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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Femme
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Il est vingt et une heures quand on sonne à la porte de Solange. C'est elle même qui va ouvrir. Un homme, très séduisant, la cinquantaine, cheveux grisonnant, se tient sur le pas de la porte. Solange, belle femme de trente-cinq ans, est vêtue d'une robe boutonnée sur le devant.

« Bonsoir Monsieur, dit-elle, entrez, on vous attendez, mon mari est sur le canapé. »

 

Les deux hommes se serrent la main, se parlent à voix basse, pendant que Solange sert le café. 

« Viens t'asseoir ma chérie », dit Paul, l'époux de Solange.

 

La jeune femme envoie une musique ambiante, s'installe sur le canapé, entre l'invité prénommé Rémi, et son mari. Elle prend soin d'ouvrir deux boutons de sa robe, pour laisser entrevoir sa magnifique poitrine, et croise haut les jambes.

 

Rémi sait pourquoi il est là, c'est pour assouvir un vieux fantasme sexuel de Paul, qui a toujours voulu voir son épouse se faire prendre par un autre homme devant lui.

Solange est assez réticente à ce genre de relations, aussi, laisse-t-elle Paul prendre l'initiative des opérations. Celui-ci passe un bras autour de son cou, la tire pour qu'elle appuie sa tête contre son épaule. La main glisse sur la poitrine, et ouvre deux autres boutons.

 

Rémi décide d'intervenir. Il prend la jambe de la jeune femme, et la pose sur sa cuisse.

Puis, d'un geste précis, fini de déboutonner la robe, en écarte les pans. Solange est entièrement nue. Elle fait pivoter sa tête vers son mari, lui frôle les lèvres.

« Caresse-moi les seins, souffle-t-elle, s'il te plait, soutiens-moi. »

 

Elle ne sait pas si elle a raison, de satisfaire ainsi le caprice de son mari : l’offrir à un inconnu.

 

Solange décide de faire le vide dans sa tête, et se concentre sur les deux hommes.

Pendant que Paul caresse les seins de sa femme, Rémi en profite pour ôter ses habits.

Il glisse une main entre les cuisses écartées de Solange, et fait courir un doigt sur la fente légèrement humide

« Ca t'excite de me voir dans cet état ? glousse-t-elle. Tu vois ce qu'il me fait. Il sait où il faut gratter les femmes ce salaud... Hum... tu sais qu'il commence à me faire mouiller ? »

 

D’une certaine façon, elle se venge de ce q’uil lui fait faire, en utilisant ce langage cru. Et il est vrai aussi qu’elle se sent de plus en plus excitée…

 

Effectivement, le doigt pénètre avec une grande facilité dans la chatte détrempée, excite le clitoris. Solange se cambre pour mieux s'offrir, tandis que sa main saisit le pieu dressé entre les jambes de Rémi.

« Whoua, murmure-t-elle, il a ce qu'il faut le mâle, ça peut être intéressant. Lève ta main, je vais jouer avec lui maintenant. Ouvre bien les yeux mon chéri. »

 

Paul est surpris de l’initiative de sa femme, elle qui était si réticente… Solange se lève, et fait glisser sa robe sur la moquette. Elle se met à genoux, décalotte la bite du bout des lèvres, et l'avale jusqu'aux couilles. L'invité pousse un râle de plaisir.

« Ah, une pipe. D’entrée, sourit Rémi, j'ai l'impression que la soirée s'annonce sulfureuse.

- Et elle va l'être, répond Solange, vous n'allez pas être déçu, Monsieur. »

 

Jugeant les mensurations du calibre respectable, Solange enfourche Rémi, saisit l'énorme bite, et la fait coulisser dans son antre plein de mouille, en poussant un cri de plaisir.

« Enfin, gémit-elle, depuis que j'avais envie d'un bon coup de queue ! »

Solange se paie même la fantaisie de faire demi-tour, toujours embrochée sur Rémi, pour inviter son époux à mieux voir le pieu qui lui laboure les entrailles. Il voit aussi les mains masser les seins, et le clitoris entièrement sorti de son capuchon.

« Oh putain...dit-elle. Ca c'est de la bite... »

 

Solange entoure ses bras autour du cou de Rémi, tout en ondulant des hanches. Le bout des seins, provocateur, se plaque sur le visage du quinquagénaire.

« Allez-y, soupire-t-elle, sucez-les, ils sont à vous ce soir... »

 

Les respirations s'accélèrent, au rythme des coups de rein. Solange ouvre grand la bouche.

«  Le salaud, gémit-elle, il me maque, là.. Allez-y, bourrez moi le trou... Oh oui...oui... Je jouis… Ouiiiiiiiii..  Montrez à ce pervers comme vous faites bouger le cul de sa femme...

- Ah, moi aussi, ça vient grommelle Rémi. Sens comme ma bite vibre dans ta chatte... whoua... ha... »

 

Soudain, Solange se retire, prend la queue de Rémi en bouche et l'aspire. L'homme ne peut pas se retenir, et largue sa semence chaude au fond de la gorge de Solange, qui avale tout.

Paul, surpris et furieux, se dresse d'un bond.

« Hey...c'était pas prévu, dit-il.

