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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Le train venait de s'ébranler et à mesure qu'il prenait de la vitesse, les gouttes de pluie fuyaient de plus en plus à l'horizontale sur les vitres du wagon.  
   
Hélène serait à Paris dans un peu plus d'une heure. Pourquoi ? Le savait-elle elle-même ? Pour faire des soldes, surtout pour se vider la tête de tous ces doutes qui l'assaillent depuis des semaines, des mois. Le temps est maussade, et son humeur aussi. Hélène était préoccupée par l'espace grandissant que prenait internet dans son esprit. Au delà des fantasmes, elle avait l'impression d'avoir changé, de n'être plus la même. Ses désirs se faisaient omniprésents, nourris en cela par la frustration qu'offrait sa vie de couple actuelle.  
   
Elle se sentait glisser sur une mauvaise pente: non seulement son esprit était infesté de fantasmes de plus en plus extrêmes, mais commandée par un internaute, elle était allée jusqu'à se masturber à son bureau en l'informant en temps réel de sa progression jusqu'à l'orgasme... Ce même internaute essayait maintenant de l'engager à venir à Paris pour s'exhiber devant des hommes.

 

Ce fantasme n'était pas pour lui déplaire: elle s'imaginait se dévêtir devant des voyeurs surexcités, elle même se caresser et recevoir les mots les plus crus... elle s'imaginait devant ces sexes dressés pour elle, rien que pour elle. Elle s'imaginait des mains qui s'enhardiraient jusqu'à pétrir un sein, se poser sur son minou... L'idée du viol, du dérapage non contrôlé n'étant jamais bien loin non plus. Elle les voyait tous jouir les un après les autre devant elle, ces décharges de foutre... tout ça pour elle. Une quantité de sperme inédite sous ses yeux.  
   
Bien sûr, l'exhibition réelle faisait partie de ces fantasmes qu'il n'était pas question de réaliser. Simplement, la tentation était là, et elle était d'autant plus délicieuse qu'il lui serait si facile de contacter cet internaute à Paris et de le réaliser. En fait Hélène était dévorée de désirs, mais son éducation lui commandait de rester au dessus de ces pulsions animales et de tendre vers une certaine représentation de sa dignité... Voilà l'argument qu'elle se rappelait à elle même pour ne pas céder.
   
Ce faisant, la simple évocation de ces fantasmes avait réveillé une douce chaleur dans son ventre qui ne la quittera pas jusqu'à son arrivée à Paris.

 

L'arrivée à Saint Lazare se fit sous le soleil finalement. Tant mieux car Hélène n'était pas particulièrement habillée pour la pluie: bcbg, sexy, un brin Cyrillus sur les bords! Une provinciale pimpante se dit-elle. En tous cas il ne lui échappait pas que les regards de ces jeunes trentenaires pressés s'attardait quelques instants sur elle avant de glisser ailleurs. Elle se sentait belle, parce qu'elle était belle... et puis finalement, plutôt bien dans ses baskets.  
 
Elle décidait de commencer sa journée par un magasin de déstockage dont on lui avait parlé: pour cela, traverser Paris, affronter le métro à l'heure de pointe. Il fallait prendre son courage à deux mains, mais à raison d'une ou deux fois par mois maximum, les transports parisiens ne lui étaient pas encore exaspérants.
 
Hélène fut la première à monter dans le wagon, ligne 13, derrière elle un flux de voyageurs s'engouffra et la confina dans le coin opposé à la porte. Elle se trouva plaquée contre un homme assez élégant, visage contre visage. Gêné, ce dernier parvint à se tourner légèrement, ainsi Hélène ne le voyait plus que de profil... Tandis qu'elle entendit une voix masculine s'excuser également de la promiscuité des corps. Il aurait fallu se retourner pour voir le visage de l'homme, ce qu'Hélène ne fit pas.  
 
