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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Femme
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Propriété intellectuelle

Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Après mes courses, je me suis décidée à passer du coté d’un entrepôt de gros, où un vigile m’avait draguée la semaine dernière. Je n’avais pas le temps ce jour-là, mais sa belle gueule et son crane tout lisse était restés dans un coin de ma tête….

 

Me voilà donc à rôder vers midi, heure de fermeture de l’entrepôt, dans le parking. Et bingo, je le vois sortir de derrière un tas de palettes. Les vigiles n’ont pas des horaires réguliers, il aurait très bien pu ne pas être là…

 

Je me suis arrêtée à sa hauteur. Il m’a reconnue, et m’a souri. Ses dents sont d’une blancheur éclatante, qui tranche avec la couleur sombre de sa peau.

« Bonjour, tu vas bien ? me dit-il.

- Oui, je craignais que tu ne sois pas là.

- Ah bon, pourquoi ?

- J’ai repensé à toi, tu m’avais troublée, mercredi dernier. »

 

Il me fait un clin d’œil, et se penche vers moi. Avant que j’aie pu articuler un mot, il écrase ses lèvres sur les miennes, et enfonce sa langue dans ma bouche. J’accueille avec plaisir ce baiser envahissant. Cet élan a le don de m’exciter instantanément. Je me sens humide, les pointes de mes seins durcissent illico. Je le repousse un peu :

« Ouf, laisse-moi respirer... Et on ne peut pas rester là…

- T’as raison, on va trouver un endroit. Laisse ta voiture dans le coin, et suis-moi. »

 

Un peu intriguée, j’obéis, attrape une capote dans mon sac, et ferme ma voiture.

Il m’entraine derrière les palettes. Et là, contre le mur, je vois un autre amas de bois, fermé par un container. Il pousse quelque palette, et une ouverture apparait. Là, j’ai une vision : tout est aménagé pour faire des coquineries !

Je me rends compte que « Monsieur » a l’habitude de ce genre de choses.  

Dire que je passe tous les jours devant, jamais je ne me suis doutée qu’il y avait une telle cachette là !

 

Bref, il y a un espace d’une dizaine de mètres carrés, un toit en tôle, une chaise, et un matelas (avec un drap propre !) posé sur un « sommier » de palettes.

« Eh bien, tu ne t’ennuies pas ! 

- Eh non, tu sais, on s’ennuie avec les potes, alors faut bien s’occuper ! dit-il en riant. Les nuits surtout sont longues. On amène nos copines, ou nos conquêtes dans le magasin.

- Bien joué, je suis bluffée !

- Assez parlé, tu n’es pas venue l pour ça, je pense ?

- Tu as raison, je vou… »

 

Pas le temps de finir ma phrase, il m’a saisie par les hanches, et hissée sur le matelas de fortune. Il me bascule sur le lit, et d’un tour de main très habile, et habitué…, il soulève ma jupe pour faire glisser mon string. Il s’est passé moins de deux minutes que je suis allongée sur ce lit, les jambes grandes ouvertes, sous le regard amusé du black.

« Au fait, je m’appelle Jason.

- Sophie, enchantée…

- Sophie, t’aimes qu’on te bouffe la chatte ? »

 

Il n’attend pas ma réponse, et se jette littéralement sur mes lèvres trempées. Il me lèche, me dévore, passe sa langue partout, soulève mes fesses pour aller toucher ma rosette si sensible... Il ne lui faut que quelques trop brèves minutes pour me faire jouir une première fois. Je retiens mes cris, il y a un flot incessant de passants à quelques mètres de nous…

 

Le temps que je reprenne mon souffle, il fourrage dans mon vagin avec ses gros doigts, et de l’autre main défait son pantalon. Visiblement, il est rompu à l’exercice !

 

Je me relève pour saisir la jolie tige noire qui barre son ventre. Il est dur, ferme, gros entre mes doigts. Pas très long, sans doute moins de 16 ou 17 cms, mais épais tout comme j’aime. Il me fait pivoter sur le coté du matelas, et je me retrouve la tet près du bord. Ainsi, toujours allongée, je me retrouve juste à la bonne hauteur pour le sucer. Je doute que ce soit un hasard !!!

