Sophie, marquise de
R.
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Bises libertines,
Sophie
Les Lettres et Confidences à Sophie
Marquise de R.
Paris, le 30 Avril 2012
Ma bien Chère Marquise,
Comme je vous l’avais dit, il y a quelque temps déjà, j’ai revu tout à fait fortuitement une ancienne Amie. Nous nous étions perdus de vue cela faisait de longues années. C’est à l’occasion du Salon des Antiquaires où j’étais allé me promener que je me retrouvai nez à nez avec elle. Elle n’avait pas changé, toujours aussi brune et belle, les yeux noirs, fine, élégante, racée. Je la reconnus de suite. Elle aussi me remit immédiatement (je n’avais sans doute pas trop changé…). Nous sommes allés prendre un verre et avons parlé très très très longtemps et retrouvions notre amitié et nos souvenirs sentimentaux, comme si nous nous étions quittés la veille, car nous avions été Amants, elle était si jeune alors et moi déjà… mûr…
Et nous avons décidé de nous revoir. Les anciennes amours peuvent-elles flamber à nouveau ? Oui !! La joie des « retrouvailles » nous a à nouveau réunis pour une…aventure des plus charmante que je voudrais vous conter, au long de lettres qu’il vous plaira peut-être de publier…
-1- L’Antiquaire
Nous avions rendez-vous vers dix-sept heures pour un thé ou un café à son magasin d’antiquités, en bord de Seine.
Je sonnai donc à sa boutique sur la Rive Gauche. Personne ne répondit. Je sonnai de nouveau. Un bref déclic libéra la porte, sur laquelle un écriteau prévenait :
« Je reviens de suite ».
Je poussai la porte et entrai. Des meubles luxueux, bien rangés, ordonnés, sans poussière, brillants, vénérables étaient là dans une pâle lumière. Je criai :
« Où êtes-vous donc, ma Chère ? »
Une voix faible et lointaine me répondit depuis l’étage.
« Là-haut… montez ! » me dit-elle.
J’empruntai l’escalier étroit conduisant au premier étage. Au fur et à mesure que je montais, des gémissements, des souffles haletants mêlés à ceux qui pouvaient provenir d’un chien me parvenaient plus clairement… J’émergeai et là, entre deux barreaux, je vis la scène.
La Marquise Arnaude de Flagny m’apparut, nue, ne portant que bas et porte-jarretelles, agenouillée sur un vieux prie-dieu grinçant, penchée et offerte aux assauts d’un magnifique lévrier, dont j’apercevais l’échine musculeuse et les pattes antérieures nerveuses et tendues, dont les griffes grattaient à intervalles réguliers le vieux parquet ciré et brillant comme un miroir. Arnaude de Flagny se faisait saillir par son « Amant » préféré.
Vous imaginez, ma Chère Sophie, l’émoi que je ressentis. Votre Marquis était tout excité, le rouge aux joues, le cœur battant, un Amant en surprenant un « autre »… et, de plus, en pleine action (!)… Elle me trompait avec son chien, un animal dans lequel j’avais placé toute ma confiance… Je fis semblant d’être surpris autant que choqué et puis, je lui souris. En fait, j’étais très au courant de ce genre de relations entre ma Maîtresse et son compagnon quadrupède.
Je dois vous dire, ma Chère Sophie, qu’Arnaude m’avait confié qu’elle était très souvent sollicitée par son beau lévrier qui voulait la monter sans relâche. C’est ainsi qu’elle devait satisfaire le jeune et vaillant animal, jusqu’à trois ou quatre fois par jour. Elle était épuisée. Le soir, dans les bras de son Amie, elles faisaient l’amour entre Dames, mais aussi avec Monsieur Chien qui les rejoignait sur le lit, les satisfaisant toutes les deux. Un beau et vaillant fouteur qu’elles appréciaient toutes deux dans leurs secrètes effusions, mais qui les fatiguait quelque peu par ses…exigences répétées ! Et pourtant, ces Dames ne savaient et ne pouvaient rien lui refuser…
Le beau et fringant lévrier à la robe fauve, aux muscles puissants de coursier, élancé, ne pouvait se passer de ses relations avec sa et ses Maîtresses, belles zoophiles (cachées), ô combien vicieuses, recherchant sans cesse des plaisirs inavoués, qu’ils fussent humains ou canins. Et le chien, lui non plus, n’aurait su s’en passer… Beau, sain, toiletté, le poil luisant, un rival de grande classe !
