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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Il y a quelques mois, le ciel m’est tombé sur la tête : mon mari me trompe et m’a trompée, et en plus je l’ai découvert en visionnant des cassettes vidéo amateur.

Marc est parti travailler à l’étranger et ne rentre que le week-end. La semaine, je suis seule à la maison et je passe le temps en faisant du ménage et du jardinage, afin de me consacrer à mon mari le samedi et le dimanche.

Chaque pièce est nettoyée de fond en comble, et la semaine dernière, j’ai trouvé un coin qui n’était pas passé au grand nettoyage : le sauna. Marc s’est construit un sauna sous les combles et, pour diminuer le volume d’air à chauffer, il a construit une espèce d’escalier géant qui sert de banquette et qui laisse un volume dessous. Bien isolé, c’est un endroit de rangement pour les objets et vêtements dont nous ne nous servons plus.

 

Je descends donc par la trappe dans cette niche de deux mètres de profondeur sur trois mètres de long et un mètre de large à l’endroit le plus haut. Aspirateur en main, je commence à bouger les cartons, lorsque je sors une petite boite assez légère sans indication. Curieuse, j’ouvre le carton et, oh surprise, je trouve dix des cassettes vidéo, sans inscription, uniquement numérotées. Je suis très étonnée, car l’endroit ne convient pas à ce genre de produit. Et pourquoi garder des cassettes à cet endroit, alors que nous avons une très grande bibliothèque où les ranger.

 

J’abandonne mon aspirateur pour aller voir de quoi il retourne. Première cassette, quelques secondes de brouillage, puis l’image d’un lit avec une femme en guêpière, seins visibles et cuisses écartées. Je ne suis pas fan de films pornos, mais le côté amateur me donne envie d’en voir plus. Elle s’offre de manière très indécente à l’objectif, se retournant, écartant les fesses, présentant ses seins dans ses mains en coupole, ouvrant les cuisses en écartant les lèvres de son sexe et l’image zoome les détails de manière presque obscène. Elle se lève et dégrafe sa guêpière en roulant des hanches et vantant ses atouts d’une voix rauque un peu étouffée par la musique qui rythme son effeuillage. L’image devient plus fixe et une voix que je connais bien se fait entendre : « Tu m’excites trop, j’ai envie de te prendre... »

 

Je n’en crois pas mes oreilles et, avant que j’aie pu prendre la télécommande pour repasser la séquence où j’ai cru reconnaître la voix de Marc, il apparaît de dos, nu, pour prendre cette fille dans ses bras. Il la bascule sur le lit et la caresse partout pendant qu’elle le suce. Les images se suivent comme dans un cauchemar. Je vois Marc me tromper en direct sur l’écran, comme si l’infamie était en train de se produire, mais sans que je puisse arrêter l’horreur.

 

Trente ans que nous sommes mariés ! Il m’a épousée vierge, et je n’ai jamais pensé à un autre homme que lui. Je pensais qu’il était le meilleur des hommes, qu’il m’aimait, que je finirais ma vie avec lui, que notre vie était parfaite.

Bien sûr, nous avons connu quelques périodes de tensions mais vite résolues et, à part ses voyages professionnels qui l’éloignent de moi régulièrement, il est un homme parfait.

Et c’est cet homme que je voyais lécher le sexe de cette inconnue et finir par la pénétrer et la faire jouir en hurlant.

 

Le film se termina sur un gros plan de la vulve dégoulinante de sperme, avant que les parasites n’envahissent à nouveau l’écran. J’étais anéantie, comme assommée. Avant que je rassemble mes idées, l’écran s’éclaircit et une autre scène s’offre à moi, une femme de dos, vêtue d’une robe courte et de souliers à talon très fins et très hauts, se dandine sur un air de salsa au milieu d’une clairière ou en bord de forêt. Au fil du rythme qui s’accélère, elle se tortille de plus en plus, relevant sa robe qui dévoile le haut de ses bas puis ses fesses pleines et rondes et montrant, sans doute possible, qu’elle ne porte pas de culotte.

