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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Quelques mois se sont écoulés depuis que Valy m'avait fait passer un bel après-midi chez sa copine Sofia. Un travail de forçats nous avait empêchés de faire l'amour de temps à autres avec d'autres partenaires. Nous baisions ensemble tous deux, ce qui était déjà formidable, Valy étant un trésor d'inventivité, de créativité dans la recherche de la jouissance.

 

Enfin, nous sommes fin octobre, il fait encore très beau. C'est un lundi soir, Valy m'avait demandé de rester chez elle le soir. Nous dinions quand elle reçoit un coup de téléphone. Un beau sourire éclaire son visage.

« François, mon p'tit frère chéri je suis contente de t'entendre, ça fait un moment, que tu ne m'avais pas appelée, tu me faisais la tête ou quoi ? »

 

S'en suit une longue conversation ponctuée de gros rires, conversation à laquelle je ne pige rien, car elle se fait en créole. Valy a beau n'avoir qu'un quart de sang antillais, elle a tenu à apprendre la langue de sa famille des îles. Comme beaucoup de personnes dans ce cas, je ris. Je ne sais pas pourquoi, mais je ris de la voir rire. Et puis elle me fait des signes signifiant que «les affaires» reprennent, alors je piaffe d'impatience.

 

Enfin elle raccroche son appareil et s'approche de moi en ondulant des hanches, un sourire coquin aux lèvres, nous sommes nus comme d'habitude. Elle m'excite toujours cette petite vicelarde. Elle s'assoit sur mes genoux en me faisant face, et me prend la bouche comme si elle voulait me la manger. Pas désagréable du tout, ce traitement. Elle s'y prend de telle manière que je ne peux prononcer un mot. Je suis partagé entre mon désir de savoir et celui de déguster nos langues. Mais l'homme est ainsi fait qu'à un moment s'il ne peut plus respirer, il se sent très mal. C'est ce qui nous obligea à arrêter de nous bécoter.

« Alors, ma Valy raconte-moi ton coup de fil ! Avec qui tu parlais d’abord ? Et qu'est-ce que nous allons avoir d'intéressant à faire ?

- Mon Bruno chéri, c'est François mon frangin il me disait qu'il organisait une partouze et qu'il m'y attendait. Je lui ai parlé de toi et il m'a dit que tu étais très bien venu , surtout quand je lui ai dit que tu étais bisexuel. Car lui l'est aussi et sera présent un de nos cousins qui est homo. Ils te plairont, tu verras, et ils sont bien montés.

- Super !!! Tu fais des partouzes avec ton frère, toi ? Et tu baises avec lui aussi ?

- Et puis elle a lieu quand cette touze ? Pas quand on sera de garde quand même ?

- Ça serait vraiment con.

- T'inquiète pas, il est d'accord pour changer la date. Tout ira bien. Et puis non,  je n'ai jamais baisé avec mon frère. On s'est embrassés, léchés, sucés, doigtés mais jamais pénétrés. On n'a pas encore osé. »

 

Dés le lendemain, premier boulot regarder le tableau des gardes. Dans trois semaines, nous avons un weekend complètement libre. Aussitôt Valy appelle François pour lui donner la date où nous pourrons venir. Rendez-vous est donc pris. Je sens que les trois prochaines semaines vont être longues, très longues à vivre.

 

Enfin le jour de la sauterie arrive. Je vais chercher Valy chez elle. Elle nous conduit chez son frère, qui vit dans une petite maison d'un village de l'Essonne. C'est une maison assez ancienne aux murs épais, une cour intérieure ceinte de murs permet une certaine intimité. Nous entrons sans sonner, après tout Valy est un peu chez elle ici. Personne ne nous voit ni ne nous entend arriver.

Un fond musical, des soupirs et des petits cris explique cela. Ces bruits viennent d'une pièce, le salon. On dénombre approximativement quatre hommes et deux femmes. Tous en train de baiser. Nous nous sentons un peu gênés, aussi nous nous dénudons et rejoignons le groupe.

