Sophie, marquise de
R.
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Sophie
7. Mario et José chez Jean.
Il nous fallut patienter une seule petite semaine pour enfin avoir ce week-end que nous devions passer chez Jean. Enfin quand je dis week-end, c'est un grand mot, car il ne s'agissait que du Samedi soir et d'une partie du dimanche. José avait hâte de rencontrer ce Jean dont je lui avais tant vanté la queue et sa main agile qui savait entrer dans le corps de ses amants. Nous nous sommes donnés rendez-vous loin de la caserne et avons usé de ruses de sioux pour que l'on ne nous voie pas traîner ensemble. Les gars de la caserne autant ils étaient heureux, leurs soirs de garde, de voir arriver José pour leur faire une pipe, autant ils se montraient homophobes lorsqu'ils parlaient de lui. Je ne tenais pas du tout à subir les mêmes railleries de nos camarades.
C'est donc devant chez Jean que nous nous sommes retrouvés. J'entre dans l'immeuble et précède José. Quand il nous ouvre la porte, il est plus qu'agréablement surpris par ce qu'il voit. Il faut dire que José, sans avoir le côté outrancier que l'on peut voir chez « les folles » avait un aspect assez féminin qui le rendait d'autant plus désirable. Peut-être qu'il émoustillait un tantinet le côté hétéro qui sommeille tout au fond de nous. Qui sait ?
Toujours est-il que Jean lui prit la main, l'attira tout contre lui, l'enlaça, l'embrassa à pleine bouche alors que la porte de l'appartement n'était même pas encore fermée. Je souris du spectacle et je ferme la porte. Pendant ce temps, Jean toujours bouche contre bouche avec José, utilise sa main libre pour le déshabiller. Il avait hâte de voir le cul de José, ce cul que je lui avais décrit comme étant beau et tentant.
José, un peu effrayé au début par l'accueil assez cavalier de Jean, fut rapidement excité. Je peux vous affirmer pour y avoir quelques fois goûté, que les baisers de Jean sont irrésistibles, ils vous mettent immédiatement en feu. Et José était particulièrement inflammable. L'ayant enfin complètement dénudé, Jean relâcha José pour regarder son corps. Il émit aussitôt un sifflement admiratif accompagné d'un
« P........t'es sacrément bandante ma chérie
- Merci Mario, tu t'es pas gouré, il est plus que craquant ton José ! »
Très sensible au compliment José, prend des poses pour mettre en valeur ce qui fait son succès, son cul. Son corps fin met le feu dans le pantalon de Jean, et dans le mien aussi d'ailleurs. Moi qui ai déjà goûté à ce garçon, je sais le plaisir qu'il est capable de donner. Jean, lui, avec ce que je lui en ai dit n'en a qu'une vague idée, mais cela suffit à le mettre dans tous ses états. Il se déshabille en arrachant presque sa chemise et son pantalon et regardant José dans les yeux, écarte ses bras et avec un grand sourire lui dit :
« Viens là toi! ! J'ai envie de te baiser, tu as un cul en or ! »
José, à notre grande surprise, se jette quasiment dans les bras de Jean mettant les bras autour de son cou et enserrant sa taille avec ses jambes.
Jean en érection a le gland qui pointe vers le paradis, enfin, je veux dire, vers le cul de José. Celui-ci se laisse descendre vers cette queue qui l'appelle et s'empale dessus. Il pousse un léger cri, plus de plaisir que de douleur, bien que son épaisseur soit conséquente. Une fois bien installé sur ce pieu, José se penche légèrement en arrière, regarde Jean avec un petit sourire coquin et les yeux qui brillent, puis il embrasse Jean à pleine bouche et commence à faire coulisser la bite en lui en gémissant de plaisir. Ses mouvements vont s'accélérant accompagnés des commentaires de José, du genre « P.... comme j'aime ta bite dans mon cul ! Elle est comme j'aime. Encule-moi bien. Ce soir j'ai envie d'en prendre beaucoup. »
Jean excité par ces exhortations, ne peut se retenir bien longtemps et explose dans le ventre de José.