Soudain, le choc : elle se retourne et, sous le casque de cheveux blonds frisés, mon amie, ma copine d’enfance Nathalie, avec qui j’ai partagé tant de secrets, dont j’étais la confidente et qui était la mienne.

 

J’ai envie de hurler, d’arrêter tout cela, de jeter ces cassettes et d’oublier ce que je viens de voir, mais ce n’est pas possible. Alors, je subis l’impensable : regarder baiser ma meilleure amie, qui me conseillait de garder ma réserve et de refuser les quelques fantasmes de Marc qui me gênaient.

Plus le film se déroulait, plus ses poses étaient obscènes, toujours sur des rythmes brésiliens venant d’un gros poste radio.

Nathalie, s’exhibait de plus en plus, ses gros seins sortis de la robe, son sexe épilé bien visible et, lorsqu’elle se retournait, ses fesses nues remuaient comme celles des filles du carnaval.

 

Soudain, la robe vola, elle était nue, avec uniquement ses bas, à moins de cent mètres de la nationale et continuait à se trémousser devant la caméra. Elle incitait Marc à venir la prendre comme une chienne et à la sauter, à l’enculer, qu’elle mouillait pour lui, qu’elle n’en pouvait plus d’attendre.

Et pour la deuxième fois, je vis apparaître Marc dans le champ de la caméra, pantalon ouvert et sexe sorti. Elle se jeta à genoux pour avaler la belle bite de mon mari. Après ce qui me parut une éternité, elle le lâcha pour se retourner et s’offrir, penchée en avant, le cul en arrière. Il n’hésita pas un instant à s’enfoncer en elle, de coté par rapport à la caméra. Ils regardaient de temps à autre vers l’écran, comme s’ils voulaient s’assurer que le cadrage était bon. Marc sortit complètement son sexe de celui de sa partenaire et, la tournant un peu, il positionna sa  bite épaisse sur l’œillet froncé de Nathalie, pour la sodomiser.

Dans le coton qui avait rempli ma tête, j’entendis la voix de ma copine crier : « Encule-moi, je veux te sentir fort… Vas-y défonce-moi… »

 

Et le chibre de Marc entra dans l’anus de Nathalie, lentement mais sans hésitation, comme si c’était naturel et jusqu’à ce que le ventre de Marc touche les fesses de Nathalie, puis le va-et-vient s’accéléra et j’entendais, par-dessus la musique, comme un bruit de gifles à chaque pénétration.

Le visage de Nathalie était en extase et, les yeux fermés, elle se laissait ballotter par les profondes pénétrations de Marc. Incroyable vision où l’horreur dépasse le pire des cauchemars, le film se poursuivit encore une dizaine de minutes, lorsque l’image d’un nouveau film apparut. Je stoppai la lecture, j’avais le visage baigné de larmes. Je me levai pour prendre un mouchoir. J’avais envie de parler à quelqu’un, j’allais appeler Martine, une autre amie, mais mon geste fut stoppé net par mes pensées : et si elle aussi ?...

 

Je me sentais seule, trahie, trompée, salie. Des phrases me martelaient l’esprit comme : « Je t’aime mon amour, je n’aime que toi, tu es superbe, tu me plais, il n’y a que toi qui compte… » Phrases que Marc me disait souvent. Choses qui étaient à des années-lumière de ce que je venais de voir.

 

Le film suivant était une succession d’exhibitions de Nathalie à Paris. Incroyable : Nathalie nue sur une passerelle sur le canal de l’Ourcq, Nathalie soulevant une minijupe en pleine rue et en plein jour sur ses fesses nues, Nathalie sortant ses seins dans le hall de l’hôtel, pour finir dans une chambre où Marc et elle firent l’amour comme des bêtes.

