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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Bonjour à tous,

 

Vous vous souvenez de moi ? Je suis Mario, gay de soixante-cinq ans. Je vous ai raconté il y a quelques mois mes amours avec mes copains d'école puis de régiments. J'ai envie de continuer à vous en parler. C'est un peu égoïste mais en me remémorant mes souvenirs de cul je suis tout excité et je suis assis devant mon PC avec un plug entre les fesses. J'adore écrire comme ça.

 

Donc, une fois quitté le service militaire où durant deux ans, entre deux maniements d'armes, j'avais beaucoup joué avec la queue de quelques copains, je suis revenu à la vie civile et je suis resté deux ou trois mois sage, ne m'occupant que de chercher du travail. Une fois cela fait, je me suis mis en chasse pour me trouver des petits amis, gays bien entendu. A Paris, ce n'est pas ce qui manque. Mais j'étais devenu un peu exigeant et je ne voulais tomber sur n'importe quel mec.

 

Me rappelant de cet homme, Robert, que m'avait présenté Pierre mon premier amour, je repris vite contact avec lui. Pervers et très bien monté, mes fesses en ont gardé un souvenir ému. A l'époque j'avais à peine seize ans. J'en avais dix de plus, j'espérais qu'il ne me trouve pas trop « vieux » maintenant. Un week-end, je retournais donc dans le village où il habitait. Je m'approche de sa maison. Je sonne à sa porte en utilisant le signal qui était convenu autrefois et qui lui permettait de savoir que la personne qui sonnait était là pour du cul.

 

Au bout de quelques secondes, la porte s'ouvrit laissant apparaître Robert qui fidèle à son habitude était nu. C'est d'ailleurs lui qui me donna le goût de vivre nu. Il était splendide, toujours aussi bien musclé, et toujours cette queue majestueuse qui pendait entre ses cuisses. Il avait maintenant cinquantr-cinq ans environ. Le temps ne l'avait pas abîmé du tout. Il me regarda, ses yeux me disaient qu'il me trouvait à son goût mais il ne paraissait pas me reconnaître.

« Bonjour Robert, tu me reconnais pas? Je suis Mario, je venais chez toi avec Pierre, il y a à peu prés dix ans. On venait baiser avec toi ! »

 

Quelques secondes de silence, puis :

« Mario! Oui, je m'souviens, oui ! Mario et Pierre ! Entre donc, mon chéri ! »

 

J'entre, il referme la porte derrière moi, me serre dans ses bras et me prends la bouche. Il sent un peu le tabac, beurk, j'aime pas ça, mais sa langue m'excite au plus haut point, je lui pardonne. Son baiser me chauffe, je prends sa queue dans la main et la caresse. Je meurs d'envie qu'il me saute. Mais je dois attendre car Robert apprécie toujours de mener la danse.

 

Il nous conduit dans son jardin, sorte d'immense patio dont le sol est une pelouse. Aux beaux jours, c'est là qu'il baise. Il m'abandonne un instant pour aller chercher à boire. Je profite de ce moment pour me mettre nu moi aussi. Il revient avec un plateau qu'il pose sur la table, se recule un peu. Ses yeux parcourent mon corps dénudé et émet un sifflement de...euh...compliment. Il est vrai que durant mes dix ans d'absence, j'ai fini de grandir et mon corps s'est un peu musclé. Comme lui, j'ai le corps entièrement rasé. Il apprécie cela et me le dit. Tout ça, ajouté au spectacle de sa belle et grosse queue, m'excitent beaucoup et je me mets à bander. Cela fait plusieurs semaines que je n'ai pas baisé, et le spectacle que me donne Robert n'est pas fait pour me calmer. Ce salaud semble vouloir faire durer le plaisir. Il me regarde en souriant et se caresse la queue. Je craque :

« Je t'en supplie Robert, encule-moi, vite, j'ai trop envie de ta bite ! »

 

Je n'attends pas sa réponse et m'approche de lui, m'agenouille, saisit cette superbe queue et la branle doucement. Je la sens grossir sous mes doigts. J'adore cette sensation. Robert me prend la tête à deux mains et me force à le sucer. Je ne résiste pas du tout. Sa bite continue à grossir dans ma bouche. Bon sang comme elle est grosse, je me régale à la sucer, la mordiller, la lécher. Elle a un goût étrange, un peu amer, loin d'être désagréable. Sans doute son alimentation! Je la déguste comme une sucrerie, comme un gamin à qui on offrirait une sucette après une longue privation.

