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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

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J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Je réponds d'une manière hésitante, non pas par inquiétude, mais parce que dans le même temps, je me demande ce que ces deux-là me réservent. Je sais que ce ne peut être que formidable. Ils sont tellement beaux, sensuels et doux. Je sais qu'ils vont me faire jouir. Mais comment ? 

« Bon, dépêchez-vous, mes chéris, je meurs d'impatience ! » 

 

Je m'étais à nouveau installé sur le canapé. Cindy et Claude quittent leurs chaises. Ils sont debout devant moi. Ils se tiennent par la taille. Ils sont beaux tous les deux. La nudité leur va à ravir. Claude, grand et mince, son côté asiate lui donne un charme fou. Sa queue longue et fine frémit tandis qu'il me regarde avec un petit sourire. Cindy, elle, ou lui, est splendide. Sa poitrine n'est en rien incongrue. Sa taille est bien prise ajoutant encore à sa féminité, mais cet épais rouleau de printemps qui pend entre ses jambes, rappelle que c'est un homme. Cela le rend encore plus attirant.

 

Lui aussi sourit en me regardant. Ils restent là silencieux, semblant se demander à quelle sauce ils vont me déguster. Cette attente et leur beauté m'excitent. Je bande de désir. C'est une version plus que très savoureuse du supplice chinois. Des moments comme celui-là sont formidablement plus excitants que ce que disait Clemenceau, je crois, quand il affirmait que le meilleur moment de l'amour c'est quand on monte l'escalier.

 

Toujours debout devant moi, Claude et Cindy sont étroitement enlacés, et tout en me fixant des yeux, chacun caresse l'autre avec une telle douceur qu'il me semble que c'est sur mon corps qu'ils les font. J'en bande encore plus fort. Eux aussi d'ailleurs, ils ont une érection formidable. J'ai envie d'eux, là, tout de suite et le leur dit.

 

Ils me regardent puis se regardent avec un petit sourire. Au lieu de me rejoindre sur le canapé ces deux salopes se roulent une pelle gourmande. Les mains de l'un parcourent le corps de l'autre. Ils ne vont tout même pas se baiser debout, en m'ignorant !!! Je ne dis plus rien, cela risquerait de les inciter à reculer Le Moment.

 

Je feins à grand peine de les ignorer. Pas facile, tellement j'ai envie qu'ils jouent avec mon corps. Après quelques longues secondes de ce supplice, ils daignent, enfin, se rappeler ma présence et s'assoient sur le canapé. Cindy est à ma gauche. Il-elle sent bon, sa peau si douce me frôle. Son superbe rouleau de printemps, au maximum de sa forme, repose sur l'une de ses cuisses. Claude, assis à ma droite donc, est tout contre moi et me prend la bouche.

 

Puis il m'embrasse dans le cou, presque tendrement, l'une de ses mains caresse ma poitrine. Cindy, elle-lui, penche son visage vers moi. Je lui prends alors la bouche. Presque envie de la bouffer cette jolie bouche à la langue agile et fureteuse. Son baiser me donne des frissons. Ma mains s'empare de sa grosse queue et la branle doucement. Le contraste entre la féminité de ce garçon et l'épaisseur de sa bite me donne encore plus envie de la sentir en moi.

« Cindy, ma chérie, je t'en prie, prend-moi. J'en ai trop envie !! »

 

Mes paroles semblent l'émoustiller car il me serre un peu plus dans ses bras tout en continuant de m'embrasser. Et Claude pendant ce temps qui me titille les tétons. Mes deux gentils bourreaux, après quelques minutes, cessent enfin. Ils me font me lever. Claude alors s'allonge sur le canapé et me demande de m'empaler sur lui en lui tournant le dos.

 

Je ne me le fais pas dire deux fois. Je m'amarre à sa queue. Claude imprime de lents mouvements de son bassin pour voyager dans mon ventre. Cindy, penchée sur moi me suce la bite presque douloureuse tant je bande. Mais elle s'arrête très vite et demande à Claude de ne plus bouger. Elle s'enduit la queue d'un lubrifiant et présente sa poutre de chair à mon trou déjà occupé. Je n'ai aucune appréhension. Ce ne sera pas la première fois que ça m'arrive.

 

Le gland de Cindy se fraie un chemin entre la bite de Claude et un bout de mon sphincter. Il insiste un peu, craignant de rencontrer de la résistance. Mais Cindy fut toute surprise de « ma capacité ». La vérité m'oblige à dire que j'ai le muscle très souple, ce qui ne m'empêche pas de sentir ce qui me rend visite. Mes deux charmants amants asiatiques ont longue bite. L'un mince, l'autre épaisse. Une fois que Cindy a pu entrer entièrement en moi, je me suis senti heureux. Bien rempli et heureux.

