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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Propriété intellectuelle

Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Cette histoire est véridique et relatée dans ses moindres détails. Elle m'est arrivée au mois de mai 2000. Pourquoi avoir attendu dix ans avant de l'écrire ? Tout simplement par désir de me confier. Personne jusqu'à présent ne connaît cette histoire.

Mais d'abord laissez-moi me présenter. Je m'appelle Florence, j'ai quarante-cinq ans, je mesure 1,65 mètre, je suis blonde, un petit peu enrobée avec de très jolis petits seins.

 

Je suis mariée à Philippe depuis plus de vingt ans, nous avons deux enfants.

Jusqu'à ce fameux mois de mai 2000, les 7,8 et 9 mai, précisément, je n'avais jamais trompé mon mari. Philippe est un homme plein d'humour qui travaille dans une banque et qui gagne très bien sa vie.

 

Moi, je suis cadre commerciale dans une entreprise de produits manufacturés. Je considérais notre vie sexuelle normale, mais après chaque rapport avec mon mari je ressentais comme un goût d'inachevé, d'incomplet. Nous abordions et continuons à aborder toutes les facettes du sexe, j'adore sucer, me faire pénétrer la chatte et je ne refuse pas la sodomie bien que ce ne soit pas ce que je préférais jusqu'à ce fameux mois de mai. En résumé, une vie banale.

Bien voilà mon décor personnel planté. Je vous explique maintenant le décor professionnel. Je suis je l'ai déjà écrit plus haut cadre commerciale dans une entreprise de produits manufacturés située à Bordeaux. En janvier 2000, est entré dans notre entreprise un employé de bureau qui avait répondu à une offre d'emploi. Il s'appelle Yann il est âgé de quarante ans ans.

 

Grand, mince, cheveux châtain légèrement dégarni mais charmant. C'est moi qui lui ai fait visiter l'entreprise l'ai instruit sur le travail qui l'attendait et lui ai précisé après l'avoir installé dans son bureau, qu'il pouvait venir me demander tous les renseignements dont il aurait besoin. Et pendant plus d'un an il venait souvent me demander des renseignements. Je sentais qu'il n’était pas insensible à mon charme, et je dois l'avouer j'en étais troublée.

 

Mais jamais il ne m'a proposé quoi que ce soit, ni même d'aller boire un café en sa compagnie. J'en étais un peu frustrée, mais je l'ai dit jamais, je n'avais trompé mon mari . Pourtant, je sentais l'attirance que je représentais pour Yann, mais je n'envisageais pas du tout de le faire, c'est une idée qui ne me venait même pas à l'esprit.

 

Début mai, notre directeur de l'époque m'appela au téléphone et me demanda d'aller le voir dans son bureau en me précisant de dire à Yann de venir aussi. Je passe donc par le bureau de Yann et lui dis que nous sommes attendus tous les deux dans le bureau du patron. L'entrevue à trois fut brève, mais le patron nous apprit que l'entreprise allait se doter d'un nouveau logiciel informatique de gestion acquis auprès d'une société parisienne. Pour cela, deux personnes devaient se rendre à Paris, en éclaireurs, afin de s'initier aux rudiments de ce nouvel outil informatique. Les deux personnes choisies étaient moi Florence, et Yann, et les billets de train étaient déjà retenus pour le 7 mai.

Nous voilà donc ce fameux jour, dans le train. Tout le voyage se déroula normalement. Yann était extrêmement gentil et galant il voulu absolument me laisser la place à la fenêtre pour que je puisse profiter du paysage. Nous avons longuement bavardé de tout, loisirs, cuisine, sport, culture. Arrivés à destination nous avons pris le métro pour nous rendre jusqu'à notre hôtel.

Là nous avons convenu de nous retrouver dans le hall de l'hôtel une heure plus tard dans le but de trouver un petit resto. Nous nous retrouvons et je propose à Yann de nous rendre sur les Champs-Élysées car je connais là-bas un resto sympa.

Voilà toute la scène est plantée, car c'est maintenant que commence vraiment mon infidélité conjugale. Après un petit apéritif nous entamons le repas, à vrai dire je ne me souviens plus de quoi il était composé, mais à ce moment, je me suis aperçue que j'avais oublié d'appeler une amie (en fait il s'agit de ma grande confidente à qui je n'avais rien caché de ma vie y compris mon espèce d'insatisfaction sexuelle) que j'avais invitée à déjeuner chez moi le lendemain, et je ne pourrai pas pour cause de déplacement. Je prie donc Yann de m'excuser et saisis mon portable pour appeler mon amie.


