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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Je rentrais, il y a quelques années d'un petit voyage à Roubaix. Je rentrais sur Paris et fidèle à mon habitude je faisais le voyage en train de nuit. Plus exactement, le train postal, car partant de Lille à 22 heures, il arrivait à Paris à 5 ou 6 heures du matin, s'arrêtant dans la moindre petite gare pour ramasser les sacs postaux. Fatalement une durée pareille n’incitait pas beaucoup les voyageurs.

Moi par contre, j’aimais bien ce train là, car de nombreux compartiments étaient vides, on pouvait s'allonger sur les banquettes et dormir tranquillement. Parfois aussi, on y faisait de belles rencontres. D'après une étude faite les trépidations des wagons sur les rails se répercuteraient sur l'entrejambe des voyageurs des deux sexes, et leur enlèveraient leurs inhibitions.

Les quelques rencontres que j'ai pu y faire me portent à croire que c'est vrai.

Je rentrais donc sur Paris. Un peu avant 22 heures, je monte dans ce train et trouve aisément un compartiment vide, je m'y installe. Quelques minutes avant le départ, j'entends une cavalcade dans le couloir de mon wagon, et je vois une ravissante jeune femme brune aux cheveux courts entrer vivement dans mon compartiment, refermer la porte et venir s'assoir tout contre moi, mettre une de ses mains sur ma cuisse et l'autre sur ma nuque et me murmurer très vite :

Pardon, excusez-moi, je vous expliquerai tout à l’heure ! »

 

Comment en vouloir à une belle inconnue qui se jette sur vous et vous embrasse amoureusement ? En tous cas, je n'ai aucun mal à me montrer aussi convaincant qu'elle.

 

Des bruits et des voix dans le couloir se font entendre et la porte du compartiment s'ouvre. Je vois alors deux jeunes bidasses, en permission et assez avinés. Le spectacle que mon inconnue et moi leur offrons semble les remettre d'aplomb. Ils se confondent en excuse et je leur dis : « C'est ça ! C'est ça ! Fermez donc la porte en partant !»

 

Ils s'exécutent et disparaissent. Ma belle inconnue, bien qu'elle ait cessé son baiser, reste blottie contre moi. Je ne cherche pas à la dégager du tout, nous sommes très bien comme ça à mon avis. J'ai l'impression qu'elle aussi apprécie la position.

 

Elle se contente de lever la tête, me regarde en souriant. Je dois sans doute la regarder bizarrement car elle éclate de rire. Elle est belle quand elle rit et me donne des envies. Elle devait avoir 30 à 35 ans. Vêtue d'un chemisier blanc dont les boutons du haut semblent en froid avec leurs boutonnières, car j'ai une vue plongeante sur sa poitrine.

 

Elle voit où va mon regard mais ne semble pas s'en offusquer. Elle se présente, elle s'appelle Lucie, elle est célibataire et occupe un poste important dans une grosse boîte du Nord. Un de ses plaisirs favoris le weekend est de prendre un train de nuit le vendredi soir, peu importe sa direction, le but n'étant pas la destination, mais les voyageurs parmi lesquels elle trouve souvent avec qui s'amuser…

 

Et elle m'explique enfin le pourquoi de son attitude. Elle venait de monter dans le train quand elle s'est fait aborder par les deux militaires ivres, elle en a eu vraiment peur et leur a dit qu'elle rejoignait son petit ami qui l'attendait dans le train. Et j'ai été le premier copain potentiel qu'elle ait rencontré.

 

Quelle chance j'ai eu tout de même de tomber sur une jolie femme et qui plus, est qui n'a qu'une idée, faire l'amour avec un inconnu !

Je sais par expérience que dans un train postal, il est rare qu'un contrôleur vienne visiter les compartiments. Aussi étions-nous certain que nous ne serions pas dérangés une fois le train parti. Dés qu'il eut démarré, nous reprenons notre conversation là où les deux bidasses l’avaient interrompue : Le Baiser.

 

 

Elle a la bouche toute fraiche et la langue agile, elle donne l'impression d'être large et longue tant je la sens partout dans ma bouche. Un vrai plaisir, ce baiser, il en laisse présager d'autres.

 

Nous finissons par décoller nos bouches l'une de l'autre pour reprendre haleine. Je dois avoir un drôle d'air, car elle me regarde et éclate à nouveau de rire. Son rire lui aussi est sensuel. Je le lui fais remarquer. Pour me remercier, j'ai le droit à un deuxième service labial. Mais celui-ci est accompagné d'une caresse appuyée sur ma braguette déjà toute gonflée. De mon côté, je caresse sa poitrine à travers son chemisier. Le sein est ferme et Lucie semble très réactive à ma caresse.

 

Mais nous entendons du bruit dans le couloir. Le bruit de portes de compartiments qu'on ouvre et qu'on referme. Prudents, nous rajustons nos vêtements et prenons une position « convenable ». Bien nous en pris, car pour me faire mentir c'était le contrôleur qui faisait sa tournée, la seule de tout le trajet. Après son départ, nous savions Lucie et moi que plus personne ne nous dérangerait jusqu'à Paris.

