Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.
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Bises libertines,
Sophie
Comme je l'avais demandé, certains lecteurs du blog ont écrit des suites des récits publiés ici. Alain nous fait l'honneur e le grand plaisir de nous offrir sa suite à "La JAP", deja publié ici-même...
La porte de la prison se referme avec fracas derrière Céline. Le bruit sourd se mêle à la voix de Lise qui résonne encore dans son esprit.
L'espace d'un instant, elle se revoit, plaquée contre le mur, avec le corps de Lise contre elle, sa langue qui se colle à la sienne, les doigts de la jeune femme qui la pénètre jusqu'au plaisir.
Son cœur s'emballe, elle tressaille, titube sous la force du souvenir, puis se redresse. Elle chausse ses lunettes de soleil pour se donner une contenance, et marche vers sa voiture.
Chasser ce souvenir, ces promesses imprudentes... ou la retrouver au plus vite, jouir encore, transformée en jouet docile...
Un homme la croise, lui sourit d'un air entendu. Elle marche toujours, perplexe, s'installe au volant, retrousse machinalement sa jupe pour être plus à l'aise. Et, brutalement, c'est
l'éblouissement. Elle tâte fébrilement sa poche à la recherche de la petite culotte qui doit s'y trouver... Rien... Elle imagine la transparence de sa jupe légère, révélée par les rayon du
soleil, à contre jour.
Sa main glisse le long de l’intérieur de sa cuisse, là ou la peau est si douce... Et cette caresse l'entraine inexorablement vers le plaisir, vers ses petites lèvres humides encore de souvenirs.
« Je suis toute trempée, je vais tacher ma jupe, se dit-elle, les joues en feu. Mais pas le temps de retourner à la maison... Je dois aller au tribunal. Tant pis ! C'est la première
fois que je vais aller travailler sans culotte. »
Elle imagine la tête de Laurent, son greffier, jeune blanc-bec au visage d'ange, ou de Séverine sa secrétaire, très BCBG et sûrement coincée du cul..
Elle sourit. Ce n’est pas marqué sur mon front, après tout, non mais !
Mais lorsqu'elle effleure de sa main libre le levier de vitesse, empoigne le pommeau gainé de cuir à pleine main, pour démarrer, un souffle de désir l'envahit à nouveau . Il est toujours là, qui
monte, comme une vague, s'insinue en elle.
Feu rouge. S'arrêter... Elle ferme les yeux. Bien à l'abri derrière ses paupières, elle se voit, empalée sur le levier de vitesse, le chevauchant avec vigueur, les parois
brulantes de son sexe épousant le métal froid et ce contact qui l'électrise, allume des étincelles qui la soulèvent de son siège. Elle va jouir, hurler de plaisir... puis parvient à se
reprendre.
Stopppp !! Je deviens folle… Quelle journée ! Elle démarre brutalement, manquant de renverser un piéton, qui lui fait un doigt d'honneur...
Dans son regard, le souvenir de Lise continue à danser, l'accompagne tout le long du chemin.
Sous-sol du palais de justice, emplacement réservé. Elle craque encore.
Une jambe relevée et le pied posé sur le siège, sa main glisse de nouveau sur sa cuisse, impatiente cette fois ci, Son index effleure le petit "ticket" de poils ras, écarte les lèvres humides et
gonflées de plaisir. Elle soupire, les caresse comme une folle. Elle a envie de la langue de Lise, de sa langue qui presse son petit bouton tout fier, qui pénètre entre ses lèvres et la baise
jusqu'à ce qu'elle se soulève et explose encore.
Mais soudain, la sonnerie grêle de son téléphone fait retomber la température de vingt degrés. Elle tend son autre main, qui quitte à regret la courbe d'un sein pour l'allumer, mais elle se
caresse toujours..
C'est Séverine, sa secrétaire, qui s'inquiète. Elle a repoussé son rendez-vous. D'une voix blanche, la juge la remercie, lui annonce son arrivée prochaine et coupe brutalement. Elle regarde
fixement l'objet mince et délicat puis posément l'approche de sa fente entrouverte. Il glisse sur la peau humide, pénètre facilement, lentement. Elle le retire puis l'enfonce à nouveau, plus
profondément dans son sexe qui s'ouvre pour l'accueillir, attentive aux sensations qui l'envahissent.
« Hâte-toi lentement, dit-elle à son plaisir. Je t’attends, mais viens vite... »
Elle jouit après avoir prononcé sept fois cette incantation.
A quelques étages de notre juge, dans une pièce réservée aux archives, la secrétaire de la JAP repose son téléphone. Elle a perçu ce drôle de trouble dans sa voix, mais n’en souffle mot. Elle se
tourne vers Théo, le jeune greffier qui complète l'équipe.
« Je crois que notre petite juge va nous laisser tranquille un moment…
- Ca tombe bien, non ? ajouta-t-il en souriant d'un air complice.