Bien qu'il ait joui, Jean continue à faire coulisser le cul de José sur sa queue un petit moment. Cela provoque des cris de plaisirs à notre petite salope qui explose à son tour sur le torse de Jean. Celui-ci se dégage et s'affale sur son canapé. José le suit dans son mouvement, et lui lèche le torse goulûment, récupérant sa semence. Ensuite, il s'occupe du nettoyage de la queue de son enculeur à peine débandée.
Cette séance relativement rapide tant mes deux amis étaient excités m'a mis dans tous mes états. Je bande comme un malade, et me branle pour me calmer. José qui me voit faire abandonne Jean, provisoirement hors concours, et prend ma bite en bouche. J'adore José quand nous baisons tous les deux. Il est à la fois doux et attentionné et dans le même temps peut être presque violent dans ses mouvements. Il est fou de jeux sexuels. Et tout ce qu'il fait est accompagné de petits gémissements et soupirs. On sent qu'il se régale. Ce plaisir et cette joie de baiser il la transmet aisément à ses partenaires.
José suce comme un dieu. Je suis prêt à exploser, mais c'est encore trop tôt, aussi je me retire de sa bouche. José me fait alors asseoir sur le canapé, s'empale sur ma bite et entame une sorte de danse frénétique ponctuée de soupirs et d’exclamations du genre :
« Oh ! P... ;mon chéri, comme elle est bonne ta queue! Encule-moi longtemps, je t'en prie ! »
Jean qui reprend des forces, nous fait changer de position. Je suis maintenant allongé, José couché sur moi continue à se baiser sur ma queue. Jean le caresse et entre un puis deux doigts qui rejoignent ma queue dans son cul. José pousse un grand cri de joie. Pas un instant il ne semble souffrir de ce qu'on lui fait. Jean alors, s'adressant à moi, me dit :
« Tout à l'heure on va la prendre en double cette petite salope, hein ! T'es d'accord Mario ?
- Ah ! Ça oui alors… »
Entendant ça, José redouble d'énergie et finit par jouir. Les contractions de ses fesses sur ma queue et le mouvement de son bassin en joie me font décharger en lui.
Cela fait à peine deux heures que nous sommes chez Jean, et nous n'avons même pas eu le temps de parler et encore moins de présenter José à Jean. Nous en rions tous les trois en sirotant un grand verre de bière bien fraîche. Nous bavardons, enfin c'est surtout José qui parle, harcelé de question par Jean. Je me rends compte alors que je savais peu de choses sur mon pote de régiment.
Jusque là nous n'avions fait que baiser lui et moi. Tout comme moi, il s'est aperçu très tôt, qu'il aimait les garçons, et qu'il leur plaisait beaucoup avec sa jolie petite gueule et sa paire de fesses fermes et rebondies. Ses parents ne semblèrent jamais offusqués ni même gênés d'avoir un fils aux manières efféminées, ce qui permit au petit José de se développer comme il l'entendait, sans se poser de questions. Seul souci les moqueries plus ou moins méchantes de ses amis de classes qui raillaient '' cette petite tapette de José''.
L'amour de ses parents et l'indulgence qu'ils manifestaient à l'égard de leur fils l'aidèrent à supporter et assumer ses attirances sexuelles. Il n'eut donc jamais à se poser de questions sur lui-même et vécut sa vie de gay d'une manière heureuse. Il put donc multiplier ses amourettes tout à fait normalement. Et de nous en compter quelques unes qui le marquèrent. Sa manière de se remémorer ses souvenirs et les détails qu'il se régalait de nous donner, eurent vite fait de nous exciter Jean et moi. José debout, nu devant nous parlait sans même voir l'effet qu'il nous faisait.
