Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
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Bises libertines,
Sophie
Salut, je m'appelle Didier, j'ai trente-deux ans, et suis marié depuis dix ans, avec Laurie, une jolie blonde âgée de vingt-huit ans. Ce soir, nous devons tenter une nouvelle expérience, une première pour nous... Une soirée libertine.
Il est dix huit heures, je fonce à ma cabine téléphonique, et appelle une amie, qui est en fait ma confidente, pour savoir ce qu'elle en pense. Le tout, c'est de l'avoir.
« Allo mon cœur, ça va ?
- Et toi mon chéri... »
Voilà, « mon chéri », le mot qui tue, tout pour que je m'effondre dans la cabine.
« Je voulais te demander un truc. Je t'explique. Ce soir ma femme et moi, sommes invités à une soirée un peu spéciale. Bref une soirée échangiste, une partouze. Tu me conseilles quoi ? De foncer, de renoncer, je ne sais pas.
- Ta femme en pense quoi ? me demande-t-elle.
- Elle ? Elle est chaude bouillante pour participer, « ça nous changera de la routine », qu'elle me dit. Elle a déjà acheté des toilettes pour la circonstance.
- C'est certainement une belle expérience. Mais dis toi bien que si toi tu vas baiser d'autres femmes, la tienne va se faire baiser aussi. Il te faut prendre sur toi. Si tu es prêt à accepter ça, n'hésite pas, vas-y.
- Merci Mamour...je te raconterai... »
Je n’en n »attendais pas moins. Demi-heure plus tard, je libère avec regret, certainement l'amour manqué de ma vie. J'arrive chez moi vers dix neuf heures. On a rendez-vous à vingt trois heures, ça laisse du temps de se préparer. Je rejoins mon épouse à la chambre où elle est en train d'essayer les toilettes acheter dans l'après midi.
Toutes plus sulfureuses les unes que les autres. Un robe noire, mini, dont le haut est fait de lacets, ne cachant pas grand chose de sa superbe poitrine, une rouge, aussi courte, avec des bas noirs résilles, qui arrivent à mi cuisses.
Elle opte finalement pour la noire et les bas noirs. Je sens la température monter en moi, et m'attend au pire.
Avant de partir, je lui fais quelques recommandations, sur l'alcool, les précautions à prendre, que ses éventuels partenaires se protègent.
« Oh la la, me répond-elle, tu ne vas pas me demander de garder ma culotte ! »
Elle a raison, mais, c'est ma femme et je ne veux pas qu'elle fasse n'importe quoi.
« Tu crois qu'on fera l'amour ensemble ?
Elle éclate de rire.
- Franchement, ça m'étonnerait, je vais être tellement occupée... et toi aussi j'espère ! »
Il est vingt trois heures quand nous nous garons devant la magnifique demeure de nos hôtes. Nous sommes accueillis dans un immense salon recouvert d'une épaisse moquette, meublé de canapés et de fauteuils. Cinq couples sont là, et chacun se présente. Deux jeunes animatrices coréennes, très belles, ont été invitées pour pimenter la soirée.
Les femmes rivalisent de beauté, c'est celle qui sera la plus sexy, qui aura la jupe la plus courte, qui sera l'objet de toutes les convoitises, et dans ce domaine, Laurie est loin d'être ridicule.
Déjà, des groupes se forment, et sans vergogne, des mains glissent sous les jupes des femmes. En toute décontraction, les participants se promènent nus, un verre à la main, alors que moi, j'ai toute les peines du monde pour me déshabiller.
Je vois mon épouse commencer à flirter avec un homme d'une quarantaine d'années, et déjà, certains lacets de la robe sont enroulés à la taille, dévoilant sa magnifique poitrine.
Une jeune coréenne remarque ma gêne, et s'avance vers moi. Elle me prend par la nuque, et frôle mes lèvres :
« Alors mon chéri, ça te plait pas, sois pas complexé, attends, laisse_moi faire. »
Elle glisse lentement le long de mes jambes, déboucle la ceinture de mon pantalon, et le baisse. Sans le moindre effort, en quelques coups de langue, ma bite se met au garde à vous. Je jette un œil autour de moi pour voir si je ne suis pas épié, et m'aperçois que j'ai pris du retard. Tout le monde est à poils, ce qui me permet de voir que, mis à part un black, superbement monté, je suis dans la moyenne. Ma belle coréenne, totalement nue, finit de me déshabiller, me demande de m'allonger et s'empale sur ma queue en érection, non sans l’avoir prestement couverte d’un capuchon de latex.
« Ben dis-donc, sourit-elle, ça va mieux on dirait ! Vas-y... Caresse-moi les seins...
Sers-toi... »
Elle me chevauche pendant de longues minutes, jusqu’à ce que je crache enfin ma sève… elle n’a pas joui, et mais semble heureuse de ce qu’elle vient de vivre… Elle me roule un patin d’enfer, et va se faire empaler ailleurs…
Au bout d'un quart d'heure, le salon ressemble à un champ orgiaque. Une bouche chasse l'autre pour sucer les bites, les mains s'attardent sur les couilles pleines de foutre. Près de moi, sur un canapé, mon épouse se fait tringler sans retenue. Je vois l'énorme bite qui coulisse dans sa chatte, humides, les mains caresser le bout de ses seins durcit par le désir :
« Oh putain... gémit-elle. Chéri… Regarde comme je me fais prendre... comme il est monté ce salaud...
- Et alors ? je lui réponds, ça veut dire quoi ? Que moi ?... »
Les râles de plaisir fusent dans la pièce. Les chattes, pleine de mouille, sont bouffées, léchées, branlées, les clitoris sont doigtés, les bites, décalottées, sucées. Certaines femmes n'avalent pas, la mienne par contre, fait partie des avaleuses de sperme.
