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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Bises libertines,
Sophie

Vaincu par la fatigue, il sortit son sabre, toujours en érection, de ma chatte et me déposa par terre. Il tomba à genoux, en m’entraînant avec lui. Il ne voulait pas me lâcher. Il s’allongea sur le carrela et me serra très fort contre lui. J’étais maintenant allongée sur lui. Il bandait toujours aussi fort. Son sabre était resté entre mes cuisses. Je le sentais qui continuait de palpiter. Je me fis la réflexion que le zob de cet homme devait être fait en acier; pas en chair !

Nous restâmes ainsi fortement enlacés quelques minutes, puis je sentis les mains de Mohand se mettre en mouvement et aller à la recherche de mes fesses et de mon cul.
Il me susurrait à l’oreille qu’il avait encore envie de moi et qu’il voulait maintenant me
sodomiser. En fait il n’utilisa pas cette terminologie; il me dit simplement qu’il avait envie de me baiser par derrière, « melour ! »

C’était, me semblait-il, une formule qui l’excitait plus que le mot plus juste de  « sodomiser ». Certains mots et formules crus, dits en arabe (ou en kabyle) avaient sur Mohand un très fort effet aphrodisiaque. Tout en continuant de parler de mon cul
(« aquerquourim » en kabyle), de mes fesses (« tramek » en arabe), de mon trou de balle (« gaârek » en arabe), il farfouillait le long de la raie de mes fesses à la recherche de mon anus. Je sentis un doigt qui s’arrêta longuement à l’entrée de mon anus et qui s’y insinua.
« Qahba, trig mehloul ! Mehloul bezzaf ! Mouloud li hel ‘houlek ‘hakda ? Hebiti ? » (Pute, le chemin est déjà ouvert ! Très ouvert ! C’est Mouloud qui a ouvert la voie comme cela ? Tu as aimé ?)
- Mouloud li tarteg-li gaâri ! Ou mazel yewdjaâ fiya ! Ma nen-djamch ne gouaâd ! Ou en-ta tezzid-li ! Bezeb ‘hadha teqtel-ni ! » (Mouloud qui m’a éclaté le cul ! Et il me fait encore très mal ! Je ne peux même plus m’assoir ! Et toi, tu veux ajouter à la douleur ! Avec un tel zob, tu vas me tuer !)

Mohand ne fit pas de commentaires sur la douleur qu’il allait m’imposer. J’étais sûre que cette perspective le faisait bander encore plus. Il se leva, me tendit la main pour me faire lever moi aussi et me porta jusque sur le canapé, qui se trouvait à quelques mètres de nous. Il me fit assoir, releva les pans de ma jupe qu’il roula en boule sur le bas de mon ventre (je me rendis subitement compte que, pendant tout le temps que nous avions passé ensemble, il n’avait jamais cherché à me déshabiller) et m’arracha violemment la culotte. Je ne me posais aucune question. J’attendais.

J’attendais impatiemment la suite. Je me demandais seulement comment il allait s’y prendre pour m’enculer dans cette position. Mouloud, pour me sodomiser m’avait mise à quatre pattes. Mohand, lui voulait le faire dans une autre position. Il empoigna mes chevilles et me fit lever les jambes et les replia de part et d’autre de ma poitrine.

Il avait ainsi une vue totale sur ma chatte, encore toute dégoulinante et sur mon anus que je sentais palpiter. Il allait m’enculer dans cette position ! En jubilant, je me fis la réflexion que j’allais pouvoir admirer le magnifique sabre qui entrera et ressortira de mon cul. Jusque là je n’avais fait que le sentir en moi. Maintenant j’allais pouvoir le regarder prendre possession de moi. Ce sera certainement délicieux ! Et ce le fut !

Mohand plongea trois doigts dans ma chatte pour y recueillir une bonne dose de mouille, qu’il étala autour de mon anus palpitant. Il refit l’opération une deuxième fois en introduisant cette fois-ci deux doigt dans mon cul pour le lubrifier quelque peu, puis sans autre forme de procès, posa son gland, en forme de tête de champignon, au milieu de mon anneau et donna une forte poussée à ses hanches.
« Khoudi ya qahba ! Khoudhi sif en-taâ Mohand ! Dhork ikessarlek gaârek ! Akemi chareggh ! Ami chereggh akhouzidh-im ! » (Prends espèce de pute ! Prend le sabre de Mohand ! Il va te démolir le cul ! Il va te déchirer ! Il va te déchirer le cul !)