 

Nous sommes restés tous trois immobiles un bref instant jouissant de cette sensation extraordinaire qu'est une double pénétration. La zen attitude propre aux asiatiques n'est pas dans mes gènes, aussi c'est moi qui ait rompu ce moment agréable, d'un mouvement de mon bassin pour les inciter à nous donner du plaisir. Ces deux-là semblent faire équipe depuis longtemps car ils trouvent immédiatement la bonne cadence.

 

Le visage de Cindy est juste au dessus du mien. Elle est belle, mon enculeuse, très belle même. Nous nous sourions, plus que gentiment. Je n'arrête pas de gémir tant ces deux-là me donne du plaisir. J'approche la tête de Cindy pour lui prendre la bouche goulûment. Je crois que je suis amoureux de cette splendide transsexuelle asiatique. J'ai eu un véritable coup de foudre quand Claude me l'a présentée. Et je crois bien que c'est réciproque. Claude est adorable, beau, formidable amant, mais Cindy, je ne sais pas ce qu'elle a de particulier. Peut-être que la féminité de ce garçon a réveillé le peu d'hétérosexualité qui sommeille en moi. Sans compter qu'elle me baise comme un dieu.

 

Je suis tellement sur mon petit nuage avec le plaisir qu'ils me donnent tous les deux que j'en suis à m'imaginer vivant avec l'un, non plutôt avec l'autre. Pffff ! Pas facile de décider. Mais arrête donc de tirer des plans sur la comète, pour l'instant c'est toi qui est tiré, profites en bien, tu verras plus tard. Dans l'euphorie où me mettent ces deux gars là, voilà que je me parle tout seul. C'est dire s'ils me font perdre la tête.

 

J'ai déjà eu droit dans ma vie à des doubles pénétrations mais c'était des moments purement sexe, alors que là, Claude et Cindy y ajoutent de la délicatesse ce qui rend notre baise encore plus excitante. Claude, pourtant eurasien, semble oublier son côté européen et Cindy la troublante transsexuelle me font subir un sublime supplice chinois. J'ai la délicieuse impression qu'ils vont me baiser ainsi pendant des heures. Je ne veux pas savoir comment ils font, j'ai des frissons dans tout le corps. Je bande comme un malade. Mon petit cul est en feu, qu'est-ce que c'est bon.

 

Peut-être font-ils un concours d'endurance, qui sait ! Pour l'avoir déjà consommé, je sais que Claude, le beau Claude, peut tenir assez longtemps sans jouir et, ce qui ne gâte rien, il n'a besoin que de très peu de temps pour repartir à l'assaut. Quand on est gourmand comme moi, ce garçon est un trésor. Pas égoïste, je veux bien le partager, mais j'aimerai tellement que nous soyons en couple.

 

Cindy, ma troublante femme à grosse queue, a le don de me faire brûler d'envie d'être sailli par elle. Elle est beau, elle dégage tant de sensualité. Et cette petite voix qu'ont les asiatiques me fait craquer. Ça y est, c'est reparti, je recommence à délirer. C'est de leur faute après tout, je n'arrête pas de jouir, et sans éjaculer en plus. Personnellement, je suis aux anges, mais je suis épuisé. Je le leur dis. Peine perdue, ils continuent tous les deux à me limer, en échangeant des mots mystérieux dans la langue de Cindy.

 

Mais Cindy explose en moi. Bon sang, j'ai l'impression qu'il en avait au moins un litre. Mon ventre est inondée. Qu'est-ce que c'est bon ! Bien qu'ayant joui, Cindy reste en moi et continue à aller et venir en moi comme si de rien n'était. Nous changeons légèrement de position pour soulager Claude de notre poids et lui permettre de me baiser. Ce qu'il fait pendant un petit moment encore avant d'exploser à son tour. Je suis au '' paradis des Enculés'' tant je suis bien.

 

Claude se retire de moi. Seule Cindy est encore en moi. Et il bande encore. Bon sang, comment fait-il ? C'est moi qui me dégage et me relève les jambes en coton, je prends Cindy dans mes bras, la caresse et lui prend la bouche. Nous nous roulons une pelle gourmande. Claude de son côté ne reste pas inactif, il est couché derrière moi, tient mes fesses écartées et me fait ma petite toilette avec minutie. Je le dis à Cindy. Aussitôt elle rejoint Claude et se partage le cocktail dont ils m'ont gentiment rempli le cul.

« Dites-donc mes chéries, j'aimerais bien y goûter aussi ! »

 

Elles éclatent de rire. Je sens bien que notre soirée est loin d'être terminée.

 

A suivre....

 

 

 

Par Mario. - Publié dans : Les récits gay et lesbiens - Communauté : Communauté gay
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