Le blog en détails...

  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil

Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Femme
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

Derniers Commentaires

Recherche

Recommandez ce blog à vos amis

Propriété intellectuelle

Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

J’ai pris un peu de temps mais entre le boulot, les filles, le mercredi jour de nos soirées de semaine et les weekends, je ne me rendais pas compte que je n’ai pas tant de temps pour écrire. Je vais te raconter ce qui m'est arrivé depuis mardi 6 novembre, peut être ce sera la suite de ce que tu as mis en ligne, j’ai lu ton blog dimanche, n'étant rentrée que dimanche matin. Je suis rentrée un peu plus tôt que les autres membres de la soirée (en fait le weekend pour moi et Jean) pour aller chercher mes filles à la gare et ensuite leur annoncer la grande nouvelle, que Jean allait venir habiter à la maison.

 

Petite précision, j'aime toujours mon ancien mari, mais seulement pour les années de bonheur que nous avons eues, et il reste le père de Sixtine, qui est celle qui me ressemble le plus. Mais j'ai reçu début novembre, et c'est pour cela que j'ai finalement plongé, une demande de divorce de la part de celui qui m'a vendue comme une traînée, et cela je ne lui pardonnerai jamais.

 

J'ai pris une avocate qui m'a dit que vu le temps passé ensemble, que l'achat de notre maison à Aix avait été fait avec mon argent (à la suite de mon 1er divorce j'avais une somme assez jolie qui nous a permis d'acquérir une bastide dans la campagne aixoise qui vaut maintenant  vingt-deux ans après une petite fortune d’après ce que j’ai pu voir, les prix sont devenus indécents), je devrai avoir une jolie pension de compensation plus une pension pour mes filles encore étudiantes ou lycéennes. Pour la maison, elle m'a dit que le mieux était de vendre, et que notre maison de famille pourrait me revenir, car il l'avait mis à nos deux noms en renonçant à ma pension de compensation, enfin que tout était ouvert mais que François demandant le divorce, c’était à mon avantage.

 

Enfin, c'est en route. Cela me permettra de m'acheter un appartement à Lyon et si je pouvais garder notre maison de famille, je serai la plus heureuse, c'est un petit paradis;
Et après deux divorces, je vais m'arrêter là même si je n'aime pas vivre à la colle ou alors je réfléchirai bien à la situation et prendrai un notaire pour éviter tous ces tracas. L’avocate m’a dit que le souci était la convocation chez le juge, François étant à l’étranger.

Mardi j'ai déjeuné avec Jean, en amoureux. Vers dix-huit heures, je suis allée me faire mettre mes anneaux, la fille était gentille, m'a dit tout ce que je devais faire et à l'heure où je t'écris, je suis très heureuse de l'avoir fait, pour moi.


Je suis allée chez Jean vers vingt heures, il a voulu dîné dans le Vieux Lyon, j'adore me montrer à son bras. Nous nous sommes promenés un peu puis retour chez lui. Il m'a sauté dessus et j'étais contente qu'il le fasse car je n'y tenais plus. Il m'a remplie par tous les trous jusqu'à tard dans la nuit. Il avait pris son mercredi, le matin je l'ai réveillé en le suçant et il a rempli mon vagin de son sperme que j'aime.

 

Puis il a appelé son chien, en disant à Idéfix de prendre sa chienne. J'ai écarté mes fesses à deux mains devant Jean, son sperme coulait et rendait gluant mes poils. Le chien a léché puis m'a monté, moi en levrette obscène. Jean me pelotait les seins en me disant que j'étais vite devenue accro. J'ai joui de le sentir mélanger son sperme à celui de Jean qui avait sa queue dure devant ma bouche, le temps qu'Idéfix se retire, je l'ai sucé. C'était divin.


Nous avons passé le mercredi comme deux amoureux, je l'ai emmené pour la première fois chez moi pour me changer, il m'a prise dans mon salon. Puis nous sommes allés à l'expo Soulages au musée des Beaux-arts. C'est là que je lui ai demandé s'il accepterait, moyennant quelques conditions, de venir habiter à la maison. Il a dit oui en m'embrassant dans le palais Saint-Pierre.


J'étais folle de joie. Dans le parking je n'ai pas pu résister à le sucer. Personne ne nous a vus. C'était une première, il m'a dit que j'étais étonnante. J'ai tout avalé. Il m'a ensuite emmené faire du lèche-vitrine en parlant de tout et de rien.


Le soir, nous sommes allés dîner chez moi après être passé chez lui voir si Idéfix allait bien mais j'ai été sage, Sixtine était là. Je lui ai présenté Jean. Elle était ravie sincèrement pour lui et moi. J'ai été très heureuse de sa réaction mais je craignais plus celles de Pauline et Sophie. Nous avons passé une nuit torride mais je commence à être habitué. Il a dû partir tôt pour se préparer et s'occuper du chien.