 

La première cassette était enfin terminée : quatre heures d’abomination. Il restait neuf cassettes, je ne me sentais pas le courage de les regarder immédiatement et je pris une longue douche brûlante avant le coup de fil quotidien de Marc. Bien sûr, il s’inquiéta de ma voix, mais je pris prétexte d’un coup de froid et d’un enrouement pour justifier mon manque d’enthousiasme. Je passai la nuit à visionner toutes les horreurs que Marc avait filmées, un vrai malade. Le plus terrible était que sur les films, j’avais vu Nathalie, ma meilleure amie, Viviane, une amie parisienne qui a une fille dont je suis marraine et Clarisse, une copine avec qui je m’entends très bien.

Et comble de l’abomination : Brigitte et Aurélie, La femme de mon frère aîné et leur fille, ma nièce qui a 30 ans aujourd’hui mais devait en avoir 25 sur le film.

Si mon frère apprenait cela, il les tuerait et se suiciderait.

 

J’étais toujours anéantie mais une sourde colère me gagnait, j’avais la rage ; se moquer de moi comme il le faisait et depuis tant d’années...

La semaine se poursuivit, triste et lugubre, je me posais mille questions sans réponses. Chaque soir, Marc m’appelait, sans que je ne lui dise rien sur ma découverte.

Le week-end fut tendu et morose mais je ne dis rien, ruminant ma rancœur. Petit à petit, je me dis que, puisqu’il m’avait bafouée, je le ridiculiserais complètement.

Les films les plus fous me traversaient l’esprit, mais difficile de passer à la pratique.

 

Quelques mois plus tard, nous sommes partis faire du shopping à Paris. Dans un magasin, je vois une petite robe en stretch simple mais très sexy. Je la prends, la regarde et Marc m’encourage à l’essayer. Allons-y : je me déshabille dans la cabine et enfile la minirobe. Elle m’arrive à peine à mi-cuisse et le haut est arrondi assez bas, laissant voir une partie de mes seins. J’ai l’impression d’être nue.

A ce moment, Marc entrouvre le rideau et me regarde, les yeux brillants de convoitise :  « Superbe, tu es magnifique! »

 

Les phrases des cassettes me reviennent à la mémoire. J’ai envie de le gifler. Je tire sur le bas de la robe qui a tendance à remonter et je sors de la cabine pour me regarder dans le miroir. Je suis peut-être magnifique mais je me sens plutôt provocante. Au moment où je vais regagner la cabine, je croise le regard d’un homme, la trentaine, qui attend son épouse devant une autre cabine. Son regard étincelle, il me dévore des yeux et je m’éclipse dans la cabine en cambrant les reins. C’est décidé, je la prends. Marc est surpris de mon choix, mais enchanté.

 

Fin juin, nous sommes conviés à un week-end séminaire dans le sud de la France. Je prépare une valise, mais sous une subite impulsion, je décroche ma minirobe du cintre et la glisse dans la valise. La société nous reçoit comme des rois, nous sommes cinq couples clients et quatre représentants de la société. Trois hommes et une femme, tous les quatre sont jeunes, beaux, sûrs d’eux. On sent l’habitude de séduire dans leurs manières.

 

Le dernier soir, après le dîner, nous sommes invités à finir la soirée dans une petite discothèque jouxtant l’hôtel. Nous remontons dans les chambres nous changer. Je m’enferme dans la salle de bain et, après, une douche et un maquillage soigné, je laisse la place à Marc. Pendant qu’il se douche, j’enfile des bas, un string et la fameuse robe noire. Le miroir me renvoie une image qui me plaît, ma poitrine est mise en valeur, et mes seins paraissent plus fermes et plus ronds, relevés par le tissu.

 

Je sors de la salle de bain et la tête de Marc vaut tous les efforts. Il est béat, bouche ouverte, yeux ronds. Sans dire un mot, il me suit du regard. J’ouvre la porte et sors, avec une assurance que je ne ressens pas.

Nous retrouvons les autres dans le hall mais le regard des hommes montre qu’ils ne me tiennent pas rigueur du retard. Il n’en va pas de même des femmes dont la moue me semble plus critique.