 

Je l’enfourne comme je peux, son gland imposant remplissant ma bouche. Lui se penche vers moi, m’ouvre la chatte en grand, comme s’il voulait m’exposer à la vue d’autres personnes… D’ailleurs, je remarque qu’il regarde fréquemment vers une des parois. Je le sors de ma bouche pour lui demander :

« Que regardes-tu comme ça ? On n’est pas seuls ?

- Euh… souffle-t-il d’un air gêné. Non, mon collègue nous mate…

- C’est pas vrai ? Je souris, encore plus excitée. Eh bien, montre-lui tout ! »

 

Il m’ouvre encore plus grand, et je mouille bien plus, de savoir qu’un mec nous mate et se branle sans doute… je redouble d’ardeur pour pomper le gros mandrin. Je le lape, le lèche, le suce, le mordille, de haut en bas, je gobe les grosses couilles pleines... Il gémit doucement, et titille avec plus de vigueur mon petit bouton bien bandé. Je jouis une nouvelle fois, et j’entends le collègue dire d’une vois étouffée :

« Allez, mon pote, baise-là, elle est à point ! »

 

Il sourit, et se retire de ma bouche. J’attrape la capote qui était restée sous moi. Il la prend, et d’un geste toujours aussi sur, se couvre vite. Mais il s’interrompt :

« Tu veux bien que mon pote Mike s’approche un peu ?

- Oui, lui soufflai-je en état d’excitation extrême. 

- Mike, approche, mais pas touche, elle est à moi ! »

 

Une palette bouge, et le collègue apparait, la bite à la main. Elle est bien plus imposante que celle de Jason ! A mon avis, elle dépasse largement les vingt centimètres !

 

Jason se positionne devant moi, soulève mes jambes sur ses épaules. Il est toujours debout.

« Tu as besoin d’être lubrifiée, ordonne-t-il. Mike, viens ici. »

 

Il s’approche et crache dans ma chatte D’un doigt, il fait pénétrer la salive dans ma grotte en feu.  Je sursaute sous la caresse douce et ferme.

« Recule. »

 

Mike obéit. M’est avis que l’un est soumis à l’autre…

Jason commence à s’enfoncer en moi, écartant doucement les lèvres gorgées de désir. Il progresse lentement, sans à-coups. Près de moi, Mike branle son impressionnant pieu. Il le tient à deux mains, et le gland dépasse encore…

D’une poussée plus forte, Jason est entièrement en moi. Alors, commence son pilonnage intensif, de plus en plus fort. Il me baise au même rythme que son collègue se branle, dans un étrange ballet bien réglé…

 

Je suis hypnotisée par cette queue énorme, qui bouge à quelques centimètres de mes yeux. Mon amant accentue ses va et viens, il me baise de plus en plus fort. Je sens son chibre heurter ma matrice, je recule sous les poussées. Mike tend la main et branle mon clito, qui n’en demandait pas tant !

 

Je jouis pour la troisième fois, sans pouvoir me retenir de crier. Tant pis pour la rue !

« Je peux jour sur ta poitrine ?

- Si tu veux, comme tu veux… je veux te voir juter. »

 

Il sort de mon vagin dévasté, ôte la capote, bouscule Mike et vient près de moi. Je le lèche un peu, mais il se masturbe lui-même. En quelques secondes, je vois la crème blanche jaillir et asperger mes azeroles dures.

 

Son collègue l’interroge du regard. Il fait « oui » de la tête… je ne sais pas pourquoi… La réponse arrive aussitôt : je le vois se jeter sur ma chatte béante, enfoncer sa langue bien profond. Il se branle plus vite, et finit par jouir sur le bois, en étouffant ses soupirs dans mes chairs trempées.

 

Je reste inerte, engluée du foutre épais, épuisée par ces jouissances auxquelles je ne m’attendais pas… Le temps de rependre mes esprits, Mike a disparu.

« On dirait que vous amusez bien tous les deux ?

- Ouais, il fait tout ce que je lui dis.

- Tout ?

- Oui, tout.

- Il suce les mecs aussi ?

- Oui, si je le lui demande. Mais je fais payer les hommes pour ça.

- Et si moi, je te le demande ?

- Pour toi, ce sera gratuit. Tu nous prends tous les deux, on fait ce que tu veux !