 

Un grand gars est debout en train de se faire faire une pipe par un jeune homme. Valy me le présente, il s'agit de François son frère, celui qui le suce est Bastien le cousin homo. François et moi nous serrons la main. Bastien interrompt un instant sa pipe pour, en guise de bien venue, me faire un aller retour de langue sur ma queue puis reprend sa sucette sans plus s'occuper de rien.

 

Valy ne connait personne d'autres. Nous décidons d'attendre une accalmie pour nous présenter. Nous nous installons sur un fauteuil libre, ou plutôt je m'y assois, et Valy s'installe sur moi en me faisant face. Ainsi, tout en se dandinant sur mon sexe, elle me regarde avec ses beaux yeux où scintillent des éclats de coquineries qui ont le don de m'allumer. Je lui fais un commentaire sur son frère.

« Valy, tu sais que j'aime beaucoup la bite de ton frangin, elle a une belle dimension. Juste comme j’aime !

- Tu as raison, mon Bruno. Il a hérité ça de notre grand-père antillais. J'aime beaucoup la sucer mais c'est dommage que nous n'ayons jamais encore baisé, j'adorerai ça tu sais ! 

- Écoute, je vais m'occuper de sa bite et je te raconterai, ok ? »

 

Valy meurt d'envie de me voir jouer avec son frangin, aussi l'appelle-t-elle en lui disant que j'ai envie de le sucer. François se sépare de son cousin, et vient vers nous. Sa bite est toute bandée, elle est superbe, bien droite et assez épaisse, elle me met l'eau à la bouche. Dés qu'il est à notre portée, Valy prend la bite de son frère en bouche et la suçote gentiment, puis la guide vers ma bouche. Elle est vraiment épaisse, toute tiède, humide des lèvres de Bastien et de Valy et elle est très douce. Je sens qu'elle va me faire plaisir.

 

Valy me voyant entre de bonnes...euh...couilles, m'abandonne pour aller voir le groupe en train de baiser. Les relations au cours d'une partouze n'obéissant pas au même rite qu'au cours d'une soirée « normale ». Il n'y a aucun risque de passer pour un malotru en ne se présentant pas avant « d'entamer une conversation ».

 

Aussi, Valy caressa l'une, tâta l'autre un peu comme on le fait au marché, pour faire son choix. Elle aperçut un homme dont l'entrejambe était inoccupé. Ce qu'elle vit pendre lui parut tout à fait à son goût aussi se mit-elle à le lécher, comme elle sait le faire, c'est à dire avec douceur.

 

Je ne connais aucun homme capable de se laisser sucer par Valy sans arrêter ce qu'il est en train de faire, tant une pipe de cette belle gourmande est remarquable. Le garçon, occupé à embrasser goulument une partenaire, s'interrompit, baissa les yeux vers son bas-ventre et fit un grand sourire à Valy qui lui répondit par un clin d'œil. Les présentations étaient faites.

 

Sa victime était affalée sur un divan, aussi Valy se pencha-t-elle vers sa queue, en prenant bien soin de garder son délicieux cul bien en vue avec le secret espoir que quelqu'un se laisserait tenter. Dés les premiers mouvements de sa bouche, Valy sut que la queue qu'elle suçait n'allait pas tenir bien longtemps. Cela lui était égal, il y avait quelques personnes des deux sexes avec qui elle allait pouvoir jouer.

 

De mon côté, je continue à faire connaissance avec le frangin de Valy. Sa bite est longue et épaisse. Je la déguste avec gourmandise, je parcoure la hampe en la caressant de mes lèvres et de ma langue tout en lui doigtant le petit trou. Il a l'air d'apprécier mon petit jeu si j'en juge par les mouvements de son bassin. Je n'ai pas envie qu'il jouisse déjà, aussi j'arrête et lui tend une capote pour qu'il me sodomise. J'en meurs d'envie voilà un moment que je n'y ai pas droit avec un sexe d'homme.

