Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.
Mes récits sont protégés par e-auteur.com
Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !
Bises libertines,
Sophie
La vie a repris son train-train quotidien, moi la fac, et ma mère son boulot et ses messes. Mais je remarquais que les vendredis soir,
ma mère rentrait plus tard que moi, et je la surprenais à foncer dans la salle de bain dès qu’elle arrivait à la maison. Pour en avoir le cœur net, je décidais de la suivre dès le vendredi
suivant, mais bon, vélo contre voiture, je ne faisais pas le poids !!
Un vendredi soir, j’étais au campus voir un ami dans sa chambre Universitaire, il était tard, j’enjambe mon vélo et en traversant le
campus, je crois reconnaître la voiture de ma mère parquée, je m’approche, et le m’aperçois que c’est bien sa voiture. Elle n’était pas là. M’aurait-elle suivi ? Je ne comprenais rien... Je
décidais donc d’attendre sa venue devant la voiture... les seuls passants étaient des hommes de toutes âges qui se rendaient vers le parc du campus de Metz, très réputé pour ses rencontres gays.
Je commençais à sérieusement m’inquiéter, et ne sachant pas quoi faire, je décidais de m’aventurer dans le parc au cas où ma mère aurait eu des ennuis à cause de ses « idéologies anti
homos ».
Je marchais à côté de mon vélo, prêt à bondir sur ma selle aux moindres problèmes.
Des bruits sourds arrivaient de sous le pont, il faisait trop sombre pour distinguer quoi que ce soit, je n’ai pas honte de dire que
j’avais la frousse.
Je m’approchais de plus en plus, et il était toujours impossible de distinguer quoi que ce soit !! Mais les bruits ressemblaient de
plus en plus à de petits gémissements… Je suis maintenant sous le pont, mes yeux tout doucement s’habituent au noir, et je guide mon regard vers les sons que j’entends. Là, j’aperçois un très
vieux monsieur, le pantalon aux genoux, se faire prendre par derrière par un jeune mec…
Je ne souhaite pas aller plus loin, mais une voix féminine m’arrête, ça venait d’un peu plus haut, sous les autres arcades. Il y a les lampadaires de la route au dessus qui éclairent. Enfin, la visibilité est meilleure, je m’approche tout doucement et je m’arrête net, qu’avait-il fait à ma mère !!
Elle était à genoux, seule à moitié nue, les seins à l’air, couverte de pisse et de sperme, je voulais foncer mais un détail m’a retenu, ses vêtements (du moins ce qui en restait), c’était une très vieille robe qu’elle ne mettait plus, je l’ai même surprise un jour à l’utiliser comme ramasse poussière !! Je décidai de faire demi-tour et de foncer à la maison, elle est rentrée près d’une heure après moi et comme d’habitude, elle a foncé dans la salle de bain.
Elle pourrait bien etre la mère de Marvin...
Et la semaine est passée, le vendredi suivant je décidai de retourner au parc et d’attendre dans un endroit reculé mais où j’aurai une
bonne visibilité.
« Bonsoir ! »
J’ai sursauté, un type à côté de moi continua à m’apostropher :
« Ah ah faut pas avoir peur je ne mords pas !! »
Il était noir et grand, et parlait avec un petit accent Africain.
« C’est de plus en plus rare de voir des noirs ici, tu sais, lui répondis-je.
- Oui mais je suis black, mais je ne viens pas pour ce que tu crois !
- Pourquoi alios ? » lui demandais-je en riant.
C’est à ce moment là que je vois ma mère arriver, se placer sous le pont et faire les cent pas.
« Ah je vois tu viens mater la mama salope, me dit il avec son accent. C’est un coin pour nous ici, pas pour elle !!
- Tu la connais ?
- Non, mais j’ai jamais vu de salope comme elle ! Et je viens de là-bas ! Hi, hi hi ! Elle vient ici juste pour se faire
baiser ! »
Un homme s’approche de ma mère qui continue à marcher de long en large. Il reste contre le mur, ne bouge pas, il sort sa queue,
il a l’air bien monté, vu le long va et vient de sa main, et il est maigre. Je ne pouvais rien distinguer de plus. Ma mère elle, s’approche timidement, deux pas en avant, un pas en arrière,
l’homme ne bouge pas, elle s’approche doucement, et arrivée à sa hauteur, elle se met à genoux. Un instant se passe et l’homme urine sur son visage…
« Elle ouvre la bouche ! » me dit mon voisin. Elle adore ça et elle se caresse mais ce qu’elle préfère, c’est sucer !! Comme
nous… »
Au même moment je sens sa main me caresser le sexe à travers le pantalon :
« ça fait longtemps que j’ai pas sucé une bonne bite de chez nous, ici elles manquent de saveur... mais la tienne… mmh je suis sur que non !! Et les blancs le savent bien, ils courent après nous pour nous sucer... Et je n’ai pas attendu les blancs pour savoir que les nôtres elles sont bonnes ! »
Tout en me parlant, il avait dégrafé mon pantalon et entré délicatement ses doigts dans l’ouverture de mon caleçon pour y faire sortir ma queue toute molle, il me dit :
« J’adore quand elles grossissent dans ma bouche… »
Et il se mit à genoux et commença à me sucer, je m’étonnai de m’être laissé faire aussi facilement mais je sentais sa langue, grosse et rappeuse, je sentais surtout ma queue se gonfler dans sa bouche, après ma mère, on ne m’avait jamais sucé comme ça…
Oh oui ma mère !... Je regardais de nouveau, toujours le même homme qui se masturbe au dessus de son visage, ma mère attend à genoux, ooh qu’est ce qu’il me suce bien, je me retiens de ne pas jouir en même que l’inconnu de ma mère qui se rhabille et s’en va.
