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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Propriété intellectuelle

Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Séverine, jolie blonde de vingt-huit ans, est gérante d'un salon de coiffure dans un quartier huppé de la ville. Elle est mariée à Éric, trente et un ans, très séduisant, cadre dans une société d'import export.

 

C'est un couple sans histoire, très fidèle, même si depuis quelques temps, Éric a des idées un peu libertines. Il a proposé à sa ravissante épouse, de faire intervenir une femme dans leurs ébats érotiques.

 

En clair, une partie à trois.

 

Mais Séverine s'est toujours farouchement opposée à cette proposition, sauf que depuis quelques jours, elle a embauché une stagiaire, Nina, jeune métisse de dix-huit ans, pour qui elle sent une attirance particulière.

En effet, elle est fascinée, comme hypnotisée par cette superbe fille, même si,

dans ses rêves les plus fous, jamais elle ne s'est imaginée faisant l'amour avec femme.

 

C'est aujourd'hui lundi, jour de fermeture du salon, que Séverine doit assister au vernissage d'une de se clientes. Elle sort du bain, se contemple devant la glace. Elle se trouve très belle, et elle l'est. Ses mains parcourent son corps. Les seins, les hanches parfaitement galbées, jusqu'au fin duvet du pubis. Mais les doigts en veulent plus. Le majeur, plus audacieux, court sur la fente, ouvre les lèvres humides. Il est vite rejoins par un autre doigt, qui lui, excite le clitoris.

« Oh bon sang, gémit-elle, ce serait dommage de gâcher mon plaisir maintenant, je peux quand même attendre ce soir pour en faire profiter mon Éric… »

 

Elle est tirée de ses polissonnes caresses, par la sonnerie de la porte. Elle enfile vite un court peignoir, et va ouvrir.

« Nina, bégaie-t-elle surprise, rentre, que t'arrive-t-il ?

- C'était pour savoir si vous pouviez arranger mes cheveux pour le vernissage.

- Bien sur, accepte Séverine, je prends une chaise, et on passe dans la salle de bains. »

 

Nina est vêtue d'une jupe ample, qui arrive à mi-cuisses et d'un petit haut décolleté, qui ne cache pas grand chose de sa magnifique poitrine. Séverine se sent mal à l'aise devant l'assurance tranquille de la jeune fille.  Une fois installées, le travail peut commencer.

 

Séverine est obligée d'écarter les jambes pour éviter les genoux de la stagiaire.

Du coup, le peignoir s'ouvre, laissant apparaitre la naissance de l'entre cuisses.

Le visage de Nina s'éclaire d'un large sourire. Sans plus de façons, elle pose une main  coquine sur la cuisse de sa patronne. Celle-ci a un mouvement de recul, mais ne repousse pas la main.

« Oh ! dit-elle, mais, que fais-tu ?

-N'aies pas peur ma chérie, rassure Nina, j'arrête si tu veux. »

 

Séverine hésite, mais la chaleur qui monte au creux de son ventre, la trahie. Son corps, curieux, veut savoir, il exige. C'est l'occasion ou jamais de sauter le pas.

Elle se débarrasse du séchoir, et de la brosse à cheveux. Elle ferme les yeux, et

appuie ses mains sur les épaules de Nina. La jeune stagiaire comprend la demande implicite, et lui lance un sourire radieux. D'un geste maitrisé, elle dénoue le peignoir, et le fait glisser le long du corps de la coiffeuse, qui se retrouve nue, entièrement offerte au regard gourmand de la jeune stagiaire

 

D'un geste plein d'assurance, Nina caresse les cuisses, les hanches, remonte jusqu'aux seins, orgueilleusement dressés. Puis, sans hésiter une seule seconde, les doigts fins, plongent sur le triangle blond. Ils ouvrent délicatement les lèvres intimes, et pénètrent doucement, presque tendrement, la chatte perlée d'humidité.

« Hou...souffle Séverine, que c'est bon.! Mais ce n'est pas bien ce que tu me fais... »

 

Sans plus s'occuper des timides protestations de Séverine, les doigts de l'autre main s'occupe du clitoris, totalement sorti de sa capuche.

