Sophie, marquise de
R.
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Bises libertines,
Sophie
FAUT-IL REALISER SES FANTASMES ? OU LA MEILLEURE FACON DE S’EN LIBERER EST D’Y SUCOMBER
Bien que marié et père de famille, je fantasme depuis toujours sur des rencontres avec un homme. J’ai découvert très jeune lors
de mes séances de branlettes quotidienne, que mon anus réagissait bien à mes caresses, et que d’y glisser un doigt pouvait se révéler très jouissif. D’abord un doigt, puis deux, ma rosette s’est
assouplie et je n’ai pas tardé à détourner des objets de la vie quotidienne pour me goder avec.
Même marié, j’ai continué cette pratique en y prenant toujours du plaisir mais sans jamais avoir d’orgasme proprement anal. J’aimerai
pouvoir partager ce plaisir avec mon épouse, mais de toute évidence elle n’est pas prête. J’adorerai qu’elle me prenne avec un gode ceinture, mais si elle me doigtait en me suçant, cela
suffirait à mon bonheur.
Je faisais discrètement l’achat d’un gode ventouse que j’utilisais lors des petites séances discrètes dans la salle de bain. Monter et
descendre sur cette bite en silicone fixée sur le rebord du lavabo me procurait beaucoup de plaisir, et l’envie d’une vraie queue se faisait de plus en plus pressante. Il ne me fallut pas
longtemps avant de passer à l’acte. Voici comment.
J’écumais les sites de petites annonces, mais je m’apercevais bien vite que j’avais envie d’une queue mais pas de ce qui va avec : le
corps d’un homme ne m’excite pas et les plans glauque voiture ou nature encore moins. Il me fallait quelqu’un qui puisse me recevoir chez lui en toute discrétion. Je me décidais à faire paraitre
une annonce me définissant comme hétéro bi curieux débutant plutôt passif. Les réponses ne tardèrent pas. Je choisissais la réponse la plus rassurante : Daniel, cinquante ans (j’en ai
quartante).
Je me revois encore assis sur son canapé devant un café, tandis qu’il passait ses mains sous ma chemise pour me caresser le torse et
les tétons (que j’ai très sensibles), alors que je ne le trouvais pas du tout à mon goût. Mais décidé à aller au bout de l’expérience, je le laissais faire. C’était un bien piètre amant et je
compris à cet instant ce que doit ressentir une femme dans ce genre de situation : soit rester et subir, soit partir et passer pour une allumeuse immature. Il m’enfonçait sa langue dans la bouche
en soufflant comme un bœuf tant il était excité, et avant que je puisse m’en rendre compte, il avait ouvert ma chemise, défait mon pantalon, baissé mon caleçon et commencé à me sucer comme si sa
vie en dépendait.
Pour la première fois de ma vie, j’ai éjaculé sans vraiment bander et sans jouir. Mais le fait de le voir se régaler de mon sperme
étalé sur mon ventre m’a soudain excité et provoqué une belle érection. Je lui ai alors remis ma queue bien raide dans la bouche et il ne s’est pas fait prier pour me sucer pendant de longues
minutes en grognant et s’interrompant juste pour me glisser des « hum elle est trop bonne ta queue » ou « je le régale de ton venin ».
Je finis par lui envoyer encore quelques giclées qu’il s’étala sur le visage en se servant de ma bite. Il était aux anges et voulu
m’embrasser, mais je me détournais.
« Oh ! Mon trésor ! J’ai joui dans mon pantalon comme un cochon sans même me toucher ! » me confia-t-il.
-
Après la douche la plus rapide de ma vie, je prenais congé sans pouvoir masquer mon malaise et ma déception. Il me rappela bien vite
pour me demander de revenir une autre fois. Je déclinai. Il me fit alors une cour assidue et très glauque par SMS (j’ai faim de ta queue, j’ai hâte que tu reviennes dégourdir mon petit
cul…).
Encore une fois, je comprenais beaucoup mieux ce que pouvait ressentir la gente féminine dans ces cas là.
