Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
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Bises libertines,
Sophie
3. Mario et Jack
Dans ma ville, il y avait une boutique de vêtements pour hommes. J'y allais fréquemment pour m'acheter pantalon ou chemises. Parmi les vendeurs était un garçon blond, grand et athlétique. Chaque que j'entrais, c'est lui qui venait vers moi pour m'aider dans mes choix. Ce vendeur s'appelait Jack, c'est du moins ce qu'il disait. Il avait une position privilégiée dans ce commerce car il passait pour être ''le neveu'' du patron.
Une fois mon choix fixé, j'enfilais le pantalon et Jack entrait dans ma cabine pour noter les rectifications indispensables pour que le pantalon m'aille bien. A chaque fois, sous prétexte de vérifier la bonne hauteur, il me tripoter les couilles et le sexe, d'un geste certes discret mais volontaire. Il l'accompagnait d'un regard vers moi avec un petit sourire au coin de lèvres. Je rougissais un peu et lui souriais aussi mais totalement inexpérimenté je ne savais trop quelle attitude adopter.
Grâce à Pierre et les garçons qu'il m'avait fait rencontrer, j'avais acquis un peu d’expérience et un peu plus d'aplomb. Aussi un jour passant devant sa boutique, je décidais d'entrer. Jack m'accueillit avec un grand sourire et nous nous sommes dirigés vers le rayon des pantalons. Je n'en avais nul besoin. Je savais que je repartirais sans achat, c'était juste un prétexte pour me faire emballer par mon vendeur.
Je portais mon choix sur n'importe quel article et Jack me suivit à la cabine d'essayage. Nous nous connaissions bien maintenant, alors il entra avec moi et referma le rideau. J’ôtais mon pantalon, mon slip minuscule ne cachait pas grand chose. Jack me fit compliment :
« Ben dis donc, t'as l'air d'avoir ce qu'il faut pour faire plaisir. »
Pour toute réponse, j'y suis allé au culot et je baisse mon slip pour lui montrer qu’il bien deviné, j'ai ce qu'il faut. Sans fausse modestie, je suis assez fier de ma bite et de mes couilles.
Jack un bref instant soufflé par mon geste se reprend vite et prend ma queue dans sa main et la caresse. Il me regarde dans les yeux. Je ne les baisse pas et lui souris. Il comprend que je ne suis pas choqué par ce qu'il fait, bien au contraire. Pour être sûr qu'il me pige bien, je le caresse moi aussi à travers son pantalon. Ce que je sens me laisse augurer qu'il est bien armé.
Nous discutons un moment, puis Jack me donne son adresse et me donne rendez-vous pour le lendemain après-midi.
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4. Mario au Service Militaire
A vingt-deux ans, sursitaire, je vais faire mon service militaire. J'en prenais pour 24 mois. Je suis appelé dans un régiment du Train. Avouez que, être homo, aimer se faire saillir et faire son service dans le Train, il y a là quelque chose de bizarre et marrant.
Je me retrouve donc dans ce casernement avec tout un tas de choses qu'on doit faire dont l'utilité de 80% d'entre elles restent pour moi un mystère, mais passons. Je m'étais très vite lié d'amitié avec un bidasse, plus ancien que moi de trois mois environ. Faut croire que des ondes mystérieuses nous guident car ce garçon, Philippe, grand blond athlétique, était gay lui aussi. Tout comme moi il a une allure virile qui nous permet de traverser la vie sans être agressés par des connards.
Philippe donc, à l'occasion de notre première « perm », me demanda de sortir avec lui. Nous devions être de retour vers minuit, il m'invita à rejoindre un gars de la ville qu'il avait rencontré dans un Pub. Cet homme, qui avait trente-cinq ans, se prénommait Jean. Il vivait dans un studio non loin de la caserne, nous eûmes donc vite fait d'arriver chez lui. Brun, un mètre soixante-dix environ, une fine moustache et un abord sympathique. Philippe nous présenta. Je lui tendis la main, il la négligea pour m'embrasser.
