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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

5.    Une exhibitionniste.

 

L’été dernier je me trouvais à la terrasse d’un café-brasserie sur le Cours Gambetta à proximité du centre historique de Montpellier. Je prenais un pot avant de diner puis de regagner le bungalow que j’avais loué pour la semaine dans un camping proche du bord de mer. J’avais passé la journée à visiter les ruines des châteaux cathares nombreux dans cette région et je profitais du calme relatif pour rêvasser en pensant aux quelques bonnes fortunes dont j’avais profité au cours de ces brèves vacances. En cette période estivale, à plus de vingt-deux heures, la terrasse était bondée d’une foule bigarrée et bruyante.

 

Au moment où le garçon m’a apporté mon repas, j’ai aperçu une jeune femme, jolie blonde décolorée au corps légèrement potelé assise non loin de moi. Vêtue d’une jupe courte en toile légère et d’un caraco de couleur vive largement décolleté, elle ne tenait pas en place sur sa chaise. Elle n’arrêtait pas de croiser et décroiser ses jambes en faisant remonter sa jupe jusqu’en haut de ses cuisses ou encore quand elle ouvrait largement le compas de ses jambes je pouvais voir jusqu’au slip.

 

Savait-elle qu’elle offrait cette vue à plusieurs personnes ? J’en profitais et tout en mangeant, je jetais des coups d’œil discrets dans sa direction. Quelle n’a pas été ma surprise lorsque le garçon est venu pour encaisser sa consommation, elle s’est étirée, en levant les bras de chaque côté de sa tête, elle a fait remonter ses seins jusqu’à ce que les aréoles sortent au dessus du tissu du caraco. Elle ne portait pas de soutien gorge et ses seins, assez volumineux et pour autant que je puisse en juger, un peu flasques, étaient à moitié visibles. Elle ne semblait pas gênée de s’exhiber ainsi devant le garçon et ses voisins de table.

 

Lorsqu’elle a quitté la terrasse, je l’ai suivie quelques temps du regard puis elle a disparu. Dix minutes plus tard, elle est repassée devant la terrasse et avec un regard effronté, elle m’a dévisagé en faisant coulisser la pointe de sa langue entre ses lèvres d’une manière obscène. Là j’ai compris que son manège précédent était destiné attirer mes regards sur elle. Elle m’avait dragué d’une manière ostensible.

 

Elle s’est éloignée en de dandinant et en faisant rouler ses hanches dans une des petites ruelles qui descendent de la place vers les quartiers plus récents. J’ai quitté la terrasse de la brasserie et je l’ai suivie à une dizaine de mètres derrière. Soudain, elle a disparu sous un porche d’immeuble. Au moment où j’arrivais à sa hauteur, elle m’attendait en souriant et me dit avec un  accent du Québec assez prononcé :

« Alors coquin ! Le spectacle t’a plu ? Viens, je vais t’offrir la suite ! Suis-moi ! »

 

Nous sommes passés sous le porche et nous avons débouché dans un petit jardin public éclairé par quelques lampadaires. Elle s’est retournée vers moi et elle a dénoué les cordons de son caraco qui est tombé à ses pieds dans l’herbe de la pelouse. Âgée d’une vingtaine d’années, pas très grande, elle avait des seins généreux qui tombaient légèrement.

 

Dans sa carnation de blonde, elle avait des aréoles rose foncé avec des bouts peu saillants. Elle a ensuite fait glisser sa jupe sur ses hanches, découvrant un mini string en dentelle blanche dont le cordon épousait ses hanches rebondies.

« Alors, je te plais ? » Il aurait fallu être un goujat pour dire le contraire.

 

Avec ses formes rebondies, elle ne correspondait certes pas aux canons de la mode actuelle qui prônent la minceur voire la maigreur pour les jeunes femmes mais elle était agréable à regarder et était désirable au point que ma bite était dressée dans mon boxer et faisait une belle bosse sur le devant de mon pantalon.

