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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Femme
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Monique arrive dans le café presque vide. Irène vient vers elle, l'embrasse et lui demande ce qui se passe. En effet, elle aurait du venir plus tôt ce matin.


Elle lui dit qu'elle était souffrante. Sa mine fatiguée fait que l'autre la croit. Monique remarque que son haleine pue l'alcool. C'est vrai qu'elle boit de plus en plus. Cela se voit sur son visage de plus en plus bouffi et sur son corps qui s'arrondit de plus en plus.
Irène et Monique ont été très intimes à un moment, elles le sont beaucoup moins maintenant mais sont toujours proches l'une de l'autre.

L'établissement fonctionne surtout grâce à la présence de Monique. Celle-ci pense depuis un moment à se faire aider, mais jusqu'ici elle butait au sujet de la personne à embaucher. C'est vrai qu'il n'est pas évident de mettre une annonce disant recherche femme ayant très bonne présentation, libre, sachant rire avec le client, ne craignant pas les attouchements et plus si celui ci paye.

 

Pas évident dans une région où la mentalité est plutôt arriérée à ce sujet.
Depuis ce matin, elle pense avoir trouvé la solution, ou plutôt André son fils, lui a apporté la solution sur un plateau.
Lucie, qu'elle connaît depuis longtemps, bien sur puisqu'elle est sa voisine, mais surtout par sa réputation de belle salope qu'elle traîne derrière elle et qui semble amplement justifiée depuis qu'elle a entendu le récit de son fils, devrait faire l'affaire. Il baise régulièrement avec elle.


Oui, il faut qu'elle en parle à Irène. Celle-ci est en train de se servir un verre d'alcool.
Monique a essayé de la freiner il y a quelque temps mais Irène se laisse aller. Après tout c'est son problème se dit-elle.
Depuis qu'ils travaillent ensemble, Monique a acquis des parts dans l'affaire. Les deux femmes sont associées dans l'affaire.


Monique explique ce qu'elle pense au sujet d'une aide, lui laissant entendre qu'elle, Irène pourrait se reposer plus. Irène, un peu fatiguée de cette vie, voit le bon côté de la chose, elle pourra tranquillement cuver son alcool, accepte avec joie la proposition.


Rassurée, Monique se met à la tache et s'occupe des clients à son accoutumée, réfléchissant à la façon d'aborder Lucie.


André a eu un arrêt de travail de cinq jours. Le docteur n'a pas fait de difficulté, bien qu'il se soit douté que c'était plus de la dissimulation. Mais il y a plusieurs docteurs ici et la concurrence est rude.

« Autant contenter le client plutôt qu'il aille chez un confrère, » s'est dit le praticien.

Vers seize heures, il va frapper à la porte de ses amis.


Lucie vient lui ouvrir, l'embrasse sur le coin de la bouche, met un doigt sur ses lèvres, lui rappelant la présence de son père.
Il entre, va saluer le père qui est en train de bricoler dans la cour. Lucie invite André à boire une bière dans le salon.


André propose à Lucie de venir chez lui, puisque Sonia et Jacques, sa sœur et son beau-frère,  sont partis. Elle accepte de le suivre, avertissant son père qu'elle serait de retour vers vingt heures pour le repas.
C'est la première fois qu'ils se trouvent ensemble seuls. Il l'amène directement dans sa chambre et se déshabillent sans perdre de temps.

André bande depuis longtemps, il s'est retenu pour ne pas se branler, mais a très envie de se vider les couilles.
Ils se jettent sur le lit et s'enlacent aussitôt. Ils se caressent furieusement tous les deux.

 

Lucie a autant envie que lui de jouir. Très vite elle se retrouve sous lui et il l'embroche d'un grand coup de reins puissant. Elle crie un grand coup.
« Ah ! Ah oui ! Vas-y fort, j'ai trop envie ! Ah oui continue ! »


Elle rentre tout de suite dans un délire érotique. Sa tête roule de droite à gauche sur l'oreiller tandis qu'elle lui répète de la baiser.
Très vite elle a un premier orgasme.
« Oui ! Oui ! Ah oui ! Je jouis ! Ahhhh ! »


André continue à la baiser avec autant de vigueur tout le temps de la jouissance. Ses cris s'apaisent un peu, elle rouvre ses yeux fous de désir, respirant à grand peine.
«  Ah quel pied ! Ah que c'était bon ! Ah j'y ai pensé toute la journée à ta queue ! »

 
André continue ses va et vient dans un véritable marécage de mouille. Il se dit qu'il aurait bien fait de mettre quelque chose sous les fesses de Lucie mais il est trop tard. Il pense à sa mère quand elle va faire le lit demain matin….