« Détends toi ma chérie, dit Nina, je vais bien te doigter, te branler... Tu vas voir comme tu vas aimer! Je vais te faire couler la chatte comme une fontaine de plaisir... Vois comme tu bouges ton cul déjà... Tu caches bien ton jeu ! En fait, tu es une petite salope toi... »

 

Séverine donne de violents coups de reins, annonciateurs de jouissance. Elle ouvre grand la bouche pour hurler de plaisir dans un puissant orgasme.

« Assez, sors tes doigts...ho, ho... Laisse-moi te caresser...                    

 -Tu y tiens vraiment ma chérie ? sourit Nina. Pousse-toc que je puisse me lever. »

 

Une fois debout, Nina ôte le petit haut, et libère ses seins qu'elle frotte contre ceux de Séverine. Puis elle saisit le poignet de la coiffeuse, et dirige la main vers son bas ventre. Innocente, Séverine se laisse guider. Sa main remonte lentement sous la jupe, caresse les cuisses, va plus haut.

 

Et là, surprise.

 

Sa main rentre en contact avec une paire de couilles, et un membre en érection, dont les mensurations, n'ont rien à envier à celle d'un mâle normalement constitué. Elle retire sa main comme si elle s'était brûlée.

« Oh... mais tu n'es pas une fille ! C'est quoi ça ? bégaie-t-elle, totalement ahurie par sa découverte....

 

La jeune stagiaire sourit :

« Tu ne t'es doutée de rien ? Je suis en fait une transsexuelle. Je dois être bien faite, alors pour qu'une professionnelle de la beauté comme toi se laisse abuser... »

 

Séverine, encore sous le choc de ce qu'elle vient d'apprendre, veut retirer complètement son bras. Mais le désir reprend le dessus, elle n'a pas encore eu son compte... Elle veut jouir encore...

 

Alors, d'un geste ferme et sur, elle saisit l'énorme bite à pleine main. Elle fait même des va-et-vient sur la colonne de chair, qu'elle décalotte en entier avec une douceur infinie. Elle prend un plaisir trouble à caresser ce pieu de chair, et en regardant l'opulente poitrine de sa stagiaire. Ce trouble l'excite encore plus qu'avant...

 

Nina lui prend le menton, se penche, et lui embrasse tendrement les lèvres.

 

L'expérience est nouvelle pour Séverine, excitante, elle est pourtant irrésistiblement attirée par « elle » ? Ou « il » ?

 

Du coup, elle n'hésite pas une seconde. Elle se penche et absorbe presque d'un coupe la grosse queue de la jeune stagiaire, commence à lui tailler une pipe, parce que ça, elle sait faire.  Même si d'habitude, elle rechigne à en faire une à son mari...

 

De l'autre main, elle froisse les couilles gonflées entre ses doigts, comme du papier journal. Nina gémit sous la langue qui se démène, et appuie sur la tête de sa patronne pour la forcer à l'avaler toujours plus loin. Séverine réussit à gober les vingt-deux centimètres de chair épaisse. Elle étouffe presque, mais ne voudrait pour rien au monde laisser partir cette colonne de chair si bonne à sucer.

 

La trans se tord et crie de plus en plus fort, emboitée jusqu'au pubis dans la gorge de sa patronne.

Au bout de longues minutes de cette gorge profonde, Nina prend la tête de Séverine, et la force à se lever. Elle lui donne un sulfureux baiser, où la salive se melange avec le liquide clair de son excitation.

 

« Appuie-toi contre le lavabo, lui dit-elle, je vais te niquer à fond maintenant. Je veux te emplir de mon jus d'amour...»

 

C'est une proposition qui ne se refuse pas. Séverine se cambre au maximum pour offrir sa croupe. Elle agrippe au rebord du lavabo, poussant le plus possible son bassin vers le haut. Elle se veut impudique, offerte, ouverte à ce qui l'attend...