« Allo Christine, c'est Florence. Je t'appelle pour te dire que le déjeuner de demain est annulé je suis en déplacement dans la capitale.

- C'est pas grave on remettra ça pour une autre fois. Tout va bien pour toi ?
- Oui merci.
- Et ton problème d'insatisfaction ? »

Il faut dire que Christine croyait que j'étais seule pendant cet appel et puis lorsque je discute avec elle je suis tellement détendue que je perds parfois toute notion d'intimité.

« Toujours pareil, on fait l'amour et je reste sur ma faim pour ainsi dire. J'aurai presque envie de recommencer de suite mais Philippe est un rapide et il s'endort de suite après. »

Et puis après de nombreux bla bla.

«  Au fait Christine je ne t'ais pas donné mon nouveau numéro de téléphone.
- Tu as changé ?

- Oui prends un papier et un crayon et note le c'est le 06 07
- Merci on se rappelle à bientôt ma chérie »

Je m'excuse auprès de Yann pour ce petit intermède, puis nous reprenons notre repas au cours duquel je trouve Yann encore plus prévenant, je sens son pied qui touche parfois le mien et quelquefois sa main vient jusqu’à frôler la mienne. Enfin notre repas se termine et nous rentrons bien sagement à l'hôtel. Arrivés devant l'hôtel Yann me souhaite bonne nuit et me dit qu'il va rester quelques minutes en bas pour fumer un cigarette. C'est vrai qu'il fume mais peu. Je retrouve donc ma chambre je me déshabille, prend une douche, et garde comme seuls habits pour dormir, une chemise de nuit et une culotte.

C'est au moment où j'allais entrer dans le lit que mon portable se met à sonner. Je décroche.
« Allo.
- Allo bonjour Madame. »


J'ai immédiatement reconnu la voix de Yann et j'ai cru qu'il voulait un renseignement professionnel c'est pourquoi j'ai répondu tout normalement comme sur un ton de plaisanterie. « Bonjour monsieur.
- Madame j'ai déjeuné ce soir à une table voisine de la votre, j'ai entendu que vous communiquiez votre numéro à votre correspondant et je n'ai pu m'empêcher de le noter, car je vous ai observé tout le repas et vous êtes absolument charmante je tenais à vous le dire. »

A ce moment tout m'est revenu en mémoire en un éclair, et j'ai compris qu'il ne voulait pas qu'un simple renseignement. J'en fus troublée et flattée et je ne pus que répondre avec un chevrotement dans la voix mais en continuant et en entrant dans cette sorte de jeu.

«  Et bien monsieur c'est très gentil de votre part et je suis très flattée mais vous avez aussi certainement compris que je suis une femme mariée.
- Oui madame je l'ai aussi entendu et je dois vous dire que je suis moi aussi marié. J'ai aussi entendu que vous connaissez quelques difficultés sexuelles avec votre mari.
- C'est vrai mais il est mon mari, et je ne l'ai jamais trompé.
- Moi aussi madame, je n'ai jamais trompé ma femme, et je connais aussi avec elle des problèmes du même genre que les vôtres.
- C'est à dire ?
- Que je ne suis pas entièrement satisfait sur le plan sexuel.

- Et comment se manifeste cette insatisfaction ? »


La situation commençait à m'exciter. Ma voix devenait de plus en plus chevrotante, mes seins pointaient sous ma chemise de nuit une douce chaleur envahissait mon ventre et je sentais ma chatte devenir humide.

«  Et bien mon épouse n'accepte pas toutes les caresses. C’est pour moi comme une frustration. »

Moi qui, bien qu'en préférant certaines caresses à d'autres, n'en refuse pour autant aucune, devenais toute tremblante. Je ne pensais plus à mon mari, j'étais collée sur mon téléphone à écouter la douce voix de Yann qui elle aussi chevrotait maintenant.

« Et pourquoi me dire tout cela maintenant à cette heure ?
- Parce que je vous ai suivi depuis le restaurant, parce que je suis devant votre hôtel, parce que je discute avec vous en ce moment merveilleux, parce que vous êtes absolument charmante et terriblement sensuelle et.. ».