Lucie se remet à crier de plus en plus fort. Lui aussi sent qu'il ne va plus pouvoir tenir longtemps. Il commence à gémir de satisfaction.
« Tu vas bientôt jouir ! Je le sens ! Ah oui ! Ta bite grossit encore ! Ah mon dieu quelle est bonne ! Quelle est bonne ! Oui ! Oui ! Ahhhhh !


Et elle jouit de nouveau au moment où André lui arrose l'intérieur de son sperme dont elle ressent nettement les giclées.
«  Tiens ! Tiens prends ! Encore ! Encore ! Ahhhh !
- Ah oui ! Ah oui, remplis-moi la chatte ! Ah qu'est ce que c'est bon ! Ahhhh ! »


Et ils s'arrêtent enfin, leur plaisir assouvi. André donne de petits baisers sur la figure ravagée de la fille qui a les yeux fermés, les narines pincées, essayant de reprendre sa respiration après cette double jouissance.


Il en profite pour l'admirer. Sa belle poitrine tient très bien. Les tétons, très foncés sont auréolés de petits poils tout autour des gros bouts bandés. C'est vrai que Lucie est très poilue, enfin d'après ses critères à lui. Sonia et sa mère le sont beaucoup moins. Peut-être parce qu'elles sont blondes ?


Continuant son « inspection », il descend vers le pubis. Là encore les poils noirs ressortent sur la peau un peu mate. La toison monte très haut, tout en diminuant d'intensité vers le nombril.
Il imagine la raie envahie par les poils, et il a hâte de revoir ce spectacle quand elle s'est mise à quatre pattes devant lui, avant de se faire enculer.

Doucement, la fille s'étire, un sourire fatigué mais heureux sur le visage apparaît tandis qu'elle le regarde de façon émerveillée.
Surgissant de la douce torpeur d'après l'amour -et de l'amour bien fait-, elle étire ses bras à fond sur les cotés puis le ceinture en l'attirant vers elle, l'embrassant sur les lèvres. Un long baiser les tient soudés puis, l'écartant d'elle, elle lui dit :
«  C'est la plus belle jouissance que j'ai jamais ressentie, je te le jure ! »


André est plutôt flatté par cet aveu. Ils se bisoutent gentiment pendant un moment puis il lui demande :
«  Je voudrai te demander quelque chose.
- Bien-sur ! Tout ce que tu veux mon chéri !
- Et bien, heu.., je voudrai voir ton cul. »


Elle éclate d'un rire nerveux. Lucie adore s'exhiber, elle ne demande pas mieux, au contraire, ça lui donne une excuse pour satisfaire un de ses vices. De nouveau elle l'embrasse, plus longtemps, plus passionnément. Quand leurs lèvres se dessoudent, il aperçoit dans ses yeux toute la lubricité du monde. Il se retire du con dans lequel il était toujours fiché et s'écarte.
Lucie se retourne, se met à quatre pattes devant lui, écarte bien ses jambes et allonge son buste sur le lit.


La vue sur le cul de la belle salope est fabuleuse. Les deux beaux hémisphères sont largement séparés par la superbe raie culière remplie de poils abondants qui débordent sur les fesses et remontent jusqu'au bas des reins. La grosse figue éclatée montre ses deux beaux bourrelets gonflés.

 

L'anus violet est bien en évidence à travers la toison qui, à cet endroit a laissé un peu de peau libre, sans doute pour le mettre plus en valeur.
André est soufflé par le spectacle. L'autre jour il avait entre-aperçu le décor, à présent il le découvre dans toute sa splendeur.


Il s'assoit et ne dit plus rien. C'est trop beau. Trop irréel pour lui. Lucie attend, le laisse se repaître de la vue. Elle écarte encore un peu plus les jambes, ramenant ses bras derrière elle, elle écarte le plus qu'elle peut sa raie.


André ne dit toujours rien. Doucement, presque timidement, il avance une main, puis la deuxième et se met à caresser doucement les deux beaux globes bien rebondis.
Comme dans un songe, il entend à peine le soupir de satisfaction de Lucie. Ses doigts explorent, faisant des ronds sur les belles fesses, ses pouces se touchant presque en remontant le long de la raie culière.