Quand ils étaient tous les deux au magasin, il dormait, étendu aux pieds de sa Maîtresse sous le grand et large bureau Empire de celle-ci. Possessif, veillant, « Belzébio », c’était son nom, en raison de ses oreilles pointues de diable, toujours dressées au moindre bruit sur le quai ou lorsqu’un client poussait la porte, la voix aussitôt l’alertait. Et quand ils étaient seuls et que ses sens s’éveillaient, il pointait alors son museau effilé entre ses genoux, les écartait impérativement de sa truffe fraîche et frémissante, humant les intimes odeurs et le parfum de sa Maîtresse. Alors, excité, il manifestait ses envies, se mettait à bander, haletant, jappant et couinant sous le meuble. Elle devait lui céder. Elle mettait alors furtivement un écriteau sur la porte et montait par l’escalier en colimaçon vers le salon-paradis où ils allaient pouvoir se livrer à leurs accouplements.
Cela durait une demi-heure, trois quarts d’heure, parfois une heure et puis, ils redescendaient, elle, époussetant sa robe ou sa jupe, ayant retendu un bas (parfois griffé), les traits un peu défaits, elle se remaquillait et se remettait à son bureau, comme si de rien n’était…
La scène donc à laquelle j’assistai, ne manquait point d’érotisme bestial du plus bel effet. Je restai donc là un instant debout sur les dernières marches, à contempler le tableau fort excitant. J’étais à la fois surpris, curieux, émoustillé, contemplatif... Ma chair commençait à se manifester impérieusement dans ma culotte, comme vous devez vous en douter, ma Chère Sophie… Je la frottai délicatement à travers l’étoffe, la sentis bander généreusement et restai ainsi, intrus, voyeur, charmé par de telles pratiques à l’actif de ma dive Amie et Maîtresse. Il est vrai que nous nous étions perdus de vue pendant plusieurs années, depuis la période des Beaux-Arts pour elle et de la Sorbonne et du Journalisme pour moi, le temps inexorable s’était écoulé, chacun suivant sa route et je découvrais ici une toute nouvelle femme.
Une belle lumière éclairait son dos blanc penché en avant, de beaux petits seins droits et fiers remuant légèrement sous les assauts de l’animal. Le bougre la maintenait ainsi tantôt par les hanches, tantôt appuyant ses fines pattes avant sur les épaules de ma Belle qu’il griffait par instant, impérieux, exigeant, dominateur, puissant, un animal de tempérament à n’en pas douter. Voir ainsi cette belle femme d’une cinquantaine d’années se faire monter gaillardement par ce bel étalon canin, ne manquait point de curiosité et d’une certaine beauté bestiale propre à me bien stimuler. J’ouvris ma culotte, sortis mon membre, son prépuce gonflé à l’extrême jaillit, large, palpitant, rouge, l’œil exorbité, tout décalotté, la veine apoplectique.
J’entrepris une lente masturbation qui me satisfit. Arnaude geignait de plus en plus fort, des plaintes brèves mais rapprochées, l’animal était certainement sur le point de jouir en elle et le plaisir venait, grandissant, la rendant presque folle sous l’intensité des chevauchements de plus en plus rapides, la bête ahanant, dressée contre le dos de sa Maîtresse (qui était redevenue à présent aussi la mienne !), le museau dans son cou, la langue pendante léchant par intervalles ses épaules, plantant par instant ses griffes dans cette fine chair blanche que j’eusse voulu protéger par quelque étoffe, mais je n’osais m’approcher et risquer de gâter leur plaisir. Comme ils étaient beaux ainsi, couple anachronique, forniquant, une Belle et sa Bête en pleine intimité dans le secret de leur vice zoophile.
