l'échine. Ses yeux claires restent interrogateurs, elle ne me demande ce qui m'a pris, ramasse ses sacs et part dans la ruelle. Je reprends moi aussi le sac à mes
pieds et la suis.
Elle laisse la porte du portail entrouverte après y être entrée. Je rentre donc, en refermant bien soigneusement cette porte. Je monte les marches du perron, entre dans la maison, je découvre le
salon à ma gauche, un petit vestibule avec des escaliers au bout devant moi, et la cuisine à ma droite, cernée d'un mini bar. Elle s'y trouve et commence à ranger ses courses. Je m'approche
d'elle quand tout à coup elle se retourne et me fustige du regard.
« Qu'est-ce qui t'as pris ? Qui t'es ? Pourquoi t'as fais-ça ? »
Je reste interloqué, pourquoi ça maintenant, et pas dehors dans la rue ? Y'avait personne, rien à craindre en somme.
Attendant une réponse ne venant pas, elle reprend son rangement. Elle s'accroupit à un moment donné, pour ranger des surgelés au congélateur. Ce qui me laisse pleinement une vue dégagée sur cette
culotte cartoon. Lorsqu'elle se relève, je lui mets alors une main au cul. Elle se retourne et me gifle.
Aïe, ça commence mal. Elle reprend son rangement, cette fois je lui prends les hanches et lui fait bien comprendre que j'aimerai quelque chose. Elle me repousse. Alors j'essaie de la taquiner, de
la chatouiller, ça marche, un sourire se montre sur son joli minois. Je l'embrasse une fois, puis deux. Elle a compris mon jeu, se laisse faire. Alors, j'insère mes mains entre son jean et sa
culotte et commence à lui caresser les fesses. Elle a l'air d'apprécier, je sens l'excitation monter.
Alors je lui demande où se trouve sa chambre. Situation assez extrême, je l'avoue, un inconnu s'invite chez vous et vous dit implicitement qu'il va vous baiser, y'a de quoi déranger.
Mais elle réajuste ses lunettes et me prends la main. Je dois être à son goût.
Arrivés dans sa chambre, elle retire ses lunettes et son chignon, laissant tomber ses cheveux sur sa nuque. Je lui dis que ses lunettes ont un côté excitant de secrétaire (j'vous en reparlerai
par la suite). Mais sans plus attendre, me dirige vers elle, l'embrasse à pleine bouche, lui caresse la poitrine, son entrejambe à travers l'épaisseur du jean, enfin, je fais le pressé.
Lui retire son haut-tricot et remarque qu'elle ne portait rien en dessous, la coquine, alors j'entreprends de lui retirer son jean, la couche sur le lit puis le fais glisser le long de ses
jambes. Je découvre Titi qui me fait coucou sur sa culotte cartoon.
Je découvre aussi que la coquine mouille déjà, je relève la tête et vois qu'elle se caresse les seins avec véhémence, déjà. Elle me demande de me presser. Le jean une fois ôté, je lui touche sa
culotte mouillée. Elle gémit. Merde alors, elle l'a pas fait depuis combien de temps ? C'est la situation du parfait inconnu qui l'excite autant ?
Pas le temps de réfléchir qu'elle se relève et m'embrasse tout en me pressant de me déshabiller. En caleçon, je lui demande où est-ce qu'elle a mis des préservatifs, elle me désigne un des
tiroirs d'une commode. Je l'ouvre, fouille un peu entre les sous-vêtements, au fond m'a t'elle dit, et en trouve une paire. Plus quelque chose de long, et dur. Sûrement pas un string ou un
sous-tifs... Je prends et découvre dans ma main, un gode rose...
Vraie coquine, celle-là. Je me retourne face à elle tout en faisant attention qu'elle ne remarque pas ma découverte, ainsi, la main gauche dans le dos, je m'approche du lit où elle est allongée,
à demi-nue.
Je me mets sur elle, en position missionnaire bien qu'ayant nos sous-vêtements, sa culotte est vraiment trempée, je le sens à travers mon caleçon, l'excitation est là mais cela me dégoute un peu.
Je souris, l'embrasse et de la main gauche je presse le gode contre son sexe.
Surprise, elle gémit. Je continue, la faisant gémir de plus belle. Je prends plaisir à être maître du désir qu'elle éprouve.
« S'il te plaît, vas-y, baise moi, je n'en peux plus d'attendre. Et tu m'excites tellement avec mon gode ...
- Chaque chose en son temps...
- Hein ? »
Je lui retire sa culotte, et lui rentre le gode dans sa chatte entrouverte, elle pousse un petit cri de plaisir, me prend par le cou et cherche mes lèvres. Je décide d'accélérer le va-et-vient du
gode entre ses cuisses, ma main droite sur son sein droit, je lui titille le téton durcit par le plaisir. Cette coquine n'est pas pleinement satisfaite puisqu'elle met sa main dans mon caleçon et
commence à me branler furieusement.
J'ai du mal à me retenir, alors j'arrête tout, la regarde durement, et lui dis de se mettre à quatre pattes sur le lit. C'est moi qui contrôle nos plaisirs, j'y ai pris goût en lui procurant du
plaisir quand je voulais avec le gode, elle ne va pas se procurer le plaisir de contrôler le mien, voire d'y mettre fin.
Alors comme j'y pensais tout à l'heure, je lui donne une première fessée, puis deux, puis trois, ça claque, et ses fesses prennent bien les coups. Et ça n'a pas l'air de lui retirer son plaisir,
au contraire. Elle mouille toujours autant. Je lui remets le gode dans sa chatte trempée et pendant qu'elle gémit, mes yeux tombent sur son second trou.
