Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
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Bises libertines,
Sophie
Pressés de revivre de tels moments, nous revenons le lendemain.
Nous retrouvons Sandrine et Franck., Chris et Pauline sont quant à eux en visite dans un autre club car de sortie dans un autre club. Nous nous connaissons à peine et décidons de mieux faire
connaissance autour du buffet. Nous discutons un moment, découvrant que chaque couple a ses propres limites. Depuis, trois ans qu’ils sortent en club, ils aiment le mélangisme, et n’iront jamais
jusqu’à l’échangisme.
Je me demande quelles seront nos les limites à nous !
Au cours de la soirée, Sandrine et Franck saluent amicalement la plupart des nouveaux arrivants. Il y a parait-il un producteur de film X. Peut-être une blague…
Je danse un peu, puis nous décidons de monter dans les coins câlins. Nous nous installons sur le grand lit ouvert et commençons par un cunnilingus. Malgré les allers-venus des autres couples, mon
chéri parvient à me faire jouir. Ca y est, j’arrive a avoir un orgasme clitoridien en public ! Nous sommes en plein ébat quand Sandrine et Franck nous rejoignent.
« On a commencé sans vous ! »
Ils s’installent à coté. Nous avons quelques échanges.
Pour la première fois de ma vie, je touche des seins siliconés. Mais je préfère lui caresser le ventre, laissant mon mari masser sa poitrine tandis qu’elle prend son pied.
Puis, Franck me caresse également et m’embrasse la poitrine. Me faire embrasser la poitrine par un autre
que mon chéri est une sensation agréable. Je lui fais quelques caresses, mais je suis encore un peu hésitante.
Je ne sais pas encore où nous conduiront ces expériences. Ni quelles seront nos limites. Comme ces couples avec qui nous avons sympathisés nous contenterons-nous du mélangisme, ou irons nous
jusqu’à l’échangisme ? Découvrirai-je que je suis bi ? C’est un domaine ou il ne faut jamais dire jamais. Fort de nos expériences, mon chéri est moi avons assez de matière pour parler de ce
que nous cherchons. Il aime ces expériences mélangistes, et serait satisfait si nous développions cette pratique jusqu’aux jeux de bouche, sans que cela ne bascule dans l‘échangisme.
Je sais que pour l’instant je ne veux pas échanger. Je n’en vois pas l’intérêt. J’aime tellement faire l’amour avec mon chéri, mais le mélangisme avec jeux de bouche, pourquoi pas.
Tout en sachant que je préférerais bien connaître l’éventuel partenaire, j’aimerais retenter l’expérience
d’un trio. Mais comment trouver une personne pour ce genre de relation?
Les rencontres que je fais parfois sur les chats libertins, et les hommes seuls dans les clubs, n’on pas l’air d’enchanter mon chéri. Il suggère de laisser faire le hasard. Mais comment ?
Ce jeudi soir, nous sommes sans enfants. Notre club habituel étant fermé, nous décidons de nous rendre dans une discothèque « classique » près de chez nous. Il y a du monde, des gens de tous
âges.
La musique était vraiment détestable, et nous en plaisantons. Nous regardons toute les personnes qui nous entourent. Pas évident de « draguer » en couple dans une boite normale.
Nous squattons le bar. A coté de nous il y a trois jeunes hommes qui discutent avec une jolie fille. L’un d’entre eux danse. Nous nous amusons à le regarder s‘éclater sur cette musique
ringarde. Je m’assoie à coté d’eux, mon chéri me câlinant un peu. Je cherche une façon de les aborder. Au loin, je vois deux femmes d’un certain âge danser. Alors, avec humour je dis au garçon
assis à coté de moi :
« Il y a des femmes ici, vous devriez les inviter. »
J’ai droit à un petit rire. Après quelques plaisanteries, l’un des trois hommes nous demande si nous venons souvent. En lui expliquant la nature de nos sorties habituelles, nous nous rendons vite
compte qu’il fréquente souvent le même club que nous !
La soirée devient agréable. L’occasion du trio se présente peut-être. Je fais une danse avec lui pour faire connaissance. Il s’appelle Bastien et a déjà une certaine expérience avec les couples.
Cela me met en confiance.
Je n’avais pas imaginé qu’il serait si rapide de trouver quelqu’un qui nous convienne, et je décide de ne rien faire le soir même.
Nous décidons de rentrer et Bastien nous accompagne dehors.
« Tu es sure que tu ne veux pas ce soir ? »
Visiblement, j’ai bien l’approbation de mon chéri. Mais je ne m’attendais tellement pas à ce que l’occasion se présente si vite, que je ne suis pas sur d’être prête. Je préfère prendre un peu de
recul sur l’excitation que je ressens, je veux encore réfléchir pour être sur de ne pas regretter.
