Sophie, marquise de
R.
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Bises libertines,
Sophie
Mais au lieu de ça, je me laissais faire. Et j’étais heureuse de me laisser faire. Même son doigt, qui se faisait de plus en plus insistant sur l’anneau de mon anus me procurait une merveilleuse
sensation d’excitation. La promesse de quelque chose d’inconnu et de nouveau pour moi. La promesse d’une sodomisation que je n’avais encore jamais pratiquée, mais qu’au fond de moi j’avais
toujours voulu essayer. Et surtout la promesse d’une sodomisation à la hussarde; brutale et douloureuse. Je me découvrais soudainement une vraie tendance au masochisme. Je voulais connaître – et
aimer – la douleur d’une pénétration anale brutale. Mais là encore, ce n’était que le fruit de mon imagination, ou de mes désirs les plus profonds. Dans la réalité de la scène qui se déroulait en
ce moment là, c’était Mouloud – et lui seul – qui était le maître du jeu. Qui faisait ce qu’il voulait et qui me l’imposait, sans même dire un mot.
Arrivé devant la porte du salon, Mouloud me prit par la taille et me souleva aussi facilement qu’un fétu de paille. Il me porta vers le grand divan et m’y déposa délicatement. Moi j’attendais à ce qu’il me jette sur le divan, me débarrasse brutalement de mon kimono, relève le bas de ma nuisette et écarte ma culotte pour découvrir mes fesses et mon anus. Je m’attendais à ce qu’il sorte son engin et, sans précaution aucune, m’encule à me faire hurler de douleur.
Au lieu de cela, il n’utilisa que de la douceur. Il m’allongea sur le dos, écarta les pans de mon kimono, resta un moment à regarder – à admirer – le panorama qu’il avait sous les yeux et se mit à me caresser les genoux, puis l’intérieur des cuisses, puis mon entrecuisse – par dessus le tissu de ma culotte.
Ses mains étaient électrisées. Chacune des ses caresses produisait en moi des petites décharges électriques; de toutes petites décharges, qui tétanisaient mes muscles et me faisaient légèrement
mal. Un mal qui accroissait l’intensité de mon désir. Le désir qu’il m’arrache la culotte et s’occupe exclusivement de ma chatte, qui dégoulinait de mouille. Je ne voulais plus qu’il m’encule
!
Je voulais qu’il me tire par la chatte. Là ! Tout de suite ! Brutalement ! Mais Mouloud poursuivait le fil du scénario qu’il avait tracé. Sa main allait et venait autour de ma chatte, sans insister et sans s’y arrêter plus d’une seconde. Le bougre savait dans quel état j’étais. Car même si je ne disais rien, si je m’efforçais à résister à l’envie que j’avais de gémir, ou de prendre sa main pour la forcer à s’occuper plus franchement de ma chatte, il était évident que je voulais qu’il continue et qu’il aille plus loin.
J’avais envie de hurler. De lui hurler en arabe, ou même en kabyle, d’être un homme et de me baiser. De me tirer ! De me piner ! De pilonner ma chatte ! Je regardais Mouloud qui continuait de me
caresser doucement, en plongeant ses yeux dans les miens, avec un rictus de carnassier sur les lèvres.
« Ne te retiens pas ! Laisse-toi aller ! Dis-moi ce que tu veux que je te fasse et je te promets de le faire !
- Nik-ni ! Eqou-yi ! Bghit ett-nik ni ! Dhork ! Thoura ! » (Nique-moi ! Je veux que tu me niques ! Tout de suite !)
C’était la première fois de ma vie de femme que je lâchais de telles paroles crues (en arabe et en kabyle). Jamais avec Rachid, je ne m’étais permise, l’envie ne m’en était même
jamais venue, de dire de telles choses. Avec Mouloud, elles venaient naturellement. Et je n’en avais même pas honte.
