Sophie, marquise de
R.
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Bises libertines,
Sophie
J'étais là comme l'homme à tout faire. Lors d'une journée de tournage il y a toujours besoin d'un ange gardien pour subvenir aux imprévus et aux aléas, de la logistique à l'accueil des figurantes. Depuis huit heures du matin, je n'arrêtais pas. L'avantage, c'était que j'avais le pass pour aller partout, passer de la scène aux coulisses, en passant par les loges, le parking et partout où ma présence était ponctuellement indispensable.
C'était une scène de concert, et la majorité de la figuration présente pour remplir la salle était constituée de jolies jeunes filles à la tenue sexy et à l’œil malicieux. Mais je n'avais pas le temps de flirter ni de séduire qui que ce soit, à peine avais-je le temps de les accueillir et de les guider dans le Zénith, que l'on m'appelait ailleurs. Mon seul plaisir était de conduire les actrices et les danseuses dans les loges maquillages et habillages. La plupart de temps, elles étaient remplies de jeunes filles en petites tenues que je matais allègrement sous la chaleur étouffante des spots, et en échangeant quelques regards complices.
A mesure que la scène - du concert - prenait forme, et que la foule des figurantes sexy, se massait au bas de la scène, on se rapprochait du clap du tournage, ce qui voulait dire pour moi un peu de répit. J'allais enfin pouvoir prendre quelques photos, car en tant qu'homme à tout faire, j'étais aussi photographe de plateau. Grimpant sur la scène, j'avais la place idéale pour photographier les figurants, et derrière le viseur de mon appareil photo, défigurer au plus près l'érotisme de chacune.
Parfois, quelques regards s'échangeaient, laissant présager la possibilité d'une étreinte. Mais j'étais ici pour travailler avant tout, le temps nous était restreint, et je ne pouvais me laisser aller à la rencontre de ces demoiselles dans mon viseur, même si leur yeux me demandaient de venir. C'était aussi l'endroit idéal pour plonger mes yeux dans les décolletés plus ou moins érotique.
Je ne pouvais pas occuper la scène trop longtemps, le tournage aller débuter. Je me dépêchai pour bouger pour continuer à shooter la foule, mais cette fois si pour le film. La musique jouait fort des accords de hard rock des années soixante-dix, et la foule explosait comme le souhaitait le réalisateur. J'avais les muscles tendus et le corps en sueur, je savais qu'ainsi, je n'avais rien d'excitant.
Alors, je décidais d'aller me poser un peu, assis dans un coin pour profiter de la scène comme un spectateur en direct. Je me rappelai soudain les paroles d'une amie dont la sœur connaissait la maquilleuse qui travaillait sur cette scène, et dont il se disait que c'était une cochonne.
Je n'ai jamais eu l'occasion de baiser avec une cochonne, et cette idée me traversa l'esprit. Surtout que je l'avais vue dans la loge, et j'avais été séduit par cette rousse aux cheveux longs, mince et discrète. Mais je ne pouvais me débarquer auprès d'elle en lui disant : « Alors c'est vrai que t'es une cochonne ? »
C'est même plutôt rare que l'on emploie « cochonne » comme adjectif pour désigner une fille. De nos jours, il me semble que la salope, voire la pétasse ou la pute, est bien plus répandu, et cette idée que cette fille soit cochonne excitait ma curiosité autant que ma bite.
Il me fallait un prétexte que j'ai rapidement trouvé. J'allais dans la loge où elle se trouvait en prétextant avoir quelque chose dans l'œil. A vrai dire, c'est derrière la tête que j'avais une idée. Elle me demande de m'installer sur le siège où venaient se faire maquiller les actrices, j'avais les spots dans les yeux qui m'éblouissaient, et elle est venue se poser entre eux et moi, à quelques centimètres de mon visage pour ausculter mon œil.
Je sentais son souffle frémissant sur mes lèvres, elle posa les mains sur mes épaules. Elle avait passé la mâtinée à flirter, effleurer tous ces corps de jolies filles et de mâles. Cela ne devait pas la laisser indifférente. Elle posa une autre main sur mon visage pour écarquiller mon prétexte oculaire. J'étais en sueur, et dans ma tête, je n'arrivais pas à savoir si pour une femme, je représentais une chose dégoûtante, ou si j'étais un nuage de phéromone très attirant attisant les sens et les pulsions charnelles de cette fille !
Quand nos lèvres s'effleurèrent, et qu'elle laissa ma langue glisser dans sa bouche mon avis était fait. J'attrapais sa taille fine et légère pour qu'elle s'assoie sur mes genoux. Dans ce face à face intime, ce baiser était torride, débridé, sa langue virevoltait entre mes lèvres. Moi, je dégustais ses lèvres parfumées par son maquillage. Je caressais sa nuque, ses épaules osseuses, et je glissais mes mains le long de ses flans minces et fermes pour arriver jusqu'à sa taille de guêpe.