 

Je n’avais pas encore fait un geste dans sa direction, je la regardais en me demandant quelle allait être la suite. M’emmènerait-elle dans sa chambre ou accepterait-elle de venir au camping avec moi ? C’est elle qui a pris l’initiative. Elle a collé sa main droite sur le devant de mon pantalon pour masser mon sexe encore prisonnier. Avec sa main gauche elle a agacé mes tétons en les griffant de ses ongles longs et acérés.

 

Puis, à genoux devant moi, elle a fait glisser le zip de mon pantalon et le boxer pour prendre mon sexe à deux mains et le glisser entre ses lèvres. Cette coquine savait s’y prendre pour sucer une bite. En quelques mouvements dans sa bouche chaude, ma hampe avait atteint son développement maximum. Elle s’est relevée, m’a tourné le dos et s’est appuyée, les bras sur le socle d’une statue, offrant ainsi la vue de sa croupe large et généreusement fendue. Elle a fait glisser son string en me disant de la baiser vite et fort, qu’elle aimait le risque de se faire surprendre en pleine action.

 

J’ai rapidement couvert d’un préservatif ma queue sortie par la braguette et me glissant entre ses cuisses, j’ai pénétré sa chatte d’une longue poussée, jusqu’à être au contact de ses fesses. J’avais devant moi la vue de son dos avec au niveau des reins une magnifique arabesque tatouée dont une des pointes se perdait dans la raie, comme pour indiquer l’entrée.

« Oui ! Baise-moi fort ! »

 

Et je ne me faisais pas prier. Avec de longs mouvements du bassin, j’entrais et je sortais de sa chatte pour mieux la reprendre avec vigueur à chaque fois elle émettait un feulement de jeune fauve. Je me suis penché pour saisir un de ses seins dans ma main droite tout en maintenant mon équilibre avec la gauche posée entre ses épaules. Sa poitrine ballotait doucement à chaque poussée que je donnais. Les seins un peu mous pendaient et j’ai réussi à prendre un téton entre deux doigts pour le pincer doucement. Je ne sais pas si elle était sensible de la poitrine mais elle est partie peu après, criant sa jouissance et en s’agitant vivement sur la queue fichée dans sa chatte.

 

Je n’avais pas encore joui quand d’un mouvement de la croupe, elle m’a fait sortir. En se retournant elle s’est agenouillée devant moi, a retiré le préservatif et embouché à nouveau mon sexe prêt à éclater tellement sa fellation était bonne. C’est ce qu’elle cherchait. Au moment où j’ai senti que j’allais cracher mon sperme, j’ai voulu me retirer mais elle m’a retenu pour que je me vide dans sa bouche.

 

J’aurais cru qu’elle allait recracher ce que je venais de lui donner mais non ! Elle a tiré la langue pour bien me le montrer puis elle a tout dégluti :

« C’est bon ! Il m’en faut une rasade comme cela avant de dormir ! Bonne nuit ! »

 

Elle a ramassé ses vêtements et pendant que je me demandais si j’avais rêvé, elle s’est esquivée. D’elle, je ne connais que son prénom : Viviane.

 

J’ai retrouvé ma voiture garée à quelques rues de là et je suis rentré au camping.

 

************************************************************************

 

6.    Retour de vacances.

 

Après avoir passé une semaine en camping au Cap d'Agde, ce samedi matin, je passais saluer une dernière fois Nadja, l'hôtesse du camping avec laquelle j'avais passé une nuit de folie en club libertin à Fitou.

 

En même temps, je venais régler les restes de ma facture de séjour. J'avais bien profité de cette semaine naturiste. Je repartais intégralement bronzé. En effet, si le premier jour je me baladais encore avec le triangle minimum sur la plage, je l'avais rapidement oublié. La majorité des femmes et des hommes ne portait rien du tout.