Au contraire, ces paroles crues ajoutaient à mon excitation et accroissaient le désir que j’avais d’être baisée par cet homme, qui pour le moment se contentait de pousser mon désir vers son
paroxysme. Il ne tint pas la promesse qu’il m’avait faite d’obéir à n’importe quel désir que j’aurais exprimé. Il suivait son propre scénario. Il écarta le bord de ma culotte pour mieux avoir
accès à ma chatte. Il la regarda un long moment; il avait accentué son sourire de prédateur et je vis ses narines trembloter de désir. Je sus qu’il aimait le spectacle qui se présentait devant
ses
yeux.
« Ach-hal thezzienn! Ach-hal thel ‘ha! (Comme elle est belle ! comme elle est bonne!) Fkiyits atsmechagh ! Atsetchagh ! Atssoudnagh ! » (Offre-la moi, je vais la lécher ! Je vais la
bouffer ! Je vais l’embrasser !)
Le bougre était lui aussi kabyle ! Comme moi, il utilisait sa langue maternelle pour accroitre son excitation et donner plus d’intensité à son désir. Sans attendre que je l’autorise à quoi que ce
soit, il plongea sa tête entre mes cuisses et se mit à embrasser, lécher et sucer ma chatte. C’était divin !
Bien plus excitant que les cunnilingus de Rachid ! Mouloud y allait franchement, faisait pénétrer sa langue profondément dans mon vagin, léchait les parois et ramassait tout le jus qu’il pouvait et qu’il avalait goulument.
Sa bouche se comportait comme une véritable ventouse; elle embrassait, suçait, léchait et aspirait tout le jus qui était à l’intérieur de mon vagin. Parfois même, il mordait doucement mes petites
lèvres et mon clitoris, me faisant pousser un tout petit ri de douleur.
Une douleur tellement agréable ! C’était délicieux ! Merveilleux ! J’aimais vraiment le mouvement d’aller-retour de ses lèvres et de sa langue entre mes grandes et petites lèvres et dans mon
vagin. Je voulais que sa langue fût plus grande et plus rigide pour qu’elle se comportât comme un vrai zob. Je voulais que toute sa tête pénétrât à l’intérieur de mon vagin. J’attrapais sa nuque
avec mes deux mains pour forcer Mouloud à entreprendre un mouvement montant et descendant entre mes cuisses, allant du mont de vénus, jusqu’à l’anus et vice-versa. Il s’appliqua à faire ce que je
lui imposais, m’arrachant des petits cris de plaisir.
J’adorais ce qu’il me faisait et je le lui faisais savoir en soulevant très haut mon bassin pour mieux coller ma chatte sur sa bouche et pour que sa langue qui farfouillait à l’intérieur de mon
vagin, allât le plus loin possible. J’avais refermé mes cuisses sur sa tête et bougeais maintenant mes hanches au rythme des allées et venues de ses lèvres et de sa langue à l’intérieur de mes
grandes et petites lèvres. Il léchait, suçait et buvait le jus que je produisais en quantité. Je n’arrivais plus à retenir les mots et phrases crues qui sortaient de ma bouche (en kabyle et en
arabe)
« Etch thahetchountiw ! Koul-li saouti ! Mech-hits ! Echrab ! Essaw ! Ach-hal m’lih!” (Bouffe ma chatte ! Lèche-la ! Bois ! Comme c’est bon !) Ra‘hi djaya !
Ad-tsass ! Thoussad ! Thoussaaaaaad ! (Je vais jouir! Je jouis ! Je jouiiiiis !)
Je relevais un plus mes hanches, écartai mes cuisses, attrapai sa tête à deux mains et appuyai sur elle pour l’obliger à bouger de plus en plus vite sur ma chatte. Puis je poussai un long râle de
jouissance, puissant et sonore, en déchargeant des litres de jus dans sa bouche.
« Echrab ! Essaw ! Essaw dhi thalaw ! » (Bois ! Bois ! Bois dans ma source !)