André glisse ses jambes allongées entre celles de Lucie et viennent se caler sous le corps de celle ci. Elle se lève un peu, pour l'aider puis se rallonge sur elles. Il sent les gros nichons sur ses mollets. La tête de la fille se pose sur ses pieds.
André a la figure tout près du cul de la belle salope. Un parfum envoutant se dégage de l'endroit. Un parfum de pisse, de sperme et d'autre chose encore et qui le grise.
Les mains toujours sur les fesses, il vient poser ses lèvres sur l'anus qu'il voit palpiter depuis un moment et qui l'hypnotise.


Lucie réagit instantanément. Un cri de délivrance s'échappe de ses lèvres et retentit dans la pièce.
« Ahhhhh ! Oui ! Oui salaud ! Bouffe-moi le cul ! Fous ta langue dedans ! Enfonce là ! Plus fort ! Plus profond ! Ahhh ! Ah oui ! Oui ! »


Sa tête remue dans tous les sens. Elle lâche les jambes d'André qu'elle étreignait pour les passer derrière elle. Empoignant ses grosses fesses, elle tire dessus, ouvrant son trou merdeux à la langue qui la pénètre mais pas assez loin pour elle.
La langue d'André se glisse dans le doux fourreau. Sa bouche collée sur le cul, il essaye d'aller le plus loin possible. Les cris de la belle salope continuent de retentir dans la pièce.
«  Oui ! Oui branle moi le cul avec ta langue salaud ! Plus vite, plus vite ! Ah oui ! Ah comme c'est bon ! Ahhh ! »


Elle pleure presque de plaisir. On ne lui a jamais fouillé le cul aussi profond avec une langue, du moins elle n'en a pas le souvenir. André continue, il sent une douleur dans la gorge tellement il essaye d'aller loin.

Aux cris de Lucie, il pense qu'elle ne va pas tarder à jouir et il accélère ses mouvements de langue.
Les hurlements s'amplifient encore.
«  Ah oui continue ! Plus fort ! Encule-moi avec ta langue salaud ! Ah oui ! Oui ! Ah oui ! Ouiiii ! Ahhhh ! »
Et cette fois, elle jouit pour de bon. De ses poings fermés elle frappe le lit de toutes ses forces. Elle a mis sa tête dans les couvertures, ce qui atténue l'intensité des cris. André qui n'en peut plus se force quand même à continuer, voulant satisfaire Lucie le mieux qu'il peut.


Elle s'arrête après un long moment d'intense jouissance. Elle ne bouge plus, on n'entend plus que sa respiration saccadée. André se détache, libérant l'anus qui reste un peu ouvert, montrant un intérieur rouge foncé. Il le regarde se fermer doucement, comme des pétales autour d'une fleur.


Lorsque le petit trou a repris une apparence normale, il vient poser un baiser dessus, le caressant doucement avec une langue molle. Lucie a un nouveau sursaut mais ne dit rien.
Il allonge les bras sous le corps de la belle vicieuse et ses doigts viennent étreindre les deux nichons aux gros bouts bandés. Il les malaxe gentiment, attendant qu'elle réagisse enfin.


Après de longues minutes, elle remonte son buste, s'appuyant sur ses avant bras, tourne la tête vers lui. Il aperçoit un visage gonflé, bouffi par le plaisir ressenti, des larmes perlent même autour de ses yeux. D'une petite voix elle dit :
«  Cette fois tu m'as tuée pour de bon, cochon ! »


Il lui sourit tendrement puis lui dit :
«  Dommage, il va falloir que je me branle alors ? »


Elle pivote sur elle même, lui demande :
« Comment veux-tu jouir ? Tu veux que je te suce ? »


André avait pensé à autre chose. Voyant qu'il avait une autre idée en tête elle dit :
«  On ne m'a jamais fait jouir autant de cette façon. Demande-moi tout ce que tu veux. »

Et elle l'embrasse, retrouvant sur ses lèvres un petit peu de son intimité secrète.
Quand ils se désunissent, il lui dit :
«  Il y a une chose que je n'ai jamais faite avec une femme. »

Elle comprend tout de suite. Elle lui murmure tout près des lèvres :
« Tu veux m'enculer, c'est ça que tu veux ? »

Il acquiesce.
«  D'accord, mais je veux te voir m'enculer. Et puis je veux pouvoir te freiner. Jamais je n'ai pris une telle bite dans le cul, j'ai peur que tu me fasses mal. Allonge-toi sur le dos. »

 

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Par histoire-erotique.com - Publié dans : Trash - Communauté : Au royaume des salopes
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