La moquette est jonchée de corps qui niquent sans prier dieu. Les femmes sont prises dans toutes les positions, en levrette, assises sur leur partenaire, certaines se caressent entre elles. Je surprends Laurie, allongée sur le dos, tailler une pipe à un mec. Elle se cambre à la force des pieds pour offrir sa chatte à qui veut bien la doigter ou la manger, puis change de position s'attelle par le petit trou à la grosse bite du black, pendant qu'elle plonge sa langue dans le minou de son épouse.
Des moments, j'ai envie d'intervenir, mais je me suis engagé, je dois accepter, même si ça me coute.
Un homme semble comprendre mon désarroi. Il me tape sur l'épaule :
« Allez vieux, on fait une pause, allons prendre un verre. »
Même au bar, des femmes se glissent entre nous pour nous turluter, ou nous gober les couilles. Nous jouissons en sirotant notre whisky.
Après m'être bien fait nettoyer le zob, je décide de visiter les lieux. Je m'engage dans un couloir, et la, je trouve Laurie dans un lit avec une sculpturale brune, que j'avais repérée en arrivant.
Ma femme est assise, légèrement penchée en arrière, genoux repliés, jambes écartées, en train de se faire doigter. Elle en fait autant à la chatte de da belle brune, installée à genoux à côté d'elle, jambes grandement ouvertes. Les deux créatures se gouinent.
« Tu sais ce qu'on a parié, dit la brune. Celle qui jouit en premier, bouffe la chatte de l'autre. Souviens-toi la dernière fois, c'est toi qui avais perdu.
- Ma vengeance va être terrible, promet mon épouse, je vais te chatter comme jamais. »
Le combat semble inégal, on sent chez la brune, plus d'expérience, plus de maitrise.
J’entends le souffle des deux femmes qui s'accélère, surtout celui de Laurie.
« Ah, salope...tu vas m'avoir.... Qu'est-ce-que tu fais à mon clitoris ? soupire mon épouse.
- Tu veux dire, ce petit bouton que je doigte ? Tu aimes hein, petite vicieuse ? Ca ne sert à rien de te retenir... je suis la meilleure à ce jeu... je sais que tu vas bientôt crier.... »
Soudain, ma femme s'écroule sur le lit, vaincue. Son corps est pris de violentes convulsions, elle étouffe ses cris dans les draps. La brune attend que le corps de Laurie s'apaise, puis...
« Il te faut honorer ton gage ma chérie, dit-elle. Regarde comme ma chatte est mouillée... Tu vas te régaler... et moi aussi ! Allez, bouffe-moi la cramouille... »
Je reste scotché devant la scène, ma femme qui se gouine, si je ne l'avais vu, je ne l’aurai jamais cru.
Mais d'assister à cette scène a revigoré mon sexe, et une jeune femme s'en aperçoit.
« Je ne peux pas te laisser comme ça, me dit-elle, on m'a pas sodomisé encore, prends-moi au petit… »
Comment refuser une telle proposition ? Elle se positionne en levrette, et d'une simple poussée, je l'encule. Au bout de dix minutes, je sens la sève monter en moi, et veux me retirer quand...
« Non, dit ma partenaire, vide tes couilles... Vas-y, fais toi plaisir... »
Je vide mes dernières cartouches, il est quatre heures du matin, et la fatigue se fait sentir. Laurie est couchée sur la moquette, enlacée dans les bras de son étalon noir, et même si leurs mains sont inactives, le baiser qu'ils se donnent est torride, un vrai duel de langues.
Sur le chemin du retour, mon épouse et moi faisons l'inventaire de nôtre folle nuit érotique.
« Oh putain, dit-elle, qu'est-ce que j'ai pu prendre comme coups de queues, j'en ai pris pour la semaine. Et toi mon chéri, tu t'es amusé ?
- Bien sur, je lui réponds. Tu te les bien fait mettre par le beau black.
- T'as raison, poursuit-elle, il m'a ramonée tous les trous ce salaud. Il a tenu à garder mon string en souvenir, je ne pouvais pas lui refuser ça.
- Cependant, il y a un truc qui me chiffonne, dis-je, Je t'ai vu te gouiner avec la belle brune, t'as pas fait le poids, hein ?
- Mais ça fait partie du jeu, mon amour, c'est vrai qu'elle est forte.... vicieuse…
- C'est pas là ou je voulais en venir, ce qui m'a surpris, c'est quand ta partenaire a dit
« La dernière fois, c'est toi qui a perdu », ça veut dire que tu as déjà participé a des partouzes, l'après midi sans doute, quand je suis au bureau. Je me trompe?
- Heu... c'est vrai qu'une fois, j'ai été embarquée malgré moi dans une aventure de ce genre, tu m'en veux ?
- Mais non, ma chérie, c'est bien de savoir ce que sa femme fait en l'absence de son mari. Avant d'aller au lit, j'aimerai te prendre sous la douche, ça te branche ?
- Mais bien sur mon amour, accepte-t-elle, tu veux que je finisse de te vider les couilles ? »
Je prends un réel plaisir à la baiser, et elle me le rend bien, se donne à fond. On a droit à un repos bien mérité. Nous nous endormons dans les bras l'un de l'autre.
Mais comment vais-je digérer cette nuit de folie ? Va-t-elle se renouveler, avec ou sans moi ?
Il est dix huit heures, je rejoins ma cabine téléphonique pour appeler qui vous savez. Il faut que le lui raconte cette nuit de folie. J'espère que je l'aurai, auquel cas, je serai déçu.
Ah… ça sonne... messagerie… zut
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