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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Bises libertines,
Sophie

Aujourd’hui, je m’en vais vous conter ma petite aventure avec ma copine de la fac. Il faut dire que je la reluque depuis un moment, et que j’ai très envie de coucher avec elle depuis des semaines. Nous avions eu une brève aventure deux ans auparavant, mais rien depuis…

 

Ce matin-là, vers dix heures, nous sommes partis de chez elle, un petit village français à la frontière Franco-Belge, pour une randonnée de trois jours. Après avoir marché pendant toute la journée, il était à peu près dix-sept heures quand nous sommes arrivés au camping, là où nous allions passer la nuit. Une fois les tentes installées et le repas expédié, j’étais bien excité comme quand on se retrouve seul avec une gonzesse dans un camping presque désert. Elle était super bandante dans son petit haut bien échancré et son sort ultra-court.

 

Même si j’étais déjà très excité, elle, elle ne le semblait pas particulièrement. Puisque nous avions encore beaucoup de route le lendemain, je lui proposais d’aller prendre une douche ensemble, avec bien sur une idée derrière la tête…. Elle me dit d’y aller et qu’elle allait me rejoindre, et du coup, je ne fermai pas la porte pour elle. Une fois dans la douche avec ma bite en pleine érection, je commençai à faire couler l’eau en l’attendant.

 

Comme après de dix minutes elle ne venait toujours pas, je décidai de commencer à me laver et m’enduisais de savon. Soudain, alors que je me rinçais les cheveux les yeux fermés, je ne l’ai pas entendue arriver, elle saisit ma queue toujours dure, et commença immédiatement à me tailler une pipe.

 

Sur le coup, j’ai été un peu surpris, je l’avoue, surtout car nous n’avions plus eu de relations depuis près de deux ans. J’en mourrais d’envie, mais je ne pensais pas qu’elle serait aussi entreprenante ! Je commençai alors à lui caresser les cheveux, je ne savais trop que faire pour lui rendre ce plaisir intense qu’elle me donnait.

 

J’ouvris les yeux, je la découvris encore plus belle que j’avais imaginé qu’elle serait depuis nos dernières relations. Ses seins étaient devenus encore plus beaux et toujours aussi fermes. Néanmoins, je m’aperçus qu’elle avait oublié l’épilation de sa petite chatte.

 

Ce n’est pas cela qui allait m’arrêter : je la couchai dans la douche et commençai à la pénétrer de ma langue. Je léchais consciencieusement chaque repli de sa grotte trempée, avalant avec plaisir son nectar parfumé. Elle finit par jouir bruyamment, mais pas encore suffisamment à mon goût. Pour augmenter son plaisir, je me mis alors à lui masser les seins, et lui picorer le clitoris de la langue. A chaque passage, je sentais que des spasmes lui traversaient son corps. Ne pouvant plus me retenir de la voir jouir et trembler de plaisir, je lui écartais les lèvres de la chatte des doigts, et avec douceur, je lui enfonçai ma bite au plus profond de son corps chaud et humide.

 

En quelques secondes, elle eut alors un orgasme qui manqua de peu de l’évanouir. Pris de peur devant cette réaction inhabituelle, j’eus alors juste le temps de me retirer et lui éjaculer sur le ventre et sur les seins.

 

Pour lui faire reprendre des esprits, je lui massai pendant un bon quart d’heure les seins et sa fleur épanouie et offerte avec ce gel de massage entièrement naturel. Après cette séance de plaisir intense, nous nous lavâmes mutuellement avant d’aller nous coucher, vidés mais comblés.

 

Le lendemain matin, nous partîmes très tôt car nous avions encore du chemin à parcourir. Aucun de nous n’avons parlé de notre étreinte brulante de la veille. Au soir, nous arrivâmes comme prévu dans une petite auberge de village, où nous avions déjà réservé une chambre. Nous avions ainsi bien plus de temps et de tranquillité dans la chambre durant lequel je lui avais sauté dessus, sans préambule. Immobilisée, couchée sur son lit, j’eus alors à ce moment-là une forte envie de lui ôter sa petite jupe qui lui allait à ravir. Pourtant, comme je craignais que nos voisins nous entendent, je m’en abstins. Je me contentai alors de lui glisser une main sous le tee-shirt pour lui caresser les seins tendus sous le fin tissu, et de passer ma main sous sa jupe et sous son slip pour discrètement lui introduire un doigt dans la chatte. Je dévorai sa bouche, à défaut de dévorer ses lèvres intimes. Je voulais lui faire plaisir pour calmer son excitation mais, cela n’eut pour effet que d’augmenter la mienne. Contrariés dans nos envies, nous aillâmes donc, pantalon tendu et culotte humide, prendre notre dîner.

 

En attendant d’être servis je matais sans vergogne les seins, ce qui ne combla pas ma faim, en imaginant dans quelle position j’allais me la taper après le repas.

