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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Chers ami(e)s.

 

 

Je vais tenter de vous raconter comment un fantasme qui me hantait depuis quelques mois s’est transformé en une réalité bien chaude.

 

Mais d’abord, pour ceux qui ne me connaissent pas encore, laissez-moi me présenter. Je me prénomme Vanessa, je viens de sauter le cap de la trentaine. Je suis une grande et belle jeune femme (aux dires de ceux qui ont eu le privilège de me conquérir), blonde aux yeux verts, j’ai de longs cheveux blonds qui descendent jusqu’au milieu du dos. Ma peau blanche avec des éphélides est souvent bien bronzée car j’aime le soleil et la mer. J’ai d’ailleurs fait un long voyage jusqu’en Australie et retour à bord d’un grand voilier et je ne vous dit pas comment tout mon corps était halé au retour. Je suis très fière de ma silhouette avec de beaux seins en forme de pomme, bien ronds et opulents. Je fais un bon 85.C qui remplit bien mes soutifs. Ma taille étroite s’évase sur des hanches pleines et des fesses bien galbées.

 

Vanessa.37.jpg

 

Si aux yeux de mon entourage, je passe pour une timide, je suis quelque peu exhibitionniste, j’aime vivre nue et attiser le regard des hommes quelles que soient les circonstances. J’aime danser en discothèque dans des tenues somme toute assez sages mais c’est ma silhouette et mes déhanchements qui me font remarquer. En club je n’hésite pas à me trémousser le long de la barre de pole dance. C’est aussi une des raisons qui m’ont poussé à une époque à m’inscrire sur un site érotique où je m’exhibe dans des petites prestations bien chaudes au gré des clients qui viennent me voir par webcam interposée. J’y prends beaucoup de plaisir et je suis devenue une accro aux jouets érotiques comme les boules Geisha, les chapelets Thaï, les godemichets simples ou doubles, les Plugs et autres vibromasseurs.

 

J’avais découvert la masturbation au cours de mon adolescence. La première fois, j’étais sous la douche, le corps enduit de mousse odorante, je me suis rendue compte qu’en passant mes mains sur la pointe de mes seins, le bourgeon s’érigeait et j’avais une sensation de chaleur dans le bas du ventre. A quinze ans le corps s’éveille ! J’ai cru naïvement que c’était ma sexualité qui naissait. Le lendemain, c’était samedi : pas de lycée ! Je flemmardais dans mon lit quand j’ai eu envie de caresser mes seins comme la veille sous la douche, juste pour voir ! A peine les paumes de mes mains posées sur mes « pommes d’amour » que les tétons s’érigeaient et je ressentais cette même boule chaude au niveau de mon pubis. J’ai conservé une main à hauteur de ma poitrine pendant que je laissais l’autre descendre le long de mon ventre et se poser sur ma vulve légèrement poilue. Surprise ! J’étais toute humide entre mes lèvres intimes si bien qu’instinctivement deux doigts sont allés débusquer mon clitoris dans son capuchon.

 

Là, je ne vous dis pas quelles sensations j’ai eu lorsque j’ai introduit deux doigts dans l’ouverture de ma chatte ! C’était tout gluant et chaud. J’ai fait aller et venir mes doigts dans ma vulve jusqu’à ce que je me heurte à mon hymen. Je n’ai pas forcé mais j’ai continué à me caresser jusqu’à ce que la jouissance déferle en moi pour la première fois. Peu à peu, j’ai pris l’habitude de me caresser tous les samedis matins avant de me lever et au fur et à mesure, je devenais de plus en plus experte mais avide de ces masturbations matinales qui me mettaient en forme et de bonne humeur pour tout le weekend.

 

Les mois ont passé et au cours des vacances estivales, j’ai rencontré un groupe de jeunes parisiens, garçons et filles un peu plus âgés que moi. J’étais une habituée du club de voile aussi j’ai aidé le moniteur à les initier à la navigation côtière sur des petits dériveurs légers. Quelle chance j’ai eu, tous étaient en couple de copains et après les séances sur l’eau, çà flirtait un peu dans tous les coins, un seul garçon se trouvait sans petite amie ! J’ai tout fait pour attirer l’attention de Serge.

