Sophie, marquise de
R.
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Bises libertines,
Sophie
Je me prénomme Kemal et je suis né en France, de père algérien et de mère française mais mes parents ne se sont jamais mariés. Mon paternel était en situation irrégulière à l’époque, et il a été expulsé alors que je n’étais pas encore né. Cependant, il est toujours resté en contact et il est venu nous voir avec un visa de tourisme presque chaque année. Depuis deux ans, il est avec nous pratiquement en permanence, pour aider ma mère qui est commerçante sur les marchés. Mes parents m’ont éduqué dans le strict respect de la religion de mon père.
C’est ainsi que j’ai fréquenté plusieurs années l’école coranique du quartier des 4 000. En plus, le prof de sport de mon collège avait remarqué mes dispositions pour la course à pied lors des compétitions entre les divers bahuts. Il m’inscrivait souvent pour des compétitions dans la région et le lundi, il ne manquait jamais de me féliciter de mes résultats.
De cette époque, j’ai toujours la même bande de potes qui viennent de temps à autre à la maison et à chaque fois c’est le même refrain : Pas de boulot, les filles que nous n’avons pas, les disques de musique du pays… J’étais le seul à avoir fait des études au lycée et mes parents étaient fiers de moi.
En même temps que mon bac, j’avais préparé et réussi le concours d’entrée pour suivre la préparation au métier de professeur d’E.P.S. Je savais que ce serait dur mais au moins j’aurais un métier qui me plait au contact des jeunes. C’est grâce à une de mes professeures que j’ai été attiré par cette filière. Elle connaissait mes performances et mon goût pour les sports. Pendant les deux dernières années du lycée, elle avait toujours su me motiver et me conseiller un peu comme une frangine plus âgée que je n’avais pas…
Dans notre groupe de garçons, les filles n’avaient pas leur place. Nous restions entre nous, mais cela ne nous empêchait pas de les mater, de regarder leur petit cul pris dans un jean moulant à taille basse avec la culotte ou la ficelle du string visible, d’admirer celles qui arborent un piercing au nombril découvert par un vêtement trop court… Bref, ces garces nous font bander mais on n’y touche pas, alors que certaines se jetteraient presque sur nous… alors que d’autres sont couvertes à la mode de chez nous.
Avant de l’épouser, je voulais trouver une fille sérieuse, pas une allumeuse comme celles qui tournent autour de nous. Je voudrais aussi qu’elle partage ma religion et ma foi. Je ne veux non plus pas d’un mariage arrangé au pays. Je veux un vrai mariage d’amour… faire des enfants. Mais avant, je devais achever ce que j’ai entrepris : terminer mes études, cinq ans c’est long…
Mais avant je voulais fréquenter des filles pour m’initier au plaisir du sexe afin de bien satisfaire ma future femme pour qu’elle ne soit pas tentée par d’autres hommes. Pour l’instant, je suis encore puceau et cela ne me pose pas de problème mais dans mon entourage, j’ai peu de chances d’attirer une fille qui ne passe pas pour une salope ou une pute !
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J’ai commencé ma deuxième année. Je bosse mes cours à fond et depuis peu, je m’entraîne dans une salle d’arts martiaux afin de mettre plusieurs disciplines sportives à mon actif. En plus, j’aide ma mère et mon père à gérer le commerce en préparant la comptabilité et la partie administrative, ce qui n’est pas vraiment leur truc.
Début décembre, j’ai rencontré incidemment Madame Hachar, ma professeure sur le marché où j’aidais ma mère. Je l’avais revue brièvement plusieurs fois depuis que j’avais quitté le Lycée un an et demi auparavant. Mais cette fois, nous avons longuement bavardé mais nous n’étions pas tranquilles, bousculés par les uns et les autres.
Voyant cela, elle me dit de venir chez elle le soir même afin de parler de ce que je faisais. J’ai toujours eu beaucoup de respect pour elle et j’étais gêné qu’elle m’invite ainsi car nous serions seuls. Mais j’étais aussi flatté qu’elle s’intéresse encore à moi…
Le reste de la journée, en pensant à elle, à son regard, à sa façon de me regarder droit dans les yeux, mon corps réagissait avec des décharges d’adrénaline constantes. C’est fou ce qu’un regard pénétrant peut générer à l’intérieur.
J’en ai parlé à mes potes je ne sais pas pourquoi mais je voulais qu’ils le sachent. Ce n’est pas toujours qu’une femme invite un de nous chez-elle. De temps en temps des idées émoustillantes et franchement déplacées me venaient à l’esprit mais je les chassais, conscient qu’elle ne verrait en moi qu’un « petit branleur » trop jeune pour la combler.
J’admets que j’avais la trique en prenant ma moto pour aller chez-elle et en l’enjambant pour m’asseoir comme si j’étais en train de prendre ma professeure, comme si la selle était ses fesses. Enfin, un moment de délire impossible à éviter, c’était ma première fois… dans tous les sens du terme.
Arrivé chez-elle, je suis descendu de la moto après avoir hésité un long moment. Et si elle avait changé d’idée par la suite ? Et si son invitation n’était que politiquement correcte mais dans le fond elle ne m’attendait pas vraiment ? Et si…
Tous ces dilemmes à la con furent interrompus par la sonnerie de mon portable. On venait de m’envoyer un texto.
C’était Madame Hachar qui me demandait si j’allais venir ou si j’étais tout simplement en retard. C’était le feu vert que j’attendais pour foncer. Lorsque la porte s’ouvre, je suis surpris de me trouver en face d’une jeune femme d’une trentaine d’année qui me dit en arabe :
« Entre vite, Anita est occupée avec les préparatifs. Viens je vais te présenter. »
Dans le vaste salon, Djamila me présente successivement Salim, Mustapha et Mohammed, les trois hommes en me précisant qu’il s’agit d’écrivains algériens, kabyles plus précisément. Ce sont tous des amis d’Anita ou Madame Hachar comme je l’appelais plus respectueusement. Ce groupe d’amis, elle l’a rencontré lorsqu’elle préparait se thèse sur la littérature arabe.
Depuis la cuisine où j’entends le bavardage de plusieurs femmes, Anita me crie de me mettre à mon aise, que tout est presque prêt… Bientôt elle arrive en compagnie de deux autres femmes en costume de fête traditionnel qui ont sensiblement son âge, une trentaine finissante.
Toutes les trois portent des plateaux garnis de victuailles diverses alors que sur la table trônent déjà plusieurs bouteilles de jus de fruits et un théière en argent. Si nous sommes au complet, nous serons huit personnes.
Anita me présente aussi ses amies, Fairouz et Naïma qui, avec Djamila, sont les compagnes ou épouses des trois hommes. Si au début, les conversations sont tantôt en arabe, tantôt en kabyle, pour me faciliter les choses les échanges se poursuivent en français car je suis plutôt incertain et hésitant dans ces deux langues.
La soirée se déroule comme dans un rêve. Moi le sportif, jeune beur de banlieue, je me trouve au milieu de natifs du pays de mon père. C’est génial. Je découvre au détour des conversations de détails de la vie en Algérie, assez dure pour les intellectuels. D’ailleurs mes trois interlocuteurs vivent en France. Même si leurs écrits sont des romans, ils m’expliquent qu’ils ne peuvent s’empêcher de dépeindre la société telle qu’elle est.
De mon côté, je parle de ma vie, des difficultés que je commence à rencontrer dans ma cité où mes camarades ne comprennent pas que je poursuive des études supérieures … peu à peu je me sens isolé, n’ayant plus d’autre horizon que mes parents, mes études et les salles de sports ou je m’entraine jusqu’à l’épuisement car je veux réussir. Je veux me sortir de ces cités de banlieue avec leur promiscuité et leurs petits trafics sordides…
Il est plus de deux heures du matin quand les hôtes d’Anita prennent congé. Je me retrouve seul avec elle, ma timidité initiale vis-à-vis d’elle refaisant surface alors que pendant toute la soirée, je m’étais exprimé sans gêne. Elle me félicite en me disant qu’elle est fière de moi, qu’il ne faut pas avoir peur de ce que l’on est et veut devenir. Ce n’est pas en regardant en arrière qu’on progresse…
Nous bavardons ainsi encore plus d’une heure. Anita a ouvert une bouteille de champagne en disant :
« Nous allons fêter la nouvelle année ! »
Nous abordons des sujets plus légers et une fois de plus, Anita me taquine un peu au sujet des filles. Nous sommes assis tous les deux sur le divan et je sens son parfum un peu épicé venir me chatouiller les narines.
En même temps, je perçois la douce chaleur de sa cuisse contre la mienne. Je ne sais pas si c’est le champagne (c’est la première fois que je bois de l’alcool) ou ce que je ressens mais bientôt je me trouve à l’étroit dans mon pantalon. Mon sexe est bandé mais ce qui m’achève, c’est quand Anita se tourne vers moi et m’embrasse sur les lèvres. Ma bite est dressée comme jamais au point d’en être douloureuse…
Ma professeure glisse sur le tapis et se met à genoux devant moi. Elle dégrafe la ceinture de mon futal et vas chercher ma bite dans mon slip.
Pendant que ses mains essayent de retrouver le fruit charnu difficile à sortir de mon boxer fermé, je reste comme paralysé car je n’en crois pas mes yeux. Qui aurait dit que cette soirée finirait comme ça…
Je vois le beau visage d’Anita aux lèvres rouge carmin s’approcher de mon bas ventre et soudain, je me retrouve englouti dans sa bouche chaude et humide. Elle en profite pour masser mes couilles de sa main libre, car l’autre est glissée sous sa jupe longue pour caresser son entrejambe.
Je n’aurais jamais imaginé ce qui se passe ce soir entre Anita et moi. La différence d’âge, de milieu social, le respect que j’ai d’elle, tout cela aurait du nous éviter de sombrer ainsi dans la débauche… Mais c’était tellement bon de me faire sucer ainsi.
Elle fait de longs allers-et-retours avec sa bouche sur ma bite enduite de salive. J’ai chaud. Je sens mon plaisir monter dans ma queue comme lorsqu’il m’arrivait, étant adolescent, d’avoir des pollutions nocturnes sans me masturber. Je n’aurais jamais osé toucher mon sexe …
Soudain, j’arrive au point de non retour. Je veux me retirer de sa bouche mais elle me retient. Je ne peux que lui décharger mon foutre dedans, qu’elle avale aussitôt, comme une biche assoiffée qui découvre une rivière. Je la regarde faire et quelque chose en moi me dit que notre relation ne finira pas là… Anita me dit alors en s’essuyant les lèvres :
« Je crois que ça suffit… »
Quelques minutes plus tard, en chemin pour rentrer chez mes parents, j’ai repassé le film de la soirée. Je ne suis pas prêt de l’oublier : ces échanges avec les amis d’Anita et la fellation inattendue et incroyable qu’elle venait de m’accorder…
Rien qu’en y pensant je me suis mis à bander encore une fois.
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Après la soirée passée chez Anita au cours de laquelle j’ai rencontré ses amis intellos que j’ai beaucoup appréciés et cette belle fellation qu’elle m’a accordé quand nous nous sommes trouvés en tête-à-tête, je ne savais plus trop où j’en étais. Je n’aurais jamais imaginé avoir une aventure sexuelle avec mon ancienne professeure de lycée. Je la respectais trop pour envisager une telle chose.
Pendant la semaine qui vient de s’écouler, j’ai repris les études et je vais à la salle de sports où je m’épuise pour ne pas être tenté d’aller retrouver Anita chez elle comme elle m’y a invité. A la maison, je suis d’humeur maussade au point que ma mère m’en fait la remarque et je ne vais plus retrouver les potes au pied des barres d’immeubles comme je le fais de temps à autre.
Mais Anita me prend la tête. Sans arrêt la nuit je repense à cette fellation gourmande qui m’a fait gicler dans sa bouche. Chaque fois, ma bite se redresse et je suis tenté de me branler.
Je n’imaginais pas Anita en chaudasse comme je l’ai découverte. Pendant les trois années de lycée, j’avais apprécié sa longue silhouette élégante, ses longs cheveux noirs toujours coiffés en chignon strict, ses yeux marron bordés de long cils noirs, sa bouche aux lèvres pulpeuses bien dessinées et toujours discrètement maquillées.
Ses ensembles tailleur pantalon lui faisaient une tenue élégante et discrète. Il lui fallait faire attention car nous avions dans le bahut quelques mecs chauds qui n’auraient pas hésité à la chahuter si elle avait porté des tenues quelque peu provocantes.
Mais ce soir, au moment où vers vingt-deux heures, je quitte la salle de sports, je reçois un SMS :
« Tu peux venir ? »
C’est Anita ! Aussitôt, je préviens ma mère que je ne rentrerai pas de bonne heure et qu’elle ne s’inquiète pas. Une dizaine de minutes plus tard, j’arrive devant l’immeuble bourgeois d’Anita qui m’ouvre aussi la porte d’entrée.
Les deux étages sont franchis en vitesse. Je suis très impatient de la revoir et mon cœur bat à cent l’heure. Je sais ce qui m’attend et à la fois le suspens attise ma curiosité, une curiosité teinté de perversité. Anita m’attends dans l’entrebâillement de la porte palière. J’entre aussitôt et elle m’entraîne dans son salon où nous nous enlaçons :
« Enfin seuls ! »
Immédiatement sa bouche cherche la mienne et nous échangeons des baisers brûlants où nos langues se mêlent, envahissant tantôt la bouche de l’un, tantôt la bouche de l’autre. Nos corps sont pressés l’un contre l’autre.
