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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Femme
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Le taxi vient stopper au 18, rue des Herbiers, devant les baraquements du chantier de son mari. D’étroites planches servant de passerelle mènent aux différents préfabriqués. Elles disparaissent par endroits dans le sol rendu boueux par les incessantes pluies de la semaine précédente. La porte s’ouvre, et Astrid, stupéfaite voit son mari lui tenir la porte

 

Sans un mot, il la prend par le bras, et passe à son cou un collier de chien, clouté de strass. Puis il fixe une longue laisse au collier de chien qui lui ceint le cou. Astrid, médusée, n’ose protester. Il l’entraîne à sa suite sur les planches bancales en direction d´un hangar de tôles Elle trébuche sur les planches instables. Finalement, ils entrent enfin dans le hangar, accueillis par un homme trapu. « Vous voilà enfin ! Je veux bien donner du bon temps à mes gars, mais faudrait pas q´ils prennent trop de retard dans le boulot. »

 

Plusieurs ouvriers sont entrés dans le local. L’homme trapu les interpelle :

« Approchez, messieurs ! Venez tâter la marchandise ! »

Les hommes s´avancent, presque timidement, ils sont maintenant une vingtaine, noirs, magrébins, en combinaison de travail. Cinq, plus hardis, commencent à palper le corps d’Astrid, frissonnant de crainte. Elle ne s’attendait pas à une telle punition. Maintenant, elle a vraiment peur…

 

Leurs mains calleuses et pas toujours très propres, caressent la peau couverte de chair de poule. Leurs gros doigts, bientôt, s’insinuent entre les fesses rebondies. Ils écartent fermement les cuisses de leur victime morte de honte. Ils fouillent sans ménagement son entrecuisse dépourvu de toute pilosité, tandis que d´autres malaxent avec délectation les gros seins aux aréoles durcies par une excitation qu’elle ne s’explique pas…

 

Les commentaires salaces commencent à fuser avec l´excitation qui monte :

« Putain ! Quels nichons elle a ! »

« Et ce cul ! je vais la défoncer cette salope »

« T´as vu sa chatte complètement rasée ? Et elle mouille la garce ! »

« Bordel ! J´ lui ai mis un doigt dans le trou du cul ! Ca rentre tout seul »

« NOOON, PITIE ! Laissez-moi tranquille ! »

 

Le visage maintenant noyé de larmes, Astrid, humiliée, mortifiée, supplie, tandis que les mains qui explorent ses orifices lui arrachent un cri de douleur.

 

Edmond, son mari, vient tempérer l’ardeur grandissante des ouvriers.

« Attendez, les gars ! Vous allez pouvoir tous la baiser, mais avant, il faut que je fasse les présentations ! Astrid est ma femme, Elle a voulu me tromper. J’entends la punir par là où elle a péché. 

Elle est à vous messieurs ! Prenez là par tous les trous, elle adore ça ! »

 

Déjà, deux hommes se sont précipités, et ouvrent fébrilement leurs combinaisons de travail pour en extirper leurs verges congestionnées. Saisissant sans ménagement Astrid par les hanches, l’un d’eux la met à quatre pattes et s’agenouillant derrière elle, la pénètre d´un grand coup de reins en poussant un cri de victoire.

 

Une deuxième bite vient de la bâillonner. Une main crochée dans ses cheveux, l´homme, un arabe, grand et maigre, lui pistonne la bouche, enfonçant sa verge sombre et cambrée jusqu´aux testicules. Ils jouissent rapidement et presque simultanément en poussant des grognements de plaisir. Immédiatement, deux autres les remplacent et un troisième présente lui aussi sa verge devant le visage d’Astrid. Petit à petit, une vague de plaisir l’envahit, complètement passive quelques instants plus tôt, elle commence à lancer ses fesses au devant du dard qui la pénètre, ses cris deviennent râles, alors qu’elle passe d´une queue à l’autre, la bouche dégoulinante de salive.

 

De façon très surprenante, l’humiliation d’être traitée comme un objet et exhibée comme une bête, la précipite vers un orgasme formidable que rien ne peut endiguer.