De fait, ils jouirent, longuement avec cris, gémissements plaintifs, couinements de la part de l’animal, tout heureux de posséder « notre » Maîtresse, aux goûts étranges certes, mais pour le moins très excitants.
Ma branle m’apaisait un peu. Je ne voulus pas jouir et voulais attendre que mon «concurrent» eut terminé sa saillie, et c’est là que je vis, que le bougre n’était point en con, mais tout bonnement en cul de ma Belle, la sodomisant de belle manière, s’allant et venant en ce charmant derrière où je croyais être le seul à pénétrer, si ce n’était le godemichet de sa belle Amante, la lesbienne avérée Mathilde d’Allanches, sa Secrétaire et associée, femme de confiance et compagne de Lesbos, lorsque quelque Amant venait à leur manquer…
Arnaude avait en effet un beau penchant pour les femmes, mais adorait cependant les hommes. Elle avait été mariée, mais avait divorcé. Les aventures ne manquaient point et je faisais partie de la liste de ceux habilités à la venir visiter, l’accompagnant aussi au théâtre, aux expositions et vernissages où à Deauville dès le printemps ou encore à partager ses « soirées » très galantes entre Amis de choix. Mais, ce qu’elle affectionnait, depuis quelque temps, c’était nos « retrouvailles » à deux ou bien à trois avec la Belle Mathilde, en son appartement, juste au-dessus de son magasin d’antiquités. Je devrais même dire à quatre, puisque le beau lévrier venait me prêter main forte – ou plutôt « queue forte » - dans nos longs et épuisants ébats !...
L’animal en avait terminé et, ayant dégonflé, écarta ses reins de la croupe de mon Amie, dégageant une bite de belle dimension, longue, rouge, tressautante, maculée d’un foutre clair qui finit de s’écouler sur le velours rouge du prie-dieu… Ma belle Amie gémit longuement lorsque la queue encore tendue sortit d’elle. Je m’approchai d’Arnaude, tandis que celle-ci reprenait lentement ses esprits – j’appris par la suite que de telles et fortes saillies la laissaient apaisée, satisfaite certes, mais terriblement lasse pendant quelques minutes…
J’avais voulu laisser l’animal poursuivre sa monte et n’avais pas souhaité m’en approcher, les relations femme-chien étant si fortes à ce moment-là, qu’il eût été aventureux et risqué de s’approcher de l’animal, sans courir le risque de quelques menaces de grognements menaçants à l’égard de l’homme venant troubler le plaisir de la bête en pleine action ou jouissance. Je ne m’approchai donc d’Arnaude qu’à la fin de la saillie et lui baisai la main longuement, puis les lèvres.