Il utilisait indifféremment l’arabe et le kabyle pour me montrer l’étendue de son désir. Dès qu’il pénétra dans mon anus, le sabre de Mohand avait réveillé la douleur de l’avant-veille. J’avais le cul en marmelade. Mais mon Dieu ce que le spectacle de ce magnifique vit qui entrait et sortait de mon trou était divin ! Il n’y avait rien de plus délicieux que le plaisir que me donnait cet immense zob qui prenait possession de moi, qui emplissait mon boyau, me faisait atrocement mal en frottant violemment sur la paroi rectale et me brûlait comme un tison incandescent.

Le spectacle de ce zob qui entrait et sortait de mon cul, ajoutait une très forte dose à l’intensité du plaisir qui m’envahissait. La douleur que je ressentais à chaque pénétration était neutralisée par la merveille du spectacle que j’avais sous les yeux.

Mohand faisait maintenant sortir totalement son engin de mon cul, attendait une fraction de seconde, pour que je profite du spectacle, et repartait à l’assaut de mon boyau avec encore plus de brutalité que la fois précédente. Et il accompagnait chaque poussée
par un commentaire presque insultant pour moi, mais tellement excitant !
« Khoudi ya qahba ! Khoudhi zeb sidek ! » (Prends, espèce de pute ! Prends le zob de ton
seigneur !)

J’étais au paradis ! Je pensais avoir connu, l’avant-veille avec Mouloud, le paroxysme du plaisir, et je ne pensais pas qu’il pouvait y avoir plus que cela. Pourtant, Mohand trouva le moyen d’ajouter une dose supplémentaire au plaisir. Il prit ma main et la guida vers ma chatte. Il lui imprégna un mouvement montant et descendant entre mes grandes lèvres.
« Heki saouwtek ! Benyetti ‘ha ! » (Caresse-toi la chatte ! Branle-la !)

Il voulait que je me masturbe en même temps qu’il m’enculait. Cette idée me parut tout de suite merveilleuse. J’introduisis trois doigts dans mon vagin et me mis à me branler énergiquement. Une double pénétration ! La sensation que me procuraient le sabre de Mohand allant et venant furieusement dans mon cul, en y allumant un véritable incendie et mes doigts qui faisaient le même mouvement dans mon vagin, étaient indescriptibles. Le paradis sur terre ! Et le frottement de mes doigts sur l’engin de Mohand, à chaque fois qu’ils se croisaient à travers les parois rectale et vaginale, créait en moi,en nous,une forte décharge qui nous faisait tirer à tous les deux un immense rugissement de plaisir.

J’aurais donné le reste de ma vie pour que cela dure longtemps, très longtemps. Mais aucun de nous deux ne put arrêter l’orgasme qui fonçait sur nous, tel un ouragan. Ce fut moi qui déchargeai la première. J’avais l’impression de mourir, tant la sensation de plaisir était immense ! Je haletais fortement et avais ouvert la bouche très grande pour avaler un maximum d’air, comme si j’avais peur de mourir étouffée ! Je ne sentais plus les battements de mon cœur. Je crus un moment qu’il s’était arrêté. Ma bouche dégoulinait de bave ! Et je hurlais ! Les mots se bousculaient dans ma bouche et n’arrivaient pas à sortir dans un ordre compréhensible.

Des tas d’images et d’idées me traversaient l’esprit, que je n’arrivais pas à exprimer avec des phrases ou des mots. Tout ce qui pouvait sortir de ma bouche, c’était une série de « oui ! », qui me semblait-il, suffisaient à exprimer tout mon plaisir. Tout le plaisir que je prenais à me faire enculer par Mohand et à me masturber en même temps.

Mohand qui pendant tout ce temps continuait imperturbablement à pilonner mon cul en me traitant de « qahba ! », attendit la fin de mon orgasme pour prendre la relève et décharger dans un rugissement d’enfer à l’intérieur du boyau. Je le sentais qui se remplissait de foutre brulant et épais, il ressortait à l’extérieur à chaque aller-retour du sabre à l’intérieur de mon cul. Il déversa comme cela, en plusieurs giclées successives, une quantité incroyable de sperme. Je pensais qu’après sa première éjaculation dans ma chatte, il ne devait plus avoir beaucoup de sperme. Et bien, je m’étais trompée encore une fois ! Ce diable d’homme était une vraie fabrique de foutre ! Quand il se retira,
il resta un long moment à regarder le liquide blanc et visqueux qui s’échappait de mon anus, pour aller s’étaler sur le carrelage en dessous du canapé.

