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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Un vendredi soir,  au diner, mon ex belle-mère Janine se lève de table et  regarde Sandy  en disant : 

« J’ai une surprise pour ton homme, dit-elle en souriant.

- Ah bon ! Dis quoi, répondit ma femme. 

- Comme je sui allée en ville ce matin, j’ai trouvé une très belle culotte pour Chris. »

 

Janine avait un très grand sourire. Moi, j’étais tout étonné. Elle ne m’avait pas habitué à ce genre de choses…

 

Nous avons fini de manger, puis nous avons tout rangé. Nous sommes allés au salon, j’ai fermé les volets et me suis assis à coté de ma femme. Janine en fit autant, semblant oublié ses propos lors du diner.

 

 

Sandy l’interpella :

« Eh, Maman ! Tu n’as rien oublié ? Tu voulais donner une surprise à Chris.

- Ah oui, j’ai oublié, mais je vais la chercher ! »

 

Elle se précipita dans sa chambre, et en ressortit avec un petit sachet à la main.

« Tiens, mon cher gendre. Il faut que tu l’essaies ! »

 

Pour toute réponse, j’ai souri, et je suis allé dans ma chambre l’essayer. Je trouvai dans le sachet un string en résille, avec un bouton pression sur l’arrière. Ca m’a donné l’idée de leur faire un petit strip-tease...

 

(Pour ceux qui me lisent pour la première fois, il faut vous dire que je couche avec ma belle-mère depuis un moment déjà. J’ai même baisé avec elle et ma femme en même temps ! Tout cela est raconté dans la rubrique « Cris et sa belle-mère »…)

 

Je suis sorti de la chambre, et me suis dirigé vers la chaine stéréo. J’ai mis une musique très cool, et j’ai baissé le son de la télé. Sous le regard surpris des deux femmes, j’ai commencé à tortiller mes fesses, onduler mon corps en rythme.

Ma chemise est rapidement tombée au sol.

 

Sandy riait, et Janine meuglait :

« Mhuuummmm, c’est bon, mhummmmmm…. »

 

Il n’était pas évident de retirer le pantalon en rythme, mais je finis par y arriver. Ma femme souriait encore plus, surtout à ala vue du string résille. Elle jeta un coup d’œil à sa mère, qui maintenant, était rouge d’excitation.

Je me suis approché de deux femmes. Sandy vit les pressions, et tira d’un coup sec. Je me retrouvai entièrement nu, la bite à l’air.

 

Elles se regardèrent d’un air entendu, et sans une once d’hésitation, l’une saisit ma bite, et l’autre mes couilles. Janine, d’un geste expert, me branlait de haut en bas, décalottant bien mon gland de plus en plus gonflé. Ma femme massait mes boules avec art. Elle se pencha la première pour les gober. Ce qui incita Janine à me sucer le dard. J’étais aux anges. Une fois de plus, ma femme et ma belle-mère s’occupaient de moi ensemble. De temps en temps, je les voyais échanger un baiser plein de ma mouille de mâle en rut.

 

Je ne résistais pas longtemps à ce traitement quasi inhumain. Janine le sentit, et accéléra sa succion. Je saisi sa tête, pour la forcer à me gober en entier. Et là, je lâchais une dose de foutre épaisse. Elle hoqueta, mais continua de me bouffer la bite, pendant que ma femme mordillait mes couilles rendues très sensibles.

Je débandais dans la bouche de ma belle-mère. Elle se retira, et alla embrasser sa fille. Je les vis se délecter de ma crème…

J’étais encore fou d’excitation.

 

Janine me dit :

« Tu as une trop bonne bite, j’ai très envie que tu me ramones ma chatte !

- Non, pas ce soir. Ce soir, c’est pour ma femme ! »

 

Elle se leva, dépitée, la main sur son mont de vénus, et rentra dans sa chambre. Je savais qu’elle allait se caresser en nous écoutant baiser avec Sandy.

 

Ce que nous avons fait. Je l’ai prise dans tous les sens, en levrette, debout, couchée, je l’ai sodomisée, avec d’autant plus de force que je savais que Janine nous écoutait. Je l’entendais gémir de l’autre coté du mur.

 

Le lendemain matin, Sandy est partie bien avant moi. Je me levais et allais prendre ma douche. J’avais à peine ouvert l’eau, que Janine entra dans la salle de bains. Ce n pouvait être qu’elle. D’un geste brusque, elle ouvrit le rideau. Avant que j’ai eu le temps de dire « ouf », elle avait attrapé ma queue encore molle.