Une des conditions est que le chien ne vienne pas chez moi. Je n'ai pas envie de le voir avec les filles ou qu’elles me trouvent avec lui dans une position peu digne de leur mère. Une de ses conditions est de réserver mes weekends à son "club", en gros ses soirées privées. J’ai transigé pour deux voire trois, avec possibilité de faire des soirées une fois dans la semaine pour compenser le weekend manquant.


Jeudi je n'ai pas été très efficace dans mon boulot. J'ai pensé à ma nouvelle vie, à cette décision qui va surement la changer. Et en fin de compte, j'en suis arrivée à me dire que c'était la meilleure chose qui puisse m'arriver. Que Jean était apparu au bon moment. Le soir je l'ai rejoint à son boulot, il m'a emmenée dans la boutique de lingerie mode érotique pour compléter ma garde robe. J'ai craqué pour une robe que je n'avais pas vue la semaine d’avant et des soutiens-gorge seins nus. La nouvelle robe est en fait très courte, décolletée, dos nu et le reste des bandes qui ne cachent pas grand-chose. J'ai pu enlever mes pansements.

 

J'adore mes seins avec les anneaux, j'aurai dû faire ça il y a longtemps. Puis nous sommes rentrés chez lui après être passés chez moi prendre mes affaires pour m'éviter de le faire le lendemain matin. Vers vingt-et-une heures, nous sommes allés chez un des deux couples qui n'étaient pas avec nous durant le weekend, Audrey et Youss, l’autre étant Chiara et Laurent que je verrai les dix-sept et dix-huit novembre.

 

Audrey et Youss sont mariés et leurs enfants étaient chez eux le weekend du trois et quatre novembre, mais ils ont pu se libérer pour le dix et le onze, la mère d'Audrey ayant pris ses fils. Cela a été une soirée normale au début, même si ils m'ont parlé du weekend d'avant et qu'ils aient regretté avoir raté mon "introduction".

 

Des gens bien avec qui on peut parler de tout. Audrey a trente-quatreans, blanche, Youss trente-huit, ivoirien mais né en France. Ce sont les plus jeunes du groupe, enfin je le pensais jusqu'au samedi matin. Après une petite partie à quatre où nous nous sommes bien amusés (j'ai léché Audrey qui est comme moi naturelle, enfin une femme !) et Jean et Youss m'ont prise devant elle qui adore voir son homme jouir dans le vagin d'une autre. Jean l'a prise aussi.

 

Nous sommes rentrés chez Jean, nuit divine, mais nous étions fatigués, nous nous sommes endormis tôt vers 1h30. Mais le début de la nuit a été comme toutes, divine. J'ai joui dans ses bras. Son sexe est fait pour mon vagin et l'odeur de sa peau m'enivre. Le matin, Jean m'a réveillée tôt, Idéfix était content de me voir, après que Jean m'ait remplie, moi attendant sagement qu'il le fasse entrer dans la chambre en levrette. J’ai joui lors de leurs deux éjaculations. Il aime me voir prise par son chien, j'aime qu'il me prenne et que son chien me prenne. Je suis repartie leurs spermes gluants dans mes poils pubiens. J'avoue avoir plongé les doigts en moi pour ne rien perdre dans la voiture.


Vendredi, j'ai essayé de rattraper mon retard dans mon travail, je n'ai pas déjeuné avec Jean mais je suis allée nager à la piscine, cela m’a fait du bien. Il est passé me chercher à la maison vers dix-neuf heures, me demandant de prendre ma robe à lacet ainsi qu'une robe filet, une de celles achetées il y a dix jours et la nouvelle et une tenue de sport. Plus ma lingerie et deux tenues qu'il qualifie de normales mais que je trouvais sexy en diable il y a deux mois.

 

Vers vingt heures, nous étions chez Luc, dans sa jolie maison au nord de Valence. Nous n’étions que nous trois. Nous avons beaucoup discuté de choses et d’autres, Luc préparant le dîner. Puis j’ai posé des questions sur les membres de ce que j’ai appris était une sorte d’association informelle en vue d’organiser les soirées privées. Je n’avais pas trop eu le temps de m’y attarder mais le fait de n’être que tous les trois a permis de m’éclairer. Luc et Jean en sont les fondateurs il y a une dizaine d’années, au moment où ils étaient en couple (Luc avait une maîtresse en France, sa femme qui est blanche vit en Côte d’Ivoire) tous les deux et avaient eu envie de faire de l’échangisme.

