Sophie, marquise de
R.
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Bises libertines,
Sophie
Quand le stress du boulot est trop intense, j’ai pris l’habitude d’aller me faire masser dans un établissement situé dans le quartier de l’Opéra une semaine sur deux. L’avantage de cette localisation et le confort des installations modernes me l’ont fait choisir plus qu’un autre plus proche de mon job ou de mon domicile.
Dès l’entrée, on est accueilli dans un hall meublé de profonds fauteuils disséminés au milieu de grandes plantes vertes, et de bambous en pots. L’hôtesse est assise derrière un comptoir d’où elle peut surveiller sur des mini écrans de télévision ce qui se passe dans les salons de massage, afin de savoir qui va être disponible pour les clients suivants qui n’ont pas de masseuse ou de masseur attitrés.
Au début, c’était mon cas puis avec l’habitude, c’est Sylvie que je demandais en prenant mon rendez vous. Pratiquement à chaque fois, elle était disponible à l’horaire demandé. Si elle ne l’était pas, je décalais mon heure de façon à ce que ce soit elle qui me masse.
La dernière fois, il y a eu un imprévu qui a empêché Sylvie d’honorer le planning et j’ai du choisir Fleur, une autre masseuse qui se trouvait disponible. Je ne l’avais jamais vue auparavant et j’ai été surpris de découvrir une asiatique, en fait une japonaise. Elle n’avait pas la silhouette habituelle de ses compatriotes, grande et mince, les cheveux courts teintés de reflets roux, elle portait sa blouse de travail très ajustée sur son corps. On distinguait une paire de seins menus retenus par son soutien gorge. La ceinture très serrée à la taille en faisait ressortir sa minceur et les hanches qui s’élargissaient au dessous.
En nous dirigeant vers le salon, Fleur m’expliqua en anglais que son prénom en japonais signifiait «Fleur de lotus» et qu’elle n’était là que depuis quelques semaines. Elle venait des Etats-unis pour apprendre le français tout en travaillant. Elle m’offrit de me faire découvrir les massages japonais traditionnels, du moins, ce que permettaient les installations françaises. J’en avais entendu parler mais je ne savais pas exactement ce que cela recouvrait.
Une fois déshabillé dans le salon, elle-même fit glisser mon boxer et le remplaça par une serviette en tissu de coton nouée comme un pagne autour de ma taille. Nous nous sommes dirigés vers le fond de l’établissement et entrés dans un ensemble de petites pièces au sol en marbre gris, les murs totalement recouverts de carrelages avec de nombreux miroirs. Dans l’une il y avait la table de massages classique, dans une autre il y avait un grand bassin rond d’eau bleue et diverses installations de jets et accessoires.
Avec un jet qu’elle maniait, elle me donna d’abord à une douche puissante, où le chaud et le froid alternaient. Fleur enduisit ensuite mon corps de mousse odorante et elle le laissa s’imprégner de longues minutes avant de me rincer. Je ne sais pas quels produits se trouvaient dans ce gel car le flacon ne portait aucune étiquette mais je sentais mes muscles décontractés et j’avais l’impression d’être un peu euphorique.
Mettant en route les remous dans le bassin elle m’invita à y entrer pour achever de me décontracter dit-elle. Des buses disposées à diverses hauteurs permettaient des massages à différents endroits. Personnellement je choisis de me laisser masser entre les épaules car c’est là que je ressens la fatigue. J’étais bien dans ces remous qui me berçaient en même temps qu’une musique orientale était diffusée par des hauts parleurs.
J’avais fermé les yeux pour savourer ces instants quand soudain, j’ai senti deux mains commencer à masser le haut de mes épaules et le bas de la nuque. Ouvrant les yeux, j’eu la surprise de voir dans un des miroirs Fleur qui était désormais sans sa blouse. Elle ne portait plus qu’un soutien gorge et un string assorti en tissu fleuri !
C’était effectivement un joli brin de femme et je ne pus m’empêcher de la désirer. Immédiatement ma bite se redressa sous le pagne mouillé. Fleur ne s’était pas rendu compte de l’état dans lequel sa vision m’avait mis car elle m’invita à sortir du jacuzzi et à m’installer sur la table de massage. C’est en me couvrant d’une grande serviette pour me sécher qu’elle vit ma bite dressée.
