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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Me voilà donc rentrée de mon après-midi orgiaque ! Et c’est le bon mot…

 

Je me suis donc rendue au même endroit que l’été dernier, et certains se souviennent peut-être de cette histoire vécue sur une plage réservée aux pécheurs. En effet, elle est difficile d’accès, et n’a presque que des pierres plates, et pas de sable. Par conséquent, peu de familles viennent s’y promener.

Les pêcheurs y sont présents, car ils ont le calme pour leur activité favorite.

 

En arrivant, première surprise, une jeune femme est déjà là. Seconde surprise, quand je m’approche, je vois qu’elle a exactement la même position que moi quand je veux allumer des mecs. J’y reviendrai plus loin.

 

Je me demande que faire. Vais-je la laisser là, alors qu’au moins sept hommes sont présents ? Je remarque qu’ils la matent sans vergogne. Au moins, ils sont bien disposés !

 

Après quelques secondes de réflexion, je décide de rester, et m’approche d’elle. Je lui demande doucement :

« Bonsoir, je peux me mettre à coté de toi ? »

 

Elle ouvre les yeux, et me sourit :

« Bien sur, je me sentirais moins seule, avec tous ces hommes pas loin… Je m’appelle Valentine.

- Enchantée, moi, c’est Sophie.»

 

Je ne sais pas encore ce qu’elle sous-entend par ces mots…

 

Vivement, je dénoue mon paréo, et je déroule ma serviette molletonnée… La pierre, c’est dur ! Je m’allonge près d’elle, et me oberve vers les hommes présents.

 

Visiblement, mon arrivée n’est pas passée inaperçue : ils regardent tous franchement vers nous. Ca augure bien de la suite !

 

Je me tourne vers ma voisine, et constate qu’elle reprit sa position d’avant mon arrivée.

Elle a une main posée entre les seins, se caressant avec légèreté le sillon inter-mammaire, d’un geste doux et sensuel. Je fais exactement le même, quand je veux être explicite.

 

Son autre main est posée sur l’échancrure de sa cuisse, un doigt négligemment posé sur le mont de Venus. D’un mouvement imperceptible, elle se caresse.

La copieuse, elle fait tout comme moi !

Cela me fait sourire. Autant être directe :

« Valentine, dis-moi, pourquoi es-tu venue ici, sur cette plage ?

- A mon avis, pour la même raison que toi…

- C’est à dire ?

- Ne fais pas l’innocente. Ici, il y a toujours des hommes seuls. Et j’aime les provoquer.

- Juste les provoquer ?

- Non, j’aime me faire prendre comme ça, à la sauvage. »

 

J’en reste bouche bée : j’ai rencontré ma sœur jumelle !!! Elle parle de sexe aussi librement et directement que moi.

« Mais pourquoi tu me dis ça si naturellement ? Je pourrais être choquée !

- Ma cocotte, à peine allongée, tu as pris une attitude identique à la mienne. Je sais ce que ça veut dire !

- Ok, tu as gagné, je suis aussi venue pour ça. Aujourd’hui, je suis libre pour la dernière fois de baiser comme je veux. Demain, ma famille rentre, je serais moins disponible. »

 

S’en est suive une discussion sur nos expériences respectives, et ce que nous attendions des hommes présents. Se faisant, nous continuions à nous caresser le corps. Valentine avait même inséré un doigt coquin sous son maillot.

 

En jetant un œil vers les hommes, je constatais que pas un ne regardait plus sa ligne !

Je fis ma première proposition indécente à Valentine :

« Et si nous leur offrions un joli spectacle ?

- Oh oui, je ne suis pas bi à proprement parler, mais on peut les exciter à mort comme ça… »

 

Nous jetâmes un regard rapide voir si des enfants jouaient dans le coin.

Personne.

 

Je me relevais, et me mis tête-bêche avec la jeune femme. Nous devions offrir un joli tableau contrasté : elle la brune à la peau très blanche, aux formes généreuses, moi, la blonde mate et bronzée, aux formes tout aussi généreuses. Toutes les deux épilées entièrement.

 

Le soleil nous chauffait la peau et les sens…

 

Valentine a posé la main sur mon pubis, décrivant de petits ronds avec son index, de plus en plus rapprochés et descendants... je lui caressais les seins, glissant ma main sous le fin tissu du maillot. Se pointes durcirent aussitôt. Je les pinçais, et pour cela, écartais franchement le haut. Le sein jaillit, dur, insolent d’érotisme.