Cette expérience m’avait plutôt dégouté, mais quelques jours plus tard, je recevais un mail en réponse à mon annonce accompagné d’une
photo d’un caleçon moulant, joliment rempli et d’un portable. Ne voulant pas rester sur un si mauvaise impression, je prenais rendez-vous avec Franck, homo assumé de trente-cinq ans. Une fois
chez lui, j’étais à deux doigts de m’enfuir, lorsque sentant mon malaise, il me prit dans ses bras et posa délicatement ses lèvres sur les miennes.
Ce baiser d’une infinie douceur me fit bander immédiatement. Nos langues firent connaissances tandis que nos mains partirent à la
découverte de nos corps. Je sentis à travers le tissu de son pantalon une bite bien dure. J’étais ravi de lui faire de l’effet. N’y tenant plus, je m’asseyais sur son lit pour pouvoir
confortablement libérer une belle queue de taille respectable, mais pas effrayante, et surtout magnifiquement courbée vers le haut et qui restait naturellement plaquée sur son nombril. La hampe
me sembla plus large que la mienne, et elle contrastait avec un gland petit et pointu. Je commençai par embrasser et léchouiller la première chose à ma portée : une belle paire de couilles
rasées.
Puis avec de grands coups de langue, je remontais le long de la hampe pour gober et engloutir son gland que je pressais contre mon
palais avec ma langue pour mieux le gouter. Quelle douceur et quelle souplesse en bouche ! Quel plaisir d’aspirer lentement cette bite pour enfin la pomper bien à fond ! Bien vite, mon
amant se retira de ma bouche pour ne pas y jouir.
Nous nous déshabillâmes et nous allongeâmes. Il me rendit la politesse en engloutissant ma queue qui reprit vite de la vigueur,
tandis que son majeur massait délicatement mon anus. Sa bite et son cul étant hors de portée, je me laissai faire me contentant de lui faciliter l’accès à ma rosette. Avec quelques gouttes de
gel, il fit glisser son doigt dans mon cul avec un mouvement de va et vient pivotant, rapidement rejoint par son index et son medium qui me dilataient délicieusement. J’étais aux
anges.
Quand il pressa tendrement son gland sur ma rosette, je sus que mon dépucelage serait réussi. Pour lui signifier mon accord, je lui
demandai d’enfiler une capote. J’ai adoré le voir à genoux entre mes jambes, se dérouler le préservatif sur sa belle queue et ensuite se branler tranquillement avec une bonne dose de
gel.
Son gland pointu est entré sans problème mais sa hampe a nécessité de nombreux va et vient et une autre dose de gel. Peu à peu, mon cul
s’ouvrait, laissant passer cette bite plus large que mon gode. Il replia mes genoux sur ma poitrine et fini de m’enculer jusqu'à la garde. La sensation de dilatation était déjà intense mais que
dire du frottement qui comblait mes chairs lorsqu’il se mit à me besogner lentement mais fermement ? Je gémissais de plaisir. Il se retira me demandant de me mettre en levrette.
Un bref instant, sa queue vint se loger sous mes couilles, puis glissa dans ma raie et sur ma rosette. A cet instant, j’ai eu l’exquise
impression d’avoir à la place du cul une chatte ouverte et bien glissante. Une fois sa cible verrouillée, me tenant par les hanches, il me remplit sans hésitation cette fois-ci. A grand renfort
de gel, le rythme de ses va et viens s’accéléra. J’entendais le claquement régulier et si caractéristique de ses cuisses sur mes fesses. Je compris alors ce que pouvait ressentir ma femme dans
cette position.
Instinctivement, je creusais mes reins et en appui sur ma joue, j’écartais mes fesses avec mes mains pour lui offrir complètement mon
cul, pour mieux me faire défoncer. Je me sentais femelle et m’abandonnais totalement à cette queue qui me faisait soupirer de bonheur et à ces coups de reins qui me coupaient la
respiration. Ma jouissance cérébrale était intense.
Puis il s’immobilisa pour me relever sans déculer. Il m’embrassa dans le cou, une main pinçant et agaçant mon téton et l’autre me
branlant doucement. Je tournai la tête pour trouver sa bouche et sa langue. Peau contre peau Il me roulait une pelle d’enfer sa bite bien plantée au fond de mon cul ! Humm trop bon ! Nous
nous rapprochâmes de la tête de lit pour que je puisse m’y appuyer : la courbure naturelle de sa bite convenait parfaitement à cette position.
