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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Ceci est l'histoire vraie de notre toute première expérience libertine de notre couple, Maeva mon épouse et moi-même.

 

Nous sommes mariés depuis bien longtemps maintenant. Maeva est une jolie Tahitienne que j'ai connue lors de mes nombreux séjours en Polynésie, comme militaire. Au début de notre mariage, comme beaucoup d'homme, je fantasmais sur ma femme, l'imaginant avec d'autres, dans des situations les plus inavouables et invraisemblables. Nous avions tous les deux beaucoup de fantasmes. Elle aimait partager et jouer à nos jeux intimes. Il lui arrivait de porter une perruque et d'accepter d'être menottée ou d'avoir les yeux bandés. La visite médicale, l'exhibition étaient les scénarios que nous aimions.

 

L'idée d'associer réellement et non plus en imaginations d'autres personnes, d'autres hommes à nos jeux, est vite devenu un sujet de discussions brûlantes entre nous deux. Il n'a pas été aisé de la convaincre. Le soir dans notre lit, elle voulait bien, mais se rétractait le lendemain matin. Elle mettait des conditions démesurées pour le faire. Je le comprenais, il était hors de question de le faire chez nous. Souvent seule à la maison, elle aurait pu être importunée durant mes absences par un de nos invités qui serait revenu.  

 

Nous habitions Toulon à cette époque ? Et nous ne voulions pas prendre le risque de nous retrouver avec une ou des personnes susceptibles de nous connaître de près comme de loin. C'était donc Marseille qui a eu notre préférence. Il n'a pas été trop compliqué de trouver des lieux d'échanges, de rencontres. Plusieurs demandes de renseignements par téléphone ont été toute fois nécessaires avant de faire notre choix, choix étaient pour le moins limité. Il n’y avait que deux ou trois saunas qui organisaient des rencontres entre couples certains après-midis ou certaines soirées. Autrement, nous devions chercher et répondre à des petites annonces souvent mensongères, ce qui était plus frustrant.

 

Nous nous sommes enfin décidés pour un sauna. Avec Maeva, nous étions excités de préparer ce moment, et nous l'avons vécu plusieurs fois dans nos têtes les jours précédant. Nous ne voulions pas le faire le soir ou la nuit, car on nous avait dit qu'il risquait d'y avoir trop de monde. On nous avait conseillé de venir pour une première fois un après-midi de préférence en semaine. Tout était en fonction de ce que nous recherchions.

Maeva est très jolie, elle a le type Polynésien, elle est magnifique. Elle a de longs cheveux noirs souvent retenus par un chignon, un visage agréable à regarder, toujours souriante, un corps toujours splendide, et une couleur de peau pain d'épices, et miel.

 

Elle était déjà très élégante, elle aimait s'habiller et choisir ses vêtements et sous-vêtements avec soins et beaucoup de goût. Ils nous arrivaient de choisir ensemble sa lingerie dans des magasins spécialisés. Nos préférences allaient vers les couleurs claires ou pastels, ou les ensembles en voile et dentelle blanche, ou noir aussi.

 

J’avais dû prendre un jour de congé pour faire nos coquineries. Durant le trajet, le matin nous étions pour le moins anxieux. Nous nous répétions ce que nous accepterions et ce que nous refuserions. Il était évident qu'il ne se passerait rien si cela ne nous convenait pas. Nous avions confiance l'un dans l'autre. Jamais je ne l'aurais forcée à faire quoi que ce soit avec une personne qui ne lui convenait pas. Pour cette toute première fois, nous voulions trouver un homme pas trop vieux, pas trop moche, propre et gentil. Mais au final, rien ne s'est passé comme nous le souhaitions…

 

Nous avons déjeuné à Marseille dans un petit restaurant proche du lieu du sauna, qui se trouvait dans une toute petite rue tout en haut de la Canebière. Nous n'avions pas vraiment faim, mais il fallait bien attendre l'ouverture, et nous ne voulions pas arriver les premiers.

 

A notre arrivée, le responsable, qui était certainement homosexuel, nous a informé des conditions et nous a fourni deux serviettes de bain propres mais rêches, tant elles avaient dû être lavées, ainsi qu'une clé et un cadenas me semble-t-il.

 

 L'endroit, était sordide. Glauque, sombre. De nombreux couloirs étroits desservaient de minuscules alcôves qui fermaient par de simples rideaux. Un matelas en mousse posé sur le sol, recouvert d'un drap douteux était le seul objet présent. A l'étage, une immense pièce recouverte de matelas devait être un lieu de débauche sans retenue. Une ou deux cabines de sauna étaient en fonction, il y avait aussi des douches, un vestiaire avec plusieurs caissons pour ranger nos vêtements. Au fond, un bar avec une télévision qui diffusait des films pornographiques homosexuels. C'était sordide, et je me demandais si nous allions rester. Mais Maeva restait impassible. Il n'y avait pas grand monde, cinq ou six personnes, que des hommes d'âges divers, mais qui semblaient tous être homos. Ils déambulaient allant d'un endroit à l'autre, uniquement drapés d'une serviette de bain. Je me souviens un moment d'avoir croisé un homme d'âge mur qui tenait par la main un jeune qui devait avoir dix-huit ans à peine. Je n'étais pas trop enthousiasmé, Maeva encore moins. J'avais honte de l'avoir entrainée dans un endroit pareil. Nous venions de payer et nous étions dans le vestiaire. Nous, nous parlions à voix basse.

 

« Ma chérie, que faisons-nous ici ? on reste, ou pas ?