 

Je ne pus y résister, et je me penchais pour le happer avec mes lèvres. Je redécouvrais la sensualité de sucer un sein aussi ronds et ferme. Sa réaction ne se fait pas attendre, et elle insinua sa main entière dans mon bas de maillot. Je mouillais déjà pas mal, mais là, elle déclencha une décharge électrique, proche de l’orgasme.

 

Les hommes commençaient à se rapprocher doucement, comme si de rien n’était. Trois avaient malgré tout posé la canne à pêche.

Je les matais à travers mes lunettes de soleil. Un semblait déjà bien dur, il me semblait bien voir le haut d’un gland rouge foncé sortir de son short.

 

Nous nous sommes souris, d’un air entendu. Je tétais avec plus de vigueur encore les seins rebondis de Valentine. Elle fit descendre mon bas de maillot, laissant apparaitre mon abricot lisse et bronzé (je suis toujours nue dans ma piscine….)

Là, les quatre autres mecs ont lâché leurs cannes !

 

Nous venions de gagner la première manche. Valentine leur fit un petit signe d’encouragement, et ils s’approchèrent, un peu timidement. Pour les décider, elle écarta ma fente trempée de désir, et insinua son majeur direct au fond de mon vagin. Du pouce, elle me massait le clito. Je retins un cri de plaisir, mais quand j’ai vu tous les shorts des pêcheurs prêts à éclater, je jouis une première fois.

 

L’un d’eux, le plus hardi, que je nommerai Thierry, a demandé dans un souffle :

« Je peux venir ? 

- Bien sur mon chéri, » lui sourit Valentine, d’un air coquin.

 

D’un bond, il fut près de moi, et plantait son doigt dans ma chatte, avec celui de ma complice. Je sursautai de plaisir… Un autre compère, Mathias, me regarda d’un air interrogateur, et je l’encourageais à venir. Il se jeta sur l’autre sein de Valentine, comme un chien sur un os !

 

Celle-ci de coucha à plat dos, alors qu’elle avait le bassin tourné vers moi. Un troisième vicieux, Olivier, se rua vers elle, arrachant presque la culotte bleu azur.

Ca y était, les « hostilités » étaient vraiment lancées !!!

 

Valentine continuait de me doigter, avec Thierry. Il se pencha pour venir lécher mon bouton tout raide. Je tremblais de plaisir. Bruno, le quatrième larron, vint me dévorer les seins. Ils n’attendaient que ça. Du coin de l’œil, je voyais Valentine les jambes relevées sur les cuisses d’Olivier, offrant ainsi une vue imprenable sur sa grotte, tout aussi trempée que la mienne. Il fourrageait avec délice dans ses chairs mouillées. Elle se tordait de plaisir sous les caresses combinées des deux hommes, et ma bouche.

 

Mais Michel, le cinquième homme, vint près de moi, et me détacha de ma belle amie, pour me soulever un peu. Il voulait que je le suce. En voyant cette belle queue bandée comme du bois, je le gobais rapidement.

 

Il eut un spasme, lorsque j’aspirais lentement son gland, avant de l’engloutir au fond de ma gorge. Par bonheur, il n’est pas très long. Je veux ainsi bien le pomper.

 

Les deux autres pécheurs ont sorti leurs chibres raides de leurs caleçons. Ils se branlent avec force, ne sachant plus où regarder.

 

Valentine sortit son majeur de ma chatte, et Thierry introduisit deux doigts de chaque main d par et d’autre dans ma fente. Il écarta mes lèvres au maximum, laissant pénétrer le soleil au fond de mon vagin.

J’avais là l’une des choses que je préfère : être écartelée, totalement impudique, offerte totalement à la vue de ces mâles en rut.

 

Christophe, l’un des « branleurs », se positionna face à moi. Prestement, il enfila une des capotes que nous avions sorties de nos sacs, prévoyantes toutes les deux.

 

(Pour la suite de l’histoire, je ne le préciserai pas à chaque fois, mais ils ont toujours tous mis des capotes pour nous pénétrer…)

 

Christophe s’agenouilla, et s’enfonça d’un seul coup de rein dans ma chatte ainsi béante.