Et je m’affalai, fourbue et heureuse sur le canapé, appuyant toujours sur la nuque de mon homme pour que sa tête ne sorte pas d’entre mes cuisses. Je ne lâchai prise qu’une fois avoir repris
presque totalement mon souffle. Mouloud leva la tête pour me regarder. Il avait toujours son sourire de prédateur. Il semblait content de lui.
« Tu apprends vite ! C’est excellent ! Continue comme cela et tu verras, nous allons passer une nuit inoubliable. Une nuit qui sera pour toi le début d’une nouvelle vie amoureuse. Tu ne
voudras plus jamais revenir en arrière. Et tu en remercieras toute ta vie Rachid qui a permis cela. »
Pour dire vrai, je n’étais pas très sensible à ce qu’il racontait; ce n’était pour moi que de la philosophie à la petite semaine; et en ce moment là j’étais à mille lieues de m’intéresser à la philosophie; même si celle-ci me concernait au plus haut point. Ce que je voulais pour l’instant, c’est que cette nuit qui avait si bien commencé ne s’arrête pas en si bon chemin. Je voulais continuer de jouir comme une bête, comme une chienne.
J’avais pris goût à la jouissance sexuelle : depuis la nuit d’hier, je jouissais avec une intensité de plus en plus grande. Et je voulais
maintenant connaître le paroxysme de la jouissance; celle que me procurera la queue de mon homme. Je ne l’avais pas encore vue, mais j’étais sure qu’elle était énorme.
D’abord, il m’avait dit, la nuit dernière, qu’il avait une superbe queue. Et puis je voyais l’immense bosse qu’elle faisait sur le devant de son pantalon. Je voulais la voir !
« Bright enn-chouf zebek! Emliyi-thid! Werri‘hou li! Kherdjouh! Soufghi-thid ! » (Je veux voir to zob! Montre-le-moi! Sors-le !)
J’essayai maladroitement d’ouvrir sa braguette, sans y parvenir. J’avais les doigts qui tremblaient trop. Il s’occupa lui-même de dégrafer la ceinture, puis le bouton qui tenait le pantalon et
d’ouvrir la braguette. Tout cela en moins de temps qu’il me fallu pour le lui demander. Il rabaissa son pantalon sur ses genoux et resta en slip. Il bandait comme un âne. Je voyais le gland de
son sexe, large et brillant, qui apparaissait en dessous de l’élastique du slip. Je ne résistai pas à l’envie de tendre la main pour le sortir complètement de sa prison. De ma vie, je n’avais
encore jamais vu une bite aussi belle! Aussi longue! Aussi grosse! Je n’avais vu, en vrai, que celle de mon mari, et elle était beaucoup plus petite que celle que j’avais sous les yeux. Mais même
dans les photos et vidéos que j’avais pu voir ça et là, j’avais rarement rencontré une queue aussi grande et aussi puissante. Et aussi bien entretenue !
« Wagui dha bouch ! Hadha zeb ! » (Ça c’est un zob !), ne pus-je me retenir de dire.
Elle était vraiment magnifique ! Je me fis la réflexion qu’avec un tel engin, il allait me déchirer la vulve. Et si jamais, il me sodomisait, je ne pourrais plus m’assoir avant au moins un mois.
Mais au lieu que cela me fît peur et ne tempérât mon excitation, ce fut le contraire qui se passât : j’avais encore plus envie de me faire tirer. Je le pris dans ma main droite pour le tâter et
le caresser; il était chaud et dur; et tellement doux au toucher ! J’eus tout de suite envie de l’embrasser.
« Vghigh ath-soudhnagah ! Bghit en-boussou ! Vghigh ath-mech-hagh ! Bghit en-lahsou ! » (J’ai envie de l’embrasser ! J’ai envie de le lécher !)