Au fond du parking, nous sommes tranquilles. Mon chéri excité se colle derrière moi. Il baisse mon décolleté pour laisser apparaitre ma poitrine devant notre nouvel ami. Bastien se baisse pour
m’embrasser les seins et sa main soulève ma jupe pour me caresser la cuisse jusqu’à l’endroit où, normalement, il aurait du y avoir une culotte. Il est surpris.
« Je n’en porte jamais. »
Nous nous donnons rendez-vous le lendemain dans notre club fétiche.
Le lendemain, au club, nous retrouvons avec plaisir nos amis Chris et Pauline. Quand ils sont là, la soirée
et toujours agréable. Les garçons discutent au bar en nous regardant danser. Une autre femme s’approche. Un peu coincée, je me laisse caresser. Bastien arrive, mais pas seul.
Cela posa un problème à Chéri.
Pourquoi est-il accompagné ?
L’excitation ressentie toute la journée a tout a coup disparu. Nous nous éloignons pour décider de la suite des événements. Bastien nous rejoint et explique qu’il sort d’un dîner entre amis et
que l’un d’eux s’est imposé mais va « vivre sa vie » indépendamment. Nous prenons un verre tous les trois pour détendre l’atmosphère, puis nous nous isolons derrière un paravent.
Je ne raconterai pas en détail nos ébats. C’était bien, la situation fut excitante, mais pas à la hauteur de ce que j’imaginais depuis la veille. J’ai eu du mal a me détendre complètement. Et
notre invité n’a pas été au mieux de sa forme à cause des effets de l’alcool. Et oui ! Quand on est libertin, il vaut mieux limiter l’alcool si l’on veut assurer…
Un peu plus tard dans la soirée, je danse sur la piste en regardant de loin mon chéri, quand un autre homme s’approche de lui. Il n’est pas bien grand, des cheveux bouclées lui arrivent sur les
épaules. Il a des poils plein le torse. Cela me plait. Je les rejoins.
Nous discutons et l’occasion d’un autre trio se présente à nouveau, mais je suis trop fatiguée. Nous
échangeons juste nos adresses MSN. Il est brésilien et s’appelle Renato. C’est un homme marié qui sort sans sa femme, elle adore écouter les récits de ses ébats. Je comprends, car quand mon chéri
me raconte ses expériences passées, c’est excitant.
Je discute un peu avec Renato et Bastien en MSN. Histoire de garder un contact au cas où se présenterait l’occasion de se revoir. Sur MSN, je suis « Flûte Enchantée » . Gothique, sexy et
romantique.
Et quand je sors, je l’indique sur ma page. Une idée que j’ai piquée à Chris et Pauline. Ainsi mes contacts savent où me trouver.
Nous savions que rencontrer quelqu’un de notre entourage nous arriverait un jour ou l‘autre. C’est chose
faites. Nous ne connaissons pas intimement Christelle et Frédéric, nous ne nous sommes rencontrés que deux ou trois fois à l’occasion de soirées entres amis. Nous ne pensions pas alors qu’ils
étaient le genre de couple à fréquenter ce milieu. Christelle est une belle femme. Je sais qu‘elle plait à chéri. Mais moi j’ai un peu de mal à me détendre. Ça ne me plait pas de mélanger ma vie
normal avec le monde libertin. Mais je décide de voir comment les choses se passeront.
Christelle nous raconte qu’elle a eu une expérience de trio avec deux hommes dans sa jeunesse. « Divin ! »
C’est le terme qu’elle emploie. Quand ils sortent, elle laisse parfois Frédéric aller avec une autre femme
qui lui plait. Il apprécie, évidemment. En somme, pour l‘instant, elle « sort » surtout pour lui faire plaisir, il me semble.
A l’étage, Christelle nous a invite à les rejoindre. Je n’en ai pas tellement envie, mais chéri qui l’a déjà embrassée à pleine bouche sur la piste de danse est des plus enthousiastes. Malgré
notre bonne humeur générale, j’ai du mal à me détendre, d’autant que Frédéric, pas bavard, ne manifeste que peu d’intérêt pour moi. Il est beau garçon, mais n’extériorise pas beaucoup. Il est un
peu effacé. Sans doute à cause de sa timidité. La seule chose qui me rassure, c’était qu’elle n’était absolument pas bi.
Nous faisons l’amour côte à côte. A un moment, Frédéric part satisfaire un besoin, et Christelle me demanda : « Je peux ? »
Et pendant, l’absence de son chéri, embrasse le mien tandis que je le suce. C’était un bonheur pour lui, il
adore embrasser. Un court instant, il a deux femmes.