 

Et trois mois sans baiser, enfin, sans me faire baiser, ça fait très long quand on aime ça. Robert prend ma tête à deux mains et imprime la cadence. Je me régale de sucer son gros engin, mais j'ai envie d'autre chose, j'ai envie qu'il m'encule. J'arrête ma pipe, me relève et vais m'allonger sur la table, jambes en l'air que je tiens bien écartées.

 

Bien qu'il préfère toujours diriger les opérations, il ne dit rien et me rejoint. Me viennent alors des images de la première fois que j'étais venu chez lui. J'avais 16 ans. Il était mon premier adulte. C'était il y a dix ans mais je m'en souviens comme d'hier. Ce jour-là, il m'avait fait découvrir le fist. Quel pied il m'avait fait prendre, après la première douleur. Que va-t-il faire aujourd'hui ? La même chose j'espère.

 

Il s'accroupit pour être à la hauteur de mon petit trou et me le lèche, longuement, lentement. Ça me donne des frissons partout. La feuille de rose dure longtemps. Je n'arrête pas de gémir, tant c'est bon. Je lui demande de me baiser, de me prendre vite. Mais, il semble ne pas m'entendre et continue à me lécher. J'en peux plus, moi. Enfin, il cesse de jouer au sadique, se relève, et commence à me doigter. Il entre deux doigts en moi et m'encule comme ça. Je suis tout dilaté par l'excitation, il le sens bien et fait entrer sa main entière. Je suis empalé sur sa main. Qu'est-ce que c'est bon. Je le sens qui ferme son poing et me pilonne fortement. Il me fait un peu mal mais putain qu'est-ce que c'est bon.

 

Tout en m'enculant avec sa grosse main, il se penche sur moi et me roule une pelle. Je bande comme un fou. Il me fait oublier mon « jeûne ». Il se redresse et se concentre sur le fist qu'il me fait. Je sens qu'il essaie de glisser un doigt de sa main libre dans mes fesses. Il y arrive assez facilement. Ça lui donne une idée. Il retire sa main et me demande de l'attendre une minute. Il entre dans la maison et en ressort assez vite, avec un superbe gode à la main.

« J'ai l'impression que tu as fait des progrès depuis dix ans, dis donc. T'as du t'faire sauter souvent toi. Je vais essayer un truc, là, je suis sûr que ça va t'plaire.! » me dit-il avec son sourire vicieux.

 

De s'être absenté deux minutes ne l'a pas fait débander. Il traverse la pelouse tout en me disant ça avec sa grosse queue qui le précède, toute raide devant lui. Cette vision m'excite, j'ai envie de lui. Une fois contre la table, il me fait lever les jambes à nouveau. Il place son gland contre mon anus et s'enfonce d'un coup, jusqu'à la garde. Il va et vient en moi presque en douceur. On sent qu'il aime enculer quelqu'un.

 

En même temps, il suce son gode tout en me regardant. Mais il arrête les mouvements de son bassin, cesse de sucer son gode pour le présenter à mon cul. Je me crispe un peu car j'ai peur de comprendre son envie. Ben oui, c'est bien ce que j'avais supposé, il veut me faire une double sodo. Robert est un artiste en son genre, et sous des airs de brute, il sait être doux. Aussi, à mon grand étonnement il réussit à glisser le gode dans mes fesses déjà garnies de sa grosse bite.

