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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

 

Le net permet des choses merveilleuses ! L’une d’elle s’est produite la semaine dernière. Grace à un fameux réseau social, j’ai retrouvé l’une de mes amies d’enfance, ou plutôt d’adolescence, Nathalie…

Nous nous sommes très vite donné rendez-vous pour une conversation via une cam. Je n’en n’ai pas chez moi, j’ai du squatter celle de mon patron !

 

Nous voilà presque face à face, comme si le temps était aboli…

Et nous restâmes ainsi pendant une bonne heure à nous retrouver. Elle n'avait vraiment pas changé. Je retrouvais dans son sourire, ses expressions, ses regards, celle que j'avais connue quand j'avais une douzaine d'année.


Il faut dire que Nathalie représente beaucoup pour moi, même encore maintenant...

Car c'est elle qui m'a permis de m'assumer.

À cette époque, mes parents ayant dû déménager, je me suis retrouvée dans une petite résidence de la banlieue de Lyon. Il y avait des petites villas avec jardinets. Nous, les enfants du quartier, nous jouions dans la rue, celle-ci n'étant fréquentée que par les riverains.


C'est là que j'ai fait la connaissance de celle qui allait devenir ma plus grande amie. Elle habitait la maison d'à côté, et la fenêtre de ma chambre donnait sur la fenêtre de la sienne. Elle venait souvent à la maison, j'allais chez elle, et notre amitié allait grandissante. Ma mère apprécia particulièrement le fait que je me sois si vite intégrée dans ce nouveau quartier. Et Nathalie lui plaisait bien. Ce qui était un ré »el évènement ! En effet, elle ne voulait que je fréquent exclusivement des enfants de notre « classe sociale ». Jamais je n’ai compris pourquoi elle avait fait exception avec Nathalie !

C'était une gamine plutôt espiègle, toujours pleine de secrets, émerveillée par les découvertes qu'elle faisait, et aimant me faire partager sa joie. Elle était gaie, dynamique, Moi j'étais, et je suis encore plutôt réservée, timide. Je lui vouais une grande admiration, parce qu’elle représentait, pour moi, tout ce que j'aurais voulu être.


Nous restâmes ainsi comme deux petites filles sages, pendant deux ans environ. Nous allions dans la même école. Il y avait un peu plus d'un kilomètre à faire pour nous y rendre, et nous profitions du chemin pour nous raconter tout ce que nous ne racontions pas à nos parents. Car nous devenions de plus en plus intimes, et complices.


Avec nos treize ans, apparurent nos premières règles, presque à la même période. Ma mère ne m'y avait absolument pas préparée. Chez nous, ce sujet est tabou. J’étais morte de peur à l’idée de mourir, vu tout le sang que je perdais ! Nathalie m’a rassurée, expliqué.

Nos corps se transformèrent aussi, et c'est avec surprise que je voyais mes seins pousser. Quand nous étions toutes les deux seules à la maison, nous comparions nos jeunes poitrines. Ceux de Nathalie étaient plus beaux que les miens, car plus gros, plus lourds. Elle les trouvait trop volumineux et m'enviait les miens... Comme quoi, on n’est jamais satisfait de ce que l'on a !

Et puis vint la période où les garçons commencèrent à nous tourner autour. Comme nous étions toujours ensemble, ils nous accompagnaient ensemble. Le trajet scolaire était plus long car nous étions maintenant au lycée. Et il n'était pas rare de nous arrêter au centre ville prendre un café, avec nos amis. C'était la période de notre vie la plus sage, la plus sympa, la plus innocente. C'était la période ou les personnalités se forgent, s'affirment, se heurtent parfois, se reconnaissent aussi. Nous étions toutes les deux vaguement amoureuses, mais sans trop y penser, trop occupées que nous étions à découvrir notre nouvel univers de jeune fille.


Les grandes vacances arrivèrent, avec les préparatifs de départ. Nathalie allait avec ses parents en Bretagne, et moi, avec les miens sur la cote landaise, dans la demeure familiale. Mes parents me surveillant de très près, je n'eus guère l'occasion de sortir seule, et ces vacances furent pour moi les plus ennuyeuses. J'avais hâte de revenir à la maison pour retrouver Nathalie.

Enfin vint le jour où nous rechargeâmes la voiture pour rentrer.

Deux jours après notre retour, j'étais seule à la maison, mes parents étant partis faire des courses, quand le timbre de la porte d'entrée retentit. C'était Nathalie, toute bronzée, et resplendissante.