Quand Frédéric revient, nous continuons un peu à nous mélanger. Chéri a passé une super soirée. Il adore le mélangisme. Je suis heureuse pour lui, mais il sent que ce ne fut pas aussi génial pour
moi.
Chaque nouvelle expérience engendre pour nous une discussion. C’est indispensable pour un couple libertin de parler. Échanger nos impressions, être attentifs et complices. Pour pouvoir continuer
à évoluer dans ce monde, il faut évidemment que les deux progressent en même temps.
Ce soir, Frédéric a manifesté moins d’intérêt pour moi que mon chéri pour Christelle.
Pour m’exciter, il faut plus qu’une belle gueule.
J’ai aussi besoin que l’homme se montre attentionné envers moi.
Il y avait du monde, mais la soirée sera pour nous plutôt calme. Aucune nouvelle rencontre.
Il y a un homme que je surnomme « la trompe » que nous voyons souvent. Nu, vêtu d’une simple chemise blanche ouverte. Il danse souvent près des femmes. Ses mouvements font balancer ses énormes
parties. Un phénomène !!!
J’ai envie d’exhibition et j’emmène Chéri bien en vue sur un lit en forme de cœur. Nous nous offrons quelques caresses préliminaires. Près de nous, « la trompe » et un autre garçon, nous
regardent en se touchant. Au bout d‘un moment, nous réalisons que plus personne ne nous observe.
Des cris retentissent depuis une autre partie du club. Adossée au bar sur un tabouret, Pénélope, une habituée, jouit sous les coups de langue d’une femme gothique. Je n’avais jamais entendu de
tels hurlements de plaisir.
Les femmes seraient-elles plus douées pour le cunnilingus ?
Les relations lesbiennes ont toujours excité les hommes, et tous entourent les deux excitées. Impossible de
rivaliser avec un tel spectacle !
La soirée se termine en douceur. Nous finissons toujours par discuter un peu avec le DJ. Je le trouve très sympa, gentil et plein d’humour. Il a un super sourire avec des fossettes. Il avoue
avoir beaucoup apprécié notre prestation sur le gros cœur.
Notre exhibition aura finalement profité à quelqu’un.
De leur côté, Chris et Pauline multiplient les expériences dans différents clubs et nous font part de leurs
impression. Un établissement me parait bien mais un peu loin, d’autres se veulent plus échangistes, il y a des saunas, il y en a même un avec des travestis.
Les débuts de soirée sont toujours calmes, le temps que l’ambiance se mette en place. Nous dansons. Je suis de plus en plus a l’aise à la barre verticale. A un moment, nous dansons à quatre. Des
baisers sont échangés. Les mains se baladent sur nos corps. Ce jeu très excitant se poursuit dans un coin salon.
Nous commençons par faire l’amour côte à côte, les mains créant des ponts entre les deux couples. Franchissant un pas dans le mélangisme, nous nous laissons aller à toucher et embrasser le sexe
de nos maris, allant jusqu‘à leur offrir tour à tour ce dont tout homme rêve… une fellation à deux bouches.
Nous sommes de plus en plus « emmêlés » quand le patron du club vint à regret nous interrompre vers quatre heures du matin, heure de la fermeture.
« Mais vous avez une camionnette ? » demande Chris.
La situation est comique mais très excitante. Alors que chacune d’entre nous fait découvrir au mari de l’autre ses talents de suceuses, le même patron gêné et amusé vient frapper à la
vitre :
« Désolé, mais je dois aussi fermer le parking ! »
C’est donc sur le bord de la route que nous refaisons l’amour côte à côte avant de nous quitter.
J’ai une collègue, plus jeune, avec qui je m’entends très bien. Nous nous confions tout nos ébats sexuels en travaillant. Les conversations étant excitantes, on peut dire qu’elle a contribué à
mon épanouissement personnel. Depuis que nous sortons en club, Marine semble très intéressée pour venir avec nous. Mais les garçons de son âge ne semblent pas vouloir l‘accompagner dans ce genre
d’endroit. Les jeunes auraient-ils une image déformée des clubs libertins ? Elle a beau leur exprimer ses envies, rien n’y fait. Alors devant son désir de découvrir ce lieu, nous lui
proposons de l’emmener avec nous et de veiller sur elle.
J’avais remarqué la semaine précédente une femme dansant sur la piste. Elle était un peu forte, mais avec sa nuisette qui mettait en valeur sa forte poitrine et son chapeau, elle était
magnifique. Elle bougeait super bien. On ne voyait qu’elle et c’était très agréable de voir que l’on est pas obligé de faire une taille mannequin pour être désirée par les hommes.
Cette petite anecdote fut ce qui persuada Marine car elle s’imaginait qu’il n’y aurait que des femmes parfaites.
