Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
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Bises libertines,
Sophie
Amandine, pulpeuse blonde de vingt-quatre ans, rentre d’un voyage des Etats-Unis. Dès son arrivée, cette jeune baronne présente son passeport à la douane. Elle est d’une beauté et d’une élégance à couper le souffle. Elle est vêtue d’un tailleur noir, un chemisier rouge, avec des escarpins assortis, ses longs cheveux blonds coiffés en chignon. Elle est prise en charge par Célia, une sculpturale black, jeune stagiaire, accompagnée de Dick, un magnifique berger allemand, qui l’invite à passer dans une pièce, pour un contrôle de routine.
Surprise, Amandine suit la douanière. Arrivée dans la salle, Célia ordonne sans préambule à la jeune baronne de se déshabiller.
« Mais enfin, dit Amandine, regardez mon passeport, je suis une baronne, pas une délinquante ! Et pourquoi ce chien ? Vous cherchez de la drogue ???
- Le traitement est le même pour tout le monde, baronne ou pas. La Révolution, c’était il y a deux cents ans ! Allez, déshabille-toi, poursuit Célia. Ne m’oblige lâcher le clébard. »
Amandine n’a d’autre choix que de s’exécuter, la jeune black sort discrètement une télécommande, et actionne ce qui semble être une caméra de contrôle. Elle se retourne et voit Amandine, en
culotte et soutien gorge, une main sur ses seins, une autre entre ses cuisses, essayant de cacher sa nudité.
« Nue, gronde Célia, complètement nue… et défais-moi ce chignon ridicule. »
Amandine n’en croit pas ses oreilles, se demande à qui elle a à faire. La présence du chien, dont la langue pend sur le côté, l’inquiète. Il est certainement un renifleur de drogue. De ce côté,
elle est sereine.
« Je me plaindrai à qui de droit, se plaint-elle, ça ne va pas se passer comme ça… c’est un abus de pouvoir, » tente-t-elle d’avancer.
Pourtant, elle obtempère, de plus en plus inquiète. Une fois nue, La douanière demande à Amandine, de s’appuyer mains à plat contre le mur, d’écarter les pieds du mur, et d’écarter les jambes.
Elle s’approche, passe les cheveux au peigne fin, regarde les oreilles, la bouche aux lèvres pulpeuses. Amandine sait qu’elle doit subir la fouille sans broncher. La douanière la force à
s’écarter d’avantage, lui met un doigt au cul.
Lentement, les doigts glissent entre ses cuisses, remontent sur la fente, ouvrent les lèvres intimes. Malgré elle, Amandine ressent du plaisir, sent sa chatte devenir humide.
« Tu te régales salope, » dit Célia, mi–amusée, mi-hargneuse.
Célia prend les bras d’Amandine, et les lui croise dans le dos. Elle la force à se tourner face à la caméra, jambes toujours écartées. Elle se penche, et avec un air vicieux, lui décalotte même
le clitoris, puis demande au chien d’intervenir.
« Allez Dick, c’est à toi maintenant, cherche mon chien… »
Amandine supplie la douanière de retenir son chien, crie que c’est sale. Trop tard, la langue du berger allemand lèche déjà la chatte baveuse, la truffe sniffe le petit trou de la jeune baronne,
qui râle de plaisir
« Assez mon chien… je crois qu’on s’est trompé, on va en rester là, en fait il n’y a rien d’anormal.
- Oh non, gémit Amandine malgré elle. Il n’est pas allé assez profond ! Dites lui de fouiller encore… je suis sure qu’il a un truc de caché au fond de moi. Je suis trop mouillée peut-être…
c’est pour ça qu’il ne trouve pas… allez-y… continuez… »
A grands coups de reins, Amandine fait tourner sa chatte sur le museau mouillé du chien pour l’inviter à poursuivre ses vicieuses recherches. Elle n’en finit pas de gémir. Elle a perdu toute
notion de l’endroit, du bien et du mal… La jouissance monte en elle, inexorablement. Son premier orgasme se perd dans la gueule du quadrupède canin. Son cri de plaisir résonne dans la pièce.
« Hou… oui… suce mon bouton… hou… regardez comme il me fait bouger le cul… hou… hou… quel salaud… »
Célia maitrise la situation, demande au chien de s’écarter.
« Baronne ou pas tu ne vas pas t’en tirer comme ça, ma salope… tu en veux ? eh iben, tu vas en avoir !
- Oh oui, supplie Amandine. J’en veux encore ! J’ai envie de baise !
-T’en fais pas, tu vas être servie ! »
Elle ôte ses habits, et se plaque, entièrement nue, contre le corps chaud d’Amandine. On voit son opulente poitrine s’écraser sur le
dos. Le tableau est sublime. La sculpturale stagiaire à la peau d’ébène qui se frotte contre la peau laiteuse de la jeune femme blanche. Elle lui prend la taille, saisit les magnifiques seins,
dont les bouts sont prêts à s’éjecter des mamelons. Elle embrasse l’échine, embrasse le cou, mord le lobe de l’oreille. Une main saisit un sein, une autre va plus bas, entre les cuisses.
« Tiens, dit la jeune black, c’est vrai, j’avais oublié ce diamant sorti de son écrin, mon dieu qu’il est dur.