Il ne me répondit pas. Mais je vis à son sourire satisfait, qu’il n’attendait que ça. Je tombais à genoux devant mon homme et me mis à embrasser l’énorme engin. Et à le titiller avec la langue.
Je me comportais comme une femme qui avait fait cela toute sa vie. Pourtant, mis à part les quelques pauvres fellations que j’avais faites à mon mari, je ne m’étais encore jamais comporté de la
sorte.
Cela me paraissait tellement naturel de faire ce que j’étais entrain de faire ! Tellement normal ! Je promenais mes lèvres sur toute la longueur de la queue et m’arrêtais un moment sur ses
couilles, qui étaient aussi dures qu’une pierre. Il devait se raser, parce qu’il n’y avait aucune trace de poils, ni sur son pubis, si sur son sexe, ni sur ses couilles.
« Ett-dhith ! » (Tète-le !) fit-il d’une voix qui ne souffrait pas que je lui résiste.
Et pourquoi résister, quant tout mon corps me criait d’obéir ? Je savais que j’allais passer un mauvais quart d’heure avec un tel engin dans ma bouche, mais j’étais prête à tout. J’ouvris la bouche et fis pénétrer l’énorme queue dans ma bouche. Je pensais lui administrer une superbe fellation. Je me disais que j’arriverai à satisfaire mon amant avec ma bouche, ma langue et mes lèvres. Mais lui, ne l’entendait pas de cette oreille : il ne voulait pas se contenter d’une simple fellation ! Il voulait me baiser par la bouche !
Il me le fit comprendre en m’attrapant par la tête et en faisant pénétrer son gros engin jusque dans ma gorge. J’avais un grande bouche; je n’eus donc pas trop de mal à laisser pénétrer le
monstre à l’intérieur. Mais lui, il voulait aller plus loin : bien au-delà de ma gorge. Dès que le gland atteignit ma gorge, je me sentis étouffer. L’engin était trop gros et ne me laissait aucun
espace pour respirer. Mouloud n’en avait cure. Il poussait avec
son bassin pour forcer le passage. Il me tenait fermement par les cheveux, pour que je n’aie aucune possibilité de fuir. Et il poussait très fort.
J’essayais de le repousser un peu pour pouvoir respirer. Et puis l’idée me vint de prendre la hampe du monstre à sa base pour l’empêcher d’aller trop loin. Je réussis plus ou moins à trouver un
équilibre entre nous : lui qui voulait aller le plus loin possible – avec force et brutalité – et moi qui voulait garder un espace pour pouvoir respirer et aussi pour ne pas vomir. Mais même
comme cela, son sexe était encore trop long et dépassait la glotte et me donnait à chaque fois envie de vomir. J’entendais mon homme qui ahanait et marmonnait des bouts de phrases en kabyle. Des
phrases dont je ne saisissais que des bribes. Il était question de douceur de ma bouche, de ma langue électrifiée, de chaleur et d’humidité de ma cavité buccale; et de la jouissance qu’il allait
avoir dans ma bouche. Et pendant qu’il marmonnait, il continuait de me démolir la gorge.
Il faisait sortir complètement l’engin de ma bouche et, après une seconde de répit qu’il me laissait pour respirer, il le faisait repartir aussitôt à l’assaut. J’avais la paroi de la gorge qui me
faisait atrocement mal. Mes yeux étaient plein de larmes et coulaient comme des fontaines. Mon nez, lui aussi, coulait à flots. Et chaque fois que le monstre sortait de ma bouche, je lâchais sur
lui un flot de salive – et parfois de vomis, que les va-et-vient forcenés qu’il m’appliquait, me faisaient produire en quantité industrielle.
J’entendais, comme s’il était à des kilomètres de moi, Mouloud gémir de plaisir. Il ne lâchait pas ma tête; au contraire il tirait sur mes cheveux, comme s’il voulait me faire mal. Soudain, il se
mit à accélérer le rythme des va-et-vient dans ma bouche et à pousser des petits cris de plaisirs. Puis il déchargea un flot de foutre brûlant, qui arriva avec force au fond de ma gorge.