Philippe lui dit que je partageais leurs goûts pour les hommes, ce qui détendit aussitôt l'atmosphère. Jean nous offrit alors des bières que nous avons consommées sur le canapé. Bien entendu la conversation dériva très vite sur le cul. A la trsoisième canette, nos chemises étaient défaites. Philippe et moi caressions la poitrine de Jean assis entre nous deux. Celui-ci, tripotait la grosse bosse que nous avions dans le pantalon. La température semblait montait alors nous nous sommes vite retrouvés à poil. Jean complimenta mes 18cm et sembla excité par ma peau toute lisse. Je suis imberbe depuis toujours et présenter un entrejambe tout lisse à une époque où les bites se cachaient derrière une affreuse touffe de poils me permettait de me tailler un certain succès.
Il se pencha sur moi pour me sucer. Il avait une technique particulière pour faire des pipes. Ses lèvres caressaient ma tige , en même temps il alternait légers mordillements et jeu avec sa langue. C'était super comme sensation. Philippe qui me regardait en souriant se pencha par dessus Jean et nous nous sommes pris la bouche. Il avait de belles lèvres charnues bien dessinées qu'on avait envie d'embrasser. Son corps musclé était très attirant et , cerise sur le gâteau, il était particulièrement bien monté. Sa bite me rappelait un peu celle de Robert, qui m'enculait, il y a quatre ans encore. J'écartais ma tête de celle de Philippe pour lui dire que j'avais envie de sa queue.
Il changea aussitôt de position et se mit face à moi pour m'offrir sa queue encore molle mais déjà longue. Je la mis vite dans ma bouche pour la sucer, l'aspirer, la lécher et la sentir grossir. Philippe ne se fit pas prier pour bander et m'offrir un gros muscle dépassant les 20 cm et assez épaisse. Je lui dis, je lui ordonnai presque '' Phil, encule moi, tout de suite, je veux ta bite dans mon cul là maintenant.''
Il ne se fit pas prier. Jean arrêta de me sucer pour me laisser me mettre en position et se déshabiller complètement. Je m'allongeai donc sur le dos, jambes écartées et repliées vers mes épaules. C'est comme ça que j'adore me faire monter. J'éprouve plus de jouissances qu'en levrette. Philippe, me prépara en me léchant le trou, sa langue était douce et chaude, il alternait avec un de ses doigts qui me pénétrait pour bien me préparer.
Enfin il présenta son gland et me pénétra brusquement allant bien au fond. Il se lança dans une série de va et vient tantôt lents tantôt rapides qui me faisaient un bien fou, tant sa bite me remplissait bien. Mais hélas pour moi, Philippe ce beau gosse beau comme un dieu et admirablement bien monté n'était pas très endurant. Il se retira de moi pour jouir dans la bouche de Jean qui n'attendait que ça. Je n'ai jamais fait aucun reproche à Philippe. Après tout sa queue était grosse et belle je me régalerai à la sucer.
Je me retrouvais comme un couillon, la queue raide à en avoir mal et le cul lâchement abandonné alors que j'étais en pleine « ascension ». Jean, après avoir bien dégusté le sperme de Philippe, s'approcha de moi. Il me demanda de me mettre à quatre pattes et écartant mes fesses me lécha le trou. Je ne saurai jamais comment il s'y prit mais il me donna des frissons dans tout le corps. Puis, il me massa le sphincter il me donnait chaud partout. Enfin il entra un doigt en moi et le faisait entrer et sortir, très vite il en entra un deuxième puis un troisième. Et toujours ses mouvements de va et vient avec une lenteur diabolique qui me donnait de plus en plus de plaisir.
Sur mon petit nuage, je ne m'occupais plus de savoir comment Jean s'y prenait. L'important était qu'il me donne du plaisir. Jean ponctuait sa progression de soupirs d'aise et soudain, je poussais un :
« Wouaw !! C'est bon ça, c'est même très bon !! Qu'est-ce que tu me fais ?