 

Valy aime s'occuper de mes fesses d'une manière très jouissive, mais avec ses godes. François s'assoit sur un canapé et je m'empale sur lui doucement car il est tout de même épais. Un inévitable petit tiraillement me fait grimacer, je m'arrête un instant, puis enfin je me laisse glisser le long de sa queue. Une fois qu'elle est toute en moi, nous marquons un petit temps d'arrêt à nouveau. Personnellement, j'aime ce moment là, où les deux cons (le tenant et le tenu) font connaissance. Puis on démarre notre cavalcade.

 

Dés les premiers mouvements je sens le plaisir monter en moi. Sa queue me remplit bien c'est bon alors j'accélère le mouvement et bien sûr comme François se faisait sucer avant mon arrivée il n'en peut plus et jouit. Je sens en moi sa capote se remplir par saccade. C'est agréable comme sensation.

 

De loin Valy, jolie curieuse, qui nous regardait faire, abandonne son ouvrage et nous rejoint, elle se charge de retirer la capote de son frère, et le suce goulument pour ensuite me faire partager sa récolte en m'embrassant. Je dis à François qu'il faudra qu'il vienne un de ces jours à la maison, Valy et moi lui ferons un petit diner. Il est d'accord car il veut prendre un peu plus de plaisir que ce qui vient de se passer. La brièveté ne fait pas bon ménage avec la jouissance.

 

Nous le laissons reprendre quelques forces, et Valy me prenant par la main, m'entraine vers un petit groupe qui donne plus l'impression d'une mêlée effondrée au rugby qu'à une partie de jambes en l'air. Je trouve bonne l'idée de Valy de se joindre à cet enchevêtrement. Le jeu risque d'être excitant de laisser trainer ses mains sa bouche et le reste pour prendre part à ce festin. Nous prenons elle et moi un côté différent pour nous introduire dans cette mêlée.

 

Plus légère que moi, Valy attaque par le sommet. Quant à moi, je repère une brèche à la base, et je m'y faufile. Quel plaisir !

J'ai l'impression d'être dans une forêt de sexes. Je m'y sens un peu à l'étroit, mais l'avantage est que j'ai de beaux fruits à portée de mains et bouche. Quel superbe verger où je suis, il y a des bananes de toutes tailles et de belles figues toutes fraiches et humides, à ne plus savoir où donner de la bouche. Et cette envie de tous les gouter en même temps.

 

Mais soudain, mes yeux voient un superbe entrejambe féminin vierge de tous poils. Le petit trou est délicieusement tentant, quelques petites rides donnent le sentiment qu'il sourit d'aise. On dirait le point du I que forme la chatte. Les lèvres, finement ciselées et légèrement charnues semblent m'appeler. Sa propriétaire doit être très excitée, car le lieu est très humide.

 

Voilà qui tombe à pique, je meurs de soif. Je la rejoins, et la lape avec gourmandise. Sa mouille est légèrement acre, j'adore. Je la pénètre de ma langue pour la baiser ainsi, elle a l'air d'apprécier si j'en juge par les mouvements de son bassin. D'une main, je discute gentiment avec son clito. La conversation devient animée. De mon côté, je suis dans le même état d'excitation que mon inconnue. En effet, quelqu'un suce ma queue et me sodomise de deux doigts. Le traitement qu'on me fait subir est particulièrement excitant et bandant. La délicatesse avec laquelle on m'entreprend me laisse penser que c'est une femme qui s'occupe de mon cas.

 

Seule certitude ce n'est pas «ma» Valy, je ne reconnais pas son coup de langue. Mon excitation monte encore, et je m'acharne de la main et de la bouche sur mon inconnue. Et soudain, mes sensations changent, ce n'est plus deux doigts mais la main entière que j'ai dans mon ventre. Que c'est bon de sentir comblé ainsi, et tellement bon que je ne tarde pas à jouir.

 

Mon sperme n'est pas perdu pour autant car j'explose dans une bouche. Je réussis à pencher la tête vers mon bas-ventre pour voir qui « m'a bu ». C'est une jolie blondinette qui doit à peine avoir vingt-cinq ans. Nous nous regardons et nous sourions. J'ignorerai toujours son nom, mais qu'importe.

