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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Femme
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

La semaine dernière, j’ai eu un pépin mécanique avec ma voiture. Je me suis rendue en urgence dans mon garage habituel, dirigé par un ami. J’ai l’habitude de le payer « en nature », mais pas ce que vous imaginez, bande de vicieux… Je lui fais une heure de secrétariat, contre une heure de mécanique. Ca nous arrange tous les deux.

 

Mais vendredi dernier, pas de Greg. Un autre homme est là. A mes interrogations, il me répond que mon copain a du partir en France, et qu’il ne sera pas là quelques jours. Comme ils viennent de s’associer, il assure le remplacement. Il me dit se nommer Olivier.

Je ne peux m’empêcher de le regarder en coin. C’est un bel homme, aux bras musclés comme je les aime. Les bras comme ça m’ont toujours attirée ! Il me dit qu’l faut changer les supports moteurs. Et il envoie son apprenti les acheter chez le revendeur.

Il se tourne vers moi et me dit : « Greg m’a parlé de votre petit arrangement…

- Ah bon, il t’a raconté ça ?

- Oui, comme on ne peut pas se payer une secrétaire, c’est une bonne chose.

- Oui, je sais. D’ailleurs, si tu as un job à me faire faire… Donne-moi les consignes. »

 

Il semble embarrassé. Il ne peut pas rougir, il est noir…

« Disons que pour ce matin, je n’ai rien pour toi… Par contre, Greg m’avait caché quelle belle femme tu es…

- Tu es trop gentil, je suis comme les autres…

- Non, tu es très belle, et j’ai toujours rêvé de coucher avec une blanche… »

 

Les créoles ici sont toujours très directs…. Ces quelques mots sans équivoque ont immédiatement allumé un feu dans mon bas-ventre. Une chaleur me prend, et je sens une humidité naissante imbiber mon string.

Sans hésiter, je m’approche de lui, lui saisis la nuque, pour l’embrasser à pleine bouche. Il me rend un baiser passionné, puis me repousse. Je reste bouche bée ! En fait, il veut juste se laver les mains….

 

Il m’entraine dans un recoin du garage, où dort une vieille 404. De ses bras si puissants, il me soulève et me bascule sur le capot. D’un geste autoritaire, il écarte le string humide et enfourne son pouce tout en attaquant vigoureusement mon clito. Le plaisir à l’état pur ! Il bande tellement, que je vois un gros gland brun sortir de la ceinture de son bleu. Il se courbe et me pénètre de sa grosse langue baveuse. Il me lèche partout, pointe sa langue dans mon petit trou, il me dévore comme si sa vie en dépendait… Il grogne parfois : « Mhumm, putain, c’est bon une chatte de blanche, c’est doux, c’est lisse, ca sent bon… J’aime ta moule claire… je veux la bouffer toute ma vie… »

 

Sous un tel traitement, il ne me faut que quelques trop brèves minutes pour jouir dans sa bouche, et exploser dans un grand cri qui résonne sous les tôles du garage… Le temps d’un éclair, je me dis que tout le voisinage doit être au courant !!!!

Il se relève, le visage éclaboussé de ma cyprine, et vient à nouveau m’embrasser à pleine bouche. J’ai le gout sucré salé de ma chatte sur mes lèvres… J’adore ces baisers profonds, gourmands, où l’on peine presque à respirer… Ca m’excite à mort. Il sort sa bite, impressionnante, je dois bien dire. Je veux le branler, mais il refuse : « Doudou, j’ai trop envie de te baiser, ta chatte me fait trop envie.

- Fais comme tu veux, baise-moi, j’ai envie de ton gros pieu ! »

 

Il est massif, assez long, sans doute vingt centimètres mais très large, il en fait à peine le tour avec ses doigts. Je me cale contre le pare-brise, ouvre mes jambes en grand, prête à l’assaut. Je le veux brutal, pour une fois. Je suis vraiment assoiffée de sexe ! Il pose un genou sur le capot, et appuie son gros gland violacé contre mes lèvres. D’une forte poussée, il m’enfile le formidable engin. Il cogne au fond, me faisant crier de douleur. Je ne m’attendais pas à une telle pénétration ! Mais la douleur passe vite, et il me lime à fond, ses couilles butant contre mon petit trou… Il me besogne à fond, comme j’aime.