Elle se met à crier et à ahaner de plus en plus fort. Lorsque les deux hommes devant elle éjaculent ensemble en longs jets épais sur sa figure, et que le troisième se retirant de son vagin détrempé lui englue littéralement la raie des fesses avec sa semence, elle jouit en poussant un long cri rauque qui se termine en violents sanglots.

 

Les hommes agglutinés autour d’elle s’écartent brusquement pour laisser passer un colosse noir, entièrement nu qui s’avance la bouche ouverte sur un large sourire. Son sexe, semblable par sa taille et sa forme à une massue préhistorique, bat contre son ventre proéminent au rythme de sa démarche lourde.

« Regarde ce que tu va prendre dans le cul, ma belle », lance un des ouvriers.

 

Un concert d’exclamations enthousiastes accueille la hideuse proposition. Astrid, toujours agenouillée, coudes au sol, redresse la tête. Quand elle aperçoit la monstrueuse mantule, elle se met à trembler de tous ses membres. Alors que le géant vient se placer derrière elle, Astrid rassemblant ses forces bondit entre les ouvriers surpris, mais elle est stoppée net dans son élan par son mari qui la ramène à sa place, sur le sol dur.

 

Le noir, un instant contrarié, saisi fermement les hanches rondes de ses mains puissantes et ployant les genoux, il tente de glisser son sexe démesuré entre les fesses désespérément crispées d’Astrid, qui hurle de douleur. Cette fois-ci, elle a réellement mal.

« Nooooon ! Edmond, il est trop gros, il va me déchirer !

- Eh bien, ma chérie, ainsi, tu serras peut-être définitivement guérie de tes turpitudes ! »

 

Soufflant et suant, l’homme tente en vain de forcer le passage. Sous l’acuité de la douleur, Astrid oublie de crisper ses muscles fessiers. Profitant de l´occasion, le black franchit la résistance illusoire avec un cri de triomphe.

Le gland hypertrophié force le sphincter anal qui s’ouvre brusquement sous la formidable poussée. Un hurlement fantastique résonne dans le hangar, la tête violemment renversée en arrière vient cogner l’épaule de l’homme qui la socratise. Les muscles tendus à se rompre, Astrid, dont le corps s’est couvert de chair de poule, tremble convulsivement en hurlant à se déchirer les cordes vocales.

 

La brute, les mains solidement crochées dans les hanches de sa victime, marquant une pause, se délecte de sentir l’anus distendu à la limite de la rupture, palpiter autour de son membre monstrueux. Puis, glissant une main sur la vulve d’Astrid, il pince de toutes ses forces le clitoris rendu sensible par les pénétrations précédentes.

Encore deux ou trois poussées sauvages et les lourds testicules viennent frapper les fesses brûlantes d’Astrid, qui crie sans discontinuer. Edmond reste impassible. Sa femme lui en veut à mort.

 

Les insultes fusent :

« Enculée à fond la salope ! »

« Vas-y Mamoud, ramone-la, cette pute. »

« Putain ! Quelle bite il a ce salaud »

 

Lentement, à coups de reins puissants, le sombre athlète commence à aller et venir dans les reins d´Astrid, faisant redoubler ses cris. La verge noire luisante des sécrétions intestinales se fore un passage, et lorsqu´elle se retire, le sphincter semble aspiré vers l’extérieur. Telle une corolle rendue livide par l’étirement, elle glisse le long du membre comme une bouche. Au fil des minutes, les hurlements d’Astrid se transforment en cris rauques, alors que l’homme, dégoulinant de sueur a augmenté l’amplitude de ses va-et-vient. Il retire entièrement son sexe pour l’enfoncer à nouveau avec un « han » de bûcheron. Et puis, pour aussi incroyable que cela puisse paraître, malgré ses traits marqués par une terrible douleur, Astrid commence à lancer ses fesses au devant de l’énorme mantule, faisant claquer les masses élastiques de son postérieur contre le ventre proéminent.

 

Ses cris sont devenus des râles sourds, entrecoupés de sanglots hystériques, elle jette sa tête en tous sens, roulant des hanches au rythme de la pénétration.