La rame s'élança, comme la plupart des voyageurs elle était en équilibre instable et les secousses l'amenaient à balancer vers l'un et l'autre de ces deux hommes. Elle sentit néanmoins que l'homme qui était derrière elle, et dont elle ne voyait que la main aimantée à une barre chromée, faisait de moins en mois d'efforts pour s'éloigner d'elle. Et à chaque trépidation l'homme s'appuyait de tout son poids contre elle. Sa main était belle, ses habits de grande qualité, Hélène imaginait un homme élégant et distingué... brun et ténébreux! Imperceptiblement elle se cambra très légèrement, pour prolonger chacun de ces mouvements de balancier.

 

Lorsque le conducteur de métro annonça qu'il faudrait attendre plusieurs minutes pour régulation du trafic, l'inconnu sembla tenter sa chance et se colla contre elle. Hélène accentua la pression, et dès quelques minutes, divine sensation: le sexe de l'homme qu'elle sentait flasque au début, commença à se raidir contre ses fesses... Son ventre se noua instantanément, accompagné d'une bouffée de chaleur. Hélène se sentit aussitôt dépassée! Un parfait inconnu pressait contre la raie de ses fesses son sexe en érection ! Elle aurait voulu tout arrêter, mais elle ne pouvait pas bouger, comment lui signifier sa désapprobation ? Mais au demeurant, quelle désapprobation ? Ne l'avait-elle pas encouragé en envoyant ses fesses à son contact ?  
 
Et puis la situation ne lui était pas si désagréable, et il lui plaisait qu'un inconnu la désirât ainsi. Hélène décida se s'enhardir et de prendre dans sa main ce membre gorgé de sang et de désir... timidement ses doigts n'atteignirent guère que la jambe de l'homme. Suffisamment pour l'inciter à faire d'imperceptibles mouvements masturbatoires contre elle. Hélène se sentit trembler de fébrilité, surtout elle sentit cette chaleur envahir son bas ventre et son vagin s'humidifier à nouveau... Dans le même temps, elle se trouvait également coincée contre l'autre homme : son mont de vénus s'appuyait longuement contre sa cuisse tandis que son sein droit d'écrasait contre son bras. Il n'avait pas l'air d'y être insensible non plus!

 

Hélène était prise entre deux feux : l'homme devant avait établi le contact visuel et savourait le contact de cette femme contre sa jambe, de même que ce sein écrasé contre son bras. Mais il était trop bien élevé pour aller au delà, de son côté Hélène détournait le regard, malgré tout gênée par la situation.
   
Derrière, l'homme sans visage était au comble de son excitation : son sexe totalement raide était bien installé contre la raie de ses fesses. Hélène réfléchit, et tira la conclusion que celui ci était bien plus imposant que celui de son mari. Elle s'imaginait se retournant vers lui, découvrant un bel hidalgo, laissant ses mains descendre et libérer ce membre fier. Elle se voyait se mettre à genoux devant lui, son visage à hauteur de ce sexe, et déjà le prendre délicatement dans ses mains... enfin poser sa bouche sur ce gland finement sculpté et sentir ces secrétions sucrées qui caractérisent l'excitation d'un homme.

 

Hélène était désormais totalement excitée et sa cyprine n'inondait pas seulement que son vagin, mais se communiquait à son pubis et sa culotte... Lorsque soudain, elle sentit une main se poser sur son sexe, déclenchant une décharge de 100,000 volts ! Et un peu de panique, car jamais elle n'aurait imaginé qu'un homme autre que son mari puisse un jour atteindre son intimité.

 

Elle était paralysée... son souffle se fit soudain court... Elle ne voulait pas vraiment de cette situation mais se sentait incapable de réagir. Son cœur battait la chamade lorsque la main prenant des risques inconsidérés parvint à se glisser sous sa robe, atteignit son ventre puis redescendit se glissant entre le tissu de sa culotte et sa peau... roula sur son pubis... les doigts se crispèrent sur sa fente humide de tout son nectar.
   
La main se retira aussi soudainement... les portes s'ouvrirent et l'homme quitta le wagon sans plus de cérémonie. Hélène sentit un vide immense se créer autour d'elle. Une frustration sans pareil s'empara d'elle, aussi bien qu'un véritable soulagement...