 

Il se montre très rarement attentionné quand il baise. Il préfère, de loin, y aller carrément. A mon grand étonnement, pour une fois, il a pris soin d'y aller en douceur. D'abord, il avait bien lubrifié le gode. Il l'a fait entrer en moi, sans que je sente la moindre petite douleur. Il reste comme ça, un moment. Sa grosse queue plantée en moi et le gode qui lui tient compagnie. Je déguste le plaisir de me sentir bien plein et sans mouvement. Mais cela ne dure pas longtemps, car Robert retrouve son naturel. Il donne un grand coup de rein et commence à me sodomiser. Il joue avec le gode en alternant les mouvements avec sa bite. Je suis aux anges. Pensez, depuis ma première fois, vers mes quatorze ans, j'ai toujours préféré être passif. C'est tellement bon de se faire saillir.

 

Ma double sodo dure un long moment. J'avais presque oublié que Robert était très endurant. Je crie mon plaisir. Robert sourit de me voir remuer sous lui et gémir grâce à lui. Il halète comme un bûcheron et ça m'excite un peu plus de le voir et l’entendre. Je bouge mon bassin de plus en plus vite, tant j'aime ce qu'il me fait. Ce petit jeu finit par venir à bout de sa résistance, il explose et se répand en moi. Quel pied de se sentir arroser comme ça. A mon tour, je jouis sur mon ventre. Robert, reste en moi, son gode aussi. Il ne fait aucun mouvement. On est bien comme ça. Sa main gauche caresse mon ventre et le masse avec mon sperme. Curieux la douceur dont est capable cet homme, sous ses airs de brute.

 

Il sort sa queue de mon ventre, mais laisse le gode en place. J'aime assez. Il me tend sa queue à suce, elle est enduite de son sperme et de ma jouissance anale. Cocktail plus qu'agréable. Je lèche consciencieusement, lentement pour faire durer le plaisir, notre plaisir. Il me demande d'arrêter et va nous chercher à boire. On en a besoin tous les deux. Il revient, plateau dans les mains. Je le regarde avancer en admirant sa bite. Elle est à peine débandée. Toujours aussi tentante. Je meurs d'envie qu'il me prenne encore, là, tout de suite. Je le lui dis.

 

Ma déclaration le fait sourire. Il remplit nos verres et me tend le mien. Je veux m’asseoir et me redresse. Mais le gode en moi me gène. Je fais mine de le retirer. Robert arrête mon geste et me dit :

« Non garde-le en toi puisque t'as encore envie de te faire mettre. Tu vas voir c'est vachement jouissif de garder quelque chose dans le cul. Moi c'est souvent que j'ai un gode dans le cul, même quand je sors me balader. Tu devrais essayer, toi aussi. »

 

Comme je lui dis que je n'ai pas de gode, il me propose d'aller avec moi plus tard, ou un autre jour, dans un sex-shop. Il me conseillera. J'accepte avec plaisir et fais comme il me conseille, je m’assois, avec précaution. Le gode s'enfonce encore plus en moi. Qu'est-ce que c'est bon. Tout en sirotant, nous parlons de choses et d'autres. Il insiste pour que je lui raconte mes aventures. Je lui relate, avec détails mes baises avec mes copains de régiments. En m'écoutant, il caresse son corps. Je sens que ce que je lui dis, l'excite. Sa queue se remet à bander. Elle est belle. J'en ai envie.

 

Mais Robert qui s'était rapproché de moi pendant que je parlais, a la même envie que moi. Il se met à genoux et me fait une pipe. Je suis assis, bien droit sur ma chaise, le gode enfoncé en moi. Ma bite est toute bandée maintenant. Robert se met au dessus de moi en me faisant face et s'empale. Ma queue n'est pas très mince, mais mon amant est dilaté aussi il ne pousse qu'un soupir de plaisir. Il passe ses mains autour de mon cou et monte et descend sur mon sexe. Il ne pense qu'à son plaisir et oublie peut-être, mais sait-on jamais avec lui, que je suis godé. A chaque fois que Robert redescend son poids agit sur mon gode dont le gland tape au fond de mon ventre. Ce qui fait que grâce à ses mouvements Robert nous encule. Je suis moins endurant que lui aussi je finis par jouir dans son ventre. Il a l'air de bien apprécié si j'en juge par son :

« Oh ! Putain Oui c'est bon ! »

 

Nous restons un moment comme ça, l'un assis sur l'autre et tous deux les fesses garnies. Nous nous roulons quelques pelles bien agréables et nous nous séparons. Direction la douche, que nous prenons ensemble, chacun lavant l'autre tout en nous faisant quelques taquineries aussi salaces qu'agréables. Ensuite nous nous habillons. Robert me propose de sortir. Il veut me conduire dans un sex-shop pour m'aider à choisir le gode idéal pour faire ce qu'il m'a conseillé tout à l'heure. D'ailleurs, avant d'enfiler son pantalon, il a introduit le gode ''spécial promenade'' entre ses fesses suivi aussitôt d'un slip.