Redoublant d´ardeur le noir se met en devoir de la pistonner de toutes ses forces en grognant de plaisir. Astrid, comme prise de folie, crie de douleur et de plaisir confondus :

 

Rendu fou par l’injure et le plaisir, le colosse noir délaissant les hanches de la fille, empoigne à pleines mains les gros seins et saisissant les tétons, il les presse sauvagement entre ses gros doigts. Le pincement qui lui ravage les mamelons fait franchir le pas à Astrid, vers un orgasme démentiel. Tandis que le noir pousse frénétiquement sa verge monstrueuse dans ses entrailles, il éjacule en rugissant Et astrid se met à jouir en hurlant à tous son plaisir obtenu dans des conditions terribles

 

Les derniers jets de foutre jaillissent dans les intestins d´Astrid qui se tortille convulsivement en criant qu’elle en veut encore. Le gros membre encore palpitant, se retire du rectum enflammé en glissant grassement. L’homme administre une claque retentissante sur les fesses de sa partenaire et s’éloigne vers ses compagnons d’un air triomphant, sa verge lui pendant jusqu’à mi-cuisses.

 

Tournant un regard chaviré vers les hommes qui l’entourent, elle lance d’une voix rauque : « Encore... j´en veux encore ! Baisez-moi, bande de salauds... Donnez-moi vos bites ! Remplissez-moi de foutre ! Venez ! »

 

Pour la première fois depuis cette terrible expérience, Edmond semble ébranlé et inquiet... Il ne s’attendait pas à ce que sa femme soit aussi avide de sexe, même dans ces conditions si dures…

C’est alors le début d’un délirant gang-bang. Aussitôt, un autre black, équipé lui aussi d’une verge impressionnante bien que plus modeste que celle de son comparse, s’accroupit au dessus des fesses d’Astrid et l’empale d’un coup jusqu’aux testicules. Un autre homme s’agenouille derrière elle, et force de son gland massif le sexe luisant de mouille. Doublement embrochée, elle pousse un feulement de plaisir. Trois autres mâles s’agenouillent devant elle pour lui frapper le visage de leurs queues congestionnées.

Comme hystérique, elle engloutit alternativement les trois membres, criante, hoquetant et le souffle court, tandis que les deux hommes derrière elle, la pistonne comme des sauvages.

Elle hurle, emportée par un premier orgasme, puis un deuxième et aussitôt après un troisième, tandis que les hommes éjaculent les un après les autres sur son visage en jets épais et gluants. Le sperme poisse ses cheveux, s’accroche à ses longs cils, englue ses joues, son front et dégouline de sa bouche mêlé à sa salive. Le noir se retire brusquement des fesses de la jeune femme et la saisit sauvagement par les cheveux pour l’obliger à tourner la tête vers sa grosse queue, formidablement tendue, qu’il empoigne pour se branler frénétiquement en insultant la fille.

« T’es un vrai sac à foutre ! Tiens grosse salope, je vais te cracher ma purée à la gueule ! »

 

La main crispée sur sa verge, il jouit en râlant, lâchant une quantité de foutre impressionnante en giclées interminables, recouvrant littéralement la figure d’Astrid qui hurle de plaisir embrochée par le deuxième homme qui a abandonné sa vulve pour se planter dans son anus et l’inonder de sa semence. Délivrée de ses partenaires, à genoux, tremblante, le regard planté dans celui du black qui vient de la sodomiser, elle passe ses mains sur sa figure et étale le sperme sur ses seins en les massant sensuellement. Trois hommes la saisissent par les bras et les jambes et l’emmènent vers une sorte d´établi sur lequel un arabe est déjà allongé, nu, le sexe dressé. Ils l´allongent à plat dos sur l’homme qui plante sans difficulté sa verge dans l’anus d’Astrid qui râle de plaisir.

 

Un autre magrébin monte sur le meuble et s’agenouille de part et d’autre des jambes de son compagnon. Il pose les chevilles de la jeune femme sur ses épaules et la pénètre d´un grand coup de reins.

Un troisième ouvrier enjambe son buste, et glisse sa verge entre les gros seins pour se branler. La tête d’Astrid, complètement renversée en arrière, dépasse de l’extrémité de l’établi. Deux mâles en profitent pour enfoncer chacun leur tour leurs bites dans sa bouche, la faisant hoqueter.

