Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
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Bises libertines,
Sophie
Mon mec et moi avons un petit problème. Un problème qui peut se résoudre, certes, mais qui nous pousse à nous questionner au niveau de l'éthique des entreprises...
Je m'explique. Nous avions un super projet informatique. Nous l'avions créé à deux, nous en avions tous deux les droits dessus, mais nous voulions le diffuser à plus grande échelle. Pour ce faire, nous avions besoin d'investissements. Nous étions les deux propriétaires de notre entreprise, et aussi les deux employés. Tout allait bien. Nous travaillions à la maison sur le même projet et pouvions manger et baiser quand nous en avions envie. C'était parfait.
Sauf que pour la commercialisation de notre projet, nous avions besoin d'investisseurs. Nous avions cogné à plusieurs portes des grandes entreprises qui pouvaient nous donner un coup de main tout en nous permettant de nous laisser propriétaire de notre projet. Tout le monde avait refusé notre proposition, tout le monde voulait mettre la main complète sur le projet. Nous refusions. Nous voulions rester maître de nous-mêmes et de notre entreprise, nous ne voulions travailler pour personne.
La réflexion éthique nous est venue durant le rendez-vous avec monsieur Henri. Il était PDG d'une entreprise qui pouvait investir dans notre projet informatique et s'était montré très ouvert à nos conditions.
Nous sommes donc allés à son bureau, pour le rendez-vous. Carl, mon mec, avec qui je vis depuis plus de quatre ans, et avec qui je jouis et je crée, portait son sac et l'ordinateur portable. Moi, dans mon sac, j'avais les papiers de commercialisation du projet, le contrat que nous voulions faire signer en échange d'argent.
Dans l'ascenseur menant au septième étage, Carl et moi nous sommes souris, et embrassés. Nous nous sommes glissé dans l'oreille un : « Bonne chance! », avons pris un grand respire quand la porte de l'ascenseur s'est ouverte. Monsieur Henri nous attendait derrière son bureau. Il s'est levé, nous a serré la main, il avait l'air très gentil et nous a invité à nous asseoir.
« Alors comme ça, si l'on va directement au sujet qui nous intéresse, vous chercher des
Investisseurs ?
- C'est bien cela, Monsieur Henri », commença Carl.
Et voilà qu'il déroulait son discours de vendeur, et moi je le soutenais et renchérissait en vantant les mérites de notre projet. Monsieur Henri nous écoutait bien, le crayon dans la bouche, en hochant la tête. Carl continuait à parler, mais Henri regardait mon décolleté, Carl et moi nous nous en sommes aperçu, même que le discours de Carl se faisait saccadé, comme s'il était déconcentré par le manque d'attention soudain de Henri. J'ai continué, en me redressant, et en obligeant monsieur Henri à me regarder dans les yeux.
Déjà, je me disais que c'était un pervers, ce PDG, encore un autre ! Je voulais même m'en aller de suite, rester forte et froide face à des investisseurs peu scrupuleux... Puis,
Monsieur Henri de prendre la parole :
« Je suis impressionné, qu'il dit, vraiment! Mais... (il regarda dans des dossiers devant lui) je vois que vous avez demander à plusieurs compagnies, avant la mienne, d'investir dans votre projet... Pourquoi ?
- Sachez, Monsieur Henri, que votre compagnie était en tête de liste. Seulement, nous voulions voir aussi ce que les autres pouvaient offrir...
- Et que vous ont-ils offert ? »
Silence. Carl et moi nous sommes jetés un regard, on se disait : « Merde! », je me mordais les lèvres, et Monsieur Henri a continué :
« Je vais vous dire ce qu'ils vous ont offert les autres compagnies... Rien ! Parce que les conditions que vous demandez sont inacceptables ! »
Carl et moi étions muets. Monsieur Henri respira un coup :
« Mais il y a peut-être une solution... votre projet est excellent, et notre compagnie profiterait à coup sûr de sa commercialisation. Et regardez, je vais faire un marché avec vous; je vais dire la solution que je vois, ensuite je vais quitter la pièce, et je vous laisse parler ensemble. Quand je reviendrai, vous me direz si oui ou non vous acceptez ma solution, ça vous va ? »
Carl hocha la tête rapidement, il semblait se dire :
« Enfin, quelqu'un qui peut nous arranger ! »
Quant à moi, j'avais chaud.
« Vous êtes de très belles personnes, de beaux jeunes gens, rempli d'ambition. Je vous donnerai l'investissement que vous espérez, et à vos conditions. Sans problème ça. Mais à une de mes conditions...
- Laquelle? demandai-je, le voyant venir.
- Notre contrat se fera en quatre étapes. C'est seulement à la dernière des étapes, une fois seulement que nous aurons signé tous les papiers, je vous donnerai l'argent escompté...
- Mais quelles conditions, Monsieur Henri ? demanda Carl.
- Faveurs sexuelles...
Je le savais, il n'avait cessé de regarder mon chemisier et de me déshabiller du regard, le salaud! Henri se leva de sa chaise, un petit sourire aux lèvres et se dirigea vers la porte.