- Je vois que tu n'as pas oublié depuis hier... Tu as raison, c'est l'heure de mon thé au lait. »
La veille, ils avaient entamé une ébauche de relation sexuelle torride, mais avortée par l’arrivée d’un juge.
Il rougit fortement, sans la quitter des yeux. Elle s'était levée, et, lui tournant le dos, retirait sa veste de tailleur. Elle la posa soigneusement sur le dos d'une chaise avant de quitter sa
jupe d'un geste souple.
Penchée en avant, les fesses tendues vers le jeune homme, elle la défroissait de la main après l'avoir posé sur sa veste. Séverine, la secrétaire, prenait tout son temps, laissant son esprit
imaginer le regard brûlant de Théo descendant le long de son corset jusqu'au bas de ses reins, s'attardant sur sa croupe tendue, puis glissant sur ses jambes gainées de bas gris bleus. Elle
entend son souffle court, elle le sent qui s'approche, la bosse dure heurter ses fesses.
« Celui-là, au moins il bande », se dit-elle en fermant les yeux pendant qu'il l'enlaçait.
A tâtons, sa main cherchait le contact de la bite toute raide sous le pantalon. Elle se frottait contre l'homme, s'était cambrée lorsque les doigts impatients du jeune homme avaient dénudé ses
seins qu'il pressait maintenant comme des fruits murs
Il joue avec eux, énervant les pointes dressées, qu'il pince, qu'il frotte fermement avec la paume de la main.
Séverine se laisse aller, emportée par le désir et le plaisir qui se mêlent. Elle a glissé une main dans sa petite culotte et se caresse, les doigts se perdant dans les milles plis de ses petites
lèvres gonflées, dans sa fente humide et brulante que nulle toison ne vient masquer. Elle a très envie de brusquer les choses, de sentir sa queue remuer en elle, de la sucer en se caressant comme
une folle. Mais aussi très envie de jouer avec toutes ces envies qui la pénètrent et l'envahissent.
Théo a abandonné ses seins meurtris, durs et douloureux, baissant la petite culotte qu'elle porte et, maintenant, il lui donne de petits coups sur ses fesses plantureuses. Il les regarde balloter
au gré des secousses, qui rosissent petit à petit. Elle halète, mouille comme une folle, toute serrée lorsqu’ils glissent ses doigts dans sa fente offerte. Elle va jouir, elle est au bord...
Cette femme à la quarantaine austère l'excite terriblement, et d'abord surpris de sa bonne fortune, il entend bien joindre l'agréable à l'utile.
C’est le moment de sortir sa bite et de la baiser, elle ne demande que cela, cette garce...
Sentir les doigts de l'homme se retirer avant qu'elle ne jouisse provoqua en elle comme un électrochoc... elle s'en voulait d'avoir été tout prêt de céder aussi facilement... Elle le repoussa
violemment, pour s'assoir sur la chaise.
Théo restait les bras ballants, presque confus, cherchant à lire une explication, dans le regard de Séverine. Elle finit par lui faire signe de s'approcher. D'un geste précis, elle extirpa la
bite et se penchant, fit coulisser ses lèvres le long du membre long et mince, au gland à peine dessiné jusqu'à le prendre presque en entier dans sa bouche… Puis elle le libéra lentement, sans
relâcher la pression des lèvres, la langue frétillant le long de la tige raide.
La bouche sèche, il se concentrait pour ne pas se lâcher trop vite. Mais comment résister longtemps alors qu'elle lui mordille le gland en le suçant puis se redresse pour le branler
énergiquement, le petit doigt en l’air, son autre main plongée entre ses cuisses ouvertes largement.
Leurs regards se rencontraient, se heurtaient, se frottaient l'un contre l'autre, lascivement, se pénétraient. Elle avait calqué le mouvement de ses doigts sur son clitoris par rapport à celui de
sa main enserrant la queue de Théo.
Il haletait de plus en plus, gémissait sourdement, comme elle.
Soudain un ongle griffa la peau délicate de son petit bouton. Elle poussa un petit cri, bref orgasme discret, secret, qu'elle enfouit en elle.
« Juste à temps se dit elle, en recueillant les giclées épaisses dans sa tasse de thé avant de l'avaler cul-sec, enfin pas vraiment, mais avec satisfaction… » Ca change de la crème habituelle !
Toute la tension était retombée... Rideau de fin. Ils se reboutonnèrent en silence. Comme si de rien n'était, Séverine attrapa deux dossiers et déverrouilla la porte du local des archives et de
la machine à café.
Une avocate, la robe noire au vent sortit de l'ascenseur, juste en face de la porte et s'engouffra dans la pièce qu’ils venaient de quitter. L’ascenseur se referma lentement
« La prochaine fois, vous me baiserez monsieur le greffier… Znfin , si tel est votre bon plaisir », lui chuchota Séverine.
Sur la porte d'en face, une affiche avait disparu rapidement :
« Pause café... un moment de plaisir partagé ! »
Entièrement d'accord avec vous !
Le message est transmis à Alain.. je l'espère de tout coeur...