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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Propriété intellectuelle

Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Sabine est une femme d'une cinquantaine d'années, qui a eu une vie plus que débridée, au point de se perdre litteralement dans le sexe le plus extême, et d'etre exploitée sexuellement par ses amants et son mari. Elle nous raconte son histoire, via les courriers que nous avons échangés.

 

Introduction

 

Chère Sophie,

 

Tu avais publié sur ton blog le récit abrégé de ma condition de femme soumise aux désirs sexuels des blacks, au point de ne plus être moi-même, de me perdre dans cet état. Je n’avais plus de prise sur rien.. Te parler, et voir mon histoire publiée m’avait permis d’ouvrir les yeux sur moi-même, et de rependre en main le cours de ma vie, de devenir celle qui décide, et non celle qu’on utilise…

Je t’avais promis de te raconter ce qui m’est arrivé depuis que tu m’as ouvert les yeux.

 

J’aime toujours mon mari mais nous sommes séparés de fait ; nous avons décidé d’un commun accord d’une séparation après ce que j'ai appris et il est en mission à l’étranger pour encore dix mois. L’homme noir que ma belle-mère avait placé chez nous est reparti au Sénégal.

 

J’ai déménagé et suis allée avec mes filles qui sont au lycée, vivre à Lyon, mes deux aînées sont toujours dans la région aixoise, l’une est maman de deux petites filles métisses adorables, l’autre en ménage avec un jeune homme plus blanc que la neige du Mont-Blanc, les deux du milieu une est en fac à Aix et l’autre est venue avec moi (la quatrième) en fac à Lyon.

 

J’ai beaucoup parlé avec ces deux dernières car je ne voulais pas qu’elles deviennent comme moi. Tu avais raison, elles ont su pour moi par des copains dont les amis, parfois des parents, cousins ou frères, m’avaient prise au temps où j’étais avec les groupes dont je t’avais parlés. Mais en parlant, en leur disant cet irrépressible besoin, et que c’était un choix aussi d’une femme ayant déjà eu des enfants, et qu’elles étaient trop jeunes pour connaître cela, j’espère qu’elles ont compris que j’avais été abusée et utilisée et que j’avais perdu le contrôle même si j’avoue que j’ai souvent (toujours en fait) joui lorsqu’ils me prenaient. Ma troisième m’a avoué avoir déjà fait avec deux hommes mais qu’elle préférait avoir un copain. La quatrième a préféré venir avec moi et j’en suis très heureuse, cela nous a rapprochées, elle avait eu un copain black qui l’avait prise avec deux amis plusieurs fois et elle aimait, mais ce que je lui ai dit l’a fait réfléchir.

 

Quant à moi, et bien j’ai suivi tes conseils. J’ai recommencé à travailler à Lyon, mais en ménageant mes mercredis et mes weekends. Mes filles sont grandes maintenant, je peux m’absenter du vendredi au dimanche si je veux. Mon mari me donne la moitié de ce qu’il gagne en mission, ce qui me permet de faire des petites folies relatives à mes besoins car il me reste de mes années où j’étais prise tous les jours et souvent par plusieurs, des envies quasi permanentes. Par contre, rien au travail. J’ai appris en parlant beaucoup avec celui qui m'avait offerte à des groupes très nombreux que je rapportais de l'argent et à lui et à mon mari (le principal motif de mon divorce en cours, tu avais raison, ils m'ont prostituée).

 

Donc, je vais parfois à Paris, parfois dans d’autres villes, et j’ai des amants noirs surtout à Paris, mais aussi à Marseille et Dijon, que je vois régulièrement, parfois à plusieurs car je ne peux pas m’en passer (je suis incorrigible, tu vas me dir,e mais c’est comme une drogue). Mais par rapport à avant, je ne fais plus des groupes aussi nombreux, sauf pour mon anniversaire, là j’ai réuni une dizaine d’hommes rien que pour moi.

 

A Lyon, j’en vois aussi mais uniquement quand je veux et ils ne savent rien de moi. J’en vois parfois avec une amie que je me suis faite en sortant dans des lieux fréquentés par les blacks, elle a dix ans de moins que moi, bi très douce, et quand je lui parle de ce que je faisais, elle est toujours surprise avec un peu d’envie quand même. Je lui ai bien expliqué qu’il valait mieux contrôler les situations, car moi, je n’avais plus aucun sens des réalités. J'ai même un amoureux ivoirien, mais je ne peux pas me passer d'avoir des relations avec d'autres, c'est ma bouffée d'oxygène.

 

Sinon, je n'arrive toujours pas à mettre de dessous après vingt-deux ans à ne pas en mettre, je n'y arrive toujours pas…. rires.