Sous le déshabillé d’enfer qu’elle a mis, je sens ses seins durs et pointus frotter mon torse alors que son bassin ondule contre le mien… c’est une sensation indescriptible mais très excitante. Je bande au point que ça me fait vraiment mal au sexe.
En faisant glisser son déshabillé et sa nuisette dans un seul mouvement, ma compagne s’offre bientôt nue à ma vue, ne conservant qu’un string minuscule. Elle commence à me déshabiller à mon tour en faisant passer mon sweet-shirt par-dessus ma tête et en baissant le pantalon de mon jogging. Je ne porte plus que mon boxer et ma bite est bandée au point que le gland sort au dessus de la ceinture élastiquée.
Nous continuons de nous étreindre, caressant mutuellement nos corps collés l’un à l’autre. De ses mains elle suit le dessin de mes muscles de bras et mes pectoraux alors que les miennes courent dans son dos des épaules à la raie de ses fesses ou dans ses longs cheveux libres.
Nous n’en pouvons bientôt plus. Anita m’entraine sur elle en basculant sur le divan où nous continuons de nous étreindre dans des caresses de plus en plus chaudes. Nos pubis frottent l’un contre l’autre et je vais embrasser ses seins aux tétons proéminents et sensibles. Puis je descends vers la fourche de ses jambes en une multitude de petits baisers humides, baveux, passionnés.
Au passage, je mets ma langue dans son nombril et je la sens frissonner. Je découvre les gestes instinctivement, sans vraiment savoir ce que je fais, à tâtons. Au travers du triangle de dentelle blanche du string, je dépose des baisers chauds sur sa chatte, toute rose et inondée de mouille.
Ma prof presse ma bouche contre elle dans la fourche de ses cuisses qu’elle maintient encore fermée. Je sens son parfum musqué. Je fais glisser son string et je l’ôte. Je découvre sa toison au poil dru taillé en une fine bande qui part quelques centimètres en dessous du nombril pour aller jusqu’au capuchon du clitoris. Quel spectacle. Je n’avais jamais vu de corps féminin nu autrement qu’en photo…
Je ne sais pas comment faire alors Anita me guide, me priant de glisser ma langue entre ses lèvres, puis de titiller son clito et le sucer. Elle me prie finalement de descendre vers l’entrée pour darder ma langue et pénétrer son minou avec elle…
Je sens la chaleur humide de son sexe se répandre sous ma langue. C’était bon et malgré mon inexpérience Anita semble apprécier. Sa respiration s’accélère, elle prononce des mots sans suite – Humm ! C’est bon… continue… Encore… Je ne sens vraiment à l’étroit dans mon boxer et ma bite est douloureuse tellement je bande.
Au bout de quelques minutes, le plaisir emporte Anita qui se cambre et se tord sous ma caresse. Quand je me relève, je vois que ses lèvres sexuelles sont rouges, gorgées de sang et gonflées. Du liquide s’échappe de sa fente… C’est chaud ! Les bourgeons de ses seins sont sortis et quand je les touche, ils sont tout durs.
Anita fait glisser mon boxer, couvre ma bite d’un préservatif et m’attire à nouveau entre ses cuisses. Elle n’a pas besoin de me guider : mon sexe pénètre le sien dès que mon gland trouve l’entrée. Que c’est bon de se sentir ainsi emprisonné dans une gaine chaude et humide où je commence le va-et-vient.
Anita me guide une fois encore en prenant mes hanches entre ses mains, tantôt elle freine mes mouvements, tantôt elle les accélère. Je suis comme un jouet entre ses bras mais elle sait y faire pour retarder notre jouissance, la laissant refluer pour mieux la faire remonter ensuite.
Bientôt, l’un comme l’autre nous n’en pouvons plus d’attendre. Anita se déchaîne sous moi, laissant éclater son plaisir au moment où je me vide au fond de la capote. Je lui avoue timidement :
« C’était très bon Anita. Il faut que tu saches que t’es ma… ma première femme… »
Ma bite, bien qu’elle ait craché abondamment, est toujours bandée, fichée comme un pieu de chair au fond de son sexe. Nous restons ainsi de longues minutes à savourer nos sensations jusqu’à ce que mon amante recommence à onduler sous moi.
Cette nuit là, je la passe entre les bras d’Anita. Je lui ai fait l’amour deux fois.
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