Mohand était sorti de mon cul. Mais il continuait de bander. Le zob de mon homme tenait encore la super forme ! Dans ma tête, plein de choses se bousculaient. Je me disais que l’homme allait me baiser plusieurs fois encore et qu’il allait me transformer en chiffe molle, sans tonus et énergie.

Je commençais même à me dire que je ne serais pas à la hauteur de ses désirs. Je pensais sincèrement être devenue depuis quarante-huit heures une véritable nymphomane. Mais au contact de la résistance surhumaine de Mohand, je me rendis vite compte qu’il me restait encore beaucoup de chemin à parcourir.
« Tu es fatiguée ? Repose-toi un peu. Tu n’en as pas encore fini avec nous !
- Avec vous ?
- Oui avec nous ! »

C’était une voix féminine, avec un fort accent, qui venait de résonner. Je levais les yeux et vis Raïssa, superbe dans sa nudité, qui se tenait debout devant nous, avec à ses côté Mouloud – lui-même tout nu. Je n’arrivais pas à quitter des yeux, le superbe corps de la femme. Elle avait tout , absolument tout, de la vamp hollywoodienne : la blondeur et la blancheur de la peau, des seins fermes de jeunes filles, de bonne taille, projetés en avant, tels des obus de canon, un ventre qui avait pris un peu d’épaisseur, mais qui était encore plus sensuel que le ventre extra plat qu’elle devait avoir, il y a encore peu de temps; des hanches larges formant avec ses épaules un 8 presque parfait, des fesses de pouliche, rondes, brillantes et fermes; des jambes longues parfaitement dessinées, avec des genoux ronds et brillants et des cuisses fermes et superbement galbées.

Et merveille des merveilles ! Un mont de vénus bombé, sans la moindre trace de poil et une chatte aux grandes lèvres longues et dodues en forme de quartiers d’orange, avec à son extrémité basse, un petit orifice en forme de triangle.

C’était Vénus en personne ! J’étais bien contente d’être encore toute habillée. Je me voyais mal toute nue, à côté de cette femme parfaite. J’aurais eu honte, tant je me serais sentie laide en comparaison. Je ne quittais pas des yeux son entrecuisse, qui, me semblait-il, avait gardé des restes de sperme et de mouille qui continuaient de dégouliner. Elle avait sur les lèvres un sourire carnassier et, dans les yeux, une lumière mystérieuse qui brillait.

Elle-même était entrain de regarder ma chatte, qui était restée toute nue exposée aux regards des deux hommes et de la femme et qui brillait elle aussi de mouille. Inconsciemment, j’avais gardé la même position que celle dans laquelle Mohand m’avait enculée.
« Il t’a prise par derrière ? Il t’a certainement fait très mal ! Moi chaque fois qu’il
m’encule, il me fait hurler de douleur ! Il a une si grosse queue ! Tu as un beau cul ! Je vais te le sucer ! Tu veux ? »

Je ne m’attendais pas à une telle proposition ! La femme était bisexuelle ! Et moi je n’avais jamais eu auparavant, d’aventure avec une femme ou une fille. Je n’y avais même jamais pensé. Et l’idée que la superbe femme qui était devant moi voulait me sucer le cul – puis certainement la chatte – me paraissait bizarre. Je regardais tour à tour Mohand et Mouloud, comme pour leur demander ce que je devais faire. Ce fut Mouloud qui m’encouragea, en me disant que Raïssa était une amante superbe et qu’elle allait me faire vivre d’autres sensations exceptionnelles.

Je n’eus pas le temps de dire quoi que ce soit. L’Ukrainienne se mit à genoux devant moi et plongea sa tête entre mes cuisses. Je sentis immédiatement sa bouche qui se posa, telle une ventouse, sur mon anus et qui se mit à aspirer tout le liquide qui y était resté, entre le sperme de son mari et mes sécrétions à moi. Aujourd’hui encore je suis parfaitement incapable de décrire les sensations bizarres que me procura la bouche – puis la langue – qui farfouillait autour et à l’intérieur de mon cul. En même temps, elle me chatouillait et me donnait une irrésistible envie de rire, et d’un autre côté – surtout quand sa langue essayait de pénétrer à l’intérieur de mon anus – elle me faisait un bien fou.

Elle me délassait et enlevait toute la fatigue qui s’était accumulée en moi, depuis que j’étais devenue la proie du fabuleux sabre de Mohand. Je ne pus empêcher une main, puis l’autre, de se poser sur la nuque de la femme, pour la forcer à rester le plus longtemps possible, dans la place.