« Pour éviter de le perdre en route dans la rue quand tu marches », me dit-il en souriant.

Le fait est que ça ferait désordre. Je lui dis qu'il faut que j'aille acheter un slip. Je n'en ai pas un chez moi. Voilà des années que je n'en porte plus.

 

Nous partons donc en ville. Après l'étape obligatoire chez un marchand de slip, direction le Sex-Shop. Je n'étais encore jamais entré dans une boutique comme celle-là. Elle recèle des trésors pour qui, comme nous, sont passionnés par le sexe. Accoudé près de la caisse, un jeune homme de vingt-cinq à vingt-six  ans, bel asiatique ou plus sûrement eurasien et visiblement gay et même particulièrement efféminé nous gratifie d'un grand sourire et nous salue. Je le trouve vraiment à goût. Par mon sourire et mon regard, je tente de le lui faire comprendre.

 

Robert lui demande où est le rayon des godes « pour mon ami », croit-il bon d'ajouter en me montrant du doigt. Mon bel asiate me caresse la main et me fait signe de le suivre. Nous nous dirigeons vers le rayon des godes. Le vendeur me demande ce qui m'intéresse. Je lui dis que je veux pouvoir me promener avec ça dans le cul. Il me fait un sourire complice, en prend un et me le tend :

« Tu verras, il est super celui-là. J'ai le même. Aujourd'hui, je ne l’ai pas enfilé, mais c'est super ! »

 

Je règle mon achat et lui demande s'il n'y a pas de cabines car « je vais le consommer tout de suite », ajoutai-je.

 

Le jeune homme que je trouve de plus en plus mignon, me fait un large sourire.

 

Plutôt que de me dire où elle se trouve, il préfère m'y conduire. Il marche devant moi en tortillant du cul. C'est assez excitant, je dois dire. Arrivé à la cabine, il écarte le rideau pour que j'entre et me suit. Il ferme le rideau derrière lui. Ce n'est pas une cabine d'essayage mais une cabine où on peut regarder des films de cul. Bon à savoir pour une prochaine fois. Le caissier me dit se prénommer Claude. Il entreprend de déballer le gode. Pendant ce temps, je retire mon pantalon, sans aucune gène, après tout, nous sommes entre nous n'est-ce pas ?

 

Claude, me regarde faire et émet un petit sifflement car, je suis tout épilé et ma bite commence à bander. Faut dire qu'elle m'excite depuis un moment cette petite salope que je trouve vraiment très sexy. Il glisse le gode dans sa bouche pour l'humidifier et proteste quand je veux le lui prendre pour me le mettre.

Claude me dit alors : « Non, mon chou, laisse-moi faire, sois gentil ! »

 

Je me sens incapable de lui résister et je lui obéis. Il s'accroupit derrière moi, écarte mes fesses et me fait une délicieuse feuille de rose. Il glisse le gode dans mon cul. Il lui fait faire quelques va-et-vient. Je pousse un soupir de plaisir. Profitant qu'il est accroupi, Claude me suce un peu la bite, puis se relève.

 

Il est tout contre moi, nous nous regardons fixement en silence. Je ne résiste pas à la tentation et lui prend la bouche. Il répond à mon baiser fougueusement. Son corps est tout contre le mien, il le fait onduler. Ça m'excite terriblement, je bande comme un fou. J'arrête nos effusions et lui demande son adresse car j'ai envie de le revoir. J'ai flashé sur lui. Il est tout heureux de ma demande. Je me rhabille et nous sortons de la cabine. Claude tient l'emballage vide dans ses mains. Robert sourit en nous voyant revenir. Il me fait un clin d’œil et dit en souriant que ça lui a paru bien long « cet essayage ». Je lui réponds qu'il fallait faire ça sérieusement et que grâce aux talents de Claude tout c'est merveilleusement passé.