D’un coup sec, elle la décalotta.

 

« Ah c’est mieux comme ça. Mon salaud, tu as bien baisé cette nuit ! Maintenant, c’est mon tour ! »

 

Elle se pencha, et avala ma bite en entier. Il ne me fallu pas plus de trente seconds pour être dur et raide dans sa bouche ! La salope, elle savait y faire !

 

Quand j’étais bien bandé, elle s’arrêta, prit le savon et entrepris de me savonner le dard à pleine mains. Ce qui ne fit que m’exciter davantage.

 

Elle me masturba pendant un long moment. Mes jambes tremblaient. J’avais envie de le baiser, là, tout de suite. Mais sans prévenir, je crachai ma semence dans le fond de la douche.

 

Janine eut un petit sourire satisfait.

« Maintenant que tu es purgé, on pourra passer aux choses sérieuses !

- Euh oui... Mais…

- Pas de mais. Ah si. Tu sais, on est un peu juste, financièrement. Ce serait bien que tu fasses des strip-teases pour mes copines, et celles de ta femme. »

 

Et elle tourna les talons, claquant la porte derrière elle. Je restais sans voix !

 

Deux heures après, je rentrai dans le salon. Janine m’y attendait, un sourire jusqu’aux oreilles :

« Regarde Chris, je t’ai fait un pantalon comme il faut ! » 

 

Elle avait pris un de mes vieux jean’s, et l’avait découpé le long des coutures de coté. Elle avait cousu des pressions. J’avais en main un véritable pantalon de strip-teaseur !

 

En riant elle me dit :

« Voilà, tu es prêt ! Et tu fais ton premier strip ici pour deux de mes amies samedi soir ! Fais pas de gaffe, elles ignorent que tu es mon gendre... Ah, et j’ai aussi fait un tarif : 100 euros pour le strip avec string, 150 pour le strip intégral, 200 pour te toucher….»

 

Je n’avais plus qu’à m’incliner, excité malgré tout par cette perspective.

 

Le samedi soir, à vingt-et une heures, on sonna à la porte. C’étaient les deux amies de Janine : Mathilde et Ingrid.

 

Elles s’installèrent au salon, la feuille de tarif écrite par Janine sur la table basse, devant elles. Elles se concertèrent à voix basse, sans que je puisse les entendre. Bon sa     ng, que voulaient-elles ???

 

Mathilde posa un billet de 100 euros dsur la table. Je compris, et presque déçu, mis la musique pour entamer mon strip-tease.

 

Sur une musique lascive, je m’effeuillais, ôtant chaussures, pull, chemise, et enfin le pantalon…

 

A peine était-il au sol que je vis un billet de 50 euros apparaitre sur la table. Voilà, je devais me mettre totalement nu…

Après uen seconde d’hésitation, je me retournais, et commençais à descendre la ficelle de mon string. Et ce que je craignais arriva : je mis à bander comme un fou !

 

Il me fallait bien me retourner.. Ce que je fis, et la surprise se lisait sur le visage des trois femmes. Janine étouffa un rire, les deux autres devinrent rouge coquelicot…

 

Je continuai de me déhancher sur la musique, et sous mes yeux, Mathilde sortit un nouveau billet de 50 euros.

 

Tétanisé, je m’approchai d’elle. D’une main peu sure, elle commença à me caresser les cuisses. Ingrid s’enhardit, et me caressa les fesses. Je voyais déjà ma belle-mère, la main sur sa motte. Mhumm, elle devait bien mouiller la salope !

 

Enfin Mathilde se rapprocha de mon dard bine tendu vers elle, et elle le saisit entre deux doigts.

« Fais pas ta timide », susurra Janine, et elle approcha sa main sur celle de son amie, pour lui refermer rapidement les doigts sur ma bite.

 

J’étais aux anges : trois femmes me dévoraient des yeux !

 

Mais brusquement, un bruit fort retentit : la porte d’entrée claquait. Sandy rentrait ! De surprise, je débandais aussi sec.

Le temps qu’elle arrive dans le salon, nous avions tous repris notre place…

 

A suivre (peut-être…)

Par Chris et Sophie de R. - Publié dans : Chris et sa belle-mère - Communauté : Récits Erotiques X
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