Sophie, marquise de
R.
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Bises libertines,
Sophie
Il y a quelques semaines, j’étais en déplacement professionnel à Genève. Comme je le fais pratiquement chaque fois que je suis ainsi en voyage, j’explore les lieux de libertinage. Renseigné par le portier de mon hôtel, je me suis rendu au Nymphéa Club où justement ce soir là avait lieu une soirée libre.
Situé dans une belle maison de maître au milieu d’un parc, le club me sembla tout de suite très sélect. Après avoir été accueilli par un portier à la carrure impressionnante, je me suis tout d’abord dirigé vers le bar où j’ai commandé un verre. J’ai ensuite déambulé dans les divers salons très bien équipés et confortables où de nombreux couples se trouvaient déjà, plus ou moins dénudés et plus ou moins avancés dans les ébats libertins. Il régnait partout une lumière rougeâtre atténuée dispensée par des spots qui créait une ambiance excitante, propice à ce que les clients venaient chercher là.
Au milieu d’un des salons se trouvait une sorte de podium, en fait un immense lit rond, où deux filles d’environ trente ans étaient en train de se déshabiller mutuellement tout en échangeant des caresses et des baisers très sensuels. L’une était plutôt petite, environ un mètre soixante, des cheveux très brun tombant sur les épaules, avec un visage mince et une jolie poitrine bien ronde. C’était, à n’en pas douter, une latine d’origine espagnole tant sa peau était mate.
La seconde, un peu plus jeune mais aussi nettement plus grande, avait une paire de seins hauts perchés d’un très beau volume et sa taille mince très cambrée. De longs cheveux noirs venaient parfois lui masquer une partie du visage. Toutes les deux étaient encore en soutien gorge et string. Mais elles n’ont pas tardé à les ôter, et elles sont apparues aux yeux des spectateurs dans toute la splendeur de leur nudité généreuse de femmes matures. Toutes les deux avaient le pubis glabre, dépourvues de piercings et de tatouages ce qui est assez rare dans ce milieu du libertinage.
J’ai su plus tard dans la soirée que la première se prénommait Marilyne et la seconde Manuela. Etait-ce leurs vrais prénoms ? Je n’en sais rien mais cela importe peu. Manuela s’est placée derrière Marilyne en collant sa généreuse poitrine contre les omoplates de sa complice et, prenant ses seins dans les mains, elle faisait rouler les tétons dardés entre ses doigts. Cela devait être bon car Marilyne respirait rapidement, creusant son bas ventre et frottant ses fesses contre le pubis de Manuela. Soudain, elles ont basculé sur le côté et se sont mises dans la position du 69, Marilyne sur Manuela. Elles ont commencé à se caresser les fesses et l’entrejambe puis elles ont poursuivi par un cunnilingus.
D’où je me trouvais, je voyais distinctement la chatte de Marilyne nimbée de mouille dans laquelle Manuela faisait coulisser deux doigts, sa raie des fesses ouverte et son anus tout plissé. Je suppose que le même spectacle devait s’offrir aux spectateurs qui se trouvaient en face de moi car les deux brunes étaient devenues le centre d’intérêt du salon, tout le monde, femmes et hommes les regardaient mais personne n’osait les rejoindre sur le podium. Soudain elles ont joui presque en même temps. Elles ont roulé sur le dos toujours tête-bêche, les cuisses ouvertes et les bras en croix, leurs généreuses poitrines offertes aux regards des voyeurs.
Qu’attendaient-elles ? Qu’un beau mâle vienne les saillir ! Cela ne tarda pas. Un grand noir avec une bite de belle taille dressée devant son bas ventre est monté pour les rejoindre. Il dit quelques mots à l’oreille de Manuela et après avoir mis un préservatif il l’embrocha vigoureusement. De son côté Marilyne avait été rejointe par un des voyeurs qui l’a fit se relever et mettre en levrette. Protégé lui aussi, il investit d’une seule poussée jusqu’à la garde la chatte qui s’offrait à lui. Je n’étais pas en reste, une jolie brunette de vingt ans tout au plus, entièrement nue, très typée latino avec des cheveux tombant à hauteur des reins au dessus de la taille très cambrée, s’était mise à genoux devant moi. Après avoir fait glisser la fermeture de mon pantalon Monica avait extrait de mon boxer ma bite déjà bien bandée et l’avait glissée jusqu’au fond de sa gorge. Quelle fellation ! Elle m’aspirait presque sans bouger, travaillant uniquement avec ses joues et sa langue.
Alors que je sentais que j’allais jouir dans sa bouche, je me retirai et je l’emmenai dans un angle du salon où il y avait un divan. Je fis voler rapidement le reste de mes vêtements et je lui demandai de se mettre elle aussi en levrette.