- C’est vous qui me l’avez décalotté… et c’est le chien qui me la fait durcir… s’il vous plait… caressez le… c’est tellement bon de se faire doigter… Allez-y…pincez-le… aie… aie… aie…
- On va jouer tous les trois, dit Célia, tu n’as pas envie de te faire saillir par un chien ? »
Amandine fait oui de la tête, toute ahurie de voir qu’elle tombe si bas.. se faire monter par un chien ! Impensable, selon ses critères de morale !
Célia lui demande de s’appuyer sur le bureau, et de replier une jambe. La fente de la jeune baronne est totalement offerte aux mains vicieuses de la douanière. Celle-ci entame les préliminaires, se penche sur elle en glissant ses doigts entre les cuisses.
Le majeur et l’index pénètrent e vagin détrempé, tandis que le pouce taquine le petit trou. Amandine gémit de plus en plus fort. Célia
lui fait avouer qu’elle aime se faire gouiner par une femme, sentir des doigts la fouiller, la faire crier de plaisir. Célia se penche, et de sa langue pointue, se met à lécher le cul d’Amandine,
ce qui a pour effet, de faire ressortir sa croupe. Le chien, assis sous la table, suit la scène, approche son museau de la chatte de la jeune baronne.
« Oh oui…c’est bon de se faire lécher le cul… et vous... jamais vous vous faites fouiller ? »
En disant ça, Amandine lance un bras en arrière. La chatte de la douanière est aussitôt crochetée par deux doigts.
« Salope, soupire Célia. Vas-y… après tout, pourquoi on n’aurait pas le droit d’être fouillées… on a bien le droit à un peu de plaisir nous aussi ! Allez ma belle salope, branle moi…
bien profond… oui… petite pute… pour une baronne… tu te poses là ! »
C’est à celle qui maitrisera l’autre. Mais à ce jeu, la jeune baronne, novice, lâche prise devant l’expérience de la stagiaire black et va encore se soumettre à tous ses caprices. Le corps
d’Amandine ressemble à un pantin désarticulé sur les doigts qui la fouille.
Prise de violents spasmes, elle se prend les seins, en martyrise les bouts, demande si son clitoris est toujours décalotté, pour être
sure de bien se le faire doigter.
« Mais bien sur qu’il est toujours décalotté… tu ne sens pas le chien qui te le suce… Yu vas voir ma chérie… il va te le mettre en sang… tu vas être obligée d’y passer de la pommade
tellement qu’il va te cuire ! Allez, mets-toi à quatre pattes… Tu vas bien te le faire mettre maintenant… Un bon coup de queue dans la chatte, un dans le cul, et après, on
verra… »
Amandine regarde le chien assis sur son arrière train, elle remarque la bite en érection, le bout rouge, entièrement décalotté. Elle ne peut s’empêcher de passer sa langue gourmande sur sa
bouche. Amandine se fait prendre par tous les trous. De son côté, Célia, appuyée au bureau, se doigte violemment. Soudain, elle est attirée par un cri. Elle se retourne et voit Amandine couchée
en chien de fusil, cul à cul avec le berger allemand. Ils sont juste soudés par la bite de l’animal ancrée dans la chatte. Une énorme boule s’est formée dans les entrailles de la jeune
baronne.
« Ah, le salaud, crie Amandine, il n’en finit pas de sa vider les couilles… ah ! Ah ! »
Au bout de dix minutes, la saillie est terminée. Le chien se lèche le zob, tandis qu’Amandine, les bras en croix, reprend sa
respiration. Indifférente, Célia se rhabille, ignorant les cris de plaisir de la jeune baronne, qui se fait nettoyer la chatte pleine de mouille par le berger allemand. Le clitoris, déjà
endommagé, n’est pas épargné.
« Sale cabot… que tu es salaud… tu te régales de me voir jouir… tu sais ce qu’aime les femmes… enfoiré… tu fais ça à ta chienne… tu lui bouffes la cramouille comme tu bouffes la
mienne ? Tu la fais hurler de plaisir comme tu me fais hurler ? »
Célia ordonne au chien d’arrêter ses jeux pervers, demande à Amandine de se rhabiller, et de quitter la pièce. La jeune baronne obéit, dépitée, mais soumise… Cette expérience l’a anéantie de
plaisir et de honte… Elle regarde sa tortionnaire, et lui demande :
« Allons-nous nous revoir ? j’ai très envie de…
- Tss tss.. Pas un mot, c’est moi qui décide ! Tu sauras en temps et en heure….
- Bien Madame, j’attendrai… »
Elle finit de rajuster son tailleur hors de prix, et sort, la tête basse.
La douanière se tourne vers la caméra, et fait un « v » de victoire avec le majeur et l’index, puis appuie sur stop.
Elle remet la K7 à zéro, pour ajouter un petit mot à l’attention d’Amandine.
« Il dépend de toi que cette vidéo ne soit jamais diffusée. Soit obéissante à Maria, ta gouvernante ».
Merci Emile, on n'attend pas ce contenu....
Merci Jeanne, de ton enthousiasme ! nous raocnteras-tu un jour tes aventures ?
Le message est passé au principal auteur, l'Amoureux !
Provoque ta chance, on ne sait jamais... ;-)
Eh bien, quelle envolée lyrique ! j'en suis fort aise !
Merci Charlotte.. où en es-tu de tes experiences zoo ?