 

Claude me donne sa carte de visite et me glisse un « à bientôt » plein de promesse. Une fois dehors, je propose à Robert d'aller boire un pot. Confortablement installés à la terrasse d'un bistro proche, j'explique à Robert ce que nous avons fait dans la cabine, que j'ai l'intention de revoir Claude car, il me plaît vraiment beaucoup. Robert, pas une seconde ne me dit que j'aurais pu inviter ce garçon à se joindre à nous pour une baise à trois. En effet Robert a horreur de ceux qu'on appelle « les folles ». Il préfère les petits jeunes comme celui que j'étais il y a une dizaine d'années, c'est à dire autour de dix-huit ans.

 

Je me réserve Claude pour un tout proche avenir. Je suis sûr que nous allons nous régaler. Robert et moi continuons à bavarder, de cul essentiellement. Ma brève séance avec Claude dans la cabine m'a bien chauffé, je le dis à Robert qui me répond qu'il a lui aussi encore envie de baiser. Il m'abandonne un instant pour aller à la cabine téléphonique toute proche. Il passe un appel et revient sourire aux lèvres et pouce levé. A qui a-t-il téléphoné ? Et pourquoi a-t-il l'air si content ? Je ne tarde pas à le savoir. Robert à qui l'envie de baiser a rafraîchi la mémoire, a téléphoné à un garçon qu'il fréquente depuis à peu près un an et sur qui il ne tarit pas d'éloges si bien que j'ai vraiment hâte de le connaître.

 

« C'est un garçon super, tu sais, il a de belles qualités amoureuses. Il est d'accord pour venir nous rejoindre chez moi tout à l'heure. Il s'appelle Laurent, je l'ai connu il avait tout juste 18 ans. C'est moi qui l'ai dépucelé du cul. Tu verras, il vaut vraiment le coup. Je te laisse la surprise de le découvrir tout à l'heure.»

 

 Voilà qui me met l'eau à la bouche. Ma petite séance avec Claude et ce gode bien installé entre mes fesses, me chauffent au maximum. Il me tarde que nous soyons rentrés et que ce Laurent arrive.

 

Cela me tarde d'autant plus que ce foutu gode entre mes fesses entretient mon avis de baiser. Avec Robert on rejoint sa voiture et nous rentrons chez lui. Aussitôt rendus, nous nous déshabillons. Le plus délicat est d'empêcher mon gode de glisser et de tomber, aussi je le retire le mets de côté pour ne pas l'oublier quand je rentrerai chez moi ce soir.

 

Avec Robert nous bavardons de choses et d'autres et comme il est un peu obsédé sur les bords, il me demande de lui raconter mes séances de baise à l'armée. Enfin plus exactement chez Jean avec mon pote de régiment Philippe et un peu plus tard avec José, cette adorable « folle » qui faisait le bonheur des bidasses les soirs où ils étaient de garde. De parler de ce José, me remets en mémoire le souvenir de Claude rencontré tout à l'heure au Sex-Shop. Je me promets de l'appeler demain matin. J'ai envie de faire quelque chose avec lui. Il est superbe et m'a l'air très chaud et câlin. D'y songer me fait bander.

 

C'est ce moment que choisit le fameux Laurent pour sonner à la porte. Robert va le chercher, ils mettent un petit temps pour me rejoindre au jardin. Quand je les vois apparaître tous les deux, je comprends pourquoi. Laurent a pris le temps de se mettre nu. Je suis très agréablement surpris. Il est très grand, un corps athlétique, et ce qui pend entre ses jambes est un morceau de roi. J'allais oublié de vous dire. Il est black, de Martinique me dira-t-il plus tard.