« Essew ezzel bourguez ! Esswith awk ! Essouw ezzel yahmane ! Ezzel yerghane ! » (Bois le sperme d’un homme ! Bois-le en entier ! Bois du sperme bien chaud ! Du sperme brûlant
!)
Je n’avais encore jamais reçu du sperme dans ma bouche. Ni même sur le visage ! C’était la première fois que j’en recevais au fond de ma gorge, et que j’étais obligé de l’avaler.
J’avoue que je n’avais aimé ni le goût, ni l’odeur, ni la viscosité du produit, mais je m’efforçais de faire ce que me commandait mon homme. Avaler son sperme ! Et le fait qu’il me l’ordonne dans
notre langue maternelle, ajoutait à l’obligation de le faire.
J’essayais donc, sans complètement y réussir, de boire la première giclée. J’avais failli étouffer, je dus donc en recracher une grande partie sur mon menton et mon cou. Voyant cela, Mouloud décida de lâcher le reste de son foutre sur mon visage, en se masturbant. J’avais du sperme partout : sur les yeux, le nez, les joues, les cheveux, le cou, les seins. J’étais heureuse ! Car même si je n’avais pas pris beaucoup de plaisir dans l’opération, j’étais heureuse d’avoir fait jouir mon homme. Je voyais à son visage éclatant de lumière, qu’il avait été heureux.
Il avait le sourire béat de l’homme qui venait d’avoir un orgasme intense. Quand il arrêta de se masturber et qu’il essuya son sexe sur mes lèvres et mes joues, il vint se mettre à genoux devant
moi pour me dire :
« Tu es merveilleuse ! Et vaillante ! Et c’est la première fois que tu fais cela ! Je ne connais pas beaucoup de femmes qui auraient accepté un tel traitement. Tu es vraiment magnifique avec
tout ce sperme sur le visage et sur le cou ! Mais la prochaine fois, il faudra que tu t’efforces de tout boire. Tu verras que tu finiras par aimer son goût et que ce sera toi qui en
redemanderas.
- Tu ne m’as pas encore baisée ! Je veux que tu le fasses par devant et par derrière. Je veux tout essayer cette nuit. Je veux être ta chienne. Avant que je ne retrouve Rachid, je voudrais avoir
tout fait. Pour lui raconter. Tu te sens d’attaque ? »
C’était moi qui maintenant devenait exigeante. J’avais goûté à l’adultère et je voulais aller jusqu’au bout. J’étais fatiguée par tout ce qui venait de se passer, mais je ne voulais pas que la
nuit finisse sans que mon merveilleux amant ne me donne un avant goût de ce que sera ma nouvelle vie. Une vie de plaisirs érotiques sans limites. Une vie que Rachid, mon mari partagera avec moi –
en participant de temps en temps à mes ébats avec Mouloud, puis plus tard avec d’autres homme, mais le plus souvent, en restant à l’écart à me regarder jouir comme une folle.
Mais, pour l’instant, ma première nuit adultère n’est pas encore terminée.
A suivre....
Pas encore tout de suite, pour le plaisir de tout le monde !
C'est d'autant plus vraie quà partir de ce moment-là, plus rien ne retient les envies !
Moi non plus... :-(
Peut-etre que tu devrais mieux chercher... ;-)
Peut-etre en lui faisant lire "par hasard" cette histoire ? en tout cas, j'epsère que tu trouveras la solution...
Ca va venir... ;-)
vivement la suite de cette histoire j'ai hate de savoir si elle sera satisfaite par son nouvel amant et si elle baisera avec son mari de la meme manière
Tu le sauras bientot, mais pas encore demain...
Depuis, elle est arrivée, mais bien peu de commentaires....
Il faut dire que le mari n'y est pas allé de main morte... ;-)