- Oh mon chéri, dit la jeune femme, j'avais tellement envie d'une bonne gorgée de sperme, tu vas ne pas me le plaindre. Viens que je t'embrasse... »

 

Son mari tente de se dérober. Gouter le sperme de son rival n’est pas dans ses intentions. Mais sa femme se fait si enjôleuse qu’il craque, et dévore ses lèvres, et le sperme, avec passion… Le baiser est tendre, mais laisse des traces blanchâtres sur les lèvres de Paul. Solange lui sourit et lui murmure à l'oreille :

« Tu m'autorises à aller au lit avec lui ? Je veux me dévergonder ce soir, pour toi mon amour.

- Mais enfin Solange, ce n’était pas convenu d'aller jusque-là !!

- S'il te plait supplie-t-elle. Accepte... je ferai ce que tu voudras après...

- Bon, dit Paul un peu à contre cœur, si tu y tiens... Mais rappelle-toi. TOUT ce que je voudrais.

- Merci. Tu es un amour. Je vais laisser la porte de la chambre ouverte. Tout à l'heure, je t'ai dit d'ouvrir les yeux, maintenant, ouvre tes oreilles. Et quoiqu'il arrive, je te demande de ne pas intervenir. »

 

Résigné, Paul acquiesce. Après tout, c’est lui qui a mis sa femme dans cette situation. Il avait juste oublié de prévoir qu’elle pourrait y trouver autant de plaisir…

 

Solange se lève, prend la main de Rémi, l'entraine à la chambre, pendant que Paul s'installe confortablement sur un fauteuil près de la porte de la chambre. Si près qu'il peut entendre le crissement des draps.

Le corps des deux amants d'un soir roulent sur le lit, enlacés, soudés par un féroce baiser. Les plaintes, les éclats de rire fusent dans la pièce.

« On peut se tutoyer, propose Solange.

- Mais bien sur, accepte Rémi.

- Je veux toute la panoplie du sexe cette nuit, glousse Solange, que tu me le mettes jusqu'à ce que tu n'aies plus de foutre dans tes couilles.

- Chut, chuchote Rémi, ça pourrait ennuyer ton mari, lui faire du mal...

- Attends, répond-elle, Tu sais, c'est lui qui a voulu cette soirée, à lui d'assumer maintenant. Vas-y ... »

 

Paul entend les premiers râles de plaisir de son épouse, les premiers mots aussi, ceux qu'on dit dans ce genre de situation, et qu'on les pense ou qu'on les pense pas, font mal.

« Hou...hou, gémit Solange, quel étalon tu es... Mais c'est toi qui va craquer le premier... »

 

Paul entend tout. Les mots sont crus, les comparaisons sont déchirantes.

« Aie ! crie Solange. Mais tu m'encules ! Tu aurais pu me prévenir salaud... Vas-y... bourre-moi le  petit trou... Il a très peu servi, tu sais... Autant que ce soit une grosse bite qui en profite...

- Et qu'est-ce que tu vas dire quand je vais te remplir le trou, hein ? Petite vicieuse...

- Enfoiré... je viens, soupire Solange, branle-moi la chatte... Oui, oui... crache, toi aussi ! »

 

Les deux amants font un demi-tour, pour se placer en soixante-neuf. Les lèvres de Solange s’enroulent autour du gland décalotté de Rémi, pendant que celui-ci lui affole le clitoris.

« Comme tu me bouffes la chatte salaud... Hou.. hou... Doigte-moi le cul aussi ! Hou.... oui... oui... Continue comme ça !

- Et toi, petite salope... tiens. Prends une autre gorgée... avale !!! Han... han... »

 

Paul a bouché ses oreilles pour ne pas entendre le premier orgasme de son épouse, et jusqu'à une heure avancée de la nuit, il va les boucher à trois reprises.

«  Embrasse-moi, sale mâle, ordonne Solange, on a bien joué tous les deux, je ne suis pas déçue.

- Moi non plus », répond Rémi en rendant le baiser.

 

Après une bonne douche, Solange raccompagne Rémi. Le baiser est torride.

« Tu crois qu'on pourra remettre ça ? demande Rémi.

- Je ne sais pas, répond Solange, c'est Paul qui décide, mais pourquoi pas ? »

 

Sans un mot, elle retourne dans sa chambre, et entraine son mari au passage :

« Viens, on va dormir. Demain, je serai ton esclave sexuelle... Et celle de tous ceux qui le voudront bien ! »

 

Stupéfait, Rémi ne trouve rien à redire, et va se coucher avec elle, dans le lit souillé par son amant.

 

Le matin, Solange et Paul se réveillent dans les bras l'un de l'autre. Paul questionne du regard.

« Oui, je sais ce que tu veux m'entendre dire, dit Solange. Ben oui, c'est un super coup au lit.

- Je m'en doute, poursuit Paul, comme il t’a fait crier ce salaud. Et par rapport à moi ?

- Ne rentrons dans des comparaisons stupides mon chéri. C'est nouveau pour moi, différent. Nous c'est devenu routinier, mais c'est toi que j'aime. Et toi, es-tu prêt à poursuivre ton fantasme ?

-Si tu es d'accord, oui. Je t'ai senti féline hier soir, heureuse.

-Je suis d'accord, reprend Solange, mais j'aimerai changer de partenaire, connaitre d'autres  expériences. Allez, mon gros nounours, viens ici que je te fasse une petite gâterie. »

 

 

Par L'Amoureux et Sophie de R. - Publié dans : Les belles histoires de L'Amoureux - Communauté : REALISEZ ENFIN VOS FANTASMES!.
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