 

Minuit : nous entrons dans la boîte, petite, presque intime avec ses tables en alcôve le long des parois et quelques tables autour de la piste qui sépare la salle du bar. Une dizaine de personnes, au plus, garnissent la salle

Nous nous installons à une table d’alcôve, prolongée d’une table normale pour accueillir notre groupe de douze. Je suis assise sur la banquette, entre Marc et un vendeur. Il se colle un peu à moi me mettant mal à l’aise…

 

Mon voisin m’invite à danser. Mon geste pour me lever vaut acquiescement mais, sitôt levée, tous les regards sont fixés sur moi et je regrette déjà. Il est trop tard. Je franchis les quelques mètres en serrant les fesses, n’osant tirer sur le bas de ma robe et craignant qu’elle ne soit remontée.

 

Mon cavalier m’enlace et me prend la main pour m’entraîner dans un rock endiablé.

Je me sens de plus en plus détendue et mon regard croise régulièrement celui de Marc qui semble statufié.

A plusieurs reprises, la main de mon cavalier m’effleure, me faisant frissonner.

Nous regagnons notre place et Marc est un peu bougon. Il me dit à voix basse : « Cette robe est superbe pour notre intimité, mais ici elle fait un peu indécente, on voit tes bouts de sein à travers le tissu. »

 

Je le regarde avec surprise et, très hypocrite, je lui dis que je ne savais. Si j’avais mis cette robe, c’était pour lui faire plaisir. Il reprend le dessus pour ne pas se montrer ridicule mais je sens bien qu’il est contrarié.

La soirée se poursuit et je danse à plusieurs reprises avec les différents hommes du groupe.

Marc m’a déjà murmuré deux fois qu’il souhaitait rentrer, cela me donne encore plus envie de rester. Des slows remplacent le disco et mon voisin de table me prend la main en signe d’invitation, se penchant vers Marc avec un « Vous permettez ? » qui ressemble à une moquerie. Je suis mon cavalier, et il m’enlace sur la piste, me serrant de plus en plus au fil de la chanson. Ses mains sur mes hanches me semblent toucher ma peau directement. Le moindre glissement me donne l’impression d’une caresse intime. Je suis troublée et, petit à petit, je ressens un autre trouble chez mon cavalier. La bosse dure qu’il appuie sur mon ventre me fait comprendre l’effet que je lui fais. Sentant que j’acceptais son étreinte, mon hidalgo se serra encore plus, me faisant sentir son désir, et ses mains se mirent à bouger sur mes hanches, glissant sur le haut de mes fesses

Il souffla dans mon cou, et lorsque je levai la tête, ses lèvres étaient très proches des miennes, je sentis qu’il allait m’embrasser et je posai ma tête sur son épaule.

 

Un coup d’œil vers Marc me permit de voir qu’il était vert et cela me fit un bien fou…

Vers la sortie, je vis les derniers couples nous faire signe qu’ils partaient. Seuls restaient Jean-Claude, mon voisin de table, Bertrand, mon cavalier, Marc et moi. Le serveur se désintéressait de nous, rangeant son bar. La tête de Marc me faisait jubiler et je faisais en sorte qu’il remarque les attouchements. Plus il devenait sombre plus je m’éclatais.

 

Le disque fini, nous avons regagnés la table, mon compagnon me tenant par la hanche comme si j’étais sienne. Lorsque je m’assis, Marc me prit le poignet en serrant et en me murmurant d’un débit haché : « Bon, ça suffit, tu es ivre et il est temps d’aller se coucher, tu n’es plus toi-même… »

Je lui ai souri en lui disant : « Cela fait des semaines que j’ai trouvé tes cassettes sous le sauna, tu es mal placé pour m’empêcher de m’amuser. » Il resta bouche bée, l’air idiot, muet, le regard affolé.

 

Bertrand, mon dernier danseur, me prit la main et m’entraîna vers la piste. En quelques secondes, un baiser passionné nous soude et ses mains caressent mes fesses en les écartant. Ma robe se relève, un sein jaillit de décolleté. Je m’attends à une intervention de Marc, mais rien n’arrive. Une main quitte mes fesses pour glisser sur ma hanche et accéder à ma chatte humide.