Cette fois, c’est moi qui descendais pour venir m’empaler lentement sur sa queue : j’ouvrai au maximum en reculant, puis resserrai mon
anus en remontant. Il en profita pour remettre du gel. Je voulais profiter au maximum de l’instant et pour mieux sentir cette queue je me déhanchai et m’empalant. Mon amant avait l’air
d’apprécier cette caresse, car il se laissa faire un bon moment. Il devait surtout avoir une vue d’enfer sur mon cul qui se déformait pour avaler son chibre.
Puis reprenant la direction des opérations, il me saisit par les hanches et reprit ses coups de boutoirs en reprenant un rythme
soutenu. Sentant venir l’apothéose, je commençai à me branler. Puis je le sentis se cabrer et pousser un cri de jouissance presque féminin et très émouvant. Je me souviens encore des
palpitations de sa bite lorsqu’il se vidait par saccades. Je ne tardais pas à gicler moi aussi.
Je garde un merveilleux souvenir de cette rencontre. Pendant quelques jours, chaque fois que je contractais mes sphincters, une
délicieuse irritation me rappelait mon amant et me faisait bander. A mon grand regret, il déménagea assez loin avant que je ne le recontacte. Il faut dire que qu’une fois assouvies, mes pulsions
bi peuvent mettre assez longtemps avant de me reprendre. Quoiqu’il en soit, j’avais passé un cap et je n’aurai plus de scrupules à céder à mes tentations dès qu’elles me reprendraient…
Daniel, mon premier amant, à qui je repense toujours avec un mélange de dégout et d’excitation, continuait de me poursuivre de ses
avances sans se décourager. Ses mails et ses sms terminaient invariablement à la poubelle mais sa persévérance fut récompensée quand il me proposa une partie à trois avec sa copine
Huguette. J’en avais toujours rêvé. Rendez-vous fut pris un samedi après-midi chez lui.
Huguette est une brune, cheveux court d’une cinquantaine d’année assez grande et fine, avec un visage très ordinaire et des hanches
assez larges. Pas vraiment ce qu’on peut appeler une belle femme. Assez timide et réservée au premier abord, elle masquait bien son jeu. Elle nous servit le café au salon. Assis sur le canapé
Daniel, égal à lui-même, avait déjà sorti ma queue en semi érection qu’il couvrait de bisou et papouille.
Huguette s’installa sur le fauteuil en face, visiblement très intéressée par ce qu’elle voyait. J’essayai tant bien que mal de boire
mon café tandis qu’il m’aspirait la bite maintenant bien dure car la présence de notre voyeuse m’excitait beaucoup.
« Huguette viens gouter comme elle est bonne, » lui dit-il en tirant en même temps sur mon pantalon et mon caleçon.
Elle vint s’agenouiller, et ils se mirent tous les deux à me sucer la bite en même temps leurs lèvres et leurs langues se joignant sur
mon gland, se disputant pour m’engloutir. J’étais tellement dépassé par les événements que je n’en ai pas vraiment profité. Le plaisir arrivait bien trop vite, et j’étais sur le point de jouir
lorsque le téléphona sonna.
C’était un des fils de Daniel qui l’index sur la bouche nous fit signe d’aller dans sa chambre. Huguette se déshabilla laissant
apparaitre des seins qui pendaient en gant de toilette (avec la savonnette au fond !) heureusement garni de deux belles myrtilles en guise de téton. Elle s’allongea sur le lit. Je tétai
directement ses myrtilles, puis descendis tranquillement sur son ventre pour aller me livrer à un de mes exercices favoris : le cunni.
Je découvris alors dépassant d’une toison assez fournie, deux belles nymphes bien charnues. Je n’en avais jamais vu d’aussi
grandes.
Je jouai à les joindre puis à les écarter comme deux ailes de papillon avant de les sucer, de les aspirer, de les mordiller comme deux
petites escalopes. Son clito commençait à pointer. Je le dégageai délicatement de son capuchon pour l’agacer du bout de langue, ce qui fit sursauter ma partenaire avant de le laper
consciencieusement. Puis je me décidai enfin à la gouter cette belle chatte en plongeant ma langue dans son vagin. Un parfum puissant et bien affirmé de fruit mûr envahi ma bouche et mes narines.