 

Au moment de prendre congé Nadja m'a demandé si je repassais par Paris pour le retour. Ce n'était pas prévu mais lorsque j'ai su pourquoi elle me posait la question, je lui ai dit que cela pouvait s'arranger. Une campeuse devait regagner la banlieue parisienne rapidement car une boîte d'intérim lui proposait un emploi dans une grande entreprise internationale dès le lundi. Mais, en ce week-end de chassé-croisé de fin juillet, elle n'avait pas trouvé de place dans les trains ou les avions. Nadja a alors passé un appel sur la sonorisation du camping pour l'appeler en disant qu'elle avait la solution à son problème.

 

Moins de cinq minutes plus tard, je voyais arriver une grande et belle fille aux cheveux roux foncé coupés en carré assez long. Elle portait un grand sac à dos et une vaste besace. « Roxane, se présenta t'elle, merci d'accepter de me prendre en charge. Je ne sais pas comment j'aurais fait. En plus je ne dois pas laisser passer ce job! »

Longue silhouette mince aux formes menues, Roxane avait d'immenses yeux verts ombragés pas des cils très longs et recourbés. Son nez légèrement retroussé au dessus de lèvres minces et à peine maquillées lui faisait un visage agréable plein de taches de rousseur. Je lui donnais 30 ans au maximum. Elle était vêtue d'un sweet-shirt un peu large et d'un jean moulant.

 

Nous nous sommes installés dans la voiture. Aujourd'hui, il n'était pas question de passer par la vallée du Rhône pour remonter vers Paris. Le trajet par l'autoroute méridienne serait un peu plus long en distance mais bien plus agréable surtout avec cette charmante compagne de voyage.

 

Vers quinze heures nous avions déjà fait pas mal de route et nous approchions de Clermont-Ferrand. Il était temps de se restaurer un peu et de refaire le plein de la voiture. Roxanne a insisté  pour payer le tout. Sympa de sa part mais je refusai le paiement du carburant en lui disant qu'elle avait certainement plus besoin d'argent que moi qui vivait seul mais très confortablement.

 

Roxanne vivait seule également. Après quelques années de mariage et un divorce difficile, elle profitait désormais de sa liberté retrouvée depuis deux ans pour vivre au gré de ses envies. De temps à autre, elle avait de brèves aventures « hygiéniques » selon elle. Là, elle venait de passer deux semaines en camping avec un groupe d'amis filles et garçons, mais elle était restée très sage ...

 

Je ne les avais pas remarqués dans mon camping. Il est vrai que j'y passais assez peu de temps. J'avais eu une semaine bien remplie en conquêtes féminines sur la plage naturiste. Quand elle demanda comment Nadja semblait aussi bien me connaître pour me solliciter ainsi, je lui racontai ma nuit à l'Alibi d'O et ce qui s'y était passé.

 

Elle a soudain me sembler un peu rêveuse. « Je n'ai jamais eu ce genre d'expérience, mon mari était bien trop jaloux et conventionnel pour me conduire dans un pareil endroit ! Au fil des années, je me suis découvert un certain penchant pour la bisexualité et cela fait bien longtemps que je n'ai pas fait l'amour avec une femme. »

 

Peu à peu, Roxanne se découvrait. Elle aimait la vie et les plaisirs qui font qu'elle est belle. Nous avons continué à bavarder ainsi. Parfois de longs silences régnaient dans la voiture. C'est au cours de l'un d'eux que cette idée m'est venue. Puis que je passais par Paris, j'appelai une amie pour savoir si elle était chez elle pour le week-end.

 

Le téléphone était sur répondeur mais moins d'une heure plus tard alors que nous approchions du sud de l'Ile de France, Diane m'appelé brièvement en disant « OK sur tous les plans! Je suis partante ! »

 

En entendant notre brève conversation, Roxanne me dit qu'elle m'aurait bien hébergé aussi. Elle avait un grand lit et un divan confortable dans son petit appartement.