« Ouah ! T’es superbe !
- Et toi aussi ! » 

Et nous tombâmes dans les bras l'une de l'autre. Rapidement, nous nous réfugiâmes dans la tour d'ivoire de ma chambre.
«  Alors raconte moi, c'est comment la côte, me demanda-t-elle.
- Oh tu sais, rien de particulier. Avec les parents sur le dos en permanence, je me suis fait chier, tu ne peux pas t’imaginer ! Et toi ?
Les yeux vers le ciel, comme pour le remercier, elle soupira, et s'exclama :
- Ah si tu savais !
- Quoi, t'a rencontré le prince charmant ?
- Exactement ! Il s'appelle Joan, et il habite Lorient.
- Ah bon ? Et alors ?
Elle m'attira vers le lit, et assise, elle me confia
- Figure-toi que j'ai découvert quelque chose de fantastique ! »


Je ne saisissais pas du tout
Elle me demanda :
« Dis-moi, me demanda-t-elle comme pour un secret : est ce que tu as déjà joui ?
- Comment ça ?
- Ben oui, quoi ! Est que tu t'es déjà envoyée en l'air ? »

Je ne comprenais pas, pour la bonne raison qu'à l'époque, j'étais encore bien innocente sur ce plan là. Je savais bien qu'il devait bien y avoir quelque chose, mais je n'en tenais pas cas. J'étais encore très jeune, et je mettais toutes ces choses-là dans le domaine des grandes personnes.


Et elle me raconta comment, alors qu'elle avait accepté d'accompagner son Joan sur une plage, le soir, à l'insu de ses parents, ils s'étaient cachés entre deux barques de pêches, sur le sable, et comment elle avait ressenti ses premiers émois sexuels avec ce mec,. Il l'avait caressée, sur tout le corps, et elle l'avait laissé enfiler sa main dans sa culotte, Elle m'expliqua, avec beaucoup d'enthousiasme et détails, comment elle avait ressenti une grande secousse dans le creux des reins...

 

Elle me raconta, non sans un plaisir évident dans les détails, comment elle avait ressenti quelque chose de dur dans la braguette du copain. Il lui avait pris la main pour la diriger vers son entrejambe et elle s'était retrouvée avec un sexe bien bandé dans la main. Elle l'avait serré fort, avec ses doigts qui en faisaient juste le tour. Elle lui avait donné de rapides mouvements du bassin, et très vite, elle l'avait senti frémir dans sa main, pendant qu'un liquide chaud se répandait le long de son poignet...

Mais elle me racontait cela sans aucun complexe et en toute simplicité. Nous étions allongées sur le lit, tournées l'une vers l'autre, et elle me faisait ses confidences, avec moult détails.


Alors qu'elle parlait, elle me confia soudain :

« Tu sais, là, en ce moment, le fait de te raconter, ça m'excite vachement... Pas toi ?
J'avoue que je n'étais pas indifférente à sa narration.
- Ca t'ennuie que je me fasse plaisir, maintenant ?
- Ben non, bien sûr... »


Excellente occasion pour moi de m'instruire...

Alors toujours sur le côté, elle enserra ses mains entre ses cuisses, genoux serrés, et, fermant les yeux, elle se laissa aller, bougeant légèrement le bassin. Sa respiration se troubla... elle gémit un peu... de plus en plus fort.

« Oh... si tu savais... comme c'est bon...
Puis elle poussa de grands soupirs, et tout se calma peu à peu. Elle rouvrit les yeux, souriante...
- Tu ne fais jamais cela ?
Je ne répondais pas, j'avais un peu honte...
- Allez, ma fille, fais comme moi, tu verras, c'est délicieux ! Tiens, mets-toi comme moi, mets tes mains là et appuis là, doucement... »

Timidement, je pris la position qu'elle me demandait d'adopter. Cela était encore pudique et relativement discret. Et puis j'exerçais une pression légère sur mon pubis, pression qu'il me tardait de renouveler, encore et encore. Et pour la première fois je ressentis un vague me monter dans le ventre. C'était plus fort que moi, je ne pouvais m'arrêter.

« Oui vas y, voilà ! Très bien... oui ! C’est comme ça !
- Oh que c'est bon... »

J'avais fermé les yeux, ressentant le désir de m'isoler dans mon plaisir. Mais quand je l'entendis respirer en désordre, comme moi, j'entrouvris les yeux. Elle était dans la même position que moi, et se masturbait aussi, comme moi... Cela m'excita d'un coup et je ressentis le premier feu d'artifice dans mon ventre. Cela me fit basculer, soupirer, accompagnant ma copine dans son plaisir... et ensemble, nous arrivâmes dans un nuage de plaisir, heureuses d'avoir accompli ce qui pour nous était comme un exploit, tout simplement...


C'est un souvenir qui restera marqué dans ma mémoire toute ma vie...