Raïssa, continua pendant quelques minutes à me lécher l’anus, puis elle fit remonter sa tête et sa bouche vers ma chatte, à laquelle elle appliqua le même traitement. Mouloud m’avait déjà initié au cunnilingus et j’avais adoré. Mais celui pratiqué par la bouche de Raïssa était d’un genre différent : plus doux et moins brutal. Plus féminin ! Ses lèvres se promenaient doucement le long de ma fente, elles montaient et descendaient lentement, sans trop insister.

Elles laissaient à sa langue, agile et pointue, le soin de faire tout le travail de titillement de ma chatte et, surtout, de mon clitoris qui avait durci sous l’effet de l’excitation. Je sentais le désir revenir en moi à la vitesse d’un torrent en crue. Je me mis à bouger mes hanches, pour suivre les mouvements de ses lèvres et de sa langue à l’intérieur de ma chatte.

Raïssa ne se contenta pas de m’entreprendre avec sa bouche, très vite, je sentis sa main farfouiller entre mes fesses et aller à la rencontre de mon anus. Elle y introduisit deux doigts et se mit à me branler vigoureusement le cul. Je n’arrivais plus à me retenir.

Non seulement j’accompagnais sa bouche et ses doigts par un mouvement circulaire de mes hanches pour accroître l’intensité du plaisir que je ressentais, mais en plus, je me mis à hurler, des « oui » sonores, tout en regardant Mouloud et Mohand, debout devant nous, se caresser le zob, en observant le spectacle de deux femmes entrain de se faire plaisir.
« Lahsil‘ha hatchoun‘ha heta en-tiya !! » (Lèche-lui la chatte, toi aussi !)

C’était Mohand qui m’ordonnait de m’occuper, moi aussi, de la belle chatte de Raïssa. Cela me parut une excellente idée. Je tirais sur les cheveux blonds de ma partenaire, pour lui faire relever la tête et lui demander de se retourner, pour que l’on se retrouve toutes les deux en position tête-bêche. Elle eut un merveilleux sourire de contentement et fit ce que je lui demandais. Nous nous retrouvâmes ainsi nos deux têtes plongées chacune entre les cuisses de l’autre. La chatte de Raïssa sentait si bon ! Elle avait en même temps le parfum naturel d’une chatte bien entretenue et celui du sperme de Mouloud, dont elle dégoulinait encore. Je me mis à lécher et avaler et le foutre qui se trouvait encore à l’intérieur du vagin et tout le jus que la femme sécrétait naturellement.

C’était absolument délicieux ! D’autant que je sentais que de son côté, l’Ukrainienne appréciait ce qu’elle trouvait à l’intérieur de ma chatte et qu’elle avalait goulument.
Nous continuâmes comme cela pendant longtemps : Raïssa était au dessus de moi, et, bien entendu, moi j’étais en dessous d’elle. Nous léchâmes, aspirâmes et avalâmes tout le jus qu’elle et moi produisions en grande quantité. J’étais au Paradis : un paradis différent de celui que j’avais connu avec mes hommes – Mouloud et Mohand, et même avec Rachid, mon mari.

Celui dans lequel m’avait amené le cunnilingus de la femme était plus calme, plus doux, moins violent et moins brutal. Mais le plaisir que je prenais était aussi intense ! Je gigotais pour frotter plus fort ma chatte sur la bouche gourmande de Raïssa, elle en faisait de même sur la mienne. Je sentais arriver l’orgasme.

C’était la même sensation que m’avait procuré mes deux amants quand ils m’avaient emmenée vers les cimes du plaisir : le cœur qui battait la chamade, le souffle qui devenait de plus en plus court et qui donnait l’impression de manquer d’air, la sensation que le monde tourbillonnait autour de moi et me précipitait vers des profondeurs abyssales; et cette étrange impression d’être très proche de l’évanouissement.
Et Raïssa était dans le même état que moi. Nous déchargeâmes ensemble, chacune dans la bouche de l’autre. Je coulais comme une fontaine et mon amante en faisait de même. Nous bûmes goulument, jusqu’à la dernière goutte, tout le jus que nos chattes avaient produit.

Puis nous nous affalâmes, rassasiées et heureuses, gardant pendant un long moment nos têtes entre les cuisses où elles étaient fourrées. Ce fut le moment que choisirent les hommes pour se mêler à nous.

Mohand prit sa femme par les hanches, la força à se mettre à quatre patte sur le canapé et entreprit de la tirer en levrette. Mouloud en fit de même avec moi. Je ne savais pas dans quel état était Raïssa, mais moi j’étais morte de fatigue. Au moment où Mouloud me força à me mettre en position de levrette, j’étais presque déçue : je me disais que je n’allais rien ressentir et surtout, que je n’allais lui donner aucun plaisir.