Avec un petit sourire elle défit mon pagne et elle goba ma queue et, malgré sa taille respectable et l’étroitesse de sa bouche, l’introduisit dans sa bouche d’un seul trait. Elle n’acheva pas sa fellation. En disant «ça suffit!», elle me fit descendre pour m’installer sur un grand matelas gonflable. Elle y déversa en grande quantité une sorte de gel parfumé translucide et elle enduisit mon corps d’huile parfumée.
Otant prestement son maillot de bains, elle vint se coucher sur moi pour me masser de tout son corps. Je lui posai la question des caméras reliées à l’accueil. Elle répondit de ne pas m’inquiéter, celles de cette partie de l’établissement étaient en panne depuis quelques jours.
Elle avait effectivement des seins menus avec des bourgeons très saillants de la taille d’une olive. C’était très érotique. Je n’en n’avais jamais vu d’aussi gros. Son pubis était orné d’une belle toison noire et drue taillée en triangle dont la pointe basse se terminait sur le capuchon du clitoris. Fleur me massait de tout son corps ce qui n’arrangeait pas mon érection et l’envie que j’avais de la prendre.
Elle avait placé ma queue entre ses cuisses à hauteur de sa chatte. Je me trouvais comme dans une gaine chaude et humide. Elle me dit à l’oreille :
« C’est interdit ce que je fais. Normalement je dois conserver mon maillot de bains mais là, quand j’ai vu ta belle bite, j’en ai eu envie immédiatement. En plus je n’ai pas baisé depuis que je suis arrivée en France ! »
Ce n’était pas prévu non plus à mon programme, d’autant que ma copine devait revenir de voyage le lendemain.
En se redressant Fleur est venue se placer en me tournant le dos de manière à ce que ma queue frotte le long de son vagin sans y pénétrer. En se tenant à mes jambes au dessus des genoux elle maintenait son équilibre. J’avais devant moi le spectacle de son bassin qui montait et descendait le long de mon bâton d’amour, sa taille étroite et son dos à la peau légèrement ambrée.
Quand ses fesses arrivaient sur mon bas ventre, je voyais sa raie s’ouvrir et m’offrir la vision de son anus plissé. C’était trop tentant et je ne résistai pas à tenter d’y glisser un doigt. Dans un souffle en anglais elle me dit :
« Non pas là ! «
Je n’insistai pas et je me concentrai sur les sensations. D’une main, elle a pris ma bite pour la masturber jusqu’à ce que je crache trois jets de sperme puissants alors qu’elle jouissait aussi. Elle acheva son massage corps à corps en me mettant à plat ventre pour venir masser le haut de mon dos avec sa poitrine.
Après une dernière douche, elle me sécha entièrement pour me permettre de me rhabiller. Je la remerciai de son bon massage et je pris congé. Je suis passé à l’accueil pour prendre mon prochain rendez-vous avec Sylvie.
Quant à Fleur, je l’ai redemandé deux fois mais là, ce ne furent que des massages traditionnels… Plus question de massages orientaux, les caméras avaient été réparées et en plus quelques semaines plus tôt, un autre établissement du quartier avait été fermé pour cause de prostitution…
Sympa, mais trop court !
Certains que ce soit court, d'autres, comme toi, que ce soit plus long....
Surprise fort agréable, Sophie en " homme ". Ton récit des plus excitant, on croirait qu'il est rédigé par des mains masculines. Tu a su fort bien décrire et exprimé ce qu'un homme aurait éprouvé. Ta pratique de ce type de jeu y est certainement pour beaucoup ;)
Comme l'a dit le Matou, je n'ai pas ecrit ce recit.. mais il m'est arrivé de le faire, me mettant dans la peau d'un homme...
@ àTrekker ! NON ce n'est pas Sophie qui a rédigé... elle a simplment publié un texte que je lui ai fait parvenir ! Ceci explique cela... Heureux que cette histoire t'ai plu... En province il est difficile de trouver de tels salons bien aménagés, avec du personnel compétent, etc...
Merci de cette précision... le nom de l'auteur est toujours indiqué tout en bas, sous le texte....
@ Le Matou Libertin
Moi qui croyais découvrir chez Sophie une "transexuallité" cerébrale !... Pour autant cela n'enlève rien à mon appréciation sur ton récit, et d'accord avec toi : en province ce type de salon de qualité est hélas rare.
Désolée de te decevoir... ;-)
La longueur me convient...le récit aussi.
J'en suis ravie ! ;-)