 

J'ai besoin de reprendre mon souffle, aussi je m'extirpe de cet amas de corps pour aller m'affaler dans un fauteuil avec un grand verre d'une boisson fraiche. Je regarde tous ces corps nus qui s'agitent et qui gémissent. Le spectacle est beau et excitant. Et soudain, j'entends Valy qui jouit. Elle chante son orgasme. Elle est belle quand elle jouit, belle et stimulante La preuve, je sens ma queue qui a des soubresauts. J'ai envie de retourner au combat. Je me lève et aperçois, Bastien, le cousin homo, seul dans un coin, allongé sur un canapé. Il a les yeux mi-clos.

 

Une fois prés de lui, je m'agenouille et prends sa bite toute molle dans la bouche et la suçote doucement. Je titille son gland tout en doigtant son petit trou. Il ne tarde pas à réagir. Je le sens grossir dans ma bouche. Je me rends vite compte que comme son cousin François, il a hérité de ses ancêtres antillais, une fort jolie bite.

 

Bastien ouvre les yeux et voit que c'est moi qui le suce. Il me caresse le dos et laisse descendre sa main jusqu'à mes fesses, me caresse l'anus puis m'attrapant la cuisse, il me tire à lui. J'ai compris, je m'allonge sur lui et nous nous lançons dans un 69ou chacun de nous rivalise en astuce pour exciter l'autre. Au bout d'un moment, Bastien cesse de me sucer et me dit :

« Encule-moi ! Vite ! Je veux ta bite dans mon cul ! »

 

C'est si gentiment demandé que je ne peux pas résister, je vais chercher une capote et retourne vers Bastien. Il est déjà en position, à quatre pattes sur le canapé. Si c'est une levrette qu'il veut, il va l'avoir. Son petit trou est tout ouvert tant il a envie. Aussi j'entre en lui sans précaution aucune. Il pousse un grand soupir de plaisir et l'accompagne d'un coup de rein.

 

Bastien malgré une queue d'une dimension avantageuse a un corps et un air très androgyne. Il a la taille fine et des hanches bien arrondies. J'ai l'impression d'enculer une Transexuelle. Un vrai bonheur. Il a une manière de remuer son bassin pour accompagner mes va-et-vient qui risque de me faire exploser à tout moment. Il accompagne ses mouvements de petites phrases excitantes :

« Oh !..... Oui..... Bruno!!!... Vas-y.... remplis-moi....baise-moi …. fort.... j'adore ça !!!! »

 

Parfois aussi, il me crie :

« Oui... fouille.... fouille.....  tout... est...à... toi !!! »

 

Valy s'était rapprochée de nous, et à genoux, nous caressait. D'une main, elle branlait Bastien, de l'autre elle me doigtait avec deux de ses jolis doigts ! J'eus beau lui dire et répéter d'arrêter, que je risquais de jouir trop vite, rien n'y faisait.

 

Gentille, elle freina les mouvements de ses doigts en moi, par contre elle branlait fougueusement son cousin. Elle finit par arriver à ses fins, car Bastion explosa dans ses mains. Voyant que j'allais jouir à mon tour, Valy me cria :

« Ne jouis pas dans la capote, je veux te boire ! »

 

Je n'en pouvais plus, j'eus à peine le temps de retirer ma capote que j'éjaculais dans le jolie bec de ma copine. En bonne cousine, elle embrassa goulument Bastien pour lui faire partager mon sperme. Tous trois assis sur le canapé avons entrepris de nous nettoyer les uns les autres avec nos langues, ce qui me permit de goûter à la splendide queue de Bastien.

 

Le temps avait passé, Valy et moi avons pris congé et j'ai demandé à François, le frangin, de passer une soirée avec sa sœur et moi un de ses jours. Il nous dit qu'il nous préviendra quand il pourrait venir. J'étais heureux qu'il soit d'accord, car j'avais une petite idée. Faire baiser François et Valy qui mouraient d'envie inconsciemment de jouer les amants incestueux. J'espère que je réussirai.

 

Ils sont adultes, il n'y aurait donc pas de mal à ce qu’ils s’aiment complètement.

Par Bruno Bi - Publié dans : Bruno, le libertin - Communauté : Au royaume des salopes
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