Qu'il était beau et bandant dans sa nudité et prenant des poses suggestives marquant l'effet que ce qu'il nous disait faisait sur lui. Jean et moi, ne l'écoutions plus, nous étions en 69 chacun dégustant la bite toute dure de l'autre, et doigtant le cul qui l'avoisinait. Nous avions, lui et moi, grande envie de baiser l'autre, mais nous enculer ensemble est impossible hélas. Et ce sacré José qui continuait devant nous à prendre des poses, qu'il était tentant. Je m’arrêtais de sucer Jean et m'adressait à José :
« José chéri, tais-toi et viens, on va te faire l'amour Jean et moi ! »
Pour toute réponse, José s'arrêta de parler et se jeta sur nous. Il prit avidement la bouche de Jean en remuant sur nos corps. Rien de tel pour nous électriser. Ah ! Elle savait y faire cette belle petite salope pour exciter ses amants.
Je me déplaçais un peu pour avoir le cul de José face à moi, j'écartais ses jolies fesses si fermes et admirer son petit trou. Il était beau à voir. Pas un seul pli, il avait la forme d'une chatte de femme et paraissait petit, trop peut-être pour être pénétré. Et pourtant il suffisait que je le lèche pour le sentir frémir et voir cette petite fente se dilater un peu. Je me fis un gros plaisir en le léchant goulûment, m'interrompant parfois pour le doigter. Mais j'avais de la peine à continuer tant José remuait son cul. Ses gémissements étouffés par la bouche de Jean qui l'embrassait montraient qu'il aimait ce que je lui faisais.
Il était grand temps de baiser, sinon nous allions tous trois connement éjaculer dans le vide. Jean resta allongé sur son canapé, José se coucha sur lui, je pris la bite de Jean et la suçais un peu avant de l'introduire dans le cul de notre José. Il poussa un « Ah ! Ouiiii ! » de plaisir et commença à remuer son bassin. Je l'arrêtai vite pour pouvoir entrer moi aussi en lui. Pour m'aider il écarta bien ses fesses, je plaçai mon gland contre son trou déjà occupé. Il me fallut forcer un peu et entrer, centimètre par centimètre. J'avais un peu peur de lui faire mal, mais ses gémissements et ses encouragements m'ont rassuré. Aussi je poussai d'un coup pour entrer complètement.
Comme c'était bon de sentir ma bite tout contre celle de Jean dans le cul de notre amant. Agréable sensation, c'était la première fois que j'enculais un mec en double. Je me suis alors promis de recommencer souvent. Nous sommes restés un moment immobiles, tous les trois, pour jouir de cette sensation, puis Jean dit à José de se baiser. Il ne se fit pas prier et commença une sorte de lambada avant la lettre. Il criait son plaisir de plus en plus fort. Jean et moi l'accompagnions car le plaisir nous assaillait. De longues minutes de ce traitement et nous explosons dans le cul de José qui pousse alors un grand cri et jouit à son tour. Nous restons ainsi sans bouger, les uns dans les autres pour continuer à déguster ce plaisir.
Nous nous séparons enfin et allons à la douche, chacun se charge du plaisir de laver l'autre. Petit jeu émoustillant qui n'arrive pas à nous faire bander à nouveau. Nous sommes crevés. Nous passons à table, Jean nous avait préparé un bon repas que nous prenons ponctués de rires e de baisers, histoire d'entretenir l'atmosphère érotique. Il est bientôt vingt-trois heures et notre séance de baise suivie d'un bon repas nous a rendu hors d'état de poursuivre nos jeux. Jean nous conduit à sa chambre et nous couchons tous les trois, nus, dans son grand lit. José est couché entre nous deux. Nous ne tardons pas à nous endormir comme des anges.