 

C'était donc ça, ce que Robert appelait une surprise, ce fameux Laurent est noir et très bien monté. Il s'approche de moi. Nous nous serrons la main et nous embrassons sur les joues. Je songe soudain que Laurent va être le premier black à venir fouiller dans mon ventre. La taille de sa queue me mets l'eau à la bouche. Robert qui commence à me connaître prend les choses en main, si j'ose dire. En effet il prend la bite de Laurent et la porte à ma bouche. Je lèche avec gourmandise cette grosse tige. Elle a un goût de vanille. Je trouve ça tout à fait à mon goût, et commence alors à le sucer, mordiller, lécher, sucer à nouveau. Une de mes mains caresse ses couilles. Je me régale.

 

Ma séance de baise avec Robert plus tôt dans la journée, ma balade en ville avec un gode dans le cul et la perspective de bons moments que je passerai sous peu avec le beau Claude m'ont particulièrement chauffé. Aussi je demande à Laurent de me prendre, là tout de suite. Robert, me demande de me mettre à 4 pattes pour être pris en levrettes. Il a envie que je le suce, et de me sucer tout en regardant de tout près, la grosse bite black aller et venir en moi. Ma foi, je ne dis pas non. En levrette, Laurent me pénétrera plus profondément.

 

Robert se couche sur la table, je me mets à 4 pattes sur lui et tête bêche. Laurent est derrière moi, sa bite est bien dressée. Il se penche pour prendre du lubrifiant. Je l'en empêche, je veux qu'il me prenne comme ça. Je suis assez souple et dilaté, ça devrait se passer facilement. Robert qui est sous moi est entrain de me doigter. C'est extraordinaire comme cet homme, aux allures d'armoire à glace, peut se montrer doux. Ses doigts me font un bien fou. Il cesse, saisit la bite noire et la présente à mon trou de balle. Laurent me tient par les hanches, et soudain sans précaution aucune, il pousse son bassin en avant et ramène mes hanches vers lui. Je pousse un grand cri. Il m'a fait mal. Il est plus gros que Robert. La douleur est brève. Elle est aussitôt remplacé par du pur bonheur. La grosse matraque noire qui me pilonne est douce et chaude. Chacun de ses mouvements me ferait presque jouir. Grâce à la longueur de son manche son entrée et sa sortie semblent n'en plus finir

 

Il m'a enculé comme ça un long moment. Robert lui a demandé d'arrêter un instant car il voulait changer de position. En effet, il est venu se mettre à quatre pattes, lui aussi, tout contre moi et fait signe à Laurent de reprendre. C'était un autre chapitre de la surprise dont il m'avait parlé. Ce sacré gaillard de Laurent est d'une endurance exceptionnelle. Il nous a donc enculés alternativement, multipliant ainsi le plaisir de sentir ses pénétrations. On s'est fait emmancher comme ça un long moment. Finalement Laurent s'arrêta et se branla au dessus de nous qui nous sommes partagés son bon jus.

 

Après ça, une bonne douche, un bon petit repas. Au dessert nous avons enculés Laurent en lui faisant une double sodomie. On lui devait bien ça. Extinction des feux, nous abandonnons Robert. Laurent et moi rentrons chez nous, chacun de son côté bien entendu. Une fois chez moi je m'affale sur mon canapé et me remémore cette folle journée. Je repense à Claude, ce bel eurasien.

 

Il est vingt-deux heures, il n'est peut-être pas trop tard pour l'appeler. Effectivement il décroche assez vite. Je me présente. Il est ravi de m'entendre et me le dit avec du sourire dans la voix :

« Mario chéri, comme je suis heureuse (sic) que tu m'appelles. Je croyais que tu ne le ferais pas ! »

- Comment aurai-je pu oublier ? Tu m'as plu tout de suite quand je suis arrivé. Et depuis la cabine j'ai envie de toi. On, peut se voir demain soir ?

- Oh ! Oui ! Oh ! Oui ! Je t'attends chez moi vers vingt et une heures.

- Ok, à demain Claude, je t'embrasse partout ! »

 

Il me tarde d'être à demain soir, moi !

Par Mario - Publié dans : Les récits gay et lesbiens - Communauté : Communauté gay
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