 

Si tu le désires, je pourrai écrire certaines de mes rencontres. Je suis plus adepte de jeux de rôles et de déguisement maintenant.

 

Je t’embrasse. Je ne te remercierai jamais assez.

 

Sabine

 

 

 

 

1.

A Lyon, j’ai rencontré un français d’origine ivoirienne de quarante ans dans un café un soir où il y a souvent beaucoup d’africains. J’y étais allée un mardi pour trouver un amant d’un soir.

On discute, il m’offre un verre, j’étais habillée sexy mais pas trop, disons moins que d’habitude quand je pars à la recherche de ma queue nocturne. Jean était charmant et drôle, pas mal physiquement, je lui donnais trente-cinq ans avant qu’il ne me dise son âge.

Il commence à m’effleurer, je l’ai encouragé, si bien qu’après le deuxième verre, je l’avais embrassé et que sa main connaissait bien mes cuisses et qu’il avait remarqué que je n’avais rien sous ma jupe.

 

J’ai accepté de changer d’endroit, et après, d’aller dans un hôtel, ne voulant pas aller chez lui et encore moins à la maison.

 

La nuit fut courte niveau sommeil, longue niveau sexe, j’avoue avoir joui même si j’ai utilisé des préservatifs. Il a utilisé toutes les possibilités que j’ai offertes de bon cœur, sa queue me plaisant autant que son propriétaire. Bon amant, il a éjaculé plusieurs fois, ce que j’adore comme tu sais, me régalant dans la bouche ou couvrant mon corps. Il était dominant mais pas trop pour cette première fois, et quand il m’a sodomisée en me fessant, j’ai joui, et il l’a remarqué, plus fortement que les autres fois.

 

Normalement, je ne donne pas suite, même si cette règle a des exceptions comme je te l’ai écrit l’autre jour (de plus en plus nombreuses, il va falloir que je fasse attention, rires). Je consens à lui donner mon numéro. Une semaine se passe, et je reçois un appel de lui. C’était le mardi matin, je n’avais rien prévu car comme je te l’ai dit, je me suis organisée avec mes filles pour vaquer à mes occupations « sportives en chambre » le mercredi et les weekends.

 

Il me demande si je veux passer chez lui et qu’on sorte ensuite manger ou se faire un cinéma, ajoutant qu’il a un test HIV négatif.

 

Vu le souvenir de ma nuit de la semaine d’avant, j’ai fait semblant d’avoir à décommander quelque chose mais que cela serait difficile, et je l’ai appelé en fin de matinée donnant mon accord. A dix-neuf heures, je sonne chez lui, cette fois un peu plus sexy que la première mais bien habillée tout de même, en jupe, talons et joli haut.  Charmant comme à son habitude, on discute un peu, me raconte ce qu’il fait (il travaille dans une banque comme informaticien), ce qu’il aime, me présente son chien, Idéfix, et me fait visiter son appartement (je ne sais pas si tu connais Lyon, il est à Saint Jean).  Il a une petite terrasse, où il laissa le chien, c’est un danois.

 

Après ces diversions, j’ai fondu quand j’ai senti ses mains sur moi, et j’ai connu son salon à quatre pattes. Il a joui en moi et j’ai joui tout court. Après s’être remis, et moi réarrangée, nous sommes sortis manger et faire une ballade dans le Veux Lyon. Durant la ballade, son sperme coulait de ma chatte, je n’avais pas de culotte comme toujours et j’avoue que j’étais très excitée. Nous sommes revenus chez lui vers 22h30. J’ai encore passée une nuit fabuleuse, le laissant encore jouir en moi, dans mon vagin et mon anus ainsi que ma bouche.

 

Il travaillait le mercredi et m’a réveillée en me léchant, me reprenant sauvagement comme j’aime. Il m’a dit avant de partir de fermer la porte en la claquant et a ouvert la terrasse en m’apportant un café fumant. Nue sur le lit, je me suis rendormie sur le ventre cuisses ouvertes.

 

A un moment, j’ai senti une langue me lécher, je ne savais pas combien de temps il s’était écoulé et je pensais qu’il s’agissait de lui qui n’arrivait pas à partir. J’ai ouvert encore plus les cuisses sous l’effet des coups de langue. Dans un semi sommeil, j’étais excitée comme une puce lui parlant croyant avoir affaire à Jean. Au bout d’un moment je me tourne la tête car il ne me répondait pas et je vois le danois en train de lécher la raie de mes fesses et ma fente toute ouverte Jean avait éjaculé en moi (et je coulais un peu). Je voulais me retirer sidérée de m’être laissée lécher par un chien, je ne l’avais jamais fait. Mais d’un autre côté, c’était vraiment bon. J’ai voulu voir si j’arrivai à jouir, j’étais seule dans l’appartement et personne n’en saurait rien, n’ayant aucune envie de le raconter à qui que ce soit et surtout pas à Jean. J’ai pratiquement joui sous les coups de langue du chien.