 

Nina s'avance, taquine la chatte avec son gland imbibé de salive, le frotte contre le clito bien dur... Cette caresse arrache à Séverine des miaulements de plaisir.  La jeune trans frotte même la rosette entr'ouverte, qui frémit sous la brève poussée.. On dirait que cette fleur ne demande qu'à s'ouvrir... Mais Nina décide de commencer par lui remplir le vagin.

 

Alors, elle pose son gland massif contre les lèvres gorgées d'excitation, et pénètre l'orifice accueillant sans aucune difficulté.

« Eh bien, ma belle salope, tu es trempée comme une chienne ! »

 

Pour toute réponse, Séverine lâche un petit « hum » de plaisir.

Elle envoie sa main entre ses cuisses et saisit les énormes testicules de Nina.

« Oh putain !  C'est pas vrai ! Quelle paire de couilles ! Et cette bite qui m'ouvre en  deux... Vas-y ma chérie, défonce-moi la chatte bien profond ! Oh oui, bourre-moi ! C'est pas mon mari qui me baise comme ça ! Oh ouiiiiiiiiiiiii !!! »

 

Nina la ramone à fond, la levrette permet au gros pieu de buter contre la matrice de la coiffeuse. Elle est baisée avec tant de force, qu'elle a peine à ne pas tomber. Elle accompagne les coups de boutoir pour mieux sentir le mandrin ramoner sa chatte en feu. Sous le rythme effréné de cette pénétration hors-normes, Séverine a un deuxième orgasme, aussi fort que le premier.

 

Nina se retire, excite le petit trou  si accueillant quelques minutes plus tôt avec le bout de son membre. Séverine n'aime pas que son mari la sodomise, elle a mal, elle se sent « sale ». Mais là, une force inouïe la pousse à tout accepter de la shemale...

Elle murmure :

« Allons à la chambre, j'en veux encore... Tu pourras m'enculer plus facilement, si tu veux.

- Mais mon, trésor, répond Nina, on va être en retard pour le vernissage.

- J'en ai rien à foutre du vernissage de cette vielle peau. Je veux de la queue, bien calibrée comme la tienne ! Ce n'est pas tous les jours qu'on peut se le faire mettre par une trans aussi belle que toi... »

 

Séverine découvre des plaisirs jusque là inconnus, comme caresser la grosse bite et les couilles d'une femme, tout en suçant les magnifiques seins d'un homme, elle ne sait plus... Ou encore faire crier la jeune fille en lui taillant une pipe... Et pour ne rien gâcher, la stagiaire s'avère être un super coup au lit.  Elle est excitée comme jamais, prête à tout pour assouvir la faim de sexe qui la dévore subitement.

 

Dans la chambre, elle se couche sur le dos, et relève haut ses cuisses sur son torse. Elle ne veut pas de levrette, elle veut voir Nina, ses gros seins et sa belle bite en même temps.

Cette dernière se penche, passe sa langue sur  la chatte dévastée et brulante.

 

Puis elle descend cracher sa salive sur le cercle anal... D'un doigt précis, elle s'introduit dans le conduit, et entame un mouvement circulaire pour élargir l'orifice. Il faut que ses  six centimètres de diamètre puissent entrer dans ce qui n'est encore qu'une toute petite ouverture bien fermée.

 

Lentement, avec tendresse, elle masse le cercle brun, qui s'ouvre petit à petit, sous la douce poussée de son majeur. Elle le ressort, l'enduit de la mouille de Séverine qui coule comme une fontaine. Et elle réintroduit le doigt dans le fondement de sa patronne. La jeune femme se tord sous cette caresse, et n'en pouvant plus, se branle furieusement le clito dardé.

 

Nina, toujours excitée par ce qu'elle prodigue à sa patronne, se masturbe de l'autre main. La grosse bite se raidit encore plus, et semble doubler de volume. Séverine suit de ses yeux hallucinés la progression de la main sur qui coulisse sur ce gros pieu. Elle accentue sa propre branlette, et jouit une nouvelle fois, expulsant un flot de liquide que Nina se presse de recueillir, en lâchant son membre hors-normes. Celui-ci touche le nombril si féminin de la jeune apprentie.