 

Ils avaient essayé les clubs, mais l’atmosphère était moins cosy que chez Luc et on ne savait jamais sur qui ont tombait. Ils avaient rencontré Youss, Marc, Laurent et Antoine plus tard  qui les ont rejoints avec leur amie du moment, sa femme pour Youss. Puis des célibataires, ceux que j’avais rencontrés le 3 novembre sauf deux dont les filles redoutaient les tailles des sexes, surtout l’un très large. Il s’agit d’Omar et Alex, l’un du nord de la Côte d’Ivoire, l’autre du Burkina Faso le seul non ivoirien, qui ont la petite quarantaine comme tous à peu près. Les repas sont payés par la cotisation des hommes seuls et une  participation mineures des amis qui sont accompagnés de leurs femmes ou compagnes.

 

J’ai appris aussi que les femmes du groupe peuvent exclure un homme célibataire si il a manifestement manqué de respect. J’ai compris que Serge ne serait pas là le lendemain vu ce que j’avais dit à jean. Les deux m’ont dit que si je voulais il pouvait revenir, au moins essayer de s’expliquer. J’ai dit que peut être plus tard, mais je n’en reviens pas qu’il ait eu cette idée de me vendre.


Globalement, l’association repose sur les épaules de mon homme et de son meilleur ami Luc, les autres venants mais rarement avec des idées. J’ai émis l’idée que ce serait bien de faire des soirées déguisées, ou à thème. Que je pouvais faire la cuisine aidée des filles (j’aime manger exotique mais Luc est un cuisinier peu imaginatif, heureusement que ce n’est pas cela que je cherche rires). J’ai proposé certaines choses mais il faut que les autres couples soient d’accord, en fait les hommes seuls n’ont pas trop voix au chapitre, ce qui me plaît beaucoup. La soirée s’avançait et Jean m’a dit qu’une des règles principales était toutes à tous et tous à toutes.

 

Ils boivent raisonnablement, moi jamais, nous avions les idées claires et j’ai compris que Luc dormirait avec nous. J’étais assez contente j’avoue de les avoir rien que pour moi jusqu’au lendemain matin. Avant que nous montions, j’ai appris que Luc a une épouse blanche mais qui vit à Abidjan avec leurs enfants. Ses revenus lui permettent d’assurer un train de vie confortable à sa famille, sa femme étant également très gourmande comme moi, j’ai compris qu’il organisait également pour elle des soirées à Abidjan. J’ai dit que c’était dommage qu’elle ne soit pas là, et il m’a répondu qu’elle était née là bas et ne connaissait la France qu’en vacances mais que j’étais invitée avec Jean à venir les voir quand il y serait (il partira un mois autour du nouvel an). J’ai regardé mon chéri et j’ai dit un grand oui. Je rêve d’aller en Afrique même si Abidjan me fait peur avec tout ce qu’on voit et raconte sur la Côte d’Ivoire mais accompagnée de Jean je pourrai aller n’importe où.

 

Nous sommes montés tous les trois dans notre chambre et ils m’nt fait l’amour comme des Dieux, me prenant dans tous les sens. Apparemment, ils adorent les doubles pénétrations dont je raffole, ils ont bien profité de ce que j’étais trempée et ouverte à leurs désirs, me prenant en double pénétration anale/vaginale et double vaginale. Je pense qu’ils n’ont pas osé la double anale à ce moment là mais je pense que je les aurai pris tous les deux. Je me suis endormie entre eux, coulant littéralement de leurs semences, ils n’ont pas été avares en spermes en moi, j’ai adoré.

 

Samedi matin, je me suis retrouvée seule dans le lit. La pièce sentait fort de nos ébats de la veille. J’avais encore ma chatte entre ouverte. J’ai entendu des bruits dans la cuisine et suis descendue nue comme un ver. Je les ai trouvé qui parlaient de moi. J’ai fait aucun bruit. Jean disait que j’étais merveilleuse, qu’il allait vivre avec moi et mes filles mais que nous cloisonnerions nos activités et la vie de famille. Luc s’inquiétait de savoir si notre présence serait plus rare aux soirées et Jean a dit que non sauf un weekend réservé aux filles, mais que j’avais été d’accord pour une soirée par semaine contre ce weekend.

 

 Je suis entrée à ce moment là. Je les ai embrassés tous les deux, Jean avec plus de fougue mais je ne résiste pas à sa bouche. Luc m’a dit que j’étais comme la sœur de sa femme, qu’il regrettait parfois qu’elle ne veuille pas venir vivre ici. Il était un peu triste, j’ai pensé que le sucer lui ferait du bien, j’étais entre eux et j’ai senti les doigts de Jean me fouiller pendant que j’engloutissais la grosse queue noire de Luc (un peu moins long que Jean mais un peu plus large).

 

Il a retrouvé son sourire après m’avoir donné mon petit déjeuner au fond de la gorge. Je voulais faire pareil avec Jean mais il m’a dit que ce serait notre récompense du jogging avec Idéfix. J’ai pris un thé (heureusement j’en avais apporté, ils ne boivent que du café). Et après une claque sur les fesses pendant que j’aidais à débarrasser, j’ai entendu dire Jean en tenue ma coureuse ! J’ai souri, je n’aime pas trop courir mais plutôt nager et avec deux beaux blacks, je suis meilleure en chambre qu’en baskets.