Son anus, son rectum, son trou du cul, putain, ce trou-là m'a toujours fasciné. Il m'a l'air fermé, alors sans lui poser de question j'essaie d'y insérer un doigt. Bizarrement, elle ne dit rien,
ne me reproche pas ma tentative échouée. Je ressaie, y met une phalange, c'est vraiment serré... Elle hoquète un peu. Puis je sors le gode trempé de sa chatte doucement, le remonte jusqu'à son
second trou, et commence à faire pression pour
qu'il y rentre. Etant trempé, j'm'attends à de meilleurs résultats.
« Oh s'il te plaît, pas ça, je n'ai jamais essayé, je veux ta bite dans ma chatte, rien de plus ... S'il te plaît... »
Un tel aveu ne me laisse pas de marbre, je m'exécute alors, et sors mon sexe gonflé de sa cache. J'enfile une capote, et commence l'entrée dans son antre. Elle mouille tellement que je rentre
sans problème. Par contre, le gode est toujours pressé contre son autre trou, je le pose à côté d'elle et commence alors à la baiser en levrette.
Elle apprécie, et mes va-et-vient se font plus intensément, plus profonds. Ses seins toujours aussi gonflés entre mes mains. Elle me dit qu'elle va jouir, c'est le moment où je reprends le gode. Attendant sa jouissance, je continue mon affaire, et represse le gode contre son rectum fermé. Elle me dit que ça vient, que ça y est…
Alors je continue plus doucement mon va-et-vient dans sa chatte, je n'arrive pas à jouir dans une chatte, je ne sais pas pourquoi...
Et puis, alors qu'on reprend le rythme, je sens le gode commencer à s'introduire dans son anus. Sans crier victoire, je continue de l'enfoncer doucement. Elle me demande d'aller plus profond.
Où ? De quel trou elle parle ?
Je décide d'enfoncer ma bite un peu plus dans sa chatte, elle gémit et je pense alors que c'est de celui-ci dont elle parlait. Mais j'enfonce le gode toujours un peu plus, et elle gémit toujours un peu plus fort. La coquine, elle en veut.
Ce trou m'attire d'autant plus qu'elle y prend du plaisir. Je me retire alors de sa chatte, retire la capote utilisée, et enfile la seconde, je retire doucement le gode de son anus doucement.
« Qu'est-ce que tu fais ? C'était bon... »
Je me place alors à l'entrée de son anus, et commence à appuyer ma bite contre ce second orifice. Elle comprend et vient m'ouvrir la voie en tirant sur ses fesses pour agrandir le trou, mon sexe
étant plus épais que le gode.
Je lui demande si ça va au fur et à mesure de ma progression. J'enfonce ma bite dans ce trou si mystérieux, si excitant pour moi. Elle gémit alors :
« Hinnn, vas-y, ne t'en fais pas si j'ai un peu mal, le plaisir viendra après... »
Hochant de la tête, je rentre alors pleinement dans cet orifice. Elle pousse un cri, halète un peu, puis se calme, je commence alors à imprégner un rythme à son gros cul qui m'a tant fait
saliver. Je saisis ses seins et commence à les malaxer, elle me demande d'y aller plus fort, d'augmenter son plaisir. Je me redresse alors, les mains sur ses hanches et intensifie mon
va-et-vient, ses fesses bientôt viennent à moi, c'est incroyable !
Je commence moi aussi à gémir, et mon plaisir s'accroît au sein de son trou de cul. J'en viens bientôt au point de rupture, elle me crie alors de jouir, et dans un dernier coup de rein de ma
part, je jouis.
« Je sens un truc chaud dans mon ventre... Hummm, c'est bon... »
Je me retire et m'aperçois que la capote a craqué. Elle s'étend sur le lit, me regarde avec compassion, et remet ses lunettes. Je commence à remettre mon caleçon lorsque qu'un liquide blanc coule
doucettement de son trou du cul, se mélangeant au fluide incolore provenant de sa chatte.
Cette vue de mon sperme s'écoulant de son rectum m'excite, et alors qu'elle se touche le clitoris pour un ultime orgasme, elle sent ce liquide chaud couler entre ses fesses.
Ma bite se raidit de nouveau, et cette coquine ne perd pas une miette de ce qui se trame dans mon caleçon, elle se relève alors et se met à genoux devant moi.
« Pour le plaisir que tu m'as procuré, et pour m'avoir sodomisée comme un roi, je te dois bien ça. »
Alors, elle prend mon caleçon et le descend jusqu'aux chevilles. Sa langue vient se poser sur mes couilles, puis elle remonte le long de mon sexe, avant de le mettre en bouche, elle me malaxe
gentiment mais assidument les couilles. Elle s'y prend bien la coquine...
Elle commence à me sucer doucement, puis je vois avec étonnement qu'elle est en train d'engloutir ma bite. Cette sensation... Je ne pourrais m'empêcher de venir si elle continue comme ça...
Et elle continue. La vache, je sens ma bite grossir, je sens que ça va venir.
Je me retire alors de sa bouche, et à peine le temps de me branler que j'éjacule sur son visage. J'lui en fous partout, ses lunettes, sa bouche, même ses seins reçoivent une petite giclée. J'ai
l'impression de m'être branlé sur une secrétaire comme on en voit dans les films pornos, avec ses lunettes pleines de sperme.
Je la quittais alors une demi-heure plus tard, échangeant nos numéros pour se revoir dès que l'envie se présenterait.
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