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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Femme
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

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Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie


Chapitre III : Une nouvelle conquête pour Nulai.


Les années ont passé, Nulaï vit seul dans une chambre d’étudiant, dans un petit immeuble Il a une nouvelle voisine.

En la croisant, ilavait remarqué son parfum assez fort. Elle est de taille moyenne, toujours bien habillée, souvent un grand décolleté, qui laisse entrevoir une belle paire de seins, beau sourire un peu timide.
De fil en aiguille, Nulai va regarder la télévision chez sa voisine, Catherine. Il est seul avec elle et reste bien à sa place dans le fauteuil, elle sur le canapé, elle porte toujours un ensemble de nuit. Elle ne porte pas de soutien-gorge…


Les jours passent tous de la même manière, télé, bisous, au revoir. Elle lui a un peu raconté sa vie, elle est obligée de travailler dans un bar comme entraîneuse, payée à la consommation. Elle déteste ce travail, elle rougit violemment : 

« Tu vas mal me juger…
- Non bien sur ! Tu n’as pas eu le choix, tu ne fais pas cela par vice mais par besoin de vivre, contrairement à certaines personnes », réplique Nulaï prestement.


Le temps passe, chaque soir le même rituel, puis bisous et à demain.
Arrive le jour de l’anniversaire de Nulai. Pour fêter cela, il apporte une bouteille de vin, qu’ils boivent, en regardant la TV, Catherine commence à être  saoule au trois quart de la bouteille, et ne se sent pas bien, demande à Nulai s’il ne peut pas l’aider pour se rendre à l’évier se rafraichir.

 

Nulaï prend la parole pour raconter la suite :
« Je l’aide à se lever, la soutenant sous un bras, ma main frôlant le sein, une fois qu’elle s’est rafraichie, elle me regarde le regard embrumé, et m’appelle par le nom de son mec : « Tu ne m’aimes plus !!! »

 

Elle m’embrasse brusquement. Etrange cette langue qui fouille ma bouche, mais je ne la repousse pas, au contraire, j’abuse, et pose ma main sur son sein, elle continue son baisser, je le malaxe un peu, toujours pas de réactions de sa part, tant pis je risque le coup, je glisse ma main sous la chemisette, et empoigne un sein, je fait rouler la pointe sous mes doigts, elle durci de suite.
Je soulève un peu sa chemisette pour voir sa poitrine, pas mal du tout ses seins, bien galber large auréole, petite pointe bien dressée.
Brusquement elle me repousse, et balbutie quelques mots, et me dit au revoir.

 

Ce jour-là, Catherine m’a donné sans s’en rendre compte, un bien joli cadeau d’anniversaire.
Le lendemain soir, je la retrouve comme d’habitude. Après un moment, en voyant qu’elle me regardait souvent, je lui demande :

« Catherine, tu te rappelles la soirée d’hier ?

- Non, pourquoi ? J’ai fait des bêtises ? me répond-elle avec un petit sourire.
- Oui, de grosses bêtises ! »

 

Et je lui raconte ce qu’il s’est passé sans rien omettre. Elle rougit, et me dit : « Tu ne vas pas en parler ? Tu sais, je risque de gros ennuis, tu es mineur.
- Non, cela va rester notre secret.

Elle parut rassurée, et reprit avec un air enjôleur :

- Cela ne t’a pas plu ?
- Tu blagues ou quoi ? Tu m’as fait bander oui, puis laissé en plan !

- Je ne voulais pas cela !

- Tu sais, depuis longtemps, je lorgne tes seins…

Elle me scrute du regard :

- Tu n’avais jamais touché une fille avant ? »
Je dois bien reconnaître que non... Je ne vais tout de même pas lui dire que je baisais ma tance quand j’avais douze ans !!!

 

Cette conversation commençait apprendre une tournure qui me plaisait.
« Enfin, tu as 1dix-sept ans et moi trente-sept. Tu ne va pas me dire que je te plais ?

Je pars m’asseoir a coté d’elle, sans protestation de sa part.

- Comme on a un secret commun, fais-moi encore un plaisir.
- Quoi ? Que veux-tu ?

- Catherine, montre-moi encore tes seins !

 

Une lueur malicieuse passe dans son regard, elle soulève prestement la chemisette.

- Ah oui, cette fois, je les vois bien ! Ils sont bien gros ! Hier, ils avaient l’air plus durs…, - Idiot, dit-elle, ils étaient en érection !

 

 Elle rabaisse la chemise, je stoppe son geste.
- Dis, j’aimerais les voir comme hier !

Elle me lance un regard interrogatif, mais réplique :

- Touche et tu vas voir !

 

Je ne me fais pas prier deux fois, prends ses seins à deux mains, et les pétris un peu. C’est vrai, ils commencent à durcir. Elle a fermé les yeux. Apparemment, elle apprécie la caresse.
Je ne dis rien, lâche un sein, et m’empresse de le sucer. La pointe devient de suite dure, elle a un sursaut, mais ne me repousse pas, elle respire assez fort.

Visiblement mes caresses lui font de l’effet… A moi aussi d’ailleurs, je bande ferme.
J’arrête de sucer le sein et l’embrasse amoureusement. Entre deux baisers, je lui avoue que j’ai envie d’elle.

Pour toute réponse, elle glisse sa main vers mon sexe, et répond qu’elle a aussi envie de moi. Nous nous relevons, et nous nous dirigeons vers sa chambre, puis elle hésite :

«  Et si mon type revenait ?

- Ah oui, c’est vrai ! Cela lui arrivait parfois de passer en coup de vent.
- Fermons la porte, tu diras que tu as fait cela machinalement ! »

 

Aussitôt dit, sitôt fait.  Mais une fois dans la chambre, elle se couche sur le lit, et me prévient :

«  Je n’enlève rien !