Un plaisir fort me serre le ventre, rend mes seins presque douloureux, des mains fermes me caressent partout, j’ai la sensation que mon con est ouvert, offert, une impression que mon plaisir coule sur les doigts qui me fouillent. Pas à pas, je recule vers les tables, poussée par Bertrand.

 

La table est contre mes fesses, Bertrand m’assoit d’un geste souple et, me caressant d’une main, se dégrafe, sort son sexe tendu et dur que je sentais vibrer contre mon ventre plus tôt. Je le prends dans ma main, et le masturbe lentement, alors que ma peau vibre sous les caresses de Bertrand. Je tourne la tête vers Marc, j’en étais à l’avoir oublié…

Il est livide, ses narines pincées, sa tête fait un "Non" sans conviction, les yeux brillants de larmes. Une joie malsaine m’étouffe.

La grosse queue de Bertrand touche ma fente, la caresse de haut en bas avant de s’engouffrer sans effort dans mon chatte trempée et ouverte. Il s’enfonce loin, très loin. Le plaisir est vif. C’est un plaisir immense, fort, vif, à fleur de peau.

 

Une troisième main me caresse le dos doucement. Je suis dans un flou artistique, mon corps ne m’appartient plus, le plaisir que je ressens est trop fort et mon seul réflexe est de le faire durer.

Jean-Claude devient plus entreprenant, ses deux mains sont sur mon corps, l’une caresse mes seins, l’autre mes fesses, passant régulièrement entre la table et ma peau. Il me soulève et glisse vers mon petit œillet, alors que mon ventre gonfle sous l’assaut de Bertrand qui me pénètre de plus en plus vite. Quand il se met à respirer fort, je sens sa jouissance jaillir dans mon ventre, et mon plaisir contenu explose en un feu d’artifice. J’ai dû crier mais je n’en ai pas conscience. Jamais je n’ai joui comme cela.

 

Toute mon énergie est partie en un instant. J’appuie ma tête sur l’épaule de mon amant, j’ai le vertige. Jean-Claude poursuit ses caresses avec douceur et, lorsque Bertrand laisse sortir son sexe de mon ventre, je ressens un grand vide. La main qui caressait mes seins descend vers mon sexe et, lorsque les doigts touchent mon clitoris, c’est une décharge douloureuse que je sens.

Jean-Claude écarte mes lèvres gonflées et il prend la place de Bertrand. Il a déjà le sexe qui sort de sa braguette.

D’une poussée, il me prend. Mon sexe a dû se refermer car je sens plus nettement la pénétration. Quelques va-et-vient et le plaisir que je croyais épuisé revient, j’avance mon bassin pour mieux sentir la bite volumineuse au fond de mon vagin. La voix de Bertrand me fait sursauter, il dit : « Elle est vraiment chaude cette cochonne! »

 

Je ressens comme un coup de fouet.

Il me pilonne, me sens vulgaire et sale. Ca m’excite. Jean-Claude me soulève par les fesses, se redressant, toujours fiché en moi, je suis comme embrochée, je suis son vit, les cuisses enserrant son bassin, il s’accroupit et se laisse aller en arrière, s’allongeant sur le dos sur la piste de danse en bois. Ce n’est plus de l’amour mais de l’acrobatie. La situation se stabilise et je chevauche mon bel étalon, mes seins balancent un peu chaque fois que je m’empale. Une main caresse mes fesses et deux mains empaument mes seins.

J’imagine que Bertrand me touche. La caresse effleure mon anus plusieurs fois de façon de plus en plus précise. J'essaie de repousser cette main trop indiscrète, mais Jean-Claude prend mes avant-bras pour les tenir devant moi.

 

Un doigt insolent et humide touche ma rosette et essaye de s’introduire dans mon petit trou. Je me cabre et gigote sur le sexe, car mes bras sont prisonniers.