- Je ne sais pas trop, c’est glauque, mais j’avoue que je suis quand même excitée… me repondit-elle en rougissant.

- Après tout, nous regretterons peut-être d’être partis sans tester.  Et oserons-nous revenir ?

- D’accord, on essaie, mais si je dis que ça suffit, on part » me souffla-t-elle.

 

J’acquiesçais et nous entreprîmes de nous déshabiller et de nous envelopper le corps de la serviette que l'on nous avait donnée. Maeva la portait attachée au-dessus de la poitrine et moi autour de la taille. Je me souviens, qu'elle avait gardé sa petite culotte. Moi, j'étais nu sous ma serviette. Nous sommes sortis du vestiaire après avoir bien enfermé à clé nos vêtements.

 

Il y avait de la musique douce en sourdine. Nous sommes rentrés dans un des deux saunas qui étaient vides. Nous nous sommes assis l'un à côté de l'autre, les jambes allongées sur le banc. Il faisait chaud, et nous avions décidé de rester au sauna une trentaine de minutes et de partir après avoir pris une douche si rien ne se passait.

 

Au bout d'une dizaine de minutes, un couple est rentré. Je ne pourrais pas dire à ce moment s'ils étaient dans le club avant nous ou s'ils venaient de rentrer. Lui avait la soixantaine, grand, les cheveux clairs tirés en arrière, maigre et très bronzé. Elle semblait plus jeune, avait peut-être cinq ou six ans de moins, les cheveux clairs, petite et mince bronzée aussi. J'ai pensé de suite qu'ils devaient être mari et femme, comme nous. Ils se sont assis, et de suite, elle a baissé sa serviette sur les hanches dévoilant une petite poitrine qui tombait. Maeva pudique et timide avait gardé la sienne autour de son corps. Ils se sont adressés à nous et nous avons sympathisés. Nous leur avons avoué que c'était notre toute première fois dans ce genre d'endroit. Ils nous ont mis au courant des us et coutumes de l'endroit. Des dangers, de ce qu'il fallait faire et ne pas faire. Ils nous ont indiqué qu'il y avait beaucoup d'homosexuels en semaine, et qu’il était préférable de venir lors des soirées organisées pour les couples. La femme demanda à son mari d'aller chercher pour une heure la clé d'une alcôve privée. Elle nous expliqua ensuite, qu'il existait aussi quatre ou cinq petites alcôves dans lesquelles nous pouvions nous enfermer. Elles étaient rassemblées dans un couloir qui lui aussi fermait à clé. C'était beaucoup mieux pour s'y reposer et y être tranquille, alors que dans celles qui fermaient par de simples rideaux, nous étions sûrs d'être continuellement dérangés, par les voyeurs, les hommes voulant participer à des ébats, etc. Les alcôves privées étaient bien sur payantes et se louaient à l'heure.

 

Le type est revenu avec les clés. Avec Maeva, nous avions convenus de rester encore une quinzaine de minutes, et de partir après une douche. De temps en temps, un homme rentrait et s'asseyait, il restait quelques minutes et ressortait. La femme nous dit que pour être tranquille, je ne devais pas emmener Maeva dans une des alcôves qui fermaient avec un rideau, et encore moins dans la pièce du haut, réservée aux orgies et gang-bang. A moins bien sûr, d'en accepter les conséquences… Bizarrement, il m'était difficile de lui dire que nous voulions faire notre première expérience uniquement avec un homme. Nous avons discuté ensemble de choses et d'autres. Il faisait très chaud, et Maeva était en sueur, comme moi. Soudain, la femme proposa à Maeva de l’accompagner dans l'alcôve que son mari venait de louer pour qu'elle se repose un moment. Elle insista, disant qu'elle pourrait se reposer ainsi en toute tranquillité, car faire du sauna est effectivement quelque chose de très fatigant.  

 

Maeva m'interrogea du regard. Je n'y voyais aucune objection n’imaginant pas qu’il pourrait se passer quoi que ce soit entre elles… Elles se sont levées, me laissant seul avec le mari. Il est naturellement venu prendre la place de Maeva à mes côtés. Nous avons discuté un peu avant que lui aussi me propose de venir me reposer dans une alcôve.

 

Ayant envoyé Maeva avec sa femme, je ne pouvais guère refuser son invitation. Nous sommes sortis du sauna, et avons circulé dans le couloir, cherchant une alcôve de libre. Elles l'étaient toutes, il me montra le petit couloir où étaient parties les femmes. Nous nous sommes allongés l'un à côté de l'autre, et j’en étais plutôt gêné, restant silencieux un moment. L’homme commença à me poser quelques questions sur ma femme, son âge, son prénom, d'où elle venait, comment je l'avais connue et depuis combien de temps étions nous mariés. Il ajouta qu'elle était ravissante et jolie. Il me demanda si je désirais vraiment la voir dans les bras d'un autre homme, si cela m'exciterait que ce soit lui, et ce que je pensais de la savoir dans les bras d'une autre femme... de sa femme.  J'étais excité par ses propos et ses suggestions, ainsi que par le fait qu'il se soit penché sur moi et me tienne par les épaules. J'étais complètement largué. Je venais de saisir son manège et de comprendre la situation. Il murmurait qu'elles étaient en ce moment en train de faire l'amour, comme pour me rassurer.

 

A suivre... très vite ! 

Par Jean-Claude et Sophie - Publié dans : Vos contributions - Communauté : Sexe Amateur Exhibitions
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