- D’accord, bien sur… »

 

Je trousse pourtant sa chemisette, pour encore bien voir ses seins et les caresse fermement. Je sors mon bite toute raide. Elle la prend en mai, tout de suite, l’apprécie… Apparemment, la taille lui plait, elle écarte sa culotte, me guide vers sa chatte déjà bien mouillée.

Je la pénètre d’un coup, à fond, elle sursaute un peu. Pour moi, cela fait toujours une drôle de sensation de me sentir dans une autre personne…

Je commence mes va et vient, elle ferme les yeux, je l’embrasse, en malaxant allégrement son sein. Après quelques minutes de pilonnage intensif, je finsi par jouir longuement en elle. Bien trop vite à mon gout !


Elle me regarde : « Alors, tu es content ?

- Mais bien sur ! On recommence ?

- Non assez pour ce jour !!!
- Bon, maintenant, si comprend bien, Catherine tu es ma maîtresse…

- Oui, mais cela ne te donne pas de droits sur moi !

- Là, je suis d’accord. »

 

Je rentre donc chez moi, avec malgré tout une grosse envie de la baiser encore !


Les jours passent sans faire l’amour. Souvent, elle me racontait des histoires des clients du bar :

« Ils aiment se vanter, tu sais… Il y a le prêtre qui profite des paroissiennes qui ont le malheur de lui confesser qu’elles ont trompé leur mari. La punition : un chantage bien sur. Elles doivent se laisser faire, les nouvelles conquêtes c’est pour lui, les autres, il les envoie à la sacristie faire leur pénitence. Bien sur, le sacristain les attend de bite ferme. Le prêtre sélectionne aussi les bourgeoises vicieuses. Il organise des orgies dans la sacristie, il fait payer les hommes qui viennent. Tous portent un masque. »

C’est ainsi que j’appris que les bourgeoises de bonne famille, qui critiquent les femmes de mauvaise vie, comme elles les nomment, ces bourgeoises sont de véritables hypocrites. Ce n’est pas un amant, mais plusieurs en même temps qu’il leur faut !


Il y a aussi l’avocat véreux qui abuse de ses clientes qui ont du mal a payer. Il les fait payer en nature. Le notaire voyeur qui oblige son clerc à baiser sa secrétaire ou une cliente devant lui….
Le dentiste aussi, mais là, c’est Catherine qui en a fait les frais.

 

Comme d’habitude, elle avait mit une robe avec un grand décolleté, et toujours son air enjôleur. Mais une fois l’anesthésie faite pour les soins, elle se trouvait dans un état second. Le dentiste s’en est rendu compte, Il savait le métier qu’elle faisait. Catherine me dit qu’il a ouvert sa robe, et a commencé à lui sucer les seins.

Il a troussé le bas de sa robe, écarté ses jambes. Il l’a baisée dans le fauteuil, sans s’occuper de son plaisir à elle. Elle ajoute avec un sourire, qu’elle n’a pas eu à payer les soins. 


A entendre toutes ces histoires, je tombe de haut, beaucoup de valeurs qu’on m’avait inculquées volent en éclat. Le peu de croyance qu’il me restait dans la religion disparait aussi.

Catherine aimait raconter, et parfaire mon éducation de la vie sexuelle. Et moi, pendant qu’elle me racontait je lui pelotais un peu ses seins.


Un jour je lui dis : « Habille-toi, on sort un peu.

Elle est étonnée :

- Où allons-nous ?
- Dans ma chambre, j’ai envie de te faire l’amour, cela fait plusieurs semaines.

- Mais pourquoi m’habiller ?

- Comme cela, je vais avoir le plaisir de te déshabiller comme je veux… »


Elle ne proteste pas. Au fond, elle a envie aussi. Nous entrons dans la chambre, je ferme la porte à clef. Elle enlève son manteau et s’assoie sur le lit, je la rejoins, et l’embrasse en déboutonnant son chemisier. Sans plus attendre, je glisse une main dans le soutien-gorge tendus, et palpe son sein. Il durcit bien sur.

Je tire sur les bonnets devenus trop petits, et libère ses seins, mon autre main remonte ses jambes pour arriver à sa chatte bien mouillée… Mhumm, j’aime de plus en plus cette odeur de femme excitée… 


Bien sur, elle n’est restée inactive, elle a ouvert mon pantalon, et branle ma queue raide. Je la stoppe : 

«  Pour une fois, enlève tout !

Elle rechigne un peu, mais obtempère. J’en fais de même immédiatement. Je tête avidement son gros sein en caressant son abricot qui coule de plus en plus. Il est mûr pour que je la saute…

Mais avant, je descends ma bouche pour gouter l’onctueux liquide. Elle tente de me repousser, mais finit par capituler. J’ignore pourquoi cette réticence… Je parcours ses lèvres intimes gonflées et rouges d’excitation à petits coups de langue qui la font gémir de plus en plus fort.

«  Viens, prends-moi, je n’en peux plus ! »

 

Mon sexe pulse, il trouve tout seul le chemin de sa grotte accueillante. Je la pistonne, la besogne un long moment, elle jouit sous mes poussées de plus en plus rapides.

Dans un ultime coup de reins plus violent que les autres, je jouis en répandant en elle une bonne dose de sperme gardé trop longtemps en moi…

 

Nous retombons cote à cote, et nous endormons dans un bienheureux sommeil de satisfaction…

 

Très bientôt, la suite…

 

http://belgique-chine.over-blog.com

Par Pierre et Sophie de R. - Publié dans : Les histoires à épisodes... - Communauté : REALISEZ ENFIN VOS FANTASMES!.
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