Le soir même, dans l'intimité de mon lit, je ne manquais pas de recommencer encore et encore. Le plaisir était violent, explosait littéralement, et même deux à trois fois de suite. C'était fantastique comme nouvelle sensation jusqu'ici inconnue. A chaque fois, j'en restais presque épuisée, et je m'endormais comme une masse...

Peu à peu, mes rêves devinrent plutôt orientés là dessus, et il m'arrivait souvent de me réveiller le matin avec mon sexe trempé, et mes doigts mouillés.

Cette nouvelle découverte, faite donc vers l'âge de 13 ou 14 ans, devint pour moi une véritable frénésie permanente. J'étais la seule témoin avec Nathalie de cette évolution dont je n'avais pas honte du tout. Nous nous retrouvions souvent dans ma chambre ou la sienne.

« Allez ! Raconte-moi encore, quand t'as rencontré ce mec sur la plage », lui demandais-je.


Alors elle me racontait, nous nous allongions sur le lit et nous nous masturbions, la main dans la culotte. Nous n'avions absolument pas l'impression de faire ce que j'appris, plus tard, être mal, paraît-il !. Pour nous deux, c'était un plaisir vraiment sympa, et on en profitait pleinement

Un jour, alors que nos parents étaient partis faire des courses, nous étions toutes les deux dans notre chambre, et elle m'avait apporté une revue porno qu'elle avait trouvée dans les affaires de son père. Toutes contentes du plaisir qui nous attendait, nous nous allongeâmes, à plat ventre sur le lit pour nous régaler ! C'était une première pour moi, car je n'avais jamais vu de revue porno. J'en restais bouche bée...

« Ouah ! Regarde ça ! »

Pour la première fois, je voyais en gros plan des sexes d'hommes en érection et cela me parut énorme ! Cela me rappela ce que j'avais déjà vu à la campagne chez mes grands parents : il y avait un âne qui de temps en temps avait « une grosse queue »... comme disait ma grand-mère. Cela ne voulait absolument rien dire pour moi. Mais là... C'était différent... Et puis je reconnus bien sûr un sexe féminin en gros plan, pénétré par cette « grosse queue » humaine...


Mais je ne fus pas au bout de mes surprises.

Nous regardions tranquillement, d'un air faussement détaché...et le trouble commença à m'envahir. En tournant la page, la revue nous montra deux jeunes femmes enlacées en 69. Ce fut pour moi comme une bombe dans ma tête!. Nathalie s'aperçut de mon trouble :
« Dis, ça t'excite »?
- Ben ... plutôt, oui ! »


Je perçus par son bref mouvement, qu'elle se rapprochait tout contre moi. Alors que nous étions toujours à plat ventre côte à côte, elle osa poser son bras sur l'arrière de mes cuisses. C'était la toute première fois que quelqu'un me touchait, et cela me troubla vraiment. Je ressentais cette nouveauté comme irrésistible, inconnue jusqu'ici. C'était agréable, doux, bon... et je la laissai remonter sa main qui s'insinua bientôt entre mes fesses et entre mes cuisses.

 

La revue n'avait plus d'intérêt pour moi, et ne comptait que cette main qui me mettait le feu au ventre. J'eu un geste reflex de tendresse de la tête vers le visage de Nathalie et tout naturellement nos lèvres se rejoignirent dans un baiser d'une douceur extrême, mais tellement nouveau pour moi... Je n'avais rien à retenir, et je ne pouvais que tout donner, me donner. Je découvrais ce que cela voulait dire « s'abandonner »... Quel délice, quel plaisir, quelle émotion…

Nous nous fîmes face, allongées sur le côté et naturellement, nos mains plongèrent entre nos cuisses respectives. Je retrouvais sous mes doigts, sans rien voir, des itinéraires déjà connus, et je n'eus aucun mal à y pénétrer mes doigts. Nathalie aussi s'abandonnait, et nos éprouvâmes, ce jour-là, la plus intense, et la plus douce révolution sexuelle de notre vie ! Je compris enfin ce que voulait dire « s'envoyer en l'air ».

 

Et pourtant, je n'avais intimement aucune tendance lesbienne. Ni maintenant d'ailleurs... C'était ce climat de complicité et de grande douceur qui m'avait amenée à m'abandonner ainsi au plaisir... Plaisir qu'une personne me permettait de lui donner, que je permettais à une autre personne de me donner...

Et puis c'était peut-être aussi plus facile pour moi avec Nathalie, car je déclinais son corps comme et avec le mien, et je n'étais pas en terrain inconnu !

C'est ainsi que pendant plusieurs mois, nous eûmes, avec Nathalie une relation essentiellement basée sur le plaisir physique uniquement masturbatoire, onaniste ou mutuel. Je ne voyais pas de différence. Seul pour moi le plaisir comptait. Cela nous prenait assez souvent, et plus le temps passait, moins nous prenions de temps avec les préliminaires... Nous avions faim l'une de l'autre, et je savais que cela n'était qu'une transition dans ma vie, car nous n'avions encore jamais touché à l'Homme.


