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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

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J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

 

Je vous ai déjà parlé de Line et Jean-Claude, ce couple de libertins bisexuels avec qui nous formons un trio et avec qui j'ai l'immense bonheur de faire l'amour sans capote lorsque nous sommes seuls tous les trois. Samedi soir dernier, on approchait des vingt heures quand je reçois un coup de téléphone. C'était Jean-Claude.

 

Il venait de faire une longue randonnée dans le Quercy avec des amis. Il était à une trentaine de kilomètres de chez moi et me demandait l'hospitalité. Bien entendu j'acceptais avec le plus grand plaisir. Je suis alors sorti acheter de quoi faire un repas sympa. Une fois de retour, j'ai chauffé la maison un peu plus qu'à l'habitude, car, tout comme moi, Jean-Claude adore vivre nu chez lui, et « Mossieur » est frileux, donc...

 

Il est vingt heures trente lorsqu'il sonne à ma porte. Je le fais entrer. Il demande à prendre une douche, sa rando l'a épuisé et il est en nage. Je le conduis à la salle d'eau et en bon camarade je l'aide à se laver. Ce sont des choses qui se font entre gens de bonne compagnie. Ne croyez-vous pas ?

 

Bien sûr je me charge du dessous de sa ceinture. A l'aide d'un gant savonneux je lave ses fesses et son petit trou. Bon je confesse que je m'attarde beaucoup sur son anus, je n'y suis pour rien, c'est ma main qui y va toute seule, elle a dû reconnaître un trou qu'elle a souvent visité. Je constate avec plaisir qu'il se dilate toujours aussi facilement dés lors qu'on s'occupe de lui.

 

Je prends sa queue en bouche. Elle commence à grossir, je fais en sorte qu'elle bande encore plus. J'adore sa queue. Elle est parfaitement droite et toute chaude. Je parcours sa grosse tige, doucement comme il aime. Je m'attarde sur son gland que j'enveloppe de ma langue puis que je mordille délicatement. Je l'entends gémir. L'eau de la douche continue de couler et me mouille, heureusement que je suis à poil. Cette petite séance dure un bon moment et Jean-Claude finit par jouir. Il explose dans ma bouche. J'avale tout sans en perdre une goutte. Mmm !!! quel délice !! Je me régale.

 

Nous nous séchons et allons nous installer pour prendre un apéro et discuter un peu. Il m'explique qu'il est venu seul car Line son épouse est partie s'occuper de sa mère malade. Personnellement je le regrette car j'adore quand elle entre sa main dans mes fesses, elle le fait avec délicatesse et me fait jouir à chaque fois. Pour compenser je pourrais peut-être jouer avec la queue de Jean-Claude cette nuit. Je dis peut-être car il a l'air épuisé par sa eando. Il a besoin de récupérer. Nous dinons et allons nous coucher.

 

Quel plaisir de sentir un corps nu contre le sien. C'est excitant au possible. Nous nous endormons assez vite chacun de nous tenant la bite de l'autre un peu comme les mômes tiennent quelque chose en main pour s'endormir en paix.

 

Et puis au petit matin, il devait être 5 h environ, une sensation étrange, une impression d'être envahi par une vague de plaisir. C'est bon, on a envie que ça ne s'arrête pas. Je ne me demande même pas ce que c'est, je sais que c'est bon ça me suffit. Mais est-ce que je fais un rêve érotique à cause de la présence de Jean-Claude dans mon lit ? Ben non et là je comprends le pourquoi de cette sensation de plaisir.

 

Je suis couché sur le côté. Jean-Claude aussi. Il est derrière moi, contre moi, tout contre et il m'encule doucement. Je gémis et tourne la tête vers lui, encore à moitié endormi. Tout en continuant ses mouvements de va et vient, il m'explique qu'une envie de baiser l'a réveillé, et qu'il s'est mis à me caresser l'anus, puis à le lécher. Moi, j'ai le sommeil très lourd, il en faut beaucoup pour me réveiller. Il m'explique que je remuais mon bassin légèrement quand il me léchait, en grognant légèrement.

 

Puis, sachant que j'avais mon sphincter anal assez souple, il savait qu'il pouvait me pénétrer sans douleur et sans que je sois réveillé d'une manière brusque. J'étais encore un peu pris par mon sommeil, mais tout ce dont j'avais conscience c'est que j'avais un beau sexe d'homme bien droit et bien dur dans mon ventre et que ça me donnait un plaisir incomparable.