Je me régalais. Je lui bouffais la moule quasiment en transe tandis qu’elle ondulait du bassin. Elle me fit passer sur elle en 69 et engloutit, mon paf.
Je ne tardai pas à sentir sur ma rosette une caresse d’une infinie douceur que je ne connaissais pas : c’était Daniel qui nous avait
rejoint et qui me léchait le cul. Sa langue dure comme une petite bite essayait de me pénétrer. Non seulement la sensation est extraordinaire, mais cette caresse a le don de m’ouvrir le cul et de
me cambrer comme une chatte en chaleur.
« T’aimes ça, on dirait hein ? » me dit-il en m’enfonçant directement deux doigts dans le cul bientôt suivi d’un troisième.
Oui j’aimais. Et d’ailleurs je m’attendais à ce qu’il remplace ses doigts par sa queue. Je me tournai pour m’assurer qu’il mette une
capote et du lubrifiant mais je découvris une toute petite queue.
« Je suis trop petit et trop sensible pour être actif, » se justifia-t-il.
Il continua à me fouiller le cul avec ses doigts jusqu’à ce que lâchant ma queue, Huguette m’ordonne dans un souffle :
« Viens, baise-moi ! »
Elle se positionna en levrette. Ses « grandes »petites lèvres qui pendouillaient m’excitaient beaucoup. Je m’enfonçais difficilement
dans son vagin contracté qui m’éplucha littéralement le prépuce. Je fus très surpris de l’entendre jouir après quelques allers et retour à peine. Je voulu continuer, mais elle se laissa tomber
sur le lit.
« A mon tour, » s’écria Daniel qui me tendait une capote.
Tandis que je m’équipai, il se mit lui aussi en levrette bougeant son cul de gauche à droite pour bien exhiber la tête doré d’un plug
en métal fiché dans son anus. Je fus surpris par son diamètre interne lorsque je lui retirai et je n’eus pas de mal à le pénétrer un anus déjà dilaté et lubrifié. D’emblé il m’encouragea
:
« Oui mon trésor vas-y baise prend moi bien fort… »
Je ne me fis pas prier. Huguette avait repris ses esprits et se branlai frénétiquement en nous regardant
« Ah ! c’est bon ! Allez vas-y défonce bien mon p’tit cul ! » continua-t-il.
Je le pilonnai sans ménagement avec un plaisir presque sadique. Puis il appela :
« Huguette ! Vite ! Vite ! »
Je m’écartai pour qu’elle puisse lui gober sa petite bite et recevoir son sperme qu’elle avala d’un trait sans
sourciller
« A ton tour, donne-nous ton jus ! » m’ordonna Daniel.
J’enlevai ma capote. Il se mit a genou devant moi, la bouche ouverte prête à recueillir mon jus, rejoint immédiatement par Huguette, la
langue tendue et la main toujours sur son clito. Je n’eu pas besoin de me branler longtemps pour gicler tout mon foutre sur leurs visages tant le tableau était excitant. Huguette se tendit
et jouit les yeux fermés en silence, tandis que Daniel aspirait directement à la source les dernières gouttes en pressant ma bite entre son pouce et son index de la base de la hampe vers mon
gland.
Il répéta plusieurs ce geste pour bien s’assurer qu’il n’en perdait pas une goutte. Puis ils s’embrassèrent à bouche que veux-tu et
finirent de se nettoyer mutuellement le visage.
J’eus la présence d’esprit tandis que Daniel était sous la douche de prendre le numéro d’Huguette, car j’étais fasciné par sa chatte.
Je ne pourrai pas expliquer le plaisir d’ouvrir son sexe et écartant ses magnifiques petites lèvres...
Et c’est au moment de partir que pour la première fois, nous nous embrassâmes et que nos langues se donnèrent un petit
aperçu de nos prochains ébats.
SIgné : Dejuli Cesare
Mais tu dois oser, au moins tout seul, comme lui....
Qu'est-ce qui t'en empeche ???
En effet, c'est pourquoi le dialogue est primordial dans ce genre de situation !
Tu souhaiterais à trois, mais comment ? Deux hommes ou deux femmes ?
En effet, on se lache plus dans un couple libertin, et parfois, on fait d'excellentes decouvertes !
Sympa.. j'aime bien aussi... ;-)