-Maintenant, je vous laisse parler ensemble, Réfléchissez bien! Nous sommes la dernière compagnie à pouvoir investir chez vous!
Il quitta la pièce. J'avais le goût de pleurer. Carl mit un bras sur mes épaules :
« Qu'est-ce qu'on fait ?
- C'est du chantage !
-T'as raison, on s'en va !
- Mais Carl ! On a besoin de cet argent, sinon on va couler...
- Je sais, on va faire faillite...
- Mais alors... »
Je respirais difficilement. J'avais les pensées en désordre; il nous fallait cet argent et monsieur Henri le savait très bien. Il savait même que les autres compagnies nous avait fermé la porte au nez.
« Merde, merde, merde! C'est le dernier qui peut investir chez nous ! » criais-je presque.
Carl me regarda dans les yeux...
« Bon, qu'est-ce que ça va changer...? Rien... nous nous aimons, et nous serons maître de notre projet...?
- Mmmm
- Et puis, quoi, tu as déjà sucé quelqu'un d'autre que moi... et en ma présence !
- Ton cousin ?
- Oui, et à l'époque tu as dit que tu aimerais bien recommencer...
- Mais pas... pas... comme ça !
- Oui, je comprends...
- Et Carl, on ne le connait pas, le Monsieur Henri! Et s'il veut t'enculer ? D'accord, tu aimes bien que je te pénètre de mes doigts... mais là, ça ne sera pas la même chose...!
- Mmmmmouais… »
Nous réfléchissions. Étions pris dans un dilemme.
« Il nous faut cet argent ! » jura Carl entre ses dents.
Nous n'avons pas pu discuter plus longuement. Monsieur Henri est revenu dans son bureau, accompagné par une dame de son âge, la cinquantaine, sa secrétaire probablement. Elle tenait des papiers et des crayons dans ses mains.
« Alors, vous avez pris décision ? »
Carl et moi nous sommes regardés. Puis, c'est lui qui a pris la décision, tout seul... Il s'est levé en disant:
« Oui.
- Très bien ! »
Monsieur Henri s'asseyait dans le sofa qu'il y avait dans un coin de la pièce.
« Madame Sonia fera les papiers pendant que... »
Carl était debout, moi toujours assise, les mains entre les cuisses. Carl s'avança vers monsieur Henri, et s'agenouilla devant lui, entre ses jambes. Monsieur Henri lui dit:
« Alors, c'est vous qui prenez les choses en main ? »
Il souriait, Monsieur Henri, en direction de mon amour à moi, qui était à genou entre les jambes de ce vieux porc. Je ne voyais pas le visage de Carl qui lui dit, la tête relevé vers lui :
« Quatre étapes hein ? Nous en avons l'assurance...?
- Mais bien sûr... »
Je vis mon homme dézipper le pantalon de Monsieur Henri. Celui-ci se souleva les fesses pour faire passer le pantalon. Carl lui caressa les cuisses poilues. Il était dos à moi, Carl, et je le sentais respirer fort hésiter. Il tourna la tête vers moi, j'étais comme hypnotisée. Et Monsieur Henri de rajouter :
« Viens là, ma belle... »
Je regardai Madame Sonia qui, sur le bureau, écrivait quelque chose sur les papiers. Elle me fit un petit sourire désintéressé. Je me levai et j'allai soutenir mon homme. Il ne pouvait pas tout assumer tout seul ! Je mis ma main dans ses cheveux, le caressai tendrement, puis m'agenouillai à son côté. Monsieur Henri souriait d'aise:
« C'est bien ça, c'est bien... »
Carl enleva le sous-vêtement blanc de Monsieur Henri, et son pénis sursauta. Il était grand et large. Beaucoup de poils. Il bandait déjà durement. Il était circoncis, Monsieur Henri et son gland était gonflé. Carl regardait l'engin puis tranquillement, avança sa main droite vers ce membre bien dressé. Il enroula ses doigts à la base du pénis de Monsieur Henri, et pressa un peu.
Puis Carl me regarda. Je ne savais pas du tout ce que voulaient dire ses yeux, il me fit un petit sourire de côté, rapidement, fugacement puis revient vers la queue du PDG et avança la tête, ouvrit la bouche, et engloutit le gland de l'investisseur. Il le prit en bouche trois ou quatre secondes, devait jouer avec sa langue sur le gland comme je lui faisais, puis fit sortir le gland d'entre ses lèvres.
Il reprit son souffle, ne me regarda pas et engouffra à nouveau le pénis de Monsieur Henri. Ce vieux respirait fort et regardait mon mec lui faire la fellation. Il se laissait aller, Carl, bougeait sa tête d'avant à l'arrière en aspirant de ses joues.
De sa main, Carl mon amour, branlait la base de la queue de Monsieur Henri en même temps. J'étais fascinée de voir mon homme sucer le financier qui se jouait bien de nous. Puis, Henri me toucha les cheveux, et avança ma tête vers sa queue. Carl me vit de coin de l'œil, sortit le gland de sa bouche, et me tendit le membre du PDG. Je l'engloutis à mon tour, en regardant Carl s'asseoir sur ses talons, et respirer fort, et s'essuyer les lèvres. Il était hypnotisé lui aussi. Mais il revient vers la queue d’Henri, que j'avais toujours en bouche et lui lécha la base, puis les testicules. Henri respirait très fort et tranquillement, il souleva ses jambes, donnant la possibilité à Carl de mieux lui gober les testicules.