Tout cela se passait de parole. Elle était avide sans être affolée, et j'aimais sentir sur moi ses mains caresser mon corps, mon torse, ma tête rasée, mes épaules. Ses caresses étaient fermes, douces mais intenses, elle ne caressait pas simplement ma peau, mais elle savait caresser en profondeur mes désirs érotiques et mes pulsions sexuelles.
Nous avons été interrompus dans ce baiser intense par une figurante qui venait faire retoucher son maquillage. Je ne savais même pas le nom de cette cochonne qui, un instant avant, se pendait à mon cou en me laisser lui dévorer la bouche. Pendant qu'elle reprenait le maquillage de la demoiselle, la figurante a eu une réflexion plutôt flatteuse, du genre « Eh bien tu ne t'embête pas ! »
Ou : « Tu as choisi le bon ! », je ne sais plus. Elle est repartie en nous faisant un clin d'œil. Je m'étais levé, et j'attrapais ma maquilleuse par derrière, plaquant son bassin contre moi, qu'elle puisse sentir à travers mon short l'intensité raide de mon érection. Elle se mit à onduler et frotter son cul contre mon sexe, j'en profitais pour remonter les mains vers sa poitrine plutôt généreuse pour une fille si mince.
J'attrapais ses seins vigoureusement, et pendant que je caressais cette délicieuse poitrine, elle se tourna un peu de façon que nous puissions nous embrasser. J'aimais qu'elle frotte son cul contre mon sexe, je trouvais cela terriblement excitant.
On ne pouvait pas rester plantés là au milieu de la loge, et comme il était clair qu'elle et moi avions les mêmes envies, il nous fallait trouver un endroit moins exposé pour s'adonner à un corps à corps endiablé. Ayant pu aller partout dans ce Zénith, je savais que juste au-dessus d'ici, dans la coursive tout en haut, nous pourrions nous installer à notre guise, et dévoiler nos sexes pour qu'ils s'emboîtent rapidement et que nos mouvements se muent en va et vient. Je lui glissais donc de me suivre et je m'engageais dans l'escalier métallique.
Arrivés en haut, derrière un lourd rideau noir, se trouvait un grand espace, des chaises, des miroirs, et des tissus en vrac. La musique de la scène en court de tournage raisonnait dans tout l'espace. Je prenais un tas de tissus pour disposer par terre d'un nid pas trop inconfortable. Pendant ce temps-là, elle retirait son débardeur et son short. Sous ces vêtements, elle portait un ensemble, string soutien gorge vert. J'aime quand une femme coordonne ses dessous. Pour ne pas être en reste, je me retrouvais en slip. C'était la première fois que je me retrouvais nu devant une femme depuis que j'avais perdu du poids.
De nouveau l'un contre l'autre, nous nous embrassions. Je sentais sa poitrine frotter contre mon torse, je lui caressais les fesses qu'elle avait fermes, mais je n'avais qu'une envies c'est lui écarter le string et sentir sa chatte sous mes doigts. Je glissai alors en bras entre nous pour plonger la main sous le minuscule bout de tissu qui lui couvrait la chatte.
Sous mes doigts, je sentais sa peau lisse. Elle était donc entièrement épilée. Et mon majeur trouvait sa fente déjà trempée. Qu'il est agréable et excitant de glisser sa main dans la culotte d'une femme et que son sexe soit déjà humide et ses lèvres ouvertes !
J'aime quand mers doigts pénètrent sans barrière, profondément, dans une chatte inconnue. Je me retrouvais donc avec la main dans sa culotte, en train de la doigter profondément. Sa chatte était douce et large. Elle ne restait pas inactive, et faisait sortir mon queue décalottée en dehors de mon slip, et me branlait avec savoir faire.
La musique couvrait le bruit de nos ébats. Moi, je lui disais des mots crus, lui expliquant que ma bite aimait l'emprise de ses mains de salope, et que je voulais la baiser avec fougue. Je la traitais de salope, de pute et je lui lâchai dans le creux de l'oreille qu'une cochonne comme elle devait aimer se faire sodomiser par de belles et grosses queues.
Elle gémissait de plus en plus fort au rythme de mes doigts dans sa chatte, qui, parfois, venaient étaler sa cyprine tiède sur son clitoris gonflé. Nous avons fini par nous retrouver sur le sol, elle allongée. J'avais retiré son string, et maintenant, elle écartait impudiquement les cuisses en exhibant sa chatte qu'elle offrait à mes caresses. C'est maintenant trois doigts que je lui fourrais dans le vagin, écartant ses lèvres roses et mouillées. Le hard rock galvanisait nos corps.
La cochonne se cambrait et accompagnait mes caresses vaginales de mouvements du bassin. C'était une invitation à la prendre comme une chienne. Je me plaçais donc entre ses cuisses ouvertes, présentant mon gland rouge et turgescent vers son vagin ouvert.