J'arrivais donc dans ma seizième année, avec cette riche expérience qui m'avait au moins appris ce qu'était la douceur, la tendresse, le plaisir et l'orgasme. Mais aussi et surtout la complicité. Nos corps avaient évolués, et nous étions devenues de vraies petites femmes. Ma poitrine était assez forte, et Nathalie avait hérité des fesses de sa mère... Elle était bien en chair, et appétissante. Car je savais, moi seule, que ce corps était une véritable petite bombe quand il baignait dans le plaisir !


Un jour, c'était en Septembre, elle m'appela au téléphone !

« Ca y est ! me lança-t-elle, toute joyeuse.
- Quoi, ça y est ?
- Ca y est!... j'ai couché !
- Avec un mec ?
- Ouais, et c'est génial ! Franchement génial ! Dis, t'es pas jalouse ?
- Non bien sûr, mais t'as fais attention ?
- Mais oui ma puce, t'inquiètes pas ! »

C'est ainsi qu'elle m'annonça qu'elle avait fait « le grand saut », que je n'avais pas encore fais. Mais je n'étais plus vierge, car nous avions vite découvert, dans nos ébats avec Nathalie, l'usage d'un gode, qui accentuait notre complicité. On l'appelait « le mec », et bien sûr on s'en donnait à cœur joie, vu le peu de danger que cela représentait...


« Écoute, me proposa-t-elle. Il faut absolument que je te le présente, il est génial et vraiment gentil ! Et puis, tu sais, on peut mettre « le mec » à la poubelle, parce qu'avec Gérard...
 Whaouh!!! Quelle queue ! »

Je n'eus pas le temps de comprendre le sous-entendu car ma mère rentra dans ma chambre, me surprenant au téléphone. Je ne l'avais pas du tout entendue rentrer.

« Ah, tu téléphones ! Excuse-moi...
Et elle ressortit en fermant la porte
- Bon Nathalie, je te laisse, ma mère vient de rentrer. Tu me rappelles, ok ?
- Ok, allez ciao ! »
Et je raccrochai.

Ah oui ! On parlait du gode...

À ma grande surprise, j'en avais trouvé un dans l'armoire de la chambre de ma mère, dissimulé sous une pile de linge. Je n'en revenais pas ! Alors ma mère aussi utilisait un tel accessoire ! Ma chère mère, la Marquise de S. Jamais je n’aurais cru qu’lle se servait de ce genre d’accessoire !

Cela me renforça dans l'idée qu'il n'y avait rien de mal à se faire du bien... Mais je prenais quand même le soin de faire en sorte qu'elle ne s'aperçoive pas du tout qu'il me servait aussi de temps en temps.

 
En effet, il m'arrivait, quand je restais seule à la maison et quand j'étais sûre de ne plus être dérangée, d'aller dans la chambre de ma mère pour voir ce gode. Il était superbe, pas trop gros, mais très bien fait. Rien à voir avec ceux que l'on trouve maintenant. Non ! C'était un beau cylindre en métal argenté, très agréable de forme... À cette époque, on ne faisait pas autre chose.


Alors je m'installai sur le lit, devant l'armoire à glace. Je m'étais vite rendu compte que j'aimais regarder, et comme je ne pouvais voir personne, à part Nathalie, alors je me regardais moi-même... Je retirais ma culotte, ouvrait les cuisses, et très doucement, je me caressais devant mon image, regardant avec beaucoup de plaisir ce double dont j'effaçais mentalement le visage.

 

Et je me masturbais avec le gode, mais aussi avec beaucoup de plaisir, devant l'image de cette fille, qui, devant moi, en faisait autant. Je commençais vraiment à apprécier la présence d'un corps volumineux dans mon vagin et le plaisir qu'il faisait naître... Alors, je m’abandonnais totalement à cette présence intime et envahissante, et je laissais la vague me secouer, une ou plusieurs fois. Puis tranquillement satisfaite, avec toutefois le sentiment de ne pas avoir fait quelque chose d'ordinaire... Mais pas de mal.. Je remettais tout soigneusement en place pour effacer toute trace de mon passage.

Le lendemain, Nathalie me rappela. Ma mère étant partie faire des courses, je pouvais parler tranquillement sans être obligée de mettre un bémol à mon volume.