 

A un moment, j’ai machinalement levé mes fesses : me retrouvant cul ouvert devant sa gueule, appuyée sur mes genoux et mes épaules, il a arrêté de me lécher et j’ai senti qu’il bougeait puis j’ai senti ses pattes avant sur mes épaules, je me suis mise en levrette tout en me disant que j’étais complètement folle. Je ne devais pas être la première car il savait ce que cela voulait dire … mais j’ai dû le guider en moi car il bougeait dans le vide. Sa queue était grosse et il est entré d’un coup dans mon vagin encore ouvert des assauts de Jean et rendu trempé par les coups de lèche d’Idéfix.

 

Il m’a baisée comme il aurait fait d’une chienne, j’ai senti une explosion de semence en moi, une partie coulant en dehors de ma chatte poilue, collant mes poils et se mélangeant à celui de son maître. Une fois retiré, il a léché sa queue rougie et s’en est allé comme il était venu, repartant sur sa terrasse, me laissant cul en l’air, souillée mais à ma grande surprise dévastée par un orgasme très fort. J’ai mis dix minutes avant de m’allonger, souriant de cette rencontre inopinée et surprenante, tant du chien que du maître. J’ai pris une douche avant de partir.

 

J’ai quitté son appartement en claquant la porte, prenant un bain à mon arrivée, les filles étaient absentes, en cours pour la journée.

J’ai revu Jean, en fait tous les mardis soir je suis chez lui depuis le 11 septembre, et tous les mardis soir je suis son amante qu’il remplit allégrement, n’ayant que moi comme « déversoir ». Il est un peu amoureux d’après ce qu’il me dit. Je n’ai encore rien dit sur ce que je fais avec Idéfix ce mercredi là ni les suivants car j’ai continué, au début par  jeu, maintenant par goût, j’adore qu’il me prenne après que Jean l’ai fait avant de partir travailler. Je ne sais pas si je dois aborder le sujet, même s’il voit qu’Idéfix me reconnait et parfois renifle mon entrejambe pendant que Jean m’embrasse. Mais il le sort à chaque fois très rapidement. J’ai aussi des questions sur Jean, car son chien à mon avis n’en est pas à sa première amante, si tu vois ce que je veux dire.

 

Voilà, c’était la chose que je voulais t’avouer. Je suis en train de m’enticher de Jean et de son chien comme une midinette, car Jean est adorable, un peu dominant mais attentionné et charmant. Je ne dis pas grand-chose sur moi, mais instinctivement je sais que c’est un homme bien. Il me laisse du temps et n’est pas pressant même s’il veut me voir plus et plus longtemps. Même si j’ai décelé des côtés dominants, au lit, j’aime cela, étant soumise. Mes ving-deux ans de vie précédente ne s’effacent pas facilement même si je ne suis plus ce que j’ai été et qui me rendait heureuse du moins jusqu’à ce tu m’aide à comprendre bien des choses.

 

Jean voudrait que je vienne plus souvent mais j’ai d’autres amants. Je  lui ai  dit que j’aimais beaucoup les jeux de rôles et les déguisements, sans par contre parler que j’adore à trois ou quatre. Nous avons fait quelques jeux, notamment je me suis déguisée en soubrette, et j’ai adoré. Une autre fois, il m’avait donné rendez-vous dans un bar me demandant de m’habiller très bcbg, alliance au doigt (je l’ai toujours même si je ne la porte plus), me draguant ouvertement au su et vu de tous, nous avons fini chez lui. J’étais terriblement excitée, là encore

.

Mon désarroi vient du fait que j’aime être prise par les deux, que savoir que Jean a éduqué son chien, que ses amantes précédentes ont dû être celles d’Idéfix me laisse un peu désemparée, remplie de questions et de doutes, je ne sais pas comment lui avouer, ni pour son chien ni pour tout ce que j’aime sans me dire qu’il va prendre ses jambes à son cou, me prendre pour une nymphomane ou alors en profiter, j’avoue que ce que j’ai subi avec mon deuxième mari me rend prudente. Mais j’ai besoin d’un homme dans ma vie, qui malgré tout, me laisse libre.

 

Je pars le rejoindre, il a prévu de me bander les yeux ce soir et peut être plus mais je ne sais rien de ce plus, je te dirai.

Par Sabine - Publié dans : Les histoires à épisodes... - Communauté : Zoo en fête
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