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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

4. Je suis femme fontaine !

 

Dans mes précédents récits, je vous ai expliqué comment et pourquoi avec Patrick, mon mari, nous fréquentons régulièrement ce club échangiste situé à une soixantaine de kilomètres de notre domicile. Comme beaucoup de clubs de province, il est situé dans une grosse maison bourgeoise édifiée dans un parc boisé d’un village de la périphérie d’une ville importante.

 

Au départ, nous voulions profiter des installations comme le sauna, les jacuzzis mais nous recherchions aussi des couples qui partageaient les mêmes inclinations que nous, nous exciter en voyant d’autres couples se caresser près de nous. Ensuite, j’ai découvert les joies du saphisme dans les bras de Céline puis une partie carrée sans échange de partenaires, juste une fellation à deux bouches pour faire gicler les deux hommes.

 

Il y a quelques semaines, nous avons sauté le pas ! Pour la première fois, nous avons rencontré un couple, Karine et Serge, qui nous a donné envie d’aller plus loin dans le domaine du libertinage. Patrick avait toujours rêvé de baiser une noire ou une asiatique : Karine était une métisse antillaise. Sans rien savoir de ce fantasme, Serge a proposé à Patrick de faire l’amour à sa femme. Et quand ils ont eu terminé, c’est moi qui me suis enfilée en amazone sur la bite de Serge. Nous avons passé tous les quatre une soirée terrible, pleine de jouissance et de complicité mélangées.

 

Mais vous le savez car je l’ai déjà écrit, ce que je préfère, c’est que deux hommes s’occupent de moi et moi d’eux. Je me livre volontiers à des fellations en double, suçant une queue pendant que je masturbe l’autre ou encore, pendant que j’en ai une en bouche, le second homme me prend en levrette, pénétrant soit ma chatte soit mon cul qui désormais est bien ouvert grâce à la préparation que je lui ai fait subir pour accueillir facilement une bite de taille normale.

 

Pendant plusieurs mois, lors de ma toilette du soir, j’introduisais dans mon anneau plissé des plugs de plus en plus gros que je conservais jusqu’au matin ou alors, quand Patrick avait envie de jouer les coquins, j’utilisais un gode gonflable pour bien dilater ma rondelle. C’était mon homme qui gonflait et dégonflait l’appareil au gré de son envie, glissant en même temps du gel assouplissant dans mon sphincter. Mais c’était tout d’abord pour lui faire ce plaisir : lui donner facilement accès à mes deux orifices…

 

J’aime aussi quand l’un me baise, branler le second entre mes seins généreux pour une branlette espagnole complétée par des passages dans ma bouche. C’est d’une manière plus générale ma façon de préparer le second mec à me baiser dans la foulée du premier pour me faire ressentir des orgasmes à répétition. C’est justement lors d’une de ces séances que j’ai fait cette découverte qui m’a surprise autant que Patrick qui en a été le bénéficiaire involontaire. Heureusement d’ailleurs, car si çà m’était arrivé avec un autre homme, j’en aurais été gênée.

 

Selon notre bonne habitude, nous étions d’abord passés par le hammam où nous avions bien transpirés en éliminant toutes les toxines accumulées au cours des jours écoulés. Après une douche fraîche nous nous sommes rendus dans le local des jacuzzis où nous nous sommes laissé bercer par les remous et les bulles qui frôlaient nos corps. Avec Patrick, nous savourions ces instants bénis que nous recherchons à chaque fois que nous venons dans ce club. Ensuite, nous sommes passés dans la salle où se trouvent des tables de massages avec toute une série d’huiles et d’onguents parfumés avec lesquels mon homme a massé mon dos puis, m’étant retournée, il s’est occupé des mes seins, de mon ventre pour finir entre mes cuisses. Comme la plupart des locaux du club, cette salle ne comporte pas de porte aussi quand j’ai été sur le dos, un mateur est venu s’encadrer dans le passage. J’avais les cuisses entrouvertes pour que Patrick me masse le périnée, passant de ma chatte à mon petit trou que je sentais palpiter.

 

Le mec nous a matés pendant tout le temps où Patrick massait mon ventre et mon entrecuisses. Par-dessus son boxer, il caressait doucement son sexe bien bandé mais du fait de ma position, je n’en voyais pas les détails. Soudain il s’est approché :

« Je m’appelle Ludovic ! Je peux me joindre à vous ?

- OK ! Occupe-toi du haut, je conserve le bas pour l’instant. Nous, c’est Lydia et Patrick. »

 

Comme Patrick venait de lui donner le feu vert, le mec s’est penché sur ma bouche et m’a donné un baiser profond où sa langue s’est mêlée à la mienne. Ensuite, il s’est penché sur mes seins pour mes embrasser eux aussi et mordiller les tétons. En fait, il se contentait de les prendre entre ses lèvres pincées et il agitait sa langue sur le bout ! Waouh ! Que c’était bon ! J’avais chaud de partout et ce n’était pas le résultat du massage.

 

Pendant qu’il s’occupait de ma poitrine, j’ai tendu la main pour aller caresser son sexe par-dessus le tissu du boxer puis je suis parvenu à le faire glisser pour découvrir la bite et les bourses. J’ai poursuivi mes caresses en me tournant légèrement pour que Ludovic puisse accéder à ma bouche : j’avais envie de sucer cette belle queue au gland circoncis, assez longue et de taille moyenne, de la prendre dans ma bouche pour achever de la faire grandir et grossir. Le temps du massage était terminé !

 

Patrick venait de commencer un cunnilingus très appliqué ! Ce coquin savait comment achever de m’exciter ! De la pointe de sa langue, il était allé débusquer mon bourgeon d’amour et le suçait comme un bonbon entre ses lèvres. Ensuite, il est descendu entre mes lèvres et je l’ai senti darder sa langue à l’entrée de mon vagin pendant qu’il glissait un doigt dans mon anneau plissé.

 

Patrick m’avait si bien préparée qu’une première jouissance a déferlé en moi, rien qu’avec ces caresses savantes de l’un et de l’autre et l’excitation de la situation ! Deux hommes rien que pour moi ! Que j’aime cette situation dans laquelle je m’offre totalement à eux après qu’ils se soient occupés de moi ! Je sentais la cyprine s’écouler doucement entre mes lèvres intimes et mouiller mon anneau plissé. S’adressant à Ludovic, Patrick dit pour nous deux :

« Vas-y, passe en premier, elle est bien ouverte, prends la comme tu veux !

- Oui, d’accord ! Lydia, mets toi en appui sur la table, je vais te baiser en levrette ! »

 

Je n’en demandais pas tant ! J’ai pris la position aussitôt, heureuse que Ludovic ait choisi cette posture ! J’allais pouvoir sucer Patrick sans difficulté en face de moi pendant que je serais baisée ! Le pied total ! Ma chatte et ma bouche pleines d’une bitte qui allait gicler pour moi ! Ludovic s’est couvert et il est venu se placer derrière moi, se collant contre mes fesses pour venir prendre mes seins à pleine main, faisant à nouveau rouler mes tétons entre ses doigts. Puis, il s’est reculé légèrement et j’ai senti qu’il me pénétrait. Il est entré dans ma chatte si facilement tant j’étais inondée par tout ce que ces deux coquins m’avaient déjà procuré comme caresses et jouissances.

 

Il m’a limé de longues minutes, alternant des pénétrations rapides et plus lentes en me tenant à deux mains autour de ma taille. Je sentais son ventre se coller contre me fesses et ses couilles frapper contre ma fente qui ruisselait de plus en plus. Je sentais dans mon ventre cette boule chaude qui l’envahit lorsque ma jouissance est proche… mais au moment où Ludovic éjaculait au fond du préservatif, mon plaisir est arrivé soudainement. Nous avons poussé l’un et l’autre un cri de fauve au moment où la jouissance nous tétanisait. Sur la fin, Patrick s’était retiré de ma bouche, j’avais devant les yeux sa bite bandée à mort et pendant que je me faisais sauter, il me disait des mots tendres à l’oreille :

« Oui ma chérie, laisse-toi baiser, sens comme c’est bon ! »

 

Oh oui ! C’était bon ! En peu de temps, j’avais déjà joui deux fois, et quelles jouissances ! Je savais que Patrick n’attendait plus qu’une chose, que ma chatte ou mon cul soient libres pour qu’il puisse me prendre à son tour… Et çà n’a pas tardé ! Ludovic s’est dégagé et est venu se placer devant mon visage, la bitte encore couverte et à peine débandée. J’ai immédiatement compris ce qu’il souhaitait : que je toilette sa queue avec ma bouche. Je n’avais rien contre d’autant que j’aime retrouver sur ma langue le goût de ma cyprine et sentir l’odeur qui émane de ma chatte après la jouissance. J’aime tellement çà qu’il m’arrive fréquemment de me caresser avec un godemichet et de le sucer ensuite pour retrouver ces sensations. Au sein du club, j’ai par ailleurs la réputation d’être une bonne pipeuse qui fait bander les mecs en un rien de temps, faisant assez souvent des gorges profondes lorsque la queue que je suce n’est pas trop volumineuse…

 

Dans le même temps, Patrick est venu se placer derrière moi, toujours en levrette, la bite de Ludovic enfouie dans ma bouche où je dégustais le sperme qui s’en écoulait encore et celui qui la maculait. Comme c’est mon homme qui allait me baiser, il n’avait pas besoin de se couvrir. D’une longue poussée il a pris possession de ma chatte, collant son pubis contre mes fesses et restant ainsi de longues minutes pour que je savoure son beau membre au fond de moi. Puis il a commencé à me limer bien à fond, sortant puis rentrant à chaque fois de ma chatte dans de longues poussées lentes et puissantes. Qu’il bandait bien ! En même temps, il titillait mon anneau plissé du bout d’un doigt, entrant une phalange qu’il laissait immobile… Que c’était bon…

 

Ludovic, la bite propre nous a remerciés de l’avoir accepté puis il nous a quittés… certainement pour rejoindre celle avec qui il était arrivé au club ou une autre femme. Patrick continuait de me baiser en puissance ! Nous étions bien excités de tout ce que nous avions déjà vécu ce soir et je sentais à nouveau cette boule chaude m’alourdir le ventre et des frissons remonter le long de mon dos. Chaque fois que mon homme arrivait au fond de moi, je poussais ces petits couinements aigus qui ont le don de l’exciter encore plus ! Nous étions observés par un groupe de voyeurs, deux femmes et deux hommes qui se caressaient mutuellement en nous matant ! J’aime bien être le centre d’intérêt lorsque je suis en club !

 

Malgré mes trente-sept ans, je n’hésite pas à me trémousser ou à danser à la barre, offrant à tous la découverte progressive de mes seins opulents, du petit bijou qui orne mon nombril et mon pubis rasé et de mes fesses largement fendues ! Quand je quitte la barre ou la cage, je suis bien excitée ! En plus, j’ai fait naître le désir chez les hommes qui m’ont regardée… mais ce sont d’autres qui profitent de cette excitation.

 

Notre plaisir montait et je sentais que nous n’allions pas tarder à jouir. Soudain Patrick accéléra ses mouvements de va et vient et moi, je sentais que ma chatte de plus en plus humide. Puis la déferlante est arrivée ! Patrick a lancé plusieurs belles giclées de sperme au fond de mon vagin et aussitôt je me suis mise à jouir comme une folle, m’agitant dans tous les sens, criant mon plaisir à haute voix. C’est à ce moment-là que Patrick a enfoncé son doigt au fond de mon sphincter. Je ne sais pas ce qu’il a déclenché, mais brutalement le jaillissement de plusieurs jets liquides nous a surpris, qui sortant de ma chatte ont inondé le pubis et le haut des cuisses de mon homme ! Je viens de faire la fontaine !!!

 

Je savais que ce jaillissement existait chez d’autres femmes qui m’en avaient parlé, mais moi-même, je ne l’avais jamais expérimenté.

« Bravo Lydia ! Depuis le temps que tu voulais être femme fontaine !

- Oh oui ! C’est merveilleux ! Que c’est bon de se libérer ainsi ! »

 

Après une dernière douche prise ensemble, nous sommes rentrés à la maison où Patrick m’a fait l’amour une nouvelle fois, toute empreinte de douceur et de tendresse.

 

Quelques jours plus tard, dans l’intimité de notre chambre Patrick a de nouveau fait jaillir ma fontaine ! Désormais, nous savons ce qui la déclenche : une excitation mutuelle au plus haut, une belle saillie virile dans ma chatte et un doigt (ou un petit gode) dans mon sphincter.

 

….à suivre.

Par Gérard le Matou - Publié dans : Le Matou Libertin - Communauté : REALISEZ ENFIN VOS FANTASMES!.
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