«  Dis Nathalie, hier, j'ai été interrompue par ma mère... Qu'est-ce que tu me disais, à propos de Gérard ?
- Oui ! Je disais qu'il faut absolument que tu le connaisses. Je disais qu'il est vachement sympa, et qu'en plus, il est bien équipé... Tu vois ce que je veux dire ?
- Euh, oui... mais pourquoi tu me parles de ça ?
- Ben parce que je veux t'en faire profiter ! Tu verras, c'est génial !
J'en restais interdite ! Elle ne me laissa pas le temps de poursuivre :
- Écoute, demain c'est samedi, et mes parents s'en vont dans la maison en Bretagne... Viens nous rejoindre, Gérard viendra aussi avec sa moto... il me l'a promis ! »

Je savais, sans trop me prendre la tête, que ce week-end allait être très important pour moi. Mais je n'osais m'imaginer ce que je devinais très vaguement, compte-tenu de notre complicité commune, et de la facilité avec laquelle, toutes les deux, nous nous jetions dans le plaisir...


Le lendemain, j'étais dans ma chambre et mes parents en bas dans le salon. Il était quinze heures environ quand le téléphone sonna. Ma mère décrocha :

«  Oui ?
-...........
- Sophie ? Oui elle est là!... Tu veux lui parler ?
-........ »


Je savais que Nathalie argumentait pour que mes parents m'autorisent à dormir chez elle. Cela arrivait de temps en temps, mais là, je savais que ma copine n'était certainement pas seule...
« Sophie, c'est ton amie qui demande si tu veux aller dormir chez elle ce soir.
- Oh chouette !  tu veux bien maman ?
- Bon d’accord. Elle prend ses affaires et elle vient... Mais soyez sages, hein !
-.......... »

 
Moi, je savais qui nous attendait tous les deux...

Trente minutes après, en quittant ma maison, je pus voir la grosse moto, cachée derrière un tas de bois. Je sonnais à la porte, et c'est Nathalie qui vint m’ouvrir.

« Super ! Allez, viens ! On est dans ma chambre là-haut ! »

Elle m'entraîna dans l'escalier, toute joyeuse, avec des fous rires de connivence complice qui m'amusèrent. Dans sa chambre, je fis la connaissance de Gérard. Il était allongé sur le lit, entrain de feuilleter un illustré. Il était beau. Il se leva à mon approche, me dévisageant avec insistance. Il était grand.

« Voila!, je te présente Sophie... Voila Gérard.
Et s'adressant à Gérard :
- Elle vient d'avoir seize ans, et c'est d'elle dont je te parlais... »

Devant mon étonnement vaguement interrogateur, il répondit avant qu'un seul son ne sortit de ma bouche :
« Oui t'inquiète pas, Laure, Nathalie m'a raconté...
- Raconté quoi ? demandai-je
- Oh rien ! tous vos petits plaisirs entre vous deux...

Le rouge m'inonda le visage. Il s'en aperçut :
- Mais ne rougis pas comme à ça, Laure, il n'y a rien de mal à cela.... C'est la vie, tout simplement. Et tu sais, elle vaut vraiment le coup d'être vécue, la vie, et à fond... T'es d'accord ?
J'étais comme pétrifiée... impressionnée par la beauté, le calme et la grande taille de ce mec...
Faussement désinvolte, je demandais :
- Et bien, bonjour ! Euh, quel âge as-tu ?
- J'ai vingt ans. »

Et tout en disant cela, il prit ma tête entre ses deux mains, et avant que je n'aie pu réagir, déposa sur mon front un doux baiser qui nettoya d'un coup toutes mes réticences...

« À la bonne heure », intervint Nathalie qui s'était rapprochée.


Et à son tour, elle embrassa Gérard sur la joue, en insistant par de petits baisers qui lui fit tourner la tête vers elle et je vis leurs lèvres se rejoindre, là, tout près de mon visage. Nathalie gémit de plaisir, tout en semblant manger outrageusement ces lèvres avec une impudeur extrême. Ce faisant, Gérard avait passé son bras autour de ma taille et m'attirait contre lui, tout en embrassant Nathalie. Je me sentais bien, contre eux... C'était très agréable...

Soudain, leur baiser cessa, leurs lèvres se séparèrent en douceur, soulignées d'un regard complice. Puis il tourna son visage vers moi, et posa ses lèvres sur les miennes avec une douceur et une approche presque timide... Ce baiser me rappela ceux que nous échangions avec Nathalie, et je ne pus résister. Je m'y noyais avec douceur, insouciance et grande délicatesse.


Pendant ce baiser qui me fit fermer les yeux, je sentis les lèvres de Nathalie sur ma joue. Cette complicité commune me ravit à souhait. Nous nous embrassions, simplement. Et pour montrer à Nathalie toute mon affection, voire ma reconnaissance, je tournais mon visage vers elle et l'embrassais à son tour. Le fait de pouvoir changer ainsi dans le plaisir du baiser, et de revenir à nouveau à Gérard, commença à me troubler fortement...