Oh mon dieu que tout cela était bon à entendre. Je voulais en entendre encore plus, je lui dis.

«  Et ? N’ayez pas peur ni honte de dire ce que vous voulez dire. On ne rougit pas au téléphone.
- Et que j'aimerai que vous m'ouvriez votre porte pour…….
- Pour ?
- Pour passez une nuit ensemble. »

J'ai ressenti une énorme poussée d'adrénaline j'ai hésité 2 ou 3 secondes qui pour Yann ont certainement été une éternité mais sans me reconnaître moi-même je me suis entendu répondre.

« Et bien monsieur je suis en chambre 969. »

Quelques minutes plus tard, j'ai entendu un petit tapement à la porte de ma chambre. J'étais dans un état effervescent je tremblais et vêtue seulement d'une culotte et chemise de nuit. J'ai ouvert, Yann m'a souri il est entré. Sitôt la porte refermée et avant que je ne me retourne vers lui, il s'est plaquée derrière moi sa tête contre mon oreille, ses mains sont venues se positionner sur mes hanches et continuant à jouer son jeu il m'a dit : « Je m'appelle Yann, et vous ?

- Florence », ai-je répondu sans même m'en rendre compte, comme dans un nuage sensuel.

Ses mains son remontées vers mes petits seins déjà durs et il a murmuré.

« Madame, je suis fou de vos jolis seins, je vais les dévorer toute la nuit, je vais les sucer comme je vais vous sucer la chatte à vous en faire crier.

Après ces paroles j'ai compris ce qui me manquait avec mon mari. Tout simplement ces paroles un peu crues que jamais mon mari conventionnel n'oserait prononcer. Elles résonnaient dans ma tête comme un appel au sexe à deux, délivré des ses derniers tabous, reliées par le vouvoiement de cet homme que je côtoyais chaque jour, et par cette scène de jeu. Elles me faisaient plaisir à entendre j'avais envie d'en entendre encore plus et d'en prononcer moi aussi des plus sales encore, et comme si Yann avait deviné mes pensées il poursuivit en disant.

«  Cela ne vous gêne pas si je vous parle ainsi. »

En guise d'acquiescement je répondis :

«  Oh, sucez mes petits seins, sucez ma chatte !
- Madame, je vais vous sucer toute la nuit et vous baiser toute la nuit !
- Baisez-moi, enfilez-moi, bourrez-moi, par tous les trous.

- Par tous les trous vous en avez envie ? »


Et là j'ai oublié le vouvoiement.

«  Oui j'ai envie que tu baises ma chatte que tu baises ma bouche que tu m'encules jusqu'à m'élargir le trou cul. »

J'étais folle et complètement libérée. Ces paroles sales, je les connaissais mais c'était la première fois que je les prononçais pendant l'amour et j'y prenais un énorme plaisir. Yann m'a alors guidée vers le lit je me suis allongée sur le dos il à commencé à m'embrasser puis ses mains on fait glisser les bretelles de ma chemise de nuit, dans la pénombre il a découvert mes petits seins dont il m'a répété qu'il en était fou, il les a sucé un bon quart d'heure ils me faisaient mal tellement les pointes étaient dures.

 

Ensuite, il a ôté ma chemise de nuit complètement et à travers ma culotte il à commencé à me sucer la chatte il a recommencé à me sucer les seins et a passé sa main dans l'échancrure de ma culotte. Il me masturbait tellement bien titillant mon bourgeon qui était dur je sentais ses doigts glisser dans ma grotte complètement noyée, à ce moment il a enlevé ma culotte et s'est jeté sur ma chatte j'ai écarté les cuisses le plus largement possible sa langue entrait au plus profond de moi ensuite il a écarté mes lèvres d'une main tandis qu'il entrait un puis deux doigt dans un lent puis rapide va et vient. Le clapotis de ses doigts et de ma chatte était tellement excitant que je lui ai demandé

« Baise-moi, baise-moi fort maintenant ! Je veux sentir ta queue au fond de moi...

- Non tu ne connais pas encore ma queue tu vas d'abord me sucer. Je suis sûr que tu aimes avoir une queue dans la bouche. Elle est belle ta bouche ! Tu vas bien me pomper je veux jouir dans chacun de tes trous et sur ton corps. »

Et joignant le geste à la parole il s'est relevé à baissé son pantalon, je me suis assise sur le lit n'y tenant plus j'ai baissé son slip et la j'ai découvert ce que n'osait espérer une queue large, longue d'au moins vingt centimètres. Celle de mon mari ne fait que quinze centimètres en pleine érection qui ne dure pas longtemps, et de plus il n'est pas large.