 

Pour lui, à dix-neuf ans, je n’étais qu’une gamine à la silhouette certes agréable à regarder, mais une gamine… Mes manigances ont fini par porter leurs fruits ! Le second soir, tout le groupe s’est retrouvé à la discothèque aménagée sur la plage. Bien sur, j’étais de la sortie. C’est ce soir-là que j’ai perdu mon pucelage. Serge a été doux et si la première fois la légère douleur a pris le pas sur mon plaisir, les autres soirs, quel bonheur de sentir la jouissance m’envahir et me laisser pantelante entre les bras de mon amant. Mais ce n’était qu’un amour d’été !

 

J’étais désormais une femme à part entière ! J’avais repris mes habitudes de masturbation matinale et de temps à autre, je me laissais culbuter dans un coin sombre ou dans une chambre accueillante par un garçon avec qui j’avais flirté au cours de la soirée. Je dois ajouter que grâce à la complicité d’une copine plus âgée, j’avais fait l’acquisition de quelques jouets sexuels bien planqués dans le fond de l’armoire de ma chambre. Il n’était pas question que ma mère les découvre !

 

J’avais pris goût à ces séances matinales et aux parties de jambes en l’air ! J’attendais avec impatience les mois d’été car je savais par avance que je n’aurais que l’embarras du choix pour trouver des amants de passage. J’avais toujours avec moi un étui de préservatifs bien garni qui me permettaient d’échapper à toute transmission inopportune. L’automne de mes 18 ans, ma meilleure copine m’a invitée au mariage de sa sœur aînée. Nous devions lui servir de filles d’honneur pour le cortège. J’avais comme cavalier Kevin, un homme d’une trentaine d’années, beau comme un dieu grec, des cheveux ondulés blonds une peu longs, un teint halé éclairé par des yeux d’un bleu profond.

 

Quand il me regardait, j’avais l’impression de fondre. Nous avons dansé toute la soirée en bavardant sur un ton léger et badin. En fait, il me faisait la cour ! Quand nous sommes sortis dans le parc du château où avait lieu le banquet, j’ai tout naturellement glissé mon bras sous le sien pour sentir au plus près sa présence virile et marcher de longues minutes au clair de lune. Il m’a pris dans ses bras pour m’embrasser, sa langue a immédiatement cherché la mienne et je me suis collée contre lui, offerte, pantelante, prête à céder à toutes ses exigences. Ma robe bustier a bien facilité les choses. Mes seins sont sortis comme par enchantement du décolleté et Kevin a commencé à sucer mes tétons. Immédiatement, j’ai commencé à mouiller abondamment si bien qu’en moins de deux minutes mon string était trempé ! Nous savions ce qui allait se passer ! Nous allions baiser au clair de lune ! Le pied total !

 

Quand nous avons été bien chaud, Kevin m’a fait placer en appui le long d’un tronc d’arbre, il a remonté ma robe longue jusque sur mes reins et fait glisser mon string qu’il a empoché en disant dans un sourire amusé :

« Souvenir ! »

 

Il a fait coulisser le zip de son pantalon et s’est aussitôt collé contre mes fesses pour me faire sentir l’érection de son membre. C’est vrai, je m’en souviens comme si c’était hier, il bandait comme un cerf en rut. Il écarté mes fesses et s’est introduit lentement en moi. Je ne sais pas à quel moment il s’était couvert ! J’étais tellement partie que je ne me suis rendue compte de rien.

 

En fait, dès que je l’ai senti à l’orée de ma chatte, c’est moi qui me suis embrochée sur sa queue jusqu’à ce que mes fesses soient en contact avec son ventre. J’étais tellement excitée que je n’ai pas pu retenir ma jouissance très longtemps. Kevin était toujours en moi qui récupérais de mon orgasme. Puis il est sorti ! J’ai pensé : « on va changer de position ». Mais non, ce coquin en voulait à mon autre pucelage : J’ai senti la pointe de sa bite contre mon anneau plissé qui s’est ouvert comme par enchantement face à cette intrusion. Quand j’ai été habituée à cette présence, je lui ai soufflé :

« Vas doucement, c’est la première fois ! ».