Surpris, Gérard s’exclama :

«  Ouais, les filles ! C’est bien ça !  On recommence ? »

Je me donnais encore plus à ce baiser masculin qui en fait était le premier... C'était tellement agréable. Je sentais à côté de moi, Nathalie qui se collait à nous, qui s'agitait, et dont la respiration, comme la mienne, devenait haletante. Cet émoi m'incitait à continuer à embrasser Gérard.


Et je sentis Nathalie glisser contre nous deux, comme si elle s'agenouillait. Dans notre baiser, Gérard eut un petit gémissement, et nos lèvres se séparèrent comme pour reprendre leur souffle. Je jetais un œil vers Nathalie et ce que je vis me secoua tout entière.

 

Elle avait la bouche pleine, pleine d'un sexe énorme qu'elle avait, pendant notre baiser, extrait de son jean. Son regard croisa le mien, et j'y vis plein de malice. Puis elle se concentra sur sa succion. Gérard, les yeux fermés, visage tourné vers le plafond, semblait s'abandonner totalement. C'est Nathalie qui m'attira vers le bas.
«  Regarde ce truc, me dit-elle pendant qu'elle le branlait. Regarde, ça ne te dit rien ? »


Et elle le réemboucha, appréciant les yeux fermés, cette fantaisie qui semblait la ravir. J'observai la scène, pas tout à fait bouleversée, très intriguée et surprise, commençant même à devenir envieuse. Car en fait, rien ne m'empêchait d'en faire autant. Après tout, ils m'avaient invitée à venir pour me montrer des trucs, non ? J'approchais mes lèvres de la joue déformée de Nathalie pour l'embrasser. Elle comprit l'invite discrète, et tout naturellement et dans la plus grande douceur, nous nous retrouvâmes toutes les deux à solliciter de nos lèvres bien humides, ce gland bien érigé et bien gonflé de désir...

Gérard nous tenait la nuque et nous regardait en souriant...


C'était fantastique ! Nous associions nos lèvres de part et d'autre de cette tige de chair, bien raide et bien dure... Son sexe était ferme, pointait tout seul vers le haut quand on le lâchait. Mais il ne restait pas longtemps seul. Nous nous le passions de bouche en bouche, le masturbions...

Sur ce plan là, c'est Nathalie qui m’apprit :
«  T'as déjà branlé un mec pour le faire gicler ?
- Non...
- Alors regarde... »

Et elle me montra comment la main devait caresser et flatter ce gland turgescent... Je m'appliquais, comme une élève studieuse, consciente de l''effet produit en jetant un œil sur Gérard. Il était aux anges. Et moi, je trouvais cela drôlement excitant...

« Tu veux le faire gicler ?
- Ben...
- Gérard, tu veux bien qu'elle te fasse gicler ?
Il ne répondit pas, me regardant en riant et me caressant la nuque...
- Vas-y », m'encouragea Nathalie...

Pour moi c'était une première... Je sentais le plaisir monter dans ce sexe énorme et dur. Je ressentis même des mouvements de bassin de Gérard. Je le pris dans la bouche, lui enserrant la tige de chair de ma main, et je lui laissais faire des va-et-vient dans ma bouche. Il se branlait carrément entre mes lèvres, se servait d'elles comme d'un réceptacle à jouir.

Le gland me tapait le fond de la gorge, ma salive permettait à mes mains de coulisser, les râles de plaisir de Gérard m'annoncèrent une explosion proche. Nathalie, à genoux à côté de moi, toujours habillée, se masturbait sous sa robe en me regardant faire, lui flattant les testicules de l'autre main. Elle avait baissé son slip qui était resté tendu à mi-cuisse.

Les poils pubiens de Gérard me chatouillaient le nez. Le gland dans ma bouche devenait de plus en plus dur. Je sentais qu'il allait se passer quelque chose de terrible, quelque chose que j'avais déjà vu dans des photos… Mais dont j'ignorais tout du déroulement. Gérard commença à haleter assez fort. Il s'arrêta de bouger, me laissant le soin de prodiguer ma caresse buccale et manuelle, qui, quoique soudainement très lente, n'en fut pas moins décisive. Nathalie à côté, exultait :

« Oui., ça y est, il va tout gicler... Oui !... Continue comme ça... »

Je continuais, et je serrai mes mains, mes doigts, mes lèvres sur ce gland qui eut plusieurs spasmes nerveux... et je reçus plusieurs longues et généreuses giclées de quelque chose dans le palais, au fond de la gorge, m'obligeant à avaler. C'était légèrement salé, curieux, nouveau...Un peu surprise, je le retirai de ma bouche pour voir, et le gland, hypergonflé à quelques centimètres de mon visage , m'aspergea encore deux fois, m'envoyant une giclée de cette crème blanche dans l'œil, et l'autre sur la joue...