 

Jean-Claude m'enculait comme il aime le faire parfois, doucement, lentement pour que le plaisir dure et augmente progressivement. Il est d'ordinaire très endurant et quand il fait ça aussi lentement le jeu peut durer un bon moment. Et moi ça me convient parfaitement je ne connais rien qui soit aussi délicieusement bon que de sentir la bite de Jean-Claude, douce et chaude me parcourir l'intérieur.

Plaisir décuplé par la chance que nous avons de pouvoir baiser sans capote quand on est entre nous. Je donne de légers mouvements à mon bassin pour accompagner ceux de mon ami pour qu'il entre encore plus profond en moi. Au bout de quelques minutes j'ai une sorte d'orgasme sans que j'éjacule, une sorte de frisson qui envahit tout mon corps.

 

Puis Jean-Claude sort complètement son membre et me le donne à sucer. Je le prends complètement dans ma bouche, il est vraiment tout chaud, et doux A son odeur s'ajoute l'humidité de mon intérieur, j'adore. Il arrête vite ma pipe pour m'enculer à nouveau mais cette fois-ci sans précaution, il entre d'un coup et fait claquer son ventre sur mes fesses.

 

Et là il commence une autre manière de baiser, il alterne ses mouvements au gré de son inspiration, mouvements doux, puis brusques, puis ressort entièrement pour entrer à nouveau et rapidement. Par moments il joint ses deux pouces à sa queue. Ça augmente la sensation d'épaisseur c'est hyper bon, ce truc. Plus ça va, plus j'ai envie qu'il jouisse en moi, mais ce salop prend tout son temps, il aime faire durer le plaisir. Moi j'en peux plus c'est presque intolérable comme plaisir, par moments. Je gémis, ce que je fais rarement.

 

Et puis enfin il se laisse aller, il augmente la cadence de ses va et vient et en rugissant il explose en moi. Quel super pied !!! Et quelle jouissance de sentir son sperme envahir mon ventre. Saleté de SIDA qui empêche ce plaisir là. Jean-Claude se vide complètement, il s'accroche à moi pour que sa queue reste bien en moi. J'adore ce moment là, on a envie de rester l'un dans l'autre pour longtemps.

 

Hélas, il débande, lentement mais il débande et sa queue sort de moi malgré nous. Je m'empresse de me retourner et de la prendre dans ma bouche pour la nettoyer. je fais ça soigneusement, ce que je sens sur ma langue me plait trop. Je sens que petit à petit il commence à rebander. Je continue de le sucer mais Jean-Claude m'arrête me retourne à nouveau pour recueillir son sperme qui s écoule de moi, lui et moi adorons ce petit jeu.

 

Enfin nous nous levons et après une bonne douche nous prenons un copieux petit déj'. Le temps a passé vite il est déjà 9 heures, il doit partir dans une heure et je n'ai pas encore fait jouir son cul ni ma queue. Nous retournons vite sur mon lit et nous nous jetons l'un sur l'autre comme des morts de faim, et nous entamons un 69 goulu, puis je le retourne pour passer ma langue entre ses fesses. Elles sont vierges de tout poil.

 

Son trou est bien dessiné. Comme le mien il est assez souple, aussi je fais pénétrer trois doigts facilement et le sodomise un moment ainsi. Je le sens qui remue, il adore ça. J'ai la bite toute raide et dure. Je me place bien derrière lui et le pénètre doucement. J'entre je ressors et j'entre à nouveau en poussant chaque fois plus loin. Enfin mon ventre et contre son cul. On reste immobile un instant puis je le martèle à grand coup de rein avec moins de délicatesse que lui quand il m'a enculé.

 

Jean-Claude adore quand on le brutalise un peu. Mais à ce rythme là, excité comme je le suis depuis ce matin je ne tiens pas longtemps et juste avant d'exploser je sors ma queue et je jouis dans sa bouche. Il prend garde de n'en perdre aucune goutte puis entreprend de me la nettoyer avec sa langue, mon gland est sensible et la douleur se mêle au plaisir, j'adore ça. A mon tour je lui lèche l'anus pour le nettoyer. Nous avons toujours aimé nous faire cette sorte de toilette. Enfin, il prend sa douche, s'habille et s'en va chercher sa femme et rentrer chez lui.

 

C'est dans des moments de plaisirs comme celui-ci que je bénis Éros et Venus mes bons maîtres de m'avoir fait naître bisexuel.

 

 

Par Bruno Bi - Publié dans : Bruno, le libertin - Communauté : Communauté gay
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