La sensation était inouïe ! Thierry n’avait pas retiré ses doigts. Comme ça, je sentais la grosseur de ce pieu, et la chaleur d’une peau. Il accompagnait la bite dans son mouvement de piston. Bruno continuait de maltraiter mes seins, les pinçant, les mordant comme j’aime. Je hurlais pour la deuxième fois un plaisir fort et intense.

 

Mon baiseur jouit une première fois, se vidant dans un grand souffle de sa semence. Dommage qu’elle soit ainsi perdue….

 

Cela a du inspirer Olivier, qui en fit autant, forçant la chatte trempée de Valentine.

 

Philippe, le sixième participant, ne pouvait laisser un orifice de libre. Il se mit en appui au-dessus de la jeune femme, comme pour faire des pompes. Il faut dire qu’il était vraiment très musclé, et il proposa sa verge noire devant la bouche ouverte. Elle le happa tout come moi, le pompant avec avidité.

 

L’orgie était totale, et dans un éclair de lucidité, je priai le ciel que personne n’arrive ! En tout cas, pas d’enfants !!!

 

Je regardais ma complice du jour, et je constataisque Mathias, tout en lui dévorant les seins, lui massait son petit bouton, accentuant ainsi son plaisir. J’entendis un cri plus fort que les miens déchirer l’air transparent : Valentine hurlait son plaisir, sous les coups de boutoir d’Olivier. Ce dernier poussait des soupirs de bûcheron, ahanant sous la poussée forte qu’il lui imposait. Le jeune homme se retira, laissant la place à une Valentine qui ciaiit : « Baisez-moi encore, je veux de la bite ! »

 

Elle était déchainée !

 

Charles, qui était resté spectateur, ne se le fit pas dire deux fois. Il était le plus membré du groupe, pourvu d’un large organe, long et qui touchait son nombril. Un joli morceau que je souhaitais aussi venir me baiser à fond… Il se protégea et vint illico remplir la place laissée libre pas son copain. Du coup, Elle pompa avec une agilité éprouvée la bite.

 

Thierry, toujours très « manuel », attrapa le gel de silicone et s’en enduisilt a main. Le salaud, il voulait me fister ! Je n’ai jamais fait ça de ma vie...

 

A la vue de qui se préparait, Michel se lâcha dans ma bouche, déversant une crème chaude dans ma gorge. Aussitôt, je l’attrapais, pour le forcer à m’embrasser. En général, les hommes n’aiment pas trop…

Mais là, il s’est laissé faire de bonne grâce.

Moi, j’adore !

 

Je ne restais pas la bouche vide très longtemps. Bruno s’agenouilla, me souleva la tête, et me facilita ainsi la fellation. Il était court, mais épais. Je l’enfournais sans autre forme de politesse.

 

Valentine, besognée par Charles, aspirait toujours goulument Philippe. Sous ce traitement de choc, il jouit à son tour, inondant la bouche de sa suceuse d’un épais foutre tiède.

 

Surprise, je vis Michel se précipiter pour avaler goulument le sperme juste « tiré ». Je me dis qu’il devait être bi…

 

Mais j’avais aussi la tête ailleurs, et quand je dis « la tête »…

 

Thierry avait commencé son fist, m’introduisant progressivement quatre doigts dans ma chatte. Quand il était au fond, il les agitait, et cela me procurait des sensations incroyables ! Il m’écartait de plus en plus. Les hommes qui avaient déjà joui se réunirent pour le regarder continuerson incroyable progression.

 

A coté, Charles achevait Valentine en la pistonnant en levrette. Ses larges mains noires dénotaient à merveille sur la peau ultra blanche de la jeune femme. Il crispait ses phalanges pour mieux la posséder. Elle donnait de grands coups de bassins, pour mieux se sentir envahie par le gros morceau de chaire rude et brune. Elle jouit encore, s’affalant sur le la pierre, sous l’ultime poussée de son amant de l’instant. Ils crièrent ensemble, à tel point que nous sommes arrêteé net quelques secondes.

 

Thierry en profita pour attraper le gel de silicone, pour lubrifier sa main… Je me sentais totalement écartelée… Je dus stopper ma fellation, j’avais besoin de me concentrer que ce qui m’arrivait. Bruno, compréhensif, continua de se branler tout seul en s’approchant du spectacle que j’offrais à ces messieurs.

 

A suivre...

 

Par Sophie de R. - Publié dans : Mes expériences vécues - Communauté : SALOPE A GANG-BANG
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