 

Durant le diner, je sentis qu’elle me caressait l’entre jambes sous la table, en remontant doucement vers ma braguette, qu’elle ouvrit doucement d’un geste sûr. Imaginez ma réaction quand, en plein repas dans un restaurant, une main se met à me masturber lentement… Excités tous les deux à mort, nous ne commandâmes d’ailleurs pas de dessert. Nous courûmes presque pour atteindre la chambre et vite se déshabiller et passer à l’acte que nous préméditions déjà durant le repas. Et au diables les voisins !

 

Une fois arrivés dans la chambre, nous nous engouffrâmes dans la salle de bain, il ne fallût pas plus de quelques secondes pour être nus. Alors que je commençai à me masturber en l’admirant, elle quitta la salle de bain pour revenir avec un rasoir. Sans plus de cérémonies, elle me demanda si j’aurais l’amabilité de lui épiler la chatte. Comment refuser une telle demande ? Pour nous mettre en condition, je commençai à pénétrer sa chatte de ma langue. J’avais plaisir à voir son excitation monter ainsi. Finalement, je me retirai et commençai à la raser. J’attaquai tout d’abord son mont de Vénus par le de petits coups de rasoir, en descendant pour l’approcher de sa chatte. Puis que je lui demandai de se coucher par terre, les jambes en l’air. Malgré ce spectacle ultra excitant, je continuai donc à lui raser l’entrejambes avec précaution. Enfin, je rasais la partie la plus sensible, mettant à nu des lèvres gonflées et rouges de désir.

 

Après cela, je ne pus m’abstenir d’admirer mon travail, avec les yeux, puis avec ma langue. Sans attendre, je lui mis deux doigts dans le vagin et je la léchais en remontant pour atteindre ses seins. Je lui mordillais les tétons en même temps que je faisais des allers-retours avec mes doigts dans son abricot de plus en plus chaud. Elle transpirait de tout son corps comme jamais. Lorsque je retirai mes doigts, je préparai ma bite à pénétrer cette fournaise. Je ne l’avais jamais vue aussi grosse, mais elle n’eut aucune difficulté à rentrer, tant ma copine était trempée.

 

Je me mis alors à l’embrasser à pleine bouche, ce qui décupla mon plaisir. Et c’est ainsi qu’au bout d’une demi-heure de lente pénétration pour faire durer le plaisir j’éjaculai au plus profond de son corps chaud et humide quelques jets de liquide brûlant. Au même moment, elle s’arque bouta dans un orgasme fort et puissant. Nous retombâmes tous les deux sur le lit, épuisés et comblés.

 

Après une bonne nuit de sommeil, et encore une journée de marche durant laquelle nous avions perdu stupidement du temps à cause d’une erreur de navigation, nous dûmes nous arrêter nuit tombante dans un bois. Nous avons monté notre tente rapidement, et pour nous réchauffer avant de nous coucher, nous allumâmes un petit feu. Alors que je la serrais contre moi, elle se leva, alla s’asseoir de l’autre côté du feu et se posa sur une pierre. Elle me dit alors de me déshabiller, après une rapide vérification que nous étions bien seuls dans le bois, je ne me fis pas prier plus longtemps.

 

Une fois que je fus nu, elle se mit à en faire autant, nous nous retrouvâmes donc chacun de son côté du feu nus comme des vers. Elle commença alors devant moi une exhibition torride. Elle se léchait les doigts, les mettait dans la chatte ou dans le cul, se massait les seins. Elle me fixait, le regard trouble, visiblement encore plus excitée que moi…

 

Je m’aventurai à lui demander si elle voulait de l’aide, mais elle me répondit que dans les règles de son jeu, c’était non. Je n’en pouvais plus de la voir se masturber, se chiffonner la chatte, elle en bavait même sur ses seins.  Je bandais tellement que j’en avais des douleurs à la queue, mon gland tournait au violet. J’avais beau la masser, la branler je ne pouvais pas m’abstenir de regarder Emilie, et j’avais horriblement mal, une douleur déchirante, inconnue jusqu’alors.

 

Quand, la suppliant presque, je lui dis que je n’en pouvais vraiment plus de désir, elle sauta presque au-dessus du feu pour se jeter sur ma bite et la branler vivement. Cela me soulagea un peu, mais j’avais envie de bien plus. Elle se mit, après peu de temps, à quatre pattes et me demanda de la pénétrer. Je ne me fis pas prier plus longtemps. La croupe offerte finit de m’exciter, si c’était encore possible. Aussi je ne perdis pas une minute, et je la pénétrai immédiatement. A mon grand regret, il ne fallut pas plus de cinq minutes pour lui remplir le vagin bouillant de mon sperme. Elle jouit aussi, en se massant furieusement le clito. Jamais elle ne m’avait donné autant de plaisir, et je m’endormis, épuisé de jouissance.

 

 

Lendemain, nous repartîmes très tôt pour malheureusement déjà retourner chez nous. Je ne pensais qu’à une seule chose en voyant son cul danser devant moi : refaire une telle randonnée de sexe chaud comme ça !

 

 

Par Anonyme et Sophie de R. - Publié dans : Vos contributions - Communauté : LES PORTES DU PARADIS
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