Les discothèques libertines sont différentes des autres. Ils n’y a pas de clan, les gens se parlent plus facilement. Les garçons sont moins timides. Pas de rivalité. Plus d’hommes que de femmes,
mais ce sont elles qui décident, les hommes respectant leurs désirs. Ces endroits sont très érotiques, puisque les femmes s‘habillent comme elle ne l‘oseraient jamais ailleurs, en se mettant en
valeur. C’est très agréable pour une femme de se sentir belle et désirable.
J’aime comparer les libertins à des bonobos. Pendant que les chimpanzés, dirigés par des mâles dominants, se disputent violemment la nourriture, les territoires et les femelles, les bonobos, eux,
dirigés par les femelles les plus expérimentées, font l’amour pour apaiser les tensions.
Ce soir là, il y a pas mal de monde. Quelques jeunes hommes. Bien sur, tous sont plus vieux que Marine qui n’a que dix neuf ans. Néanmoins, elle en a déjà remarqué certains qui lui plaisent.
La femme au chapeau est présente.
Au début, Marine est un peu timide, plutôt impressionnée. Mais après deux verres, plutôt douée, elle se met à danser à la barre. Les hommes la regardent.
Pendant ce temps, nous discutons avec Chris et Pauline. Chéri et moi avons décidé d’être sages afin de garder un œil en permanence sur Marine. Pendant qu’elle danse, je m’approche d’un des
garçons qui lui plaisent, pour lui pour dire qu’il a toutes ses chances. Marine ne tarda pas a se retrouver dans un coin de la discothèque avec le garçon en question et son copain. Le copain a la
tête entre ses jambes tandis qu’elle suce l’autre. C’est son premier trio.
Dans les coins câlins, nous perdons vite Marine de vue. Très à l’aise, elle enchaine les relations avec les garçons qui lui plaisent. Je vais voir plusieurs fois si tout ce passe bien. Marine
maîtrise parfaitement la situation, n’hésitant pas à envoyer promener ceux qui ne sont pas à son gout. Je suis très heureuse pour elle. Je savais qu’elle avait envie d’aller plus loin que les
relations « classiques ». Elle est née Libertine. Mais au fond, je pense que toutes les femmes le sont…
Dans la discothèque, il n’y avait plus grand monde. Chris et Pauline sont partis et la grande majorité des gens est dans les coins câlins.
La femme au chapeau danse. Son mari assis sur un tabouret de bar la regarde et nous en faisons autant. Un homme en serviette s’approche pour me parler. C’était un homme noir très bien fait. Il
est sportif professionnel. Après quelques échanges, il me caresse doucement. C’est très excitant. Je lui touche le sexe, puis il se baisse pour me lécher le mien. La femme au chapeau semble
intéressée par Chéri. Elle nous proposa de monter et j’emmène mon sportif avec nous.
Nous nous installons dans sur un lit entouré de glaces. Je me mets loin de l’ouverture, car je n’aime pas que les hommes qui regardent, puissent me toucher. Cela ne gêne visiblement pas la femme
au chapeau, puisque qu’un autre homme s’invite. Chéri me fit l’amour en caressant sa belle poitrine, et je suce en même temps mon sportif. Je suis sur le dos, le mari me caresse aussi en se
faisant sucer par sa femme, l’intrus lui faisant l‘amour.
Étant près de l’entrée plein d’hommes la caressent. Je suis heureuse de ne pas être à sa place. Le contrôle
est difficile. C’est la raison pour laquelle je préfère les relations en bas, quand « les mouches » sont en haut.
Ce fût pour nous une nouvelle expérience. Un mélange de triolisme et de mélangisme.
L’heure de fermeture approchant, je me demande où est Marine. Je fini par la croiser dans les couloirs des coins câlins, je lui signale qu’il reste un quart d’heure. Elle veut encore avoir une
relation avec un jeune homme que je trouve très mignon.
Jerry est un habitué que je n’avais pas encore remarqué.
Elle eut durant de la soirée quatre partenaires et beaucoup plus en fellations. Il m’a fallut une douzaine de soirées libertines pour commencer à être à l’aise et vraiment détendue. Marine une
douzaine de minutes.
Ce qui prouve que tout le monde est différent !
Certaines comme moi, préféreront progresser lentement.
D’autres sauteront à pieds joints dans le libertinage…
Elle a bien raison d'y aller à sa vitesse. Ainsi, elle n'est contrainte à rien !
Je pense comme toi, car c'est un domaine où l'on doit rester totalement libre, sans contraintes...
Mais tu peux les vivre en tant qu'homme...
Ils savent comment bien profiter de leur vie sexuelle...
Et tu vas avoir plein de plaisirs, car l'histoire est encore longue !