« Oh oui ! Prends-moi comme cela ! J’adore ! Mais ne me prends pas que la chatte ! Sodomise-moi à fond ! »
Je n’en demandais pas tant. Ma première baiseuse de la soirée aimait se faire enculer. Après quelques mouvements dans son vagin qui était chaud et humide, je plaçais mon gland contre son anneau plissé pour lui signifier que j’allais la prendre par derrière. En fait c’est elle-même qui a introduit ma bite dans son cul en le poussant vers moi. J’ai été surpris de la facilité déconcertante avec laquelle j’étais entré. Ses fesses lovées dans le creux de mes hanches, Monica a entrepris un mouvement tournant tout en massant ma queue avec ses muscles intimes.
Waouh ! Douée la fille et chaude comme la braise ! Nous n’avons pas tardé à jouir tous les deux. Je déversai dans le préservatif une bonne dose de sperme et je sortis de son cul. Elle me le retira et le jeta dans le récipient prévu à cet effet. Nous sommes allés prendre un rafraîchissement au bar où nous avons bavardé un peu avant de nous séparer. D’origine brésilienne elle vivait habituellement à Paris où elle était étudiante.
Au cours de la soirée, j’ai croisé Marilyne que j’ai baisée dans la position de la balançoire. Elle aussi m’a tiré quelques bonnes giclées de sperme. Pendant qu’elle me chevauchait, elle faisait une fellation à un autre participant de la soirée. Elle était insatiable. J’étais le troisième à la baiser et elle ne semblait pas vouloir s’arrêter là. Je cédai ma place à ce lui qu’elle avait préparé et je suis allé rejoindre Kay, une jeune métisse asiatique qui semblait un peu esseulée. Effectivement son copain était occupé avec une autre fille. Nous avons échangé quelques mots et je l’ai prise par le cou pour l’entraîner à l’étage où nous serions seuls. De taille moyenne, elle avait de mignons petits seins pointus, des hanches bien galbées et un ticket de métro bien taillé ornait son pubis. Sa bouche étroite aux lèvres ourlées et pulpeuses appelaient le baiser. Nous avons trouvé une chambre vide où un grand lit nous attendait. Je l’ai baisée à deux reprises dans des positions différentes et tous les deux nous avons bien joui.
J’ai quitté le club vers quatre heures du matin, les couilles vides, mais j’avais passé une excellente soirée. Je pensais à cette jeune métisse en quittant le club en direction de la station de taxis voisine quand j'ai entendu des gémissements. J'ai aperçu celle qui peuplait mes pensées du moment. Assise sur la plus haute marche du perron d'un immeuble d'une rue adjacente, sa robe troussée au dessus de ses hanches, son copain lui dégustait le minou à grands coup de langue en la fistant de plusieurs doigts.
Quand je suis passé à leur hauteur, Kay me regardais comme si elle m'appelait. Mes couilles qui s’étaient vidées à plusieurs reprises au cours de la soirée commençaient à se remplir. Elle était si belle, si sensuelle et gourmande. A quelques mètres, je jouais les voyeurs tellement le spectacle était érotique et excitant. Soudain il s'est mis à pleuvoir de plus en plus fort, ce qui n'empêchait pas les deux tourtereaux de continuer leurs ébats. Elle le repoussa pour se mettre à le sucer si fort que je croyais qu'il allait exploser. Puis il la retourna face au mur où elle prit appui pour maintenir son équilibre. Courbée en avant, il saisit les hanches de Kay et l'embrocha violemment. Elle hurlait de plaisir sous cette étreinte sauvage. La jouissance les emporta en même temps.
J'étais toujours là à les observer. Ils se rajustèrent et virent vers moi qui était toujours figé sous la pluie, croyant rêver alors que ce que je venais de voir était bien réel. Quand ils sont passés à ma hauteur ils ont semblés surpris.
Elle dit quelque chose à son copain et, sans vraiment comprendre ce qui m'arrivait, j'étais plaqué contre le mur à me faire sucer par Kay qui était allée chercher ma bite dans mon pantalon pendant que son compagnon, à genoux entre nous deux lui mangeait la chatte. Je croyais rêver mais c'était bien réel. J'ai éjaculé sur son visage.
Nous étions trempés par la pluie mais j'avais passé une de mes plus belles soirées de coquinerie !
Voilà qui est dit ! bisous à toi...
J'ai tout auttant apprécié que toi...
Mon cher Matou, je n'aurai qu'un mot: Miaouuu !!!!
Je le pense aussi, même si je n'aime pas du tout les montagnes !
J'ai hate de les publier !