D’un coup, je sens une présence !

Mon instinct ne m’a pas trompée : c’est le jeune apprenti qui est là, les pièces à la main, les yeux exorbités… Je lui fais signe : « Approche, viens sucer mes seins… branle mon clito... »

 

Comme un automate, il obéit, avance, soulève mon haut et aspire un tétin durci. Il les tête comme un bébé le sein de sa mère. Il a laissé tomber les pièces détachées au sol, et branle mon clito quand la grosse queue d’Olivier lui laisse la place. De son autre main, il sort sa jeune bite, plus petite que celle de son boss, et se masturbe avec application…

 

J’ai pitié de lui, et entreprend de le branler. Il n’en peut plus, il jouit très vite dans ma main. Alors, je lui donne mes doigts à lécher… Il faut bien qu’il nettoie ce qu’il a lâché dans ma main !

 

Ensuite, je lui ordonne de lécher mon petit bouton, entre deux coups de queue. Je vois bien qu’il lèche aussi la racine de la bite qui me pilonne… Cette vision me fait jouir encore plus fort que tout à l’heure. J’explose en hurlements, tandis qu’Olivier, surexcité, lâche son foutre dans ma chatte martyrisée… Le jeune apprenti en prend plein la bouche aussi !!! Il grimace, mais n’ose rien dire…

Je lui ordonne : « Lèche, nettoie le sperme de ton patron. Après tout, tu es apprenti, tu es là pour apprendre ! »

 

Il me regarde d’un air de chien battu, mais obtempère… Sa langue est douce,  timide, mais efficace… Olivier nous regarde, sa bite bande à nouveau de façon insolente.

Il s’approche de moi, et je finis de le faire durcir en le branlant assez fort. J’ai peine à le contenir, tant il est épais ! Au moins autant qu’une cannette ! Il s’adresse au jeune : 

« Tu veux une bonne appréciation pour ton stage ?

- Oui, Monsieur, bien sur.

- Déjà, tu auras la moyenne, tu as bien donné du plaisir à Madame.

- Merci, Monsieur.

- Mais si tu veux plus, suce-moi ! »

 

Le jeune a soudain l’air désespéré… mais je l’encourage, je lui dis doucement qu’il va aimer, que je le branlerai aussi…

L’apprenti s’assied sur une chaise, sa tête est juste à la hauteur du mandrin immense. Il commence à lécher le gland, s’enhardit, suce la grosse pine sur toute sa longueur… Je le branle, je malaxe sa jeune bite, qui durcit très vite. J’ai sous mes yeux mon spectacle préfère : un homme qui en suce un autre… L’apprenti prend de l’assurance. Il pompe de plus en plus fort la queue d’ébène. D’une main, il malaxe les grosses couilles déjà pleines, et de l‘autre, vient à tâtons titiller mon clito toujours humide. Une fois de plus, je jouis sous les doigts pourtant malhabiles. Je retombe assise, exténuée, mais les yeux rivés sur la bouche qui pompe avec entrain le pieu massif. Il en avale plus de la moitié !

 

Olivier gémit, crie, et finit par se répandre dans la gorge juvénile. Le foutre coule sur le menton du jeune… Nous nous regardons, un peu effarés par l’ampleur qu’a prise cette séance de baise improvisée…

Olivier reprend la parole le premier :

« Ben ma belle, tu es une sacrée baiseuse… Et tu sais y faire avec les petits jeunes ! On recommence quand tu veux ! Je répare ta voiture à vie gratos !!! 

– Moi aussi, je veux bien faire tout ce que voulez, Madame, dit le jeune d’une petite voix…

- Même sucer des hommes devant moi ?

- Tout ce que vous voulez, pourvu que je vous baise aussi… »

 

Je vous assure que ce n’est pas tombé dans l’oreille d’une sourde ! Ils m’ont réparé ma voiture, mais nous n’avons pas pu recommencer, des clients arrivaient…

 

Dommage, mais je sais que ma voiture va avoir très vite besoin d’une réparation !!!!

Par Sophie de R. - Publié dans : Mes expériences vécues - Communauté : Fantasmes & plaisirs
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