 

On s’est retrouvé avec Jean et Idéfix devant la maison, la veille au soir, je n’avais pas vu le chien mais prise par la discussion et ma nuit  je n’y avais pas pensé. J’avais un petit short et un haut moulant masqué par un sweater pris à Sixtine. Il ne faisait pas trop chaud et heureusement que nous avons couru pour se réchauffer. Au bout de trente minutes j’étais au bord de l’asphyxie, Jean courant vraiment bien, il a eu pitié de moi.

 

Nous étions dans un sentier, seuls au monde, avec son chien qui me tournait autour. Après avoir repris mon souffle appuyée contre un arbre, j’ai vu le short de Jean déformé par sa queue. Je me suis lovée contre lui et j’ai descendu en glissant le long de son corps pour me retrouver accroupie ma bouche à hauteur de cette bite que j’adore. Il m’a dit d’écarter mon short qui est assez lâche et je me suis un peu relevée pour permettre à Idéfix d’avoir accès à mes trous.

 

Je sentais que j’allais être prise dans ce sentier contre cet arbre, je commençais à être trempée. Jean commençait à être bien dur dans ma bouche. Il m’a demandé si je voulais être enculée ou saillie. J’ai dit fais comme tu veux mon amour, j’aime les deux. Alors ce sera ton cul que tu vas donner comme une chienne en chaleur à ce pauvre Idéfix que tu n’as pas contenté hier soir.

 

J’ai enlevé mon short comme j’ai pu pour faciliter les choses. J’ai crié quand il m’a prise, sa bave avait lubrifié mon trou, quand il a giclé en moi j’ai cru que cela ne s’arrêterait pas. J’ai joui et j’ai repris ensuite la queue de Jean qui était prête à exploser, je le voulais dans ma chatte plutôt que dans ma bouche il m’a prise debout, j’ai été soulevée comme un fétu de paille et mon ventre a été tapissé de son sperme chaud. Nous sommes rentrés main dans la main, mon short tâché qui trahissait les quantités que j’avais eues en moi.

 

Luc m’a vu arrivé et a souri de me voir aussi tâchée. Je suis montée prendre une douche. Je me suis mise sous le jet dos à l’entrée de la salle de bain, en pensant à tout ce qui m’arrive depuis ce mois de septembre et ma première rencontre avec Jean. A ce moment là, je sens des mains empoigner mes seins et jouer avec mes anneaux. Je me cambre et écarte les cuisses pensant que c’est Jean et dans mon oreille j’entends Luc me dire que je suis très bandante avec mon cul à damner un saint.

 

Je ne me retourne pas, seule ma main cherche sa queue et je lui réponds que c’est le seul de la maison qui ne m’ait pas rempli la chatte ou mes fesses. Il commençait à durcir, ses mots sont devenus plus crus, me disant que j’étais vraiment une nymphomane sans pudeur, alors que mon homme était dans la salle de bain à 10 mètres , que je sentais le sexe même douchée, qu’il aimait mon parfum de putain blanche.

 

Je guide sa queue vers ma chatte mais lui se mets entre mes fesses, je tends mon cul vers lui et doucement il entre dans mon anus encore un peu ouvert de l’enculade du chien. Il m’a prise un moment comme ça puis malgré mes suppliques est sorti de moi. Il m’a prise dans ses bras et m’a prise lui dos au mur moi dans ses bras, mes jambes ne touchant plus terre. L’eau coule encore au moment où je sens mon ventre envahi de son sperme. Nous sommes tombés sur le sol, je l’ai embrassé à bouche que veux-tu.

 

 Il devait être dix heures et demie quand je suis descendue. J’avais enfilé ma robe filet, et les cheveux lâches en talons je suis allée à la cuisine où mes deux amants essaient de faire le repas. J’ai pris les choses en main et aidée par eux, j’ai préparé un gratin dauphinois, une salade et en quatrième vitesse un gâteau au chocolat fondant. Je les laisse s’occuper de la viande. En discutant ils me disent que Alex et Omar arriveraient vers midi trente. Ils m’ont fait des compliments pour la rapidité pour la cuisine, je leur ai dit qu’avec une famille nombreuse on apprend vite et que cela ne me déplaisait pas de le faire pour eux et les membres de l’association, surtout éviter de manger ivoirien tous les samedis et dimanches, mais je ne leur ai pas dit…  rires.

 

A suivre...

Par Sabine - Publié dans : Les histoires à épisodes... - Communauté : Zoo en fête
Donnez votre avis... - Lisez les 0 messages
Retour à l'accueil
Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés