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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Propriété intellectuelle

Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Voici une petite aventure qui m'est arrivée il y a quelques mois maintenant.

J’avais rencontré dans le cadre de ma profession un homme de 43 ans. C’était un homme plutôt séduisant et prenant soin de lui. Sportif, plutôt intelligent, il était assez drôle, beau parleur, intuitif, l’homme presque idéal en somme. Mais la perfection n’existe pas.
Après plusieurs tentatives, il avait réussi à me convaincre de dîner avec lui.


J’avais très envie de lui mais je ne voulais pas passer pour une affamée de sexe, ni le lui montrer. Il me fallait donc être sexy mais pas trop, suffisamment provocante tout en étant élégante. Je me suis donc habillée et coiffée en conséquence. Après avoir pris un bain à l’essence de rose et de violette, je me suis vêtue d’un ensemble en soie et dentelle noir: un petit soutien gorge à balconnet et son shorty assorti.

 

Un porte jarretelle et une paire de bas. Une petite robe gris satinée, droite, cintrée, un petit décolleté laissant apparaître la naissance de mes seins, finissant au dessus du genou, et une veste courte assortie. Pour compléter l’ensemble, une paire d’escarpins. Un chignon terminait mon look chic sexy et un peu strict.

Il m’avait donné rendez-vous devant chez moi. Je me l’imaginais en retard, mais il est arrivé une dizaine de minutes en avance. Je l'ai rejoint alors à l’extérieur et découvrais une magnifique voiture, une Jaguar, coupée. Galant, il m’a ouvert la portière, non sans m’avoir complimentée sur ma beauté et mon élégance.

Dans la voiture, il n'a pas cessé de regarder mes jambes et j'avoue que je faisais exprès de les bouger langoureusement pour l’exciter. Lorsque sa main se posait sur le pommeau du levier de vitesse, le hasard amenait mon genou si proche que nos peau se frôlaient.

Arrivés au restaurant, galamment, il m’a ouvert la portière. Je suis sortie de la voiture comme une star, lui tendant la main.
Il m’avait sorti le grand jeu, un restaurant !!! (trois étoiles), repas très fin, service impeccable… un régal et plein de petits jeux de mots servant à nous exciter. Nous sommes pourtant restés très sages. Ce n’est qu’au moment de partir, en m’aidant à enfiler ma veste, qu’il m'a glissé à l’oreille :

« J’ai très envie de vous. Si nous allions prendre un verre chez moi ? »

 

Je l'ai regardé en souriant et répondu :

« Vous en avez mis du temps à me le proposer !! », le regard coquin.

Le trajet n’a d’intérêt que par les regards coquins et ses doigts qui me caressent timidement les genoux.

En arrivant à proximité de chez lui, il a sorti une télécommande de sous le tableau de bord. Un immense portail s'est ouvert et nous avons pénétré dans une propriété impressionnante. Jardin paysager, bien entretenu, maison cossue, high-tech, piscine couverte, éclairée. Je dois avouer que je me suis sentie impressionnée et intimidée par l’ensemble. Nous sommes entrés, et il s’est empressé de m’embrasser et de me caresser. L’animal semblait vouloir directement me faire passer à la casserole. Ce n’était pas pour me déplaire, mais j’avais envie de jouer un peu avec lui, le faire languir pour mieux en profiter ensuite.

Je le repousse doucement en lui disant : '

« Doucement, vous m’aviez proposer un verre. »

 

Gêné, il balbutie :

« Excusez-moi, je suis désolé, passons au salon. »

 

Il m’indique le chemin et je le précède. J’entre dans le salon et découvre un espace impressionnant dans lequel trône un billard immense. Je me retourne, et lui dis :
« Hummm, un billard, j’adore.
- Vous savez jouer ? »


Je lui explique que mon père est un inconditionnel et qu’il m’a initiée au billard français puis de façon ingénue, mais parfaitement calculer, je lâche un :

« Vous savez moi, dés qu’il y a une queue et des boules, je suis fan ! »

 

Il me répond qu’alors, je dois savoir jouer au billard américain. Il me propose aussitôt un verre autour d’une partie. Me collant à lui, la main jouant du col de sa veste et le regardant dans les yeux, je lui rétorque :

« Mais je ne joue jamais sans enjeu, moi. »

 

La coquine en moi se réveille.

« Et que proposez vous mademoiselle ? »

 

Je réfléchis, faisant le tour du billard.

« hummm, voyons voir………. Chaque fois que l’un de nous rentre une boule, l’autre retire un vêtement. Qu’en pensez-vous ? »

 

Je le vois alors, un large sourire aux lèvres, répliquant :

« Banco, jeune fille ! »


C'est fou à quel point j’aime ce genre de pari et à quel point j’aime les perdre !!!!!!
Nous préparons alors les boules et je casse. Mince, pas une boule ne rentre. Je lui laisse la main et il met une boule dans une poche. Il me regarde, souriant.
« Commençons doucement et enlevez votre veste.
- Bien monsieur… »


Je m’exécute et retire ma veste. Me voici en robe. il retente un bille mais la rate. Je prends la main et, quelle maladroite, la bille ne rentre pas. Je le vois jubiler et je m’en amuse intérieurement. Son tour, une bille.

« Détachez vos cheveux.

-  Bien monsieur. »

 

Lui aussi semble s’amuser de la situation car il fait exprès de louper une boule. Je prends la main et pour ne pas montrer mon but, je mets une bille et lui demande de retirer sa veste, puis manque la suivante. A son tour, il met une bille et m’impose de retirer ma robe. Je feins une gène et retire ma robe. Il découvre alors mes sous-vêtements, et les formes qu’ils cachent. Je lis dans ses yeux, surprise, joie, excitation. Tous ces sentiments mêlés lui font involontairement manquer la suivante. Comme à mon habitude, je manque la bille et lui redonne la main.
« Mademoiselle, ne jouez pas votre vie, vous risqueriez de la perdre !
- Vous avez raison, je suis désolée de mon manque de professionnalisme à ce jeu…
- Ne vous excusez pas, tout le plaisir est pour moi. »


Et vlan, une boule.
« Je crois que j’ai gagné le droit de découvrir votre poitrine. »

Et j'adore le double sens de ce mot « découvrir ».
« Je crois qu’il va falloir que j’use de mes charmes pour éviter de me retrouver dans une situation pour le moins inconfortable. »


Je m’approche de lui et telle Marianne face à Robin des bois ( je parle du film avec K. Kosner), je tente la diversion sensuelle d’un souffle à son oreille. Ce qui a effectivement la conséquence de lui faire manquer son coup. Quelque peu amusé de la situation, il me dispute gentiment et me laisse la main qui n’est volontairement pas plus heureuse. Il se met en place et passant derrière lui, je lui donne un léger coup de rein au moment où il frappe la bille, mais ce mouvement de ma part n’a pas le but escompté (quoique...), puisque la bille visée finit sa course dans une poche. Jubilant, souriant de toutes ses dents, il me dit :
« Diversion inutile jeune fille, retirez ce magnifique shorty !! »


Et me voici en porte jarretelles et escarpins, devant cet homme triomphant, le torse bombé. Je rougis, mime l’embarras mais le but est atteint: me retrouver nue devant lui. Je lui rétorque que le jeu n’est pas fini. Je me place pour jouer mon coup. Il n’est plus dans mon champ de vision. Alors que je suis penchée sur la table, je sens une caresse remonter le long de ma jambe depuis ma cheville. Je reconnais la circularité et la dureté de la flèche de la queue de billard caresser le bas que je porte. Doucement elle monte le long de ma jambe, puis de ma cuisse. Dans ma position, je baisse la tête et le vois assis sur un tabouret. Nos regards se croisent et il me dit :
« Ainsi, vous vouliez me déconcentrer ? A mon tour maintenant. »


Je souris sans qu’il le voit (du moins je le pense) et reprends ma position. La queue parcourt ma cuisse et arrivée presque à mon sexe, elle redescend de quelques cm avant de quitter ce contact si sensuel. Pour peu de temps puisque qu’elle reprend contact quelques secondes plus tard pour se poser sur mon autre cheville et reprendre son chemin. Mais évitant soigneusement mes lèvres, il fait passer l’objet d’une jambe à l’autre. Ne bougeant pas, je le laisse jouer ainsi. N’était-ce pas, après tout, ce que je cherchais ?


Puis il décide de passer à des choses plus sérieuses. Après quelques secondes de manque de contact, je sens alors le bois verni, se poser, froid, sur mes lèvres déjà chaudes de désir. Ce contact m’arrache un gémissement et provoque un soubresaut de tout mon corps. Alors, ce phallus improvisé glisse le long de mon sexe, écartant mes lèvres palpitantes d’envie. C’est si doux, si sensuel que mes gémissements se font plus sonores. Il le comprend et accentue ce va et vient en appuyant sur mes lèvres. Je lâche la queue de billard que je tiens en main.

 

Sans qu’il le voit, ma langue parcourt mes lèvres, que de temps en temps, je mordille doucement pour ne pas hurler mon plaisir trop vite. Je me sens à sa merci et j’aime ça. Puis d’un coup, le contact se rompt. Esquissant un mouvement pour me relever et tourner la tête, je l’entends m’ordonner de ne pas bouger. Je m’exécute. Je ne vois rien et entends un léger bruissement que je ne peux identifier.

 

Au bout que quelques secondes, je sursaute au contact d’un surface, tout aussi ronde, dure et boisée que précédemment, mais bien plus grosse. Je comprends alors qu’après la flèche, c’est le fût de la queue qui goûte aux joies de mon intimité. Elle reprend ce lent et pressant mouvement contre les lèvres. Sa main se pose alors sur ma fesse et remonte le long de mon dos, dessinant ma colonne vertébrale.

 

Cette main douce m’électrise, provoque une chair de poule. Je me cambre pour lui donner plus de facilité. Ce morceau de bois écartant mes lèvres, vient caresser mon clitoris. Ce contact m’arrache un gémissement et un spasme trahissant mon plaisir. Cette main parcourt tout mon corps, s’attarde sur mes seins qu’il ne presse pas mais caresse. La douceur de ce contact décuple mon plaisir. Il augmente encore lorsqu’il me dit à l’oreille :

« Mais on dirait que t’aime ça, ma belle ! Je ne te pensais pas aussi chienne. Et j’adore les chiennes ! »

 

Le fût percute alors doucement mes lèvres. L’homme s’enhardit et devient plus sauvage. Chaque petit coup, me procure un plaisir, que j’exprime par un gémissement sonore.
« Hummm, oui bébé, gémis, je vais te baiser comme une chienne. »


Je pose alors le genou sur le bord du billard. Il laisse tomber son instrument et ses doigts prennent alors sa place. Mon humidité l’étonne et il me le fait savoir :

« Hummm j’aime comme tu mouilles ! »

 

Ses doigts s’insinuent en moi puis sa langue les rejoint. Il me saisit et me couche sur le billard. Une bille traînant à sa portée finit par parcourir mon corps dans tous ses recoins. Je la sens rouler sur mes seins, mon ventre…


Très vite, son éducation laisse place à son animalité. Et il devient fougueux. Après quelques instants, il se redresse et prend possession de mon corps.

 

 

 

Signé : Miss K.

Par Miss K. - Publié dans : Vos contributions - Communauté : Le Cercle des libertines
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