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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

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Bises libertines,
Sophie

5. Mario et José

 

 

Une semaine passe sans rien d'autre que la vie passionnante d'une caserne. Le dimanche arrive, et pour une raison  que j'ai oubliée, ma perm est sucrée. Alors je tourne en rond dans cette caserne où beaucoup de gars sont partis. Je vais m'isoler dans une grande pièce inoccupée pour écrire mon courrier, entre autre à Pierre mon premier amour avec qui j'entretiens de bonnes relations.

 

Je décide de lui raconter la soirée que j'ai passée avec Philippe chez Jean. Nous sommes en Juin, il fait très chaud. Je suis donc torse nu. Absorbé et troublé par  les  détails de mon fist, je n'ai pas remarqué que quelqu'un était entré dans la pièce. C'est son souffle chaud dans mon cou qui m'alerte et le contact de ses lèvres sur mon épaule. Je me retourne, surpris et je vois un jeune gars brun au visage mignon et assez féminin. Je ne l'avais jamais remarqué jusque là et pourtant j'aurais dû car il est assez maniéré, un peu genre «''folle''.

 

« Salut, lui dis-je. Tu m'as fait peur. Et qu'est-ce qui te prend de m'embrasser dans le cou comme ça ? J'aurai pu te mettre mon poing dans la gueule !

- Je crois pas que tu l'aurais fait, ça fait un moment que je suis derrière toi et que je lis ce que tu écris à ton ami. Tu m’as excité tellement que je n'ai pas pu m'empêcher de t'embrasser. »

 

Il se présente. Il s'appelle José et ça fait un an qu'il est là. Il me dit que je lui plaisais beaucoup et que cela faisait un moment qu'il m'observait pour savoir s'il pouvait ou non faire quelque chose avec moi. 

 

Durant qu'il parle, je l'examine des pieds à la tête. Il est vraiment mignon. Il ne ment pas quand il dit qu'il était excité, car il bande. José avait posé ses mains sur mes épaules tout en parlant. Je les saisis et les tire vers moi pour lui prendre les lèvres. Il ne refuse pas ma bouche, bien au contraire. Il a une langue agile qui me fait un plaisir fou en jouant avec la mienne. Je caresse sa queue à travers son pantalon.  Il bande vraiment et j'ai envie de lui.  Lui aussi a envie de moi qui me dit :

« Je suis de garde ce soir, je serai dans le mirador nord. Viens me voir, s'il te plaît, tu ne le regretteras pas !  J'ai tellement envie de toi !

- Ok, José, à ce soir, j'ai hâte d'y être' moi aussi. »

 

Nous nous  embrassons à nouveau et il quitte la pièce, c'est comme ça que je peux voir que son pantalon ne peut cacher qu'il a un cul d'enfer. Putain, vivement ce soir !

 

Vers onze du soir, je sors discrètement de la chambrée et me dirige vers le poste de garde,  une cigarette au bec. Je justifie ma présence par des difficultés à dormir, avec cette chaleur. Cela me permet de voir que José n'est pas là, il est donc dans son mirador.

Cigarette terminée et écrasée, je salue tout le monde, et après un détour, je vais vers le mirador nord. Je grimpe à l’échelle.

« Qui va là ?  me chuchote José d'une voix amusée.

- La bite qui va te faire plaisir !

- Alors viens vite ! »

 

La France peut dormir tranquille, José va être très peu vigilant pendant quelques minutes. Il pose son fusil contre la paroi du mirador. Et nous nous enlaçons pour nous rouler une pelle annonciatrice d'un plaisir que nous sommes impatients de connaître. José se met à genoux devant moi dégrafe mon pantalon descend mon ''caleçon US'' et sort ma bite déjà toute grosse de désir. Il pose ses lèvres sur mon gland pour une bise puis lui donne quelques coups de langue. On voit qu'il aime sucer et me le prouve. Ses lèvres entoure ma bite et il l'enfonce jusqu'au fond de sa gorge et recommence. Il procède ainsi un long moment. Ses lèvres chaudes effleurent ma tige, ça me colle des frissons partout dans le corps, je n'y tiens plus, j'ai envie de la baiser cette salope et le lui dit.

 

Sans un mot, il baisse son pantalon se retourne, se penche et me tend son cul. Ma main le caresse, ses fesses sont fermes et arrondies, je glisse un doigt entre ses fesses, je suis surpris agréablement  car il mouille du cul. Je me sens moins seul, car moi aussi j'ai le cul tout humide quand j'ai envie de me faire prendre. Je me penche pour lécher sa fente puis je présente ma bite et la fait entrer doucement, par petits coups.

 

Ça fait gémir José qui se penche un peu plus et s'enfonce complètement sur moi. Je reste un moment sans bouger. Je suis bien en lui. José se trémousse, il a envie de mouvements, alors je l'encule vraiment, en donnant de grands coups de reins, je sors ma queue complètement  et la rentre ensuit sans ménagement, José gémit de plus en plus fort.  Je souffle comme un phoque, je me retiens autant que je peux pour ne pas exploser tout de suite. 

« Mon chéri ne jute pas en moi, je veux te boire, s'il te plaît ! »

 

Je sors de lui et présente ma bite à sa bouche, il se jette dessus sans aucune douceur, et la suce presque violemment. Il est surexcité, il se débrouille tellement bien que j'explose dans sa queue.

 

Il se redresse et me fait face, mon sperme  coule un peu au coin de ses lèvres. Il est beau et tentant comme ça, alors je lui lèche les lèvres pour les nettoyer, puis je l'embrasse, 

une partie de mon jus est encore dans sa bouche, j'en récupère un peu. J'ai toujours aimé son goût. José est une belle salope.  J'ai moi aussi envie de sa queue, au moins dans ma bouche. Je me baisse pour être à hauteur de sa queue.

 

Elle est toute raide et toute mignonne. Pas très longue, elle doit faire à peu près 14 cm. Je la lèche amoureusement comme une sucrerie, je gobe ses couilles vierges de tout poil, je le lèche avec un plaisir gourmand car il sent formidablement bon. Je ne sais ce qu'il utilise comme parfum, mais il se marie bien avec sa peau. José toujours à l’affût d'une queue à consommer se lave et entretient parfaitement la propreté et l'hygiène de son entrejambe. Aussi pour faire durer notre plaisir je prends mon temps pour le faire jouir.

 

Quand enfin, il explose dans ma bouche, je consomme son jus égoïstement sans même le partager avec lui. Ensuite seulement, je me relève pour l'embrasser à pleine bouche et je le quitte, heureux de ma soirée, et heureux aussi que l'on ne nous ait pas surpris, voilà qui aurait fit scandale dans la caserne. Je ne regrette pas d'être venu le voir pendant sa garde. Dans deux jours, je dois passer la soirée avec Jean, je vais lui parler de José, je suis sûr que tous les trois, on devrait passer de très bons moments.

 

Je n'en ai rien dit à José, on se sait jamais si Jean sera d'accord. Je suis sûr que oui, car José est un garçon très charmant et attirant qui semble aimer tout ce qui se fait et le reste. Je rentre discrètement dans la chambrée et me couche  sans même me laver, comme ça je m'endors avec l'odeur du corps de José sur ma bouche et sur ma queue…

 

Plus que deux jours avant d'aller chez Jean, il me tarde d'y être et de sentir encore sa main enfoncé en moi jusqu'au poignet. Il ne me l'a fait qu'une fois mais je sens que j'y prends goût.

 

 

-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_

 

A suivre...

Par Mario - Publié dans : Les récits gay et lesbiens - Communauté : Communauté gay
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