« Ne t'inquiète pas ! Je vais te faire connaître une amie très chère. Tu ne le regretteras pas. Je te conduirai chez toi après avoir déposé mes affaires. »

 

Vers vingt-trois heures, je sonnai à l'interphone de l'immeuble où habite Diane. L'ouvre porte se déclencha aussitôt alors que l'interphone nous disait :

« Montez, je vous attends ! »

 

Après un bref trajet en ascenseur, nous arrivons au quantième étage où Diane nous attend sur le pas de sa porte. Grande blonde aux formes généreuses que j'apprécie beaucoup, elle porte un déshabillé en dentelle noire qui fait ressortir sa carnation laiteuse légèrement halée. Ses beaux yeux marron sont ourlés de khôl. Elle nous accueille avec un grand sourire :

« Entrez vite ! Nous allons prendre un pot et je ferai connaissance avec ton amie » dit-elle en me tendant ses lèvres. « Alors coquin, encore une conquête ? »

 

Je lui rétorque que j'ai tout simplement rendu service à Roxanne mais qu'il n'y a rien eu de sexuel entre nous.

 

Nous nous installons tous les trois autour d'une table basse abondamment garnie de boissons diverses et de petits en-cas solides. Diane et Roxanne sont assises côte-à-côte sur le vaste divan et je leur fais face installé dans un profond fauteuil. Au bout d'une petite demi heure de bavardage léger et badin, Diane se penche vers Roxanne, l'enlace et l'embrasse amoureusement. Un peu surprise Roxanne a un léger mouvement de recul puis elle se laisse faire. Diane a bien compris mon message ! Ces deux jolies femmes vont faire l'amour devant moi. Je vais me régaler. Mon penchant de voyeur coquin va être comblé.

 

Diane passe ses mains sous le sweet-shirt de Roxanne et va cueillir ses seins qu'elle masse doucement tout en continuant à échanger des baisers accompagnés de mots tendres. Quelques minutes plus tard, elle fait passer le vêtement par dessus la tête de Roxanne.

 

Deux beaux petits seins intégralement bronzés apparaissent : menus comme des seins d'adolescente avec des aréoles très foncées. Diane se lève soudain et vient s'agenouiller devant Roxanne dont elle fait glisser le jean et le string.  Elle écarte doucement mais fermement les longues cuisses de Roxanne et va câliner et sucer son clitoris. Roxanne se pâme, son souffle s'accélère et elle rejette la tête en arrière. En appui sur ses coudes, elle plaque la tête de Diane sur sa vulve presque nue : seule une petite touffe de poils roux presque ras s'étale au dessus du capuchon du clitoris.

 

Je sais que la langue agile de mon amie doit faire merveille dans la chatte de Roxanne dont les cuisses sont prises de mouvements saccadés : elle est en train de jouir ! Diane se relève et embrase à nouveau Roxanne qui la remercie :

« C'était bon ! »

 

Maintenant c'est elle qui se montre entreprenante. D'un geste preste elle dénoue les cordons du déshabillé et fait apparaître les beaux seins ronds et généreux de Diane, tout juste soutenus par un soutien gorge à demi bonnet. Bientôt, ces deux coquines sont aussi nues l'une que l'autre. Après avoir embrassé les seins de Diane et agacé les tétons entre ses dents, Roxanne descend doucement jusqu'à la fourche de ses cuisses et commence un savant cunnilingus très appuyé accompagné par des incursions de plusieurs doigts qui vont et viennent dans l'antre humide et chaud.

 

Depuis quelques temps, je suis très à l'étroit dans mon pantalon. Le spectacle de ces deux belles coquines ne me laisse pas insensible même si la semaine écoulée a été riche en aventures sexuelles.

 

Diane bascule soudain en arrière en entrainant Roxanne qui reste imbriquée entre ses cuisses. Devant moi j'ai les longues jambes fines de Roxanne avec ses cuisses fuselées et ses fesses à peine bombée et sa chute de reins étroite. Au delà de sa tête, je vois le visage de Diane avec un sourire d'extase sur les lèvres et ses seins voluptueux qu'elle masse doucement.