J'éclatais de rire...

« Waouh !, super, laisse-m'en un peu... »


Je n'eus qu'à guider ce pieu de chair baveux entre les lèvres avides et entre-ouvertes de Nathalie qui le suça consciencieusement comme pour le nettoyer...

Gérard émergeait doucement. Nos regards se croisèrent pendant que Nathalie, visiblement, se régalait goulûment, à la recherche des dernières gouttes de sperme. Nous nous sourîmes. J'étais contente de moi, et même assez fière ! Ma première éjaculation ! Tu penses ! Quel évènement ! Ca je ne l'oublierai jamais...


De même que je ne suis pas prête d'oublier notre week-end !. Car nous n'étions que le samedi après midi, et seuls tous les trois jusqu'à dimanche après midi...


Je proposais d'aller prendre une douche, ce qui enthousiasma mes amis. À poils tous les trois, nous goûtâmes à ce plaisir extraordinaire de nous promener nus dans la maison. Cela ne m'était jamais arrivé, et je ne résistais pas au plaisir de toucher très simplement Nathalie et Gérard. Cela se faisait en toute simplicité, avec beaucoup de douceur.

 

Gérard était aux anges, au vu de son sexe qui, bien qu'au repos, avait quand même, de bonnes dispositions prometteuses. Et lui ne se gênait pas non plus pour passer ses mains sur nos corps pas farouches, comme et quand il le souhaitait. C'était agréable, doux et plaisant.

Vers vingt heures, après avoir grignoté un bout dans la cuisine, nous étions toujours nus, Nathalie et moi vautrées sur le tapis du salon. Et Gérard dans un fauteuil, le sexe toujours à l'air et même toujours en l'air ! Je crois que de l'après midi, il n'avait pas débandé. Cela me faisait tout drôle de le voir évoluer comme ça dans la maison, son truc énorme se balançant devant lui...


C'est Nathalie qui commença, me chuchotant presque secrètement dans l'oreille...

« Dis, ça t'a plu tout à l'heure ?

Je gloussais de plaisir, lui faisant comprendre que oui !...
- Ca te plairait de baiser vraiment ?
Là, je sentais que cela devenait sérieux... Elle n'attendit pas ma réponse.
- Alors regarde bien et après tu feras pareil... d'accord ? »

Je restais sur le tapis, aux pieds de Gérard, et mon amie se leva. Elle s'assit à côté de lui, et commença à se blottir contre lui, à l'embrasser dans le cou, à lui caresser le ventre. La réaction de Gérard ne se fit pas attendre. Ils souriaient, s'amusaient...

C'était impressionnant. Nathalie, satisfaite du résultat se pencha sur cet objet si bien disposé, et l'emboucha profondément, faisant coulisser sa bouche comme je l'avais fait peu de temps auparavant... Cela commençait à m'exciter pas mal. Gérard se laissait faire, tantôt tendait son visage vers le ciel en se donnant du bassin dans la bouche de Nathalie tout en me regardant et en me faisant un clin d'œil complice.

Je m’assis en tailleur, face à eux et sans aucun complexe, commençait à me masturber comme je savais le faire seule.


Ils me regardèrent et sourirent...

Alors Nathalie se redressa et enjamba son ami. C'était imminent, et terriblement impressionnant pour moi, à deviner ce qui allait se passer. Gérard faisait coulisser son sexe dans la raie des fesses de mon amie. La lenteur lascive de leurs mouvements, volontairement ralentis pour en apprécier plus la jouissance de chaque seconde, me provoqua une excitation tout aussi soudaine que brutale. Je réagis instinctivement.

Me levant brusquement, je m'approchai à genoux entre les jambes ouvertes de Gérard, et, le visage à hauteur des fesses de Nathalie, je saisis ce sexe énorme, et me mis à le sucer. D'une main, je caressais les fesses de mon amie. Elle comprit.

Elle se souleva, et d'elle-même avec une impudeur sans égale, s'écarta les fesses à deux mains, m'offrant le spectacle extraordinaire de sa foufoune qui allait être honorée du pieu que j'avais dans ma main. Je n'eus qu'à poser délicatement le gland dans cette brèche toute rose et trempée. Le cul de Nathalie s'abaissa doucement, tout doucement, faisant disparaître petit à petit le braquemart dans les profondeurs de son intimité. Je retirais ma main pour faciliter la pénétration.


J'avais ce spectacle à dix centimètres de mes yeux et cela me ravissait au plus haut point. Du jamais vu ! Et Nathalie commença à onduler du bassin, faisant apparaître et disparaître ce sexe fier et actif, qui mettait la chatte de Nathalie en valeur, me montrant l'intimité maximum dans l'union de deux êtres, branchés l'un à l'autre par le plaisir qui allait s'accentuant...