 

Il a commencé à me sodomiser lentement à longs traits, veillant à rester engagé dans mon petit trou puis il a accéléré ses mouvements, faisant claquer son ventre contre mes fesses. Je n’aurais jamais cru que c’était si bon de prendre une bite dans son cul ! Au moment où je jouissais pour la seconde fois, Kevin s’est lâché. J’ai senti son sexe prendre encore un peu de volume et cracher de longs jets de sperme qui sont venus s’écrase au fond de la capote. Quelques temps après nous avons regagné discrètement la salle du banquet et nous nous sommes séparés au petit matin. Depuis cette nuit-là, quand un de mes amants veut me prendre par la porte de service, je ne dis jamais non tant cette prise de possession de mon corps me fait fantasmer par avance.

 

Aussi agréable soit il ce job d’animatrice érotique n’est pas un fin en soi ! C’est l’occasion de me divertir et un prétexte pour me caresser comme le souhaitent les clients. Après des études d’architecte d’intérieur à Paris, je viens enfin de m’établir comme auto entrepreneur avec un associé avec lequel je travaille le matin et le soir. Généralement après 18 heures je vois nos clients chez eux car là, je suis à même de bien appréhender ce qu’ils souhaitent en matière de décoration.

 

Sous le soleil de la Méditerranée, il est coutumier de faire une sieste en début d’après midi et je n’échappe pas à la règle d’autant que je vis aussi beaucoup le nuit. Il n’est pas rare que je me couche vers deux heures du matin. C’est justement au cours de ces siestes que des rêves récurrents viennent depuis plusieurs semaine, me troubler au point que, de plus en plus, le virtuel me hante au point d’avoir envie qu’il se transforme en réalité. Depuis qu’il fait à nouveau très chaud sous le soleil du Midi, j’ai repris l’habitude de cette petite sieste réparatrice qui dure généralement une bonne heure. A l’ombre d’un parasol ou des frondaisons des arbres selon le lieu où je me trouve, je m’endors facilement sur la chaise longue bercée par le chant des cigales.

 

C’est là que mes rêves surviennent, jamais la nuit (ou alors je ne m’en rappelle pas). Au début, je me souvenais m’être masturbée d’une main alors que l’autre caressait mes seins nus. Plus tard, je me faisais plaisir avec un beau godemichet que je voyais en détails, ressemblant à ceux que je possède….Lorsque le rêve devenait trop fort où que l’heure de repos était passée, je me réveillais avec la sensation que je n’avais pas rêvé, persuadée au bout de quelques temps qu’un inconnu avait versé un quelconque soporifique dans ma boisson et avait profité de mon inconscience pour abuser de moi ! En fait mes rêves étaient tellement forts et prenants que je me retrouvais au réveil avec mes tétons dressés et sensibles et ma chatte humide comme si un sexe l’avait visitée. Avec le temps, je ne m’étonnais plus. Au contraire je savourais cette délicieuse sensation qui mettait mon corps en émoi.

 

Mais il y a quelques jours, le rêve est devenu réalité. Comme d’habitude, j’étais allongée sur un transat à l’ombre des grands arbres de la villa où j’habite pour l’instant. Je dormais à moitié nue, simplement vêtue d’un maillot de bain deux pièces des plus réduit avec des motifs colorés. Soudain, un bruit sur le gravier et la sensation d’être observée m’ont tiré de mon demi sommeil. Quand j’ai repris pied dans la réalité, je me suis aperçue que j’avais la main droite glissée dans la culotte du maillot, mais la surprise a été de découvrir trois jeunes gens qui, à quelques mètres de moi, m’observaient avec envie. Un rapide coup d’œil au niveau de leur short m’a immédiatement fait penser qu’ils devaient me mater depuis un moment car je distinguais une belle bandaison cachée par le tissu :