Elle m'a soufflé d'attendre un instant, elle attrapait son short pour sortir un capote de sa poche arrière. En bonne cochonne, elle devait toujours avoir un préservatif au cas où elle trouverait un homme à son goût ! J'enfilai le latex sur mon sexe, et je venais frotter mon gland décalotté sur sa fente baveuse et son sexe bien épilé.
Lui attrapant les hanches, j'enfonçais d'un coup violent mon sexe au fond de sa chatte, mes couilles claquaient sur son petit cul. En la tenant ainsi je lui ramonais le sexe de longs et profonds va et vient. A mesure que je lui baisais la chatte, elle s'agitait, agrippant le tissu, et gonflant sa poitrine appétissante. Elle était si légère que je la prenais dans mes bras, elle enserrait ses jambes autour de moi les serrant dans mon dos. On était collé l'un à l'autre, elle s'empalait littéralement sur mon érection bien dure. Je pouvais sentir sur la base de mon sexe ses grandes lèvres s'écraser et étaler sa mouille dans mes poils pubiens. Cette pénétration profonde était parfaite pour elle, je la sentais contracter son vagin autour de ma bite, m'offrant des plaisirs nouveaux. Elle se tenait à mon cou, me griffant le dos et les épaules au moment où je prenais son téton dans la bouche.
Il était bon de la baiser comme cela ! Elle remuait son basin, et stimulait mon sexe qui avait déjà envie d'exploser. Au bout d'un moment de cette étreinte chaude où nos corps l'un contre l'autre se stimulaient de partout, j'ai eu envie de voir son cul, de l'enculer en glissant mon sexe entre ses fesses fermes. Alors, j'aventurai une main dans son dos, glissant vers son fondement. Je trouvai du bout du majeur le chemin poisseux et chaud de sa raie des fesses, qui me conduisait directement vers son anus.
Quand j'entrepris de lui caresser la rondelle, elle me mordit l'oreille en gémissant :
« Oui… par là... »
Dans cette position, son petit cul n'était pas très facile d'accès. Alors, à contre-cœur, je retirai mon sexe de son vagin chaud pour la mettre à quatre pattes. J'avais ainsi une vue parfait sur son cul et sa chatte béante. Je lui frottai la chatte pour étaler sa mouille lubrifiante vers son petit trou, et je pressai légèrement mon index sur l'anus qui céda sans résister. Un doigt dans son cul, puis rapidement un second pour masser et malaxer ses chaires intimes préparant la venue de ma verge bandée.
J'avais besoin d'être en elle. Rapidement, ma bite pressa l'entrée de son cul qui m'aspirait avec délice. Son anus était plus serré que sa chatte, ma bite était à l'étroit et c'était bon. Je besognai avec saveur ma jolie rousse en la sodomisant virilement, lui provoquant des râles et des gémissements de plaisirs. Elle aimait ça, la cochonne, et ça se sentait. Il ne lui fallut pas longtemps pour mettre une main entre ses cuisses pour se caresser le clito. Parfois, en se penchant un peu plus vers moi, elle arrivait à me toucher les couilles. Dans ces moments-là, je restai profondément pénétré en elle, et je lui laissai me malaxer les couilles en lui doigtant la chatte.
En fourrant deux doigts dans sa chatte trempée, je sentais la présence de ma queue dans son cul, c'était excitant ! Alors, en lui prenant les fesses, je me remettais à l'enculer de plus belle. Nous étions dans les coursives de la salle, tout proche du septième ciel, et je ne pouvais plus me retenir de jouir.
Ma bite explosait en elle, répandant tout mon foutre dans la capote. Elle s'écroula sur le ventre pendant que j'essayais de retirer mon sexe encore raide de son cul défoncé. Son anus semblait m'aspirer la bite, mais je parvins à me retirer d'elle pour m'allonger près d'elle. En se tournant vers moi, elle me regarda avec le sourire et me disait :
« Merci, ça fait du bien de se faire bien baiser ! »
Et elle étendit les mains pour retirer la capote sur ma queue. Avec naturel, elle se pencha sur moi, se proposant de me nettoyer la queue. Je sentais alors sa bouche et la langue légère et brûlante courir sur mon sexe, mon gland. Après ce petit instant de bonheur, il était temps de nous relever, nous rhabiller. Pour la première fois, nous parlions un peu, comme deux amis, deux amants, comme si nous nous connaissions depuis longtemps.
Elle remettait son string vert et son soutif, pendant que je glissai mon érection amollissante dans mon slip. Nous sommes ensuite descendus, on se foutait de savoir si les gens savaient ou pas ce que nous venions de faire. Nous avions joui, et c'était là l'important.
Je fus rapidement rattrapé par mes différentes, tâches tandis que la maquilleuse approchait ses mains qui, quelques instants avant, dansaient sur ma queue et dans sa chatte, sur le visage des figurantes ou des acteurs à remaquiller. Nous n'avions plus eu l'occasion de parler avant la fin du tournage, elle me laissait son numéro avant de disparaître.
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