 

Et brusquement Nina change sa façon de faire. Elle enfonce presque brutalement deux, puis trois doigts plein de cyprine dans l'anus. Séverine pousse un petit cri de douleur, mais se calme sous le regard soudain dur de son employée. Cette dernière ramone Séverine à fond, et elle ouvre à deux mains le conduit, pour finir de l'élargir. Puis elle sourit, comme satisfaite de ce qu'elle a fait.

« Prête ma chérie ? Tu vas en prendre plein ton joli cul !

- Oui, » ne peut que murmurer Séverine, impressionnée par l'assurance et la lueur presque carnassière qu'elle décèle dans le regard de la trans.

 

Hypnotisée, elle voit le mandrin se poser sur son anus bien dilaté. Et il s'enfonce dans ses chairs, inexorablement. Elle se cambre sous la pénétration, comme pour l'accentuer. Nina, pousse sa queue d'une main, et se pince les tétons de l'autre. Elle masse ses grosses mamelles comme de la pâte à modeler. A mi-chemin, elle s'arrête, puis se retire doucement.

«  Prête cette fois-ci ?

- Prête, mais fais att... »

 

Le mot s'étrangle dans sa gorge, remplacé par un formidable cri : Nina s'est enfoncée d'une seule poussée dans le conduit anal, enfournant en moins de deux secondes ses vingt-deux centimètres au plus profond du corps offert.

 

Nina continue de crier de douleur et pleure, trempant l'oreiller. Petit à petit, sous le va-et-vient plus doux, elle cesse de se plaindre, et ondule son bassin, comme pour en prendre plus.

« Oh comme tu me défonces ! Ta bite est bonne. Penche-toi, je veux toucher ses gros seins. Allez vas-y, baise-moi à fond ! 

- Tu es une belle garce, toi ! Tu te vois, enculée par ton employée, en train de lui masser les mamelles ? Non, tu n'es pas une garce, tu es une chienne qui se fait trouer ! 

- Oh ouiiiiiiiiiiii, je suis ta chienne, bourre-moi à fond ! » miaule la jeune coiffeuse.

 

Nina devient de plus en plus vulgaire. Elle se redresse, faisant lâcher prise à Séverine. En promenant son regard dans la chambre, elle avise un gros tube de crème pour le corps près du lit. Sortant un peu de son nid douillet, Nina se penche et attrape le tube. Elle plonge ses doigts dans la chatte béante qui s'offre à elle, en retire le liquide lubrifiant, et en enduite le tube.

« Non pas ça, gémit Nina, comprenant soudain l'utilisation de son gros tube.

- Oh que si ! Tu vas en prendre plein la chatte, ma belle. Tu as déjà eu une double pénétration ?

- Noooooon, hoquète Séverine, ca me fait un peu peur...

- T'en fais pas, tu vas aimer, comme la grosse salope que tu es ! »

 

Et sans plus de précaution, elle enfourne le tube par le bouchon dans le vagin trempé. Elle commence alors un va-et-vient de plus en plus rapide, coordonnant les mouvements de sa bite et ceux du tube. Ce dernier entre presqu'en entier dans la chatte  ouverte.

 

« Oh oui, vas-y, Nina, défonce-moi le cul, baise-moi ! A fonnnnnnnnnnnnnnd !!!»  hurle Séverine.

 

Puis ses paroles se muent en cris rauques, désordonnés. Elle bouge de plus en plus sur les deux monstres qui lui envahissent les chairs dilatées par tant de grosseur... Nina accélère encore, et la patronne, pousse un cri ultime, qui déchire le silence de la maison. Elle jouit dans un soubresaut qui la fait se cambre à fond. Elle serre tant son vagin que le tube manque d'en être expulsé.

 

Ses cris diminuent, jusqu'à ce qu'elle retombe, tel un pantin désarticulé, cloué sur le lit par un pieu de chair et un tube de plastique.

 

Nina retire ce dernier, laissant devant elle la vision d'un vagin béant et palpitant. Puis elle se penche, saisit à deux mains les hanches rondes, et force sa poussée sodomite. Elle la pilonne de plus en plus, redonnant de la vigueur à Séverine. Mais Nina finit par crier elle aussi son plaisir, lâchant dans les entrailles de la jeune femme un purée épaisse et gluante. Elle se laisse tomber sur elle, toujours emboitée dans son conduit anal.