Elle me vit débraguetté et en de si berles dispositions, qu’elle murmura :
« Venez, mon cher Ami, venez…je vous veux aussi… vous avez été si patient… »
Je me dévêtis promptement et vins me placer derrière elle…la prendrais-je en con ou en cul ?... Je ne savais, mais je la désirais de toute ma chair… Je décidai finalement de la sodomiser, désireux de me retrouver dans la tiédeur de son joli cul et aussi dans le foutre liquoreux de l’animal, car cela m’excitait, je l’avoue et elle également… Je n’ignorais pas que…dans le temps…elle aimait la sodomie…elle me laissa donc faire…
Je lui écartai donc les fesses, elle s’y prêta, tendit son cul, se pencha un peu plus, je trouvai l’anus, humide, chaud, maculé de semence et poussai mon prépuce à tout va… je la pénétrai toute entière, elle remua des hanches, passa une main sur mes fesses, afin de me serrer un peu plus étroitement et nous commençâmes notre chevauchis bellement, faisant craquer de plus belle le vieux prie-dieu qui en avait vu bien d‘autres auparavant…
Mathilde en effet, la prenait, paraît-il très souvent ainsi (je veux dire par derrière), nantie de son superbe godemichet en ivoire, une queue magnifique, longue, large, bien sculptée, veine et prépuce tous proches de la réalité d’un membre humain, ce qui lui conférait des qualités de belle efficacité… et l’Amant ivoirin de ces Dames faisait un bel office…
Qu’il était doux, chaud, profond, ce cul que j’avais ainsi perdu de vue (!!) et qui me rappelait nos toutes premières amours ; j’étais déjà un peu plus âgé qu’elle, mais elle aimait ma maturité précisément d’homme à la fois Amant, paternel, confident, écoutant, ne jugeant point, consolant et aimant avant tout… Notre Quartier Latin à nous renfermait de bien belles histoires en vérité et c’est ce qui nous lie encore aujourd’hui.
J’aime Mathilde aussi, elle me l’a fait aimer, je l’apprécie, non seulement bien sûr par les caresses et les partages qu’elle me donne en compagnie de ma Maîtresse – qui est la « nôtre » - mais aussi par la culture, l’intellectualité qui règnent entre nous trois, la conversation, l’échange d’idées ; une jeune femme très intelligente, ouverte, sans tabous, plus jeune qu’Arnaude, trente-cinq ans, photographe d’Art, auteur de plusieurs ouvrages sur les meubles anciens et lui apportant sa jeunesse et son amour entre femmes, dont je suis le fervent admirateur et que je partage en nos divines heures en trio complice de qualité. Une Amie très intime pour Arnaude, mon Amie aussi, NOTRE AMIE. Nous devenions donc très unis tous les trois.
Ma fornication, lente, légère, profonde me laissait savourer, déguster cette sodomie que j’aime tant, ce plaisir qui monte progressivement, paralysant ma queue depuis la racine jusqu’au prépuce et qui fait monter cette douce liqueur que je répands délicieusement en ce beau conduit que l’on m’offre avec tant d’amour et de complicité. Je jouis !
Arnaude s’enfila un peu plus sur ma queue et resta ainsi gémissant doucement, le fion envahi de semence, heureuse, haletante, pelotonnée, tendue vers mon ventre, ses petits seins dardés et une main glissée sur son clitoris (elle aimait beaucoup se masturber, c’était une habitude qu’elle avait déjà lorsque nous étions plus jeunes), tandis que le lévrier à présent reposait, étendu sur le grand tapis, insensible à nos manifestations, récupérant de ses prouesses…
Je restai encore en elle, elle serra ma queue de ses petites chairs anusiennes fines et étirées, me retenant et puis, je sortis d’elle… Elle murmura :
« Vous voyez, mon Ami, j’aime toujours autant cela… et vous me prenez toujours aussi bien par là… »
Elle m’embrassa et nous allâmes faire une minutieuse toilette, comme après chaque union de ce genre, et notamment après avoir partagé ces plaisirs à la suite de l’animal.
Nous nous habillâmes et allâmes boire un café en un établissement où nous avions nos habitudes, il y a si longtemps… L’endroit n’avait pas tellement changé et nous nous sommes promis d’y revenir souvent taquiner le passé… Nul n’aurait pu imaginer les plaisirs que nous venions de vivre, en nous voyant ainsi attablés ; nous parlâmes longtemps, les yeux dans les yeux (cernés), heureux, j’en oubliai mes…soixante dix ans… et elle les oublia aussi… Nous revivions.
Voilà, ma très Chère Sophie, ce que je voulais vous dire par cette lettre qui sera suivie, je le pense, de bien d’autres encore… Je vous embrasse très tendrement et sensuellement, ma douce, très Chère et lointaine Amie,
Votre bien attentionné Marquis de Chair,
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