Mais soudain une sensation particulièrement agréable me réveille, je ne réalise pas ce que c'est tout de suite, Jean est aussi réveillé et comme moi se demande ce qu'il se passe. Nous allumons et réalisons que c'est ce sacré José, décidément insatiable et gourmand, qui, assis entre nous deux, nous branlait. Un grand sourire illuminait son visage. Qui d'entre vous n'a pas été réveillé par une branlette ou une pipe manque assurément quelque chose d'extraordinairement bon.
Jean comme moi se réveille en gémissant. Il allume la lumière pour mieux assister au spectacle. Et c'en est un, vraiment. José splendide dans sa nudité nous sourit, presque angélique. Sa jambe droite appuyée sur ma poitrine expose son pied à ma vue. Je ne m'étais jamais rendu compte à quel point il avait un beau pied. Ses orteils sont longs et fins et semblent doués d'indépendance. En effet, ils bougent, ils dansent presque, rythmant sa branlette. Je ne résiste pas au plaisir de caresser ce pied qui m'excite un peu je dois dire. Un à un, je prends ses orteils en bouche, les mordille, les suce. Il adore ça et me demande de continuer en soupirant.
Le plaisir que je lui donne lui fait accélérer sa branlette sur la queue de Jean et la mienne. J'arrête de jouer avec son pied, car par contrecoup je sens que je vais jouir. José m'imite, lâche nos queues et change de position. Il se recule, s'adosse au pied du lit et glisse l'un de ses pieds entre mes cuisses. Ses orteils se mettent à pianoter sur mes couilles. J'écarte alors les jambes que je replie et prend appui sur mes talons. Les orteils de José commencent à caresser tout mon entrejambe. Je suis surpris par la douceur et la dextérité de mon camarade. Il prend d'ailleurs beaucoup de plaisir à le faire. Je m'excite de plus en plus et quand José tente d'entrer un puis deux orteils dans mes fesses, je ne peux me retenir et j’explose.
Et soudain, je repense à Philippe qui est en « perm » dans sa famille. Il doit revenir dans une semaine. Bien qu'il ne soit pas très endurant, il me manque, car il est très doux quand on baise. Je suis certain qu'une partir entre Jean José Philippe et moi doit donner quelque chose de super jouissif. Et vu les goûts et les envies de José, un 4° larron ne peut qu'être formidable.
Jean qui a vu ce que José pouvait faire lui a demandé d'utiliser ses deux pieds pour caresser son corps et faire tout ce qui lui passait par la tête. José se trémoussa, il était ravi de cette demande, il entreprit de parcourir le corps de Jean, aussi délicatement que s'il l'avait fait avec ses mains. Il s'attarda sur la queue qu'il manipula avec ses longs orteils. Jean n'en pouvait plus, sa queue lui faisait mal tant elle bandait... José s'attaqua enfin au cul de Jean. Celui écartant bien ses fesses de ses mains permit à José de comprendre aisément ce qu'on attendait de lui. C'est ainsi que tout doucement, il réussit à fister Jean en le pénétrant avec une grande parie de son pied.
Jean poussait de grands cris de plaisir, ses mains se crispaient sur le drap. Je me penchais alors et pris sa queue en bouche pour le sucer et le faire exploser dans ma gorge. Ce qu'il ne tarda pas à faire. Le soleil n'était pas encore levé et nous étions crevés. Nous sommes recouchés tous les trois. José, que nous tenions enlacés, ronronnait de plaisir. Nous n'avons pas tardé à nous endormir.
C'est du vacarme dans la rue qui nous réveilla. Il était quinze heures Nous nous sommes levés, avons mangé et sommes partis sous la douche pour mêler toilette et baise. Puis José et moi, prenant des chemins différents sommes rentrés à la caserne. Qu'allaient nous réserver comme plaisir les jours à venir ? Le prochain retour de Philippe permettait d'envisager des moments de baises chez Jean que j'avais hâte de savourer…
A suivre...
Elle va venir très vite ! merci de prendre la peine de l'ecrire ici....