Mais au bout de quelques secondes – au moment où le gourdin de Mouloud pénétra dans ma chatte et que sentis les bras puissants de l’homme tirer sur mes hanches pour une pénétration à la hussarde, l’excitation et le désir revinrent en trombe. J’eus un autre
orgasme aussi puissant que les précédents. Et Mouloud aussi ! Et Raîssa aussi ! Et Mohand aussi ! Le miracle de l’érotisme, me dis-je !

Quand nous quittâmes l’appartement, il devait être près de minuit, Mouloud et moi étions sur les genoux. Mais tellement heureux ! Il me déposa devant chez moi. Je pensais trouver Rachid entrain de dormir. Mais non ! Il était dans la chambre, allongé, faisant semblant de lire je ne sais quelle revue.
« Tu ne dors pas encore ?
- Non, je t’attendais ! Je suis impatient que tu me racontes ta soirée avec Mouloud et ses
amis. Ça a été bien ? Tu as pris du plaisir ? Tu as beaucoup joui ? Raconte !
- Demain ! Je suis fourbue ! Je ne tiens plus debout ! Tu es déçu ?
- Non mais je veux vraiment que tu me racontes. Je veux tout savoir sur les sensations que tu as eues, sur les capacités sexuelles de tes amants. Tu ne t’es pas lavée j’espère ! Dis-moi que tu es encore pleine du sperme de tes amants ! Dis-moi que tu vas me laisser voir ! Toucher ! Lécher ! Viens mon amour ! Montre à ton cocu de mari les traces de ton bonheur ! »

Les paroles de Rachid avaient eu sur moi un effet très fortement aphrodisiaque. Même morte de fatigue, je ne pus résister au désir de subir ses assauts. Et cette nuit-là encore, Rachid se comporta en amant vraiment à la hauteur. Je n’eus aucun besoin de simuler l’énorme jouissance qu’il m’avait procurée, en me léchant la chatte et l’anus et en avalant toutes les sécrétions qui y étaient restées. Et en me tirant comme un taureau !

 

FIN

Par Najia - Publié dans : Les plaisirs du candaulisme - Communauté : Couples candaulistes
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Commentaires

Dommage que ce soit deja la fin ! Merci à Naija de nous avoir fait partager cette superbe initiation!
commentaire n° :1 posté par : Allan le: 29/01/2012 à 15h02

Peut-etre nous fera-t-elle le plaisir de nous offir une suite ?

réponse de : Sophie de R. le: 31/01/2012 à 02h23
Une fois de plus, un auteur de talent! j'ai bcp aimé cette sage, pleine de sexe torride, mais aussi d'amour.
commentaire n° :2 posté par : Michel de Lyon le: 29/01/2012 à 21h47

En effet, Cette personne écrit bien, et les propos en arabe sont interessants !

réponse de : Sophie de R. le: 31/01/2012 à 02h24
Un apprentissage parfaitement réussi!
commentaire n° :3 posté par : Olga le: 29/01/2012 à 22h14

Eh oui, et je presume que ce n'est que le debut d'une longue aventure !

réponse de : Sophie de R. le: 31/01/2012 à 02h24
une belle fin on ressent le bonheur et le plaisir qu a pris cette femme qui enfin s eclate grace a son mari
commentaire n° :4 posté par : romain57 le: 30/01/2012 à 10h09
Quel dommage que ce soit la fin ! je suis sur que Naija a encore plein de choses à nous raconter !
commentaire n° :5 posté par : Martin le: 30/01/2012 à 19h54

Elle sait qu'elle peut nous raocnter une suite, si elle en a envie !

réponse de : Sophie de R. le: 04/03/2012 à 18h40
Je decouvre avec le dernier epiosde, et je vais me jeter sur les precedents! j'adoooooooooore!
commentaire n° :6 posté par : Marion le: 01/02/2012 à 13h49

J'en suis heureuse; et j'espère que tout t'aura autant plu !

réponse de : Sophie de R. le: 04/03/2012 à 19h01
Pour ma part, je pense que cette fin n'en est pas une .....Najia n'est qu'au début de l'épanouissement.....Au plaisir de te retrouver.....
commentaire n° :7 posté par : Jean-Louis le: 18/09/2012 à 11h40

Sans doute, mais elle n'a pas encore pris le temps de nous le dire !

réponse de : Sophie de R. le: 20/09/2012 à 03h35
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