 

Embrochée par tous ses orifices, elle a encore la ressource de saisir les queues de deux autres gaillards qui s’étaient placés de chaque côté dans l´espoir de se faire sucer. Bientôt, ce n´est que grognements, ahanements, hurlements de plaisir, râles de jouissance, sanglots hystériques. Les hommes éjaculent les uns après les autres dans sa bouche, sur sa figure, entre ses seins.

 

Dès qu’un à jouit, un autre le remplace. L’arabe qui la sodomise a déjà joui, mais il bande toujours et continue de la pistonner, pendant que trois autres se sont succédés dans le sexe gorgé de sperme. Un quatrième plonge furieusement sa queue dans la vulve écarlate et dégoulinante faisant littéralement gicler le trop plein de foutre qui, mélangé à la cyprine coule sur les testicules des deux hommes. Tous les mâles se sont soulagés au moins une fois, mais certains toujours excités. N’ayant pas eu de femmes depuis des mois, ils reviennent une seconde fois profiter de cette femelle offerte.

 

Le black à la verge monstrueuse de nouveau formidablement dressée, vient aussi s’agenouiller entre ses cuisses, et la pénètre lentement, lui écartelant les cuisses au maximum. L´énorme gourdin qui la dilate à l´extrême, la fait hurler de douleur et de plaisir. Encore une vingtaine de minutes de pénétrations violentes, de sodomies sauvages, de fellations forcées, puis les hommes quittent un à un le hangar.

 

Astrid, abandonnée, bras en croix, cuisses écartées, gît sur l’établi, gémissante, tremblante d’épuisement. Elle n’a jamais subi de telles épreuves, et jamais autant joui.

 

Le contremaitre s’adresse à Edmond, tout de même écœuré par ce que sa femme a subi. Il ne sait pas si c’est parce qu’elle a été littéralement violée, ou si c’est parce qu’elle y a trouvé un plaisir certain… Tel est pris qui croyait prendre…

 « Vous en avez de la chance, Monsieur. Je n´ai jamais vu une salope pareille et en plus elle est gaulée comme un top-modèle !»

- Oui, elle m’étonne chaque fois un peu plus, rétorque Edmond, vaguement mal à l’aise.

 

Il aide Astrid a se relever, son mari la ramène à la voiture, toujours avec son collier de chien autour du cou, sous le regard amusé de quelques ouvriers qui ont repris le travail à l’extérieur. Ils échangent quelques mots en ricanant.

 

Arrivée à la maison, délivrée de son collier et de s sa laisse, la jeune femme se plonge avec délice dans un bain parfumé que lui à préparé son fidèle majordome, compatissant, mais silencieux. Elle et va ensuite se glisser dans les draps de son immense lit, dans lequel elle va dormir une journée et une nuit complète, rêvant de pseudo viols, de partouzes gigantesques.

 

Deux jours plus tard, Edmond entre dans la chambre conjugale.

« Astrid, tu m’as vraiment surpris. Je suis effaré par ce que tu as accepté, enduré. Et surtout, je suis sidéré par le plaisir que tu sembles y avoir pris…

- Mon chéri, tu sais, depuis quelques mois, j’ai découvert les joies du sexe que tu me refusais… J’ai alors pris mon plaisir où il se retrouvait.. Sans toi !

- Je me rends compte de mon erreur. Je ne pensais pas qu’une femme telle que toi, élevée dans les principes d’une éducation stricte et religieuse, pouvait se dévergonder ainsi…

- C’est arrivé par hasard, avec nos ouvriers jardiniers. Depuis, je n’arrive plus à m’en passer. Mais toi, tu restais sourd à mes tentatives de séduction… Alors, je me suis résignée à prendre des amants.

- Ca n’arrivera plus. Jure-moi que tu ne me tromperas plus jamais, ou c’est le divorce assuré ! En échange, je te promets tous les plaisirs que tu veux. Mais j’en serai toujours soit l’initiateur, soit le spectateur !

- Comme tu veux, mon chéri. Je te le jure », répondit Astrid, se coulant amoureusement dans les bras de son mari…

-

Par Sophie de R. - Publié dans : Mes histoires érotiques - Communauté : SALOPE A GANG-BANG
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