« Approchez ! Je ne vais pas vous manger ! Profitez de la vue ! »

 

S’ils étaient excités du spectacle inconscient que je leur avais offert, j’étais tout aussi émoustillée en pensant qu’ils devaient s’être régalés de me regarder. Ils se sont approchés. Ils ne devaient pas avoir beaucoup plus de vingt ans mais ils n’avaient pas froid aux yeux car dès qu’ils ont été près de moi, il y en a un qui a fait glisser sa main entre mes cuisses jusqu’à mon sexe pendant que les deux autres me relevaient et faisaient sauter l’agrafe de mon soutif :

« OK les gars ! Je vois ce que vous voulez ! Baissez vos shorts que je vois quels beaux trésors vous cachez ! »

 

En moins d’une minute, j’avais sous les yeux trois jeunes bites bien bandées, dressées comme des épieux devant leur pubis, trois belles bites de taille normale avec les glands dégagés de tout prépuce comme je les aime. J’adore m’attaquer directement au champignon quand je suce une queue.

 

Les deux garçons qui m’avaient dépouillée de mon soutif continuaient de s’intéresser à ma poitrine en faisant rouler les tétons dardés entre leurs doigts et le troisième commençait à me manger la chatte après avoir retiré ma culotte. Waouh ! Ça démarrait fort ! J’avais sous les yeux les sexes des deux garçons et je n’ai eu qu’à tendre les mains pour les saisir. Coquine jusqu’au bout, j’en ai guidé un jusqu’à ma bouche pour le sucer et de la main droite, je branlais l’autre.

 

Je ne voulais pas qu’ils déchargent leur plaisir ailleurs que dans ma chatte aussi, j’ai arrêté de sucer et de branler pour prendre dans mon fourre tout les préservatifs dont je suis toujours approvisionnée ! On ne sait jamais ! Çà peut servir et là, çà allait servir ! J’étais prête car celui qui m’avait fait un cunni avait su y faire, j’avais la chatte déjà bien inondée mais je n’avais pas atteint le stade de la jouissance. J’ai relevé à moitié le dossier du transat et j’ai posé mes pieds de part et d’autre du repose-jambes. Ainsi, j’étais installée confortablement, les cuisses entrouvertes, prête à le livrer aux assauts conjugués de ce trois jeunes gens.

 

Celui que j’avais sucé s’est couvert le premier. Il s’est placé entre mes cuisses, d’une main il a mis son bout à l’orée de ma chatte et d’un seul mouvement, il m’a embrochée, faisant claquer ses couilles contre mon périnée. Ce coquin s’est aussitôt arrêté au fond de vulve :

« Oh ma belle, t’es trop bonne, je vais t’aimer comme une belle femme doit l’être ! »

 

En disant cela, il a commencé des va et vient amples, sortant à chaque fois pour mieux entrer à nouveau jusqu’au fond de ma chatte : jeune mais bon amant ! Pendant ce temps là, je suçais celui qui avait préparé ma chatte (d’ailleurs elle est toujours prête). Il avait enjambé mon buste et je pouvais ainsi masser ses couilles qui étaient bien dures. J’avais repris la masturbation du troisième de façon à entretenir le feu… Chose surprenante, j’ai joui au moment où celui qui me baisait s’est lâché dans la capote. C’est rare lors d’une première fois de jouir en même temps, il y a toujours un décalage. Il s’est retiré, a ôté le préservatif et s’est essuyé la bite avec ma culotte.

 

Celui que je suçais s’est retiré de ma bouche, a pris un matelas de plage et s’est allongé dessus, la queue dressée comme un mat vers le ciel en disant :

« Allez, ma belle puisque tu as envie de baiser, c’est toi qui va travailler. »

 

Je l’ai enjambé et je me suis accroupie pour introduire sa bite dans ma chatte. Je lui faisais face en amazone. Je faisais des mouvements de haut en bas pour faire coulisser sa queue dans ma gaine humide et chaude. Quand elle était bien au fond, je travaillais le bout de mes muscles intimes avant de remonter en veillant à ne pas le faire sortir. Je me servais de lui comme si j’utilisais un gode à ventouse. Il ne restait pas inactif, bien au contraire. D’une main il triturait alternativement mes tétons qui étaient bandés sous l’effet de l’excitation et de l’autre il caressait mon pubis ou jouait avec le bijou qui orne mon nombril.