Un autre homme plutôt obèse qui était apparemment un « habitué », sort son pénis et urine sur ma mère à genoux, elle n’a pas
l’air surprise et se tourne pour ouvrir grande sa bouche, elle est maintenant pratiquement en face de moi, sa robe pleine de pisse laisse transparaître ses énormes seins.
Je sens que je vais jouir… Heureusement qu’il s’est relevé, j’en avais presque oublié que c’est un mec qui me suçait, je me tourne vers
lui et il me sourit. Il tient sa queue dans sa main.
« Elle est grosse hein, me dit il. Regarde ! »
Il prend ma main et la pose sur son sexe, c’est vrai qu’il est gros, le plus impression est la taille de son prépuce. Même en érection, il couvre son sexe et est très gros et sa forme qui n’est pas droite mais qui tend vers le bas comme si son sexe faisait un virage !!
C’est la première fois que j’ai le sexe d’un autre dans les mains.
« vas y branle moi plus fort, » dit-il en soulevant son t-shirt pour se pincer les seins du bout de ses doigts.
Il avait de beaux abdominaux et la peau vraiment très noire. Je lève la tête vers ma mère, et je ne vois plus l’homme obèse mais deux jeunes hommes qui s’embrassent et se caressent pendant que ma mère les suce à tour de rôle.
Elle s’applique et on voit qu’elle aime ça ...
Alors, tout en gardant un œil sur ma mère, je me lance et je me penche doucement vers le sexe de mon nouvel ami, et comme ma mère, je le branle doucement.
Puis je glisse ma bouche tout aussi délicatement, malgré le fait de me dire que ma bouche ne sera jamais assez grande… Il est vrai que
cette sensation de chaleur est vraiment agréable.
« T’aime ça !! Hein ? Te faire bourrer... négresse ! »
A ces mots je me tourne et ma mère était avec ces deux hommes mais cette fois, un la prenait par derrière à quatre pattes, et l’autre lui baisait la bouche. J’étais outré, pourtant toujours à quatre pattes devant ce gros sexe bizarrement fait mais agréable. Il agrippa ma tête avec ses deux mains, pour y fourrer dans ma bouche son énorme queue et me dit en riant :
« Toi t’aurais jamais sucé ? Mon cul, oui, allez… suce négro, suce !! »
Il tenait tellement fort que je ne pouvais rien faire, il faisait des va et vient avec beaucoup de force dans ma bouche, je croyais que j’allais étouffer.
« Écoute-là, l’autre négresse, elle met tous les petits blancs au pas ! »
Et il avait raison en entendait ma mère gémir de plaisir et là ce fut pour moi la révélation. il me lâcha la tête et dans un grand râle, déversa sa foutre partout sur moi, il était très très opaque, j’en ai surtout sur le visage et... dans la bouche.
Je ne sais pas pourquoi, mais une forte excitation est montée en moi, et j’ai éjaculé sans même toucher mon sexe, mais mon initiateur
n’en su rien il était déjà loin. Je décidai de partir quelques minutes plus tard, laissant ma mère par terre entourée des deux hommes debout lui pissant dessus.
Les journées passèrent et j’ai remarqué sur mon pc des fichiers temporaires de site érotique de vieilles femmes blacks se tapant des
mecs, de transsexuel black, ou bien même des sites incestueux. Je ne regardai plus ma mère de la même façon… Et dire que mon beau frère, une fois, m’a dit que ma sœur devenait aussi prude que ma
mère… eh ben s’ils savaient.
Deux semaines plus tard on était Vendredi soir, je me poste au même endroit, mon initiateur était déjà là, la queue à la main en train
de se branler tout seul. Je n’ose pas m’approcher, et fais mine de faire demi-tour.
« Attends, ne part pas !! »
Le continue ma route, m’arrête et enfin, décide de revenir vers lui, sa queue m’obsédait, il fallait que je la tienne encore une fois dans les mains. Elle était belle, grande et douce. Arrivé à sa hauteur, il prit ma main et me tira vers lui pour m’embrasser, je n’ai pas trop aimé, je me suis reculé et regardé sa queue.
« T’es comme les blancs toi... hein !! C’est tout ce qui t’intéresse ! » me dit il avec son accent me tendant sa queue.