 

Les deux jeunes femmes se caressent, se sourient, s'embrassent à peine bouche.

« Putain, Nina, tu m'as fait jouir comme jamais avant dans ma vie. Cette double, mhummmmm...

- Tu vois, tu es réellement une belle chienne ! Ton mari le sait ?

- Non, avec lui, je suis plutôt sage, il ne m'excite plus beaucoup... Mais là, j'avoue que tu m'as donné envie d'une vraie double pénétration..

- Il rentre quand, ton homme ?

- Dans pas longtemps. D'ailleurs, je ne sais pas si c'est bien que...

- Tu veux qu'on te prenne à deux ? l'interrompt Nina

- Euh... oui... murmure-t-elle, étonnée de sa propre audace.

- Ok, quand il arrive, tu lui en parles. Et tu vas passer une nuit dont tu te souviendras toute ta vie...

- D'accord, ma chérie, je ferai tout ce que tu veux... »

 

Elles s'endorment l'un sur l'autre, la dernière sensation de Séverine avant de sombrer est la coulée du sperme tiède entre ses cuisses...

 

Il est vingt heures quand Éric rentre du bureau. Les deux jeunes femmes sortent de la salle de bains en riant, vêtues d'un maillot, et d'une serviette nouée autour de la taille.

« Bonsoir mon chéri, tu es deja rentré ? Je te présente Nina, ma nouvelle stagiaire, elle est belle n'est-ce pas ? Je l'ai invitée à passer la nuit ici, ça ne te dérange pas ? On va piquer une tête  dans la piscine pendant que tu nous sers l'apéritif, ok ? »

 

Éric hallucine. Il dévore, les yeux grands ouvert, les deux superbes créatures qui sont devant lui.

« Heu...mais... Bien sur mon amour... ¨Pas de problème, je m'occupe de ça... »

 

Il ne peut détacher son regard des deux bombes qui quittent le salon. Mille pensées érotiques traversent son esprit. Petit à petit, il refait surface, et réalise l'opportunité qui s'offre à lui.

Son épouse aurait-elle adhérer à sa requête, à savoir faire une partie de cul à trois ? Il n'ose l'espérer, mais cette simple pensée le fait bander illico.

 

Il va prendre une douche pour se calmer, et revient en caleçon de bain, dans l'intention évidente de rejoindre les deux femmes dans la piscine. Trop tard, elles sont assises sur le canapé, un verre à la main, se jetant des regards complices, coquins, vicieux.

« Santé mon chéri, dit Séverine, prend ton verre, viens t'asseoir avec nous. C'est pas souvent que  tu as l'occasion de trinquer avec deux jolies filles. Si tu voyais comme elle est belle toute nue ! »

 

Éric sent le rouge monter aux joues.  Puis, très vite, il se sent redevenir l'étalon qu'il était dans sa jeunesse, une époque où aucune fille ne lui résistait, tant il était séduisant, et bon amant.

Il se penche sur Séverine, et lui murmure à l'oreille :

« Décidément, tu es une femme pleine de surprises.. Oui, je veux la voir nue !

- Tu y tiens vraiment ? répond-elle, et jusqu'où es-tu prêt à aller pour assouvir ton fantasme ??? »

 

Il est si excité qu'il ne perçoit pas l'ironie et la menace qui passent sous cette question...

 

« Deux filles, ça ne va pas te faire trop, est-ce que tu vas assurer ? Et Nina, va-telle accepter ?  

- Demande-le lui, répond-il, sûr de lui. Quant à mes performances, tu les connais, à vous de me tester...

- Vous parlez doucement, mais je vous entends tous les deux, sourit Nina. Bien sur que je suis  partante pour une partie de baise à trois. »

 

Un large sourire éclaire le visage d'Éric...

 

 

A suivre...

 

Par L'Amoureux et Sophie de R. - Publié dans : Les belles histoires de L'Amoureux - Communauté : Au royaume des salopes
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