 

Les deux autres garçons étaient légèrement sur le côté et faisaient des commentaires sur mon anatomie, sur mes seins volumineux, sur ma taille étroite et mes hanches et mes fesses bien galbées :

« T’as vu cette fille les seins qu’elle a ! Et ce cul qui s’ouvre à chaque fois qu’elle s’empale sur la bite ! »

 

C’était assez graveleux mais cela correspondait bien à l’ambiance de cette partie de jambes en l’air. Puis ils se sont rapprochés. Celui qui ne m’avait pas encore baisée m’a caressé le dos, faisant courir sa main le long de ma colonne vertébrale pour aller fouiner dans ma raie, prenant mes fesses à pleines mains pour les masser et ouvrir encore plus ma raie où je sentais mon anneau plissé palpiter d’envie. Celui qui m’avait prise en premier a enjambé le torse de son copain pour revenir se faire sucer. Je retrouvais sur sa queue le goût de son sperme et l’odeur de foutre qui emplissait mes narines. Soudain celui qui était derrière moi s’est écrié en appuyant une main entre mes épaules :

« Couche-toi sur mon copain, ton cul me fait trop envie ! Je vais me le faire ! »

 

Je me suis empressée d’obéir à cette injonction, comme dans mon rêve, j’allais avoir une bite dans chacun des mes trous ! Il a fait entrer un doigt, puis deux dans mon fondement pour ouvrir le passage et finalement c’est sa queue qui est entrée. Je me voyais mal protester car j’accepte rarement la sodomie sans y être préparée d’avance. En moi-même je pensais, finalement et heureusement pour moi, c’est celui qui a la bite courte et trapue comme je les aime dans mon p’tit trou qui me sodomise ! Je vais la sentir passer mais qu’est ce que je vais jouir !

 

Ils ont coordonné leurs mouvements, quand l’un entrait au fond, l’autre sortait en partie. C’était si bon et si bien fait que je me suis mise à penser que ces deux là devaient être des adeptes de la double pénétration. Pendant ce temps, je suçais toujours le troisième larron dont le sexe avait retrouvé toute sa splendeur entre mes lèvres. Waouh ! C’était vraiment chaud. Je sentais ma jouissance monter dans mon ventre et les signes avant coureur du plaisir fuser le long de mon dos :

« Allez-y mes cochons ! Baisez-moi bien à fond ! Profitez, ce n’est pas tous les jours où vous trouverez une nana dans d’aussi bonnes dispositions ! »

 

Et là, çà a été le déferlement ! Celui qui était dans ma chatte s’est mis à jouir ce qui a déclenché mon orgasme et la jouissance de celui qui me sodomisait. Je sentais les giclées de sperme s’écraser au fond des préservatifs et, quand celui que je suçais s’est dégagé de ma bouche pour gicler sur mes seins, c’est ma fontaine qui s’est déclenchée !

« Quelle coquine tu fais ! En plus de te faire sauter de belle manière tu nous inondes !

- Et oui ! C’est le témoigne que vous m’avez bien fait jouir ! »

 

Et celui qui m’avait sodomisée d’ajouter :

« J’aurais bien voulu cracher tout au fond de tes boyaux, tu aurais vu comme je suis généreux ! »

 

Ils se sont rhabillés et m’ont quittée rapidement. Je ne sais pas ce qu’ils étaient venus faire dans le parc ni même comment ils y étaient entrés. Mais moi, je savais que ces trois lascars m’avaient permis d’assouvir ce fantasme qui hantait mes siestes depuis le début de l’été.

Par Gérard le Matou - Publié dans : Le Matou Libertin - Communauté : Sexe Amateur Exhibitions
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