 

Après quelques temps, Diane l'attire sur elle et se glisse de façon à se mettre tête-bêche. Ces deux coquines lubriques vont m'offrir le même spectacle que celui vu la veille au soir à la chambre d'amour du Cap d'Agde. Il ne leur faut pas longtemps pour arriver à la jouissance. De mon côté et pour être plus à l'aise, j'ai baissé mon pantalon et mon boxer. J'ai le sexe à l'air, dressé comme un I. Je ne me caresse pas mais je suis très excité !

 

Diane et Roxanne se désunissent et en riant s'adressent à moi :

« Alors coquin, le spectacle t'a plu ? »

 

Bien sur, j'ai apprécié :

« Oh oui ! Regarde dans quel état je suis ! »

 

Roxanne dit alors :

« Ote tes frusques et viens nous rejoindre, nous allons nous occuper de toi maintenant ! »

 

Trente secondes plus tard, je suis nu, allongé sur le dos entre les deux coquines. Diane se place à genoux au niveau de ma tête. J'ai la vue directe sur sa chatte humide et rose et son œillet plissé. Je relève la tête et je vais embrasser cette vulve chaude qui suinte légèrement la jouissance éprouvée quelques minutes plus tôt.

 

Roxanne s'est agenouillée entre mes cuisses et a pris ma bite en bouche. Elle enduit mon sexe de salive et alterne les succions profondes et les léchouilles sur le gland et le long de la hampe. Si elle continue ainsi sa fellation, je vais lui inonder la bouche de mon sperme.

 

Elle doit le sentir car elle cesse sa fellation et se place en levrette en appui sur le dossier du divan. Aussitôt Diane en fait autant. Deux belles croupes s'offrent à mes yeux, celle de Roxanne, étroite et bronzée et celle de Diane opulente et laiteuse : une rousse authentique et une blonde ! Merveilleuse vision.

« Viens, me dit la rousse en me tendant un préservatif que Diane lui a glissé discrètement, tu vas me baiser, j'en ai envie ! »

 

Je me couvre rapidement et lentement je la pénètre. Qu'elle est étroite ! Je suis serré comme si je baisais une jeune vierge. Heureusement que je suis allé doucement et que Roxanne était bien lubrifiée, préparée par les caresses de Diane.

 

Cette dernière me tend un de ses godes. J'ai compris le message. Elle veut que je me consacre entièrement à Roxanne pendant que je la baiserai avec le gode. Pleine de ressources et d'imagination me belle complice. Je ne suis pas surpris.

 

Je pose ma main gauche sur le haut des fesses de Roxanne et lentement je commence les mouvements de va-et-vient qui vont nous conduire à la jouissance. De la main droite je fais aller et venir le gode tantôt dans la chatte de Diane, tantôt dans son petit trou qui s'ouvre facilement. Deux aller-retour et sa jouissance éclate.

 

Pratiquement dans le même moment Roxanne jouit également et je lance de puissants jets de sperme au fond du préservatif. Je me dégage et les deux coquines viennent s'agenouiller devant moi. Elles se partagent ma bite et la sucent à deux bouches pour recueillir les derniers jets après avoir retiré rapidement la capote.

 

Repus de jouissance et de fatigue, nous nous allongeons tous les trois dans le divan de Diane. Une femme de chaque côté, je suis comme un pacha. Sur le dos, je pose une main dans chaque fourche qui se trouve à ma portée. Nous nous endormons ainsi rapidement. C'est le petit jour qui nous réveille. Je me lève rapidement pour aller chercher du pain frais et des viennoiseries pour le petit déjeuner.

 

A mon retour, personne dans la pièce principale mais j'entends des éclats de rire qui fusent depuis la salle de bains. Ces deux coquines doivent prendre leur douche ensemble! Elles ont vite sympathisé. Après une toilette rapide, je conduis Roxanne jusqu'à chez elle en banlieue est. Elle me remercie chaleureusement à la fois de l'avoir ramenée vers Paris mais aussi de lui avoir fait rencontrer Diane.

 

Je crois que ces deux là vont devenir de belles complices. Ensuite, je rejoins Diane et achève le week-end en sa compagnie….

Par Gérard le Matou - Publié dans : Le Matou Libertin - Communauté : échangisme
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