Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.
Mes récits sont protégés par e-auteur.com
Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !
Bises libertines,
Sophie
En proie à une certaine détresse sentimentale depuis plusieurs jours, déprimé, je me dirigeais vers le temple de Kaheme. Des amis m'avait parlé de ce nouveau temple et de cette nouvelle religion un soir, où ivres, nous refaisions le monde. Ils n'en savaient pas grand-chose, à dire vrai. Piqué par la curiosité et avide de nouveauté, je me dirigeais d'un pas nonchalant vers l'endroit qu'ils m'avaient indiqué, marchant dans les rues baignées de soleil et bondées de Ranipat, évitant à grand peine les voitures, piétons, vélos et autres motocyclettes pétaradantes. Approchant de l'adresse, je vis une fumée grasse s'élever de l'endroit indiqué.
« Peut-être un sacrifice, » pensais-je...
La porte était en bois massif sculpté de motifs inquiétants, têtes de sanglier, griffons, sabres, têtes grimaçantes et odieuses. Bigre !
Je poussais la lourde porte et pénétra dans une pénombre fraiche, envahie de fumée d'encens, traversée de rayons de lumière descendant des faibles ouvertures pratiquées dans le toit. Au milieu, se dressait un autel massif de pierre couvert de fleurs orange. Une prêtresse se trouvait devant debout, immobile, tendant haut ses bras, et semblait en pleine méditation. Quelques banquettes basses étaient disposées à travers la pièce. Immobile, je m’imprégnais doucement de l'ambiance, lorsque je sentis une main se poser sur mon épaule. Je me retournai, et me trouvais face à un grand baraqué imposant et sévère.
« Etranger, vous ne pouvez pas rester ici.
- Je ne savais pas.
- Seuls les initiés ont le droit d'assister aux incantations sacrées...
- Initiez-moi… »
Le colosse me considéra avec méfiance et me jaugea un long moment.
« L'initiation est difficile mais possible.
- Parfait ! Que dois-je faire ?
- Suivez-moi… »
Sa main puissante me pris le bras et m'entraina dans une autre pièce plus sombre encore mais tiède. Il m'abandonna alors brusquement sans un mot.
Je restais un moment sur place essayant d'acclimater mes yeux à l'obscurité. Tout à coup deux mains se posèrent sur moi, elles étaient douce, chaudes, féminines. Elles commencèrent par déboutonner la chemise, puis me caressaient en long moment le torse, elles me déboutonnèrent ensuite mon pantalon, firent descendre mon caleçon, et ôtèrent habilement mes chaussures, mon pantalon, et tous mes sous-vêtements.
Pendant ce temps, quatre autres mains s'étaient posées sur mon corps et me caressaient voluptueusement le dos, les jambes, le ventre... Mes yeux commençaient à percevoir des formes. Je vis alors apparaitre trois femmes, les cheveux longs, portant un léger voile sur leur hanche, le torse dénudée, laissant voir de magnifique poitrines.
Je faillis défaillir à la vue de cette sensualité tranquille et apaisée. Leurs mains me caressaient toujours, de plus en plus insistantes et voluptueuses. J'étais dans un état second lorsqu'elles me dirigèrent vers une banquette où une toute jeune femme se trouvait allongée. Sans ce que réalise vraiment, je me retrouvais brutalement la tête plongée entre ses jambes.
Je commençais à lécher les cuisses et le ventre de cette délicieuse créature. Ses mains agrippèrent mes cheveux et plaqua ma bouche sur son petit bouton. Je me mis alors à lécher ses lèves et son clitoris longuement, patiemment, en douceur puis de plus en plus rapidement et fort. Elle commençait à pousser des gémissements et tout à coup se tordit de plaisir en me rejetant. Elle se retourna derechef pour offrir à ma vue son cul. Une des trois femmes assistant à la scène empoigna mon sexe dressé et le dirigea vers son petit trou; une autre complice versa de l'huile parfumée sur le cul de la jeune femme et le massa un moment, puis commença à lui enfiler un doigt dans son petit tour afin de faciliter le passage.
La suite n'est qu'un long rêve pendant lequel, après l'avoir sodomisé un long moment, je me retirai juste avant d'éjaculer. Deux langues vinrent alors me lécher le gland et je giclais abondamment sur ses fesses.
La suite n'est plus très claire dans mon esprit. Je me souviens seulement que je me suis retrouvé plus tard dans la rue, débraillé, souriant et las. Déambulant dans les rues toujours baignées de soleil, je passais devant une vitrine composée de larges miroirs. Je m'examinais machinalement afin de savoir si je devais rentrer chez moi pour me resaper, inspectant mon allure général puis mon visage.
Tout à coup mon regard fut attiré par un bouton de couleur sur mon front. Je portais un petit bouton violet. Le bouton des initiés...
Oui, et j'espère qu'il y aura une suite...
J'espère que l'auteur la redigera... Moi aussi, je veux savoir la suite !
Et moi donc... j'attends aussi une suite...
Si l'auteur nous lit... il sait qu'on l'attend tous avec impatience !
Il faut que l'auteur écrive la suite !