 

Sûre d'elle et loin d'être timide Lucie se leva me fit face les mains sur les hanches et avec un sourire plein de sous-entendus : elle me lança sur un ton jovial :

« A nous deux maintenant ! »

 

Elle retira son chemisier, dégrafa son soutien-gorge et s'assit sur mes genoux face à moi. Ses tétons aux aréoles larges me narguaient. Elle donnait à son bassin un mouvement de danse qui anticipait la lambada, pas encore arrivée en France. Je bandais déjà comme un mort de faim. Sa jupe noire semblait elle-même gênée d'être entre nous, aussi je l'ai dégrafée. A ma grande bonne surprise, Lucie n'a pas de culotte. J'apprécie et le lui dis.

 

Elle m'avoue, fière d'elle, ne mettre de culotte que quand c'est indispensable. C''est une grande coquette qui aime se faire admirer et adore exciter. Aussi, elle se lève, et bien campée sur ses jambes et torse bombé, elle me fixe dans les yeux, attendant des compliments. Mais j'ai la gorge nouée par la surprise et l'émotion, aucun son ne sort. Mes yeux et la bosse de ma braguette parle pour moi. Elle est ravie de l'effet qu'elle produit sur moi.

 

Mes yeux ne la déshabillent pas, c'était fait, mais ils caressent son corps. Et je constate que sur et autour de sa chatte, les poils sont réduits à la portion congrue, et l'en félicite.

 

A cette époque, avoir le pubis rasé ou épilé était encore considéré comme le comble de la perversité. Je me lève et fait mettre Lucie debout sur la banquette. Elle se tient au porte-bagages, ainsi sa chatte est à hauteur de mes yeux... Les lèvres sont légèrement charnues, son clitoris qui avoisine les 10m/m semble me défier. Je le relève (le défi), ma queue, elle, n'a pas besoin de l'être, c'est fait depuis un moment.

 

Je fais aller ma langue le long de ses lèvres, elle s'attarde sur son bouton puis la pénètre. Elle est chaude et toute humide. L'âcreté de sa mouille est délicieuse. Lucie aime ce que je lui fais, ses gémissements le prouvent. Les mouvements qu'elle donnait à son bassin s'accentuent, elle gémit encore plus fort et jouit. Elle m'inonde le visage. Elle se penche vers moi et lèche mon visage. Mon pantalon, quant à lui, est soudain devenu trop petit pour moi, tant je m'y sens à l'étroit.

 

Lucie s'en aperçoit redescend de sa banquette et me déshabille. Premier étonnement, je n'ai pas de slip. J'ai horreur de ça comme des autres vêtements d'ailleurs, mais la morale veut qu'on se couvre.

Seconde surprise, je n'ai pas un poil à l'entrejambe, elle s'en étonne car si on commence à voir des femmes qui s'épilent, pour les hommes c'est beaucoup plus rare. Je lui réponds vaguement. D’ailleurs elle semble s'en moquer, l'essentiel étant d'une part que cela lui plaise et d'autre part ce que nous allons faire tous les deux.

 

Pour mieux me le prouver, elle prend ma queue en bouche et la suce délicatement, enveloppe mon gland de sa langue, puis parcourt ma hampe. Lucie se régale, elle est à son affaire, et moi je suis aux anges. Hélas, elle cesse ce petit jeu qui risquait de nous faire arriver avant même de partir. Elle s'allonge sur la banquette, et faisant preuve d'une extraordinaire souplesse, elle relève ses jambes et les ramène à hauteur de ses épaules et les maintient ainsi à l'aide de ses mains à hauteur des genoux.

 

Ainsi placée, j'ai une vue admirable sur un entrejambe parfaitement lisse et où l'entrée de ses grottes semble être l'œuvre d'un artiste, tant le spectacle est beau. Je me mets tête-bêche au dessus d'elle, et me sert de ma langue, qui aimerait être plusieurs, pour déguster chatte et anus.

 

L'odeur qui se dégage est délicate, elle mouille abondamment, c'est un peu acre mais j'adore ça. Elle semble aimer ce que je lui fais, car elle met beaucoup d'ardeur à parcourir ma bite. Un peu trop même, car j'ai bientôt envie de jouir. Je le lui dis, mais elle me maintient dans ma position et j'explose dans sa jolie bouche.

 

Elle n'en perd pas une goutte. Elle ne tarde pas à jouir aussi, abondamment. Lucie, je m'en apercevrai plus tard, est une femme-fontaine. Je n'en avais jamais rencontré. C'est surprenant. Je trouve beau ce spectacle. Et puis quelque part c'est valorisant pour un homme de se dire « bon sang ! C'est grâce à moi ! »

Ça fait un bien énorme à notre Ego.

 

Nous nous asseyons sur la banquette, Lucie blottie contre moi, nous bavardons en fumant une cigarette. Elle me fait ses confidences sur « ses chasses en train ». Son récit ravigote mon étage inférieur, elle aussi d'ailleurs, l'évocation de ses jeux l'enflamme à nouveau. Nous nous allongeons sur cette banquette pour baiser comme des affamés.

 

Mais son péché mignon était la sodomie. Effectivement, elle eut un orgasme tandis que je l'enculais, il fut bruyant et ponctué de mots crus qui contrastait avec sa classe naturelle. Nous avons ainsi multiplié les combinaisons jusqu'à notre arrivée à la Gare du Nord. Nous y avons pris un copieux petit déjeuner.

 

J'ai raccompagné Lucie sur son quai car elle remontait sur Lille. Nous nous sommes quittés avec comme phrase d'adieu de Lucie : « Eh ! On ne sait jamais n'est-ce pas ? » ponctuée d'un clin d'œil malicieux….

Par Bruno Bi - Publié dans : Bruno, le libertin - Communauté : VIVRE TOUS SES FANTASMES
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