Nathalie commençait à haleter, commençait même à jouir...

« Oh mon chéri ! C’est génial... Mais retiens-toi, je t'en prie, retiens-toi ! Car tout à l'heure, c'est Sophie qui va me remplacer... Tu veux bien dis ? Oh, c'est bon... Sophie ! tu veux bien qu'il te baise ? Maintenant ?
Je crois que j'étais prête, car trempée... Et puis j'en avais envie, vraiment beaucoup envie.

Je me renversais sur le tapis, en arrière, couchée sur le dos, les jambes grandes ouvertes et les genoux aux épaules. J'étais prête à recevoir pour la première fois dans mon intimité jamais partagée un sexe masculin. J'étais prête à me donner à l'homme, pas à celui-là en particulier, mais à l'homme, mon complément sexuel...


Gérard se dégagea, et avec beaucoup de lenteur dans ses gestes, s'agenouilla entre mes jambes, assis sur ses talons, le sexe fièrement dressé vers le haut. Il me caressa les cuisses, les jambes, avec beaucoup de tendresse, contemplant, semble-t-il avec beaucoup de satisfaction, l'objet de sa très proche pénétration. Nathalie vint se mettre derrière moi, me souleva légèrement les épaules afin que je puisse m'appuyer confortablement sur sa douceur, son attention, sa tendresse, sa douce chaleur... Elle me caressait les seins, me chuchotait à l’oreille :

« Voila, ma puce ! Il va te baiser... tu vas voir,... c'est génial... Oh ! si tu savais comme cela me fait plaisir pour toi ! Allez, laisse-toi aller, tu vas être vraiment bien ! »

Gérard prit appui sur ses bras sur mes côtés. Au-dessus de moi, presque sans me toucher de son corps, il m'embrassa doucement. C'était d'une douceur extrême. Puis il embrassa Nathalie...avec autant de douceur et de tendresse, confirmant leur complicité dans mon initiation.


Et je sentis sur l'entrée de mon vagin cette chose dure... Oui, voila, on y était... Il ne força pas du tout, m'observa du coin de l'œil. Je sentais le gland rester juste à l'entrée de mon vagin, comme s'il se délectait de la visite qu'il allait faire au plus profond de moi...

 

Cette mini-pénétration sollicitait énormément mon petit point sensible, et j'en voulus un peu plus, lançant vainement mon bassin plus vers l'avant, vers la pénétration plus profonde. Mais sournoisement, et aussi avec beaucoup de plaisir, Gérard se retenait, en ne me pénétrant qu'un tout petit peu plus à chaque fois, se contentant de tout petits va et vient horriblement jouissifs. Nathalie soupirait, et avait, elle aussi, sa respiration troublée...

Je ne pus retenir un cri presque bestial : d'un coup, il avait poussé et resta là, bloqué au fond, sans bouger !


Là, ce fut extraordinaire. Remplie comme jamais je ne l'avais été jusque-là, j'eus l'impression que tout mon corps se moulait autour de cette grosse chose qui m'avait si soudainement envahie. Et me vint à l'esprit les moments où je me masturbais avec le gode que je laissais volontairement immobile...

 

Mes mains s'agrippèrent aux hanches de Gérard, s'agrippèrent à lui, l'attiraient à moi avec une force insoupçonnée jusqu'ici... Cette pénétration, surprenante pour moi, était la plus belle chose que je n'avais jamais connue, certainement de par l'extrême douceur qui l'accompagnait. Mon bassin commença à onduler, à remuer, à s'agiter, à courir après le plaisir que me donnait cette immobile invasion, et l'explosion ne tarda pas à me submerger. Je lui laissai libre cours, l'encourageai de la voix, en demandai plus...

 

Je suppliai, exigeai, grondai, divaguai... Gérard s'était laissé aller de tout son poids sur mon ventre, accentuant encore cette sensation que mon corps, pour peu de temps, ne m'appartenait plus. Les encourageants baisers de Nathalie m'inondaient le visage et j'eus presque l'impression de perdre connaissance, quand je sentis dans mon ventre les soubresauts spasmodiques d'une éjaculation qui m'inonda généreusement le plus intime de mon être, l'électrisant, lui provoquant comme des électrochocs incontrôlables et incontrôlés.

Quand j'y pense, maintenant, près de trente ans après... J’en suis encore tout mouillée !


Mon insouciance, heureusement, ne me joua pas des tours !


Je crois que ce week-end fut pour moi très important dans ma vie. C'est grâce à mes amis, que les choses du sexe me permirent de trouver un équilibre appréciable.


Par Sophie de R. - Publié dans : Mes expériences vécues - Communauté : sexblog
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