Plus je remue, plus le rythme s’accélère, plus le doigt s’enfonce, plus mon anus s’ouvre et j’ai la sensation de quelque chose de gros qui s’enfonce de ce côté.

Je tourne la tête, ayant senti un mouvement sur ma gauche. C’est Marc qui s’approche, sourcils froncés, l’air mauvais, qui vient stopper les hostilités. Je ne veux pas arrêter : il verra tout jusqu’au bout. Je lui crie « Non, j’en ai envie, laisse-les faire, tu n’as rien à dire où je te quitte ! » Marc reste debout, bras ballants, figé comme une statue de sel.

 

Bertrand appuie sur mon dos et fait cambrer mes reins. Je sens que l’atmosphère se tend et quelque chose de doux caresse ma raie pour s’arrêter sur ma rondelle.

Jean-Claude, toujours fiché en moi, ne bouge plus. Une poussée sur mon anus semble le déchirer. Je ne peux m’empêcher de grimacer. Très vite, la dilatation diminue un peu, mais mon sphincter est empli par une chose intruse. A chaque poussée, la chose progresse à l’intérieur. Ce ne peut plus être un doigt, d’autant que deux mains s’appuient sur mes épaules et deux autres me tiennent par les hanches, je me rends à l’évidence : Bertrand me sodomise.

 

Je regarde Marc dans les yeux, en me cambrant encore plus et en reculant mon bassin pour que les deux sexes s’enfoncent complètement.

Mes deux partenaires accélèrent le mouvement, je sens leur excitation monter et, petit à petit, leur plaisir me transforme en poupée ballottée d’avant en arrière, leurs sexes semblent encore gonfler. J’ai une sensation de déchirure mais le plaisir m’envahit à mon tour, monte, grimpe, me déborde, s’accélère. Je jette la tête en arrière pour crier, je ne peux pas me retenir…

 

Un « Non » hurlé sort de ma poitrine et une vague de jouissance me balaie, la sensation que le bas de mon corps se vide, que ma tête tourne, que je vais m’évanouir, je plonge sur le torse de Jean-Claude comme un pantin désarticulé.

 

Bertrand sort doucement son sexe de mon petit trou, il n’en finit pas, l’impression qu’il mesure un mètre et, soudain, une douleur vive et un grand vide : c’est sorti.

De son côté, Jean-Claude soulève mon bassin pour laisser glisser sa verge de mon ventre. Je me redresse et me relève lentement. Ma robe forme une ceinture autour de ma taille, mes bretelles pendent sur les côtés, je n’ai même pas remarqué qu’elles n’étaient plus sur mes épaules. Je me rajuste, l’opération est rapide mais peu efficace car ma robe tire-bouchonne comme si elle était restée des semaines froissée.

 

Mes jambes me tiennent à peine. Je me dirige vers la sortie comme un zombi. Marc me prend par le bras. Je ne sais pas ce que font les deux autres et je ne me retourne même pas en franchissant la porte. Sitôt à l’air, je me sens mieux et j’entends Marc, la voix cassée, me demander : « Pourquoi ? Pourquoi as-tu fais cela ? »

 

Malgré ma vengeance, la colère est toujours là et ma réponse fuse : « J’avais envie de me faire enculer et de me faire défoncer par deux grosses bites ! Tu regrettes de ne pas avoir emmené ton caméscope ? »

 

Ma réponse l’a scié, il ne me reconnaît plus, et la vulgarité dont j’ai fait preuve l’a mouché. Il bafouille des excuses, me jurant qu’il ne recommencera plus. Je laisse le doute sur ma décision quant à notre couple et nous rentrons silencieux à l’hôtel. Je ne peux m’empêcher de me toucher délicatement l’anus, tant la sensation d’être déchirée est vive mais je suis heureuse : j’ai marqué ma vengeance…

 

Par Sophie de R. - Publié dans : Mes histoires érotiques - Communauté : SALOPE A GANG-BANG
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