 

Elle est dure comme une barre d'acier. Sa queue dans ma bouche, je l'ai pris par les fesses et l'ai attiré sur le lit. Allongée sur le dos lui au dessus de moi, j'avais son énorme mandrin dans la bouche, et il s'employait à le faire coulisser pour me baiser la bouche comme il m'avait dit plus tôt.

 

Comme je l'ai dit plus haut j'adore sucer, mais j'ai horreur que l'on jouisse dans ma bouche. Chaque fois que je fais une pipe à mon mari je lui demande de me prévenir et lui enrobe la queue dans une serviette lorsqu'il joui. Mais ce jour- là, je n'avais même plus conscience que la grosse bite de Yann pouvait décharger à tout moment dans ma bouche.

 

Il s'était maintenant allongé sur le dos et me tenait par l'arrière de la tête et je suçait parfois lentement, parfois rapidement en enfonçant son engin le plus profondément et je sentais mes joues se gonfler par cet énorme pieu qui parfois venait buter au fond de ma gorge soudain Yann m'a demandé :
« Plus vite mon amour, plus vite, je vais décharger dans ton gosier. »

Et bien que je n'aime pas cela je lui ai dit :

« Tu veux jouir dans ma bouche ? Tu veux que j'avale tout ton foutre ? Oui, j'ai envie de te boire, j'ai envie que tu me gaves de ta crème ! Tu vas me remplir la bouche et l'estomac avec tout le jus de ton énorme bite ! Mais garde des forces, je veux absolument que tu me défonces par tous les trous ! »

Tout en disant cela, je continuais à le masturber lentement pour qu'il garde toute sa vigueur. Puis j'ai repris sa queue en bouche. J'ai recommencé à le manger lentement, ensuite plus vite. Soudain, j'ai senti tout son corps se raidir sa queue prendre une dimension encore plus grosse et tressaillir dans ma bouche. Un long jet chaud et crémeux me couvrit la gorge, puis un deuxième, et un troisième. Pendant qu'il jouissait, je continuais à le sucer comme une folle, et j'avalais en essayant de ne pas perdre une seule goutte de sa liqueur. J'ai tout avalé avec délectation… Ensuite, Yann m'a embrassée goulûment en essuyant mes lèvres de sa langue. Il semblait prendre beaucoup de plaisir à goûter les restes de son sperme sur ma bouche.

« Ta bouche et tes lèvres sont salées.
- Cela te plait ?
- Oui. »

Nous sommes restés enlacés un long moment à nous bécoter nous caresser. C'est durant ces caresses que j'ai senti à nouveau le sexe de Yann grossir je me suis alors jetée dessus fiévreusement pour le reprendre en bouche. Il était aussi gros qu'auparavant j'ai demandé à mon amant :

«  S'il te plait prends moi, prends-moi par derrière, j'ai trop envie de te sentir en moi. J'ai envie de ta grosse bite dans ma chatte en feu.
- Viens, mets-toi à genoux, je vais te défoncer ma Florence chérie. »

Je me suis mise à genoux par terre les bras et le torse appuyés sur le lit. Yann s'est positionné derrière moi mais alors que je m'attendais à recevoir son énorme pieu dans ma grotte inondée de mes sécrétions. J'ai entendu Yann qui salivait dans sa main et qu'il passait celle-ci sur mon petit trou. Je n'ai pas eu le temps de lui dire que je voulais d'abord le recevoir dans la chatte. Sa queue est venue se loger directement entre mes fesses. Je l'ai senti appuyer sur ma rondelle et d'une poussée vigoureuse qui m'a écrasé sur le lit son gland énorme est venue me déchirer le cul et m'a arraché un cri de douleur.

« Salaud ! Tu me casses le cul ! Tu es une ordure ! Je te voulais dans ma grotte d'abord ! »

Il m'a proposé de ressortir pour la forme, car il ne l'a pas fait. En fait, j'avais vraiment envie qu'il m'encule bien à fond.

« Tu me traites de salaud alors que tu en veux comme une pute. Jamais je t'aurais cru aussi chienne dans le plumard tu en veux encore plus ?