- Ce n’est pas tombé dans l’oreille d’une sourde. Je te fais signe très vite. »

 

Je me rhabille, légèrement titubante.. Quel déjeuner… Je rentre vite, car mon homme m’attend à la maison. Mon nouvel amant, l’homme que j’attendais depuis toujours…

 

Il me voit arriver les cheveux encore en bataille, et avec une odeur très reconnaissable sur moi. Et pour cause ! J’ai pris bien soin de ne rien essuyer de la crème de Jason sur moi. A son sourie, je comprends qu’il a compris…

Il me prend amoureusement dans ses bras.

« Alors, ma chérie, tu étais où ?

- J’ai été me faire prendre par un vigile...

- Ah oui ? Il était bien ? il t’a fait quoi ? » me demande-t-il en souriant.

 

Je lui raconte tout ce que je viens de vous décrire. Ses yeux s’allument quand je lui dis qu’il me reste du sperme de Jason sur la poitrine.

Délicatement, il ouvre mon chemisier et se penche sur mes seins pour humer l’odeur si caractéristique...

 

Il m’emmène sur le canapé et m’allonge avec douceur. Il me caresse partout, relève ma jupe, vient m’embrasser là où moins de vingt minutes avant, un autre me mangeait.

Simon, mon homme, adore me voir juste après que d’autres m’aient « honorée ». Il aime le savoir, même s’il préfère encore nous regarder faire, ou nous écouter dans la pièce d’à coté.

 

Son ardeur est décuplée, il me lèche avidement, grogne de plaisir fourrage, dans mes chairs intimes, tant et si bien, que je jouis pour la quatrième fois en moins d’une heure. Mais là, je peux enfin hurler tout ce que j’ai retenu avant…

 

Simon continue ses caresses, et va maintenant déguster ce qu’il aime : les souillures d’un autre homme sur moi. Il humidifie ses doigts avec ma cyprine, et tapote le sperme séché. Celui-ci se « réhydrate » et redevient gluant…

 

Alors, il s’incline sur moi, et du bout de la langue, commence sa « toilette ». Il picore ma peau, mange la crème de Jason, plus lèche plus franchement. Au bout de quelques trop courtes secondes, il ne reste plus rien. Il a tout nettoyé, bien consciencieusement…

J’adore ce moment… Pour le récompenser, j’ouvre plus grand mes cuisses et lui dit devenir me prendre. En un tournemain il est nu, et vient sagement s’agenuiller devant moi. Mais là, je le stoppe :

« Non, en fait, tu avs encore me faire jouir avec ta langue… Excite-moi, caresse-moi, donne–moi toute ta salive… »

 

Je lui plaque le visage contre mon abricot brulant, lui laissant à peine de quoi respirer...Il suffoque un peu, mais la langue docile vient fouiller les parois intimes de ma grotte.

Consciencieusement, il me lèche, me picore, mordille mes lèvres gorgées d’excitation… J’attrape le mini gode qui est toujours posé sur la table basse. Je le lui glisse, pour qu’il fasse vibrer ma petite fleur encore avide de sensations fortes. Les vibrations couplées à sa langue font des merveilles.. Je jouis encore, une fois de plus… Je hurle à m’en déchirer la gorge.

 

Simon tente de se dégager de mon étreinte, mais j’en veux encore, et je le contrains à me dévorer encore… Il obtempère… Au bout de quelques minutes de délicieuses sensations, je décide de lui faire plaisir… je le libère, et lui dis :

« Maintenant, reste à genoux entre mes cuisses, et branle-toi. Fais-toi jouir ; tu vas inonder ma chatte et tout manger après… 

- Oh oui, je veux jouir pour toi, t’honorer comme tu en as envie…

- C’est bien, allez, vas-y, je me crasse pour toi, là… »

 

Joignant le geste à la parole, j’écarte mes chairs, pour y enfoncer le gode, vitesse maximale. Je masse fortement mon clito. Simon se branle, je vois sa bite s’agiter sous mes yeux. Enfin, il crache sa purée blanche, qui coule en moi, inondant le gode au passage.

 

J’adore ce moment-là…

« Allez, mon amour, lave-moi, maintenant. »

 

Toujours aussi docile, mon homme se penche, et entreprend de lécher chaque goutte de sa liqueur… Quand je suis enfin propre, il me prend dans ses bras… nous partons pour une longue séance de câlins très amoureux….

 

Mais déjà, j’imagine que le vigile pourrait me prendre devant lui, et avec son aide…

Par Sophie de R. - Publié dans : Mes expériences vécues - Communauté : Candaule et libertine
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