- Je t'encule avec ma main, mon petit Mario. Elle est tout entière dans ton cul ! »
J'avais une main entière dans mon cul qui allait et venait, et je sentais les doigts qui faisaient des guili-guili en moi. Aussitôt me revint en mémoire le jour où Robert se fit fister par Pierre mon chéri d'alors. Ce qu'était en train de me faire Jean était si bon, me faisait tellement jouir que je regrettais d'avoir refusé autrefois.
Philippe remis de ses émotions s'allongea sous moi pour me sucer la queue, la sienne en face de ma bouche ne demandait qu'à se faire sucer. Comme elle était belle cette bite ! Je la pris à nouveau sur ma langue, elle était encore poisseuse de son jus, ou du moins, de ce que Jean n'avait pas récupéré, cela donnait un goût particulier mais excitant que j'aimais beaucoup. La main de Jean dans mon cul me donnait de plus en plus de plaisir, Philippe qui me suce divinement, sa bite qui me remplit la bouche et qui ne va pas tarder à cracher sa crème. Je suis au paradis des gays et je jouis d'un coup, sans pouvoir me retenir, ni prévenir Philippe. D'ailleurs, il n'a pas l'air de se plaindre de mon traitement si j'en juge par ses gloussements de plaisirs.
Jean retire doucement sa main de mon cul, même ça me donne du plaisir. Je me couche sur le dos pour souffler un peu. S'approche de moi et me donne sa main à lécher, elle est pleine de mon humidité. J'aime ce goût que je connais car j'aime lécher mon gode après m'être enculé. Je nettoie consciencieusement la main de Jean puis le tire contre moi pour l'embrasser. Ma langue tente de le remercier de la découverte qu'il m'a permis de faire et du plaisir qu'il m'a donné. Ma main caresse sa bite, elle est déjà toute dure. Beaucoup de poils l'entoure, aussi c'est presque à contrecœur que je le suce avant de lui demander de m'enculer. Je veux le sentir se vider en moi.
Il ne se fait pas prier et me prend en levrette, à nouveau. C'est cette position qu'il préfère. C'est vrai que c'est très bon comme ça, on sent la queue entrer bien profond en soi. Jean est en moi, le plaisir est différent qu'avec sa main, mais j'aime me faire prendre alors je déguste ce qu'il me fait, et il le fait bien, très bien même, et surtout très longtemps. Jean est d'une endurance extraordinaire. Il demande à Philippe de se mettre à côté de moi, et nous pénètre à tour de rôle. J'adore ça, c'est tellement bon de le sentir sortir puis d'entrer à nouveau, directement, sans tâtonner.
Il nous fait bander à nouveau tellement nous trouvons ça bon. Il ahane comme un bûcheron à chaque pénétration, tandis que Philippe et moi gémissons de plaisirs. Pas mélodieux ce trio mais tellement excitant que Jean finit par nous demander de nous retourner et jouit sur Philippe.
Épuisés et heureux nous partageons une douche, occasion de nous caresser et nous embrasser tout en riant. Puis, séchés, rhabillés nous sirotons une dernière bière avant de partir. Au moment de nous séparer, et tandis que nous nous embrassons, Je sens Jean glisser discrètement un petit mot dans ma poche. Je n'en dis rien à Philippe et nous rentrons dans « notre château » en hâtant le pas car minuit est bientôt là. Je suis impatient de lire le mot de Jean. Que m'a-t-il demandé ?
Une fois rendus au « château », je vais au WC et là je peux enfin lire le mot de Jean.
Il me dit :
« Suis heureux de te connaître, j'aimerais qu'on se voit seuls tous les deux. Bisous. »
Ce petit mot, tout simple au demeurant, réveille en moi cette soirée que nous venons de passer. Le plaisir que l'on m'a donné me fait bander, si Philippe était là je l'aurais sauté pour me soulager, mais ce n'est passible alors je me branle. Puis je vais me coucher, la tête pleine d'images de beaux sexes d'hommes et le cul encore très chaud du traitement qu'il vient de subir…
A suivre...
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