Sans répondre, je me suis penché vers sa queue pour vite la mettre dans ma bouche, elle était toujours aussi agréable mais elle avait un goût bizarre… Je décidai d’innover, et de lui lécher sa queue et ses boules. Mais il se tourna et me montra son cul pour me faire comprendre qu’il voulait que je lui lèche l’anus, je lui embrassais les fesses et c’est tout, je ne pouvais pas y mettre ma langue !
« c’est très agréable tu sais, tourne-toi je vais te montrer ! »
Sans protester, et j’ai obéi, j’ai senti sa langue parcourir mon anus, ensuite quelque chose de frais, je sentis quelque chose de frais entrer dans mon cul...
Il me dit :
« Penche-toi !
- Non je ne veux pas !
- Ne t’inquiète pas, j’ai mis de la vaseline et je porte une capote… tu vas aimer, négro… »
Et j’ai obéis, sans moufter. Je ne me reconnaissais plus !
« Penche toi plus, à quatre pattes... sinon tu vas avoir mal ! »
Et là, j’ai senti son énorme queue essayer de se frayer un chemin dans mon nus bien fermé..
« Arrête j’ai mal !
- Mais non tu verras…
- Attend arrête, arrêêête !! »
Je l’ai senti rentrer tout doucement, un frison m’a parcouru tout le corps, plus il bougeait et plus la sensation était grande, j’avais
l’impression de jouir et d’éjaculer sans érection, c’était bon finalement. J’avais la tête entre mes épaules, je n’ai pas fait attention que quelqu’un arrivait.
J’ai senti soudain sur ma nuque un liquide chaud et je reconnu l’odeur, c’était de la pisse, j’étais écœuré, mais quand je levais la
tête, c’était elle, ma mère. Je compris plus tard pourquoi la queue de mon initiateur avait ce goût, n’ayant trouvé personne, il avait jeté son dévolu sur le cul accueillant de ma mère, lui
disant que j’étais un petit voyeur sans se douter un instant que j’étais le fils de cette grosse salope.
De cette petite chatte très bien rasé, s’était arrêtée de couler l’urine, elle laisse tomber sa fine robe comme une serpillère et
s’allonge devant moi et me présente sa chatte, mes coups de langue suivent le rythme de celui qui s’acharne sur mon cul, sa chatte puait, l’urine mais ça ne me dérangeait pas, c’était trop bon.
Elle ne semblait pas m’avoir reconnue…
J’ai senti ensuite que mon cul se vidait. Mon bienfaiteur venait de quitter mon anus pour venir juter sur mon visage. J’étais tellement excité que je mis son gland dans ma bouche, et j’ai senti tout son foutre chaud remplir ma gorge.
Ma mère s’est relevée pour m’embrasser, et là, elle vit qui j’étais. Elle eut un moment d’arrêt, la surprise se peignit sur son visage. Pourtant, elle m’embrassa, puis elle s’allongea sur le sol. Sans hésiter, nous lui avons pissé dessus.
Je suis parti sans me retourner. Elle est rentrée une heure après mois, souillée de pisse et de sperme. Elle ne le parla pas de la
soirée.
Cette histoire a déjà quelques années mais je n’ai jamais osé la raconter à personne, surtout qu’après tout ça j’ai eu un
demi-frère…
Eh oui ma mère s’était laissé embobiner par ce beau parleur, celui qui me faisait le sucer dans le parc (quelle tête il avait fait quand il a su que j’étais le fils de cette salope), mais bon, le petit est là, et tout le monde l’aime. Bien sur, jamais je ne pourrais lui dire que son père m’a enculé.
Parfois encore aujourd’hui dans le dos de ma mère, je vais le voir, mais cette fois seulement pour le sucer, (et oui il l’a quittée comme les autres, et aujourd’hui, je comprends mieux pourquoi je n’ai jamais connu mon père)
Il m’arrive parfois de payer de jolies transsexuelles rien que pour pouvoir les sucer car elles sont vraiment très belles à Metz. Mais
bon. Mon seul souci reste que ma mère n’avait rien voulu faire avec moi pendant ses mois de grossesse et ça reste aujourd’hui encore un de mes fantasmes !
Merci encore de m’avoir aidé en me laissant poser mon histoire sur papier, c’est vrai que ça m’a fait du bien.
Marvin.
C'est sovuent le cas avec ce genre de situation taboue...
Tu as raison, l'uro reste marginale. mais je l'ai vue parfois, dans des endroits vraiment très très glauques...
Le plus souvent, il s'agit d'hommes voulant finir de prouver une dominaiton absolue sur la femme, et voulant à tout prix l'humilier...
Sans doute des comptes à regler avec eux-mêmes, avant tout...
Bien dommage....la photo ne fonctionne pas avec le récit par ailleurs fort interessant....
En effet, il n'est pa simple de trouver la "bonne" photo... ca peut prendre des heures... temps que je n'ai pas pour ces recherches, helas...
Vraiment ? ce n'est pas simple de l'avouer.. et est-ce resté à l'etat de fantasme ?
l'histoire tourne un peu au glauque, mais je me voyais à sa place en train de sucer cet homme avant de le sentir me pénétrer.
Eh oui.. et le glauque excite souvent plus que le plus "soft".. c'est la nature humaine...
En effet, et certains ont été choqué...