Je cessai ma fellation, et Carl remonta le pénis bien dur avec sa langue. Arrivé au gland, il le prit en entier de sa bouche et moi, je me penchai vers les testicules. Et l'anus de Monsieur Henri était là, tout prêt, et je savais bien que les hommes, en cette position (Carl le faisait souvent) aimait se faire lécher... je le fis sans y penser vraiment, j'insérai ma langue dans le cul de Monsieur Henri et je l'entendis gémir de plus belle, il aimait vraiment ça le cochon !
Nous avons continué, Carl et moi, ainsi un bout de temps. J'avoue ignorer combien de temps dura cette fellation orchestrée par deux jeunes entrepreneurs dans le but d'un investissement. Monsieur Henri gémissait, il se laissait aller et se tenait les jambes bien hautes.
« Mais qu'est-ce que vous attendez ? dit-il entre deux râles, mettez moi un doigt dans le cul ! »
J'entendis Sonia glousser, je me relevai et la regardai; elle avait soulevé sa jupe et se masturbait. Carl aussi avait cessé de sucer Henri, et lui et moi nous sommes regardés, estomaqués. Puis, il lécha son majeur, et le descendit vers l'anus ouvert et bien mouillé d’Henri. Il l'enfonça, et je repris la queue dans ma bouche. Et il éjacula aussitôt. Je reçu un premier jet dans ma gorge, je libérai le pénis puis me mit à le masturber. Le sperme jaillit. Carl, un doigt dans le cul de monsieur Henri, était fasciné par la situation. Il faisait un va-et-vient tranquillement puis enleva son doigt visqueux. Henri baissa ses jambes et resta sur le divan, fatigué en râlant encore.
« Wé... vraiment, c'était bon... merci ! Votre projet est prometteur... »
Il nous caressa les cheveux. Je me levai debout. Carl resta un instant à genoux, à reprendre son souffle. Il se rendait compte de ce qu'il venait de faire...
« Venez ici mademoiselle ! »
La voix de Sonia était autoritaire. Elle tourna un dossier vers moi, c'était notre contrat.
« Veuillez signer ici je vous prie. »
Le contrat stipulait qu'il faudrait quatre rencontres avec monsieur Henri et madame Sonia avant que leur boite daigne à nous verser l'argent... Carl vint près de moi et dit, en regardant le dossier :
« C'était ce qu'il avait dit... »
Je me retournai vers monsieur Henri, que nous venions tout juste de pomper et de faire jouir, il était toujours bien assis dans le divan et récupérait ses forces en nous regardant, somnolent.
« Je tiendrai parole. Signez et Sonia vous recontactera... »
Je pris le stylo tendu et posa ma griffe. Carl aussi. Nous venions de franchir une grande étape, et un mur. Sonia nous gratifia d'un sourire, nous remercia, et Carl, gêné par la situation, prit le chemin de la porte. Sonia me demanda de rester un peu, se leva, et me glissa quelques mots à l'oreille. Je hochai la tête, abasourdie, puis sorti, avec un dernier regard vers le PDG somnolent qui avait bien joui d'une superbe fellation fait par un homme et une femme accompagné d'une insertion de doigt dans son cul...
Carl me demanda, curieux :
« Qu'est-ce qu'elle t'a dit ?
– Je t'en parle à la maison...
– Laisse-toi faire... »
Il était nu sur le lit, Carl, et bandait de belle manière. Entre ses jambes, je m'appliquai à le sucer, magistralement, enfonçant son pénis jusqu'à la garde. Je me masturbais en même temps et une fois mes doigts bien huilé, je lui mis un index dans le cul, Carl aimait bien que je le doigte en le suçant, et cette fois-ci, j'y allais rapidement en son anus. Il gémissait vraiment fort, et me donnait des coups de reins en même temps, soit pour m'enfoncer sa queue plus en bouche, ou pour m'encourager à aller plus loin et plus fort entre ses fesses.
Puis, tout seul, sans que je l'invite, Carl se tourna et se mit à quatre pattes, me montrant ses fesses. Je tendis la main pour prendre notre gode-michet, pénétrai Carl de nouveau avec deux doigts, avant de lui enfoncer notre gode. C'est lui qui maintenait le rythme, plus rapide et il s'enfonçait notre objet loin dans le cul. Il couinait, jouissait du cul, et bandait dur. Il aimait se faire enculer, mon amour...
Puis son corps entier se mit à trembler, il s'allongea et enleva lui-même notre gode de son cul. Il avait joui et n'avait pas éjaculé. Je lui caressais les fesses, qui tressaillaient encore.
« C'est ça que Sonia m'a dit avant de partir... de bien te préparer avant ta... rencontre privée... »
Carl me regarda, ébahi. Puis il se recroquevilla et ferma les yeux :
« Oh merde. »
A suivre dans deux jours !
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