- Oui, enfonce-la bien au fond, défonce-moi le trou, ramone-moi, élargis-moi l'œillet, casse-moi le cul !!!

- Espèce de salope ! Tu ne vas pas le regretter ! Tiens, prends-la toute entière ! » 

Toujours son énorme vit dans mon cul, il réussi tà se mettre sur ses jambes, et à grands coups de boutoir, il fit coulisser son membre dans mon petit cul que je sentais s'élargir de seconde en seconde. Et oui, jusqu'à présent, seul mon mari m'avait enculée, et peu membré comme il l'est, jamais mon trou ne s'était évasé !

il y allait tellement fort que son bassin faisait des "clacs" énormes lorsqu'il buttait dans mes fesses.
« Oh oui ! Défonce-moi encore plus fort ! Encule-moi toute la nuit ! C'est bon, je sens tes couilles frapper ma chatte… Je veux que tu me casses le cul toute la nuit, tu ne me troncheras que demain au réveil, après que je t'ai sucé !

- Ha ! Tu en veux au fond de ton boyaux ? Prends ça, pute, que tu es !

- Oui je suis une pute, ce soir je suis ta pute, et ramone mon cul. »

Il m'a ramoné le cul cassé la rondelle il a élargi mon trou et dans un râle s'est déversé dans mon boyau. Lorsque j'ai senti sa bite se détendre un peu, il s'est retiré et m'a dit :

« Je vais me nettoyer.
- Non laisse je vais le faire avec ma bouche… »

J'ai pris sa queue molle dans ma bouche, elle sentait fort, elle avait un goût d'excréments, car dans la pénombre je ne pouvais deviner s'il y en avait dessus. Mais qu'importe, j'avais envie de ça. Il m'avait comblée le cul, je voulais l'épuiser, le vider complètement. Je l'ai donc consciencieusement nettoyé et j'ai senti qu'il recommençait à prendre vigueur.


« La salope, tu me fais encore bander, tu en veux encore ? Je vais t'en donner. »


Et entre deux mouvements de pompes : « Oui, donne m'en encore dans le cul, la chatte c'est pour demain !

- Tu veux encore te faire défoncer ton joli petit cul rose. Tu es une vraie pute déchaînée ! Tu fais pareil avec ton cocu de mari ?
- Non, avec mon mari ça dure cinq minutes lorsqu'il me baise la chatte ou que je le suce, et encore moins longtemps quand il m'encule…
- Mets-toi en position sur le dos. C'est comme ça que je vais t'élargir encore ton petit trou… »

Je me suis mise sur le dos. Il a pris mes jambes, les a relevées, coincées dans ses épaules et a présenté sa bite devant mon cul.

Cette fois-ci, il est rentré d'une seule poussée. Je ne peux pas dire que je n'ai rien senti, mais la douleur n'a pas été la même. La première fois, c'était une douleur de déchirement. Quant à celle-ci, c'était une douleur due à l'irritation après une sodomie puissante et prolongée.

 

Mais j'ai quand même apprécié une nouvelle fois. Il m'a limé le cul pendant vingt bonnes minutes encore avant de décharger une nouvelle fois dans mon boyau. Moins puissamment que la fois précédente…

 

Après quoi, je l'ai encore sucé pour le nettoyer et bien qu'il se mît à rebander nos ébats se sont arrêtés là. Quelques bisous après nous dormions comme des bienheureux.

 

Le lendemain matin au réveil, j'ai laissé glisser ma main vers sa queue et après quelques caresses, il s'est mis à bander comme un taureau. Cette fois, il m'a baisé la chatte et j'ai éprouvé un immense bonheur lorsque j'ai senti sa liqueur inonder mon ventre.

 

Les deux jours suivants, nous avons continué nos ébats tant et si bien que le 9, lorsque il a fallu se résoudre à rentrer, j'étais toute triste. Nous avons pris le train et pendant le trajet, je n'ai pu m'empêcher de prendre sa main, de la passer sous ma jupe, et de l'aider à enfoncer un doigt au fond de ma grotte toute humide.

 

Depuis, nous poursuivons notre relation.

Nous laissons libre cours à tout nos fantasmes, quels qu’ils soient : tous les deux, à trois, quatre, et j’ai même expérimenté le gang bang, comme une vraie affamée de sexe que ej suis…

Par Sophie de R. - Publié dans : Mes histoires érotiques - Communauté : Fantasmes & plaisirs
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