Hélène reprenait peu à peu ses esprits, et l'excitation se dissipait. Le wagon s'est déjà bien clairsemé lorsqu'elle sortit à la station la plus proche de sa destination.

 

Sur le quai, elle chercha alors le numéro de la sortie à emprunter et opta pour la sortie quatre. Elle prit le couloir qui y menait. Ce couloir ressemblait à tous les couloirs du métro parisien, mais il était froid et désert. Lugubre et dépourvu de publicités. Hélène pressa le pas, lorsque soudain, elle fut violemment poussée en avant, elle se retrouva projetée contre le mur, tandis qu'une main ouvrait la porte du débarras juste à côté.  
 
Hélène se retrouva face contre une table jonchée de bâches en plastique, de gants maculés de peinture, de poussière de plâtre. Sa tête était maintenue par une main puissante si bien qu'elle ne pouvait se retourner. La lourde porte s'était refermée sur eux. Elle voulait crier mais elle ne pouvait sortir un son de sa gorge. Presque aphone, elle put dire à son agresseur :

« Prenez mon sac ! Prenez il est là... »

 

Mais celui-ci lui répondit qu'il n'y avait pas lieu d'avoir peur, qu'il n'allait rien lui voler. Au contraire il était pour lui donner, pas lui prendre.
 
Alors que la main libre de cet homme cherchait à lui baisser son collant, Hélène comprit avec effroi qu'il s'agissait d'un viol. Elle chercha alors à dissuader son violeur :

« Arrêtez, je ne voulais pas vous provoquer, ce n'était pas ça... »

 

Les larmes la submergeaient à présent qu'elle se sentait totalement à la merci de l'homme qu'elle avait pris pour un torride gentleman. L'homme, d'une voix rocailleuse, lui dit alors qu'elle ne méritait que ça et commençait à devenir obscène.
 
De sa main, il était parvenu à baisser totalement le collant d'Hélène, et de son pied, il parvint à le lui enlever complètement. Le craquement de sa culotte la glaça d'effroi : elle réalisa à quel point elle devait être mouillée de l'instant d'avant et cet homme le savait parfaitement.
 
La tête maintenue vers le bas, elle voyait son minou. Elle était contrainte de le voir... son mont de vénus, recouvert de son joli pubis... Les mains étaient grosses, lourdes, calleuses, veinées et rugueuses. Ce n'était pas l'homme du train ! Il semblait rablé et sentait le tabac froid. Elle se sentit s'effondrer de l'intérieur, abattue.  
 
Et soudain, elle vit apparaitre dans l'encadrement de ses jambes un sexe court et épais. Un gland noueux et violacé.  
 
Hélène sentit son souffle écarter ses cheveux, et toujours cette main remonter sous sa robe pour pétrir ses seins grossièrement. Le torse poilu de cet homme appuyait lourdement sur le dos d'Hélène, ce qui lui permit de libérer sa deuxième main qui eut pour destination immédiate la fente...

 

Il se rendit immédiatement compte qu'Hélène était lubrifié,e et s'imagina qu'elle le désirait ardemment... s'en suivit un chapelet de mots crus à nouveau. Hélène était dans un état déjà second, elle voulait se battre mais la peur la paralysait.
 
Elle sentit surtout le sexe à moitié mou de l'homme se raidir et venir se plaquer contre sa vulve... L'homme passa ses doigts épais sur son intimité, et trouva l'entrée de sa grotte, il les sentit aussitôt enrobés du nectar que secrétait Hélène. Du nectar qu'avait secrété Hélène et qui, à son grand désespoir, était toujours en elle. Pour lui maintenant. Cela l'excita encore plus, et il présenta sa bite à l'entrée de son vagin. Le gland était large et pénétra lentement en elle. Une dernière fois, elle le supplia d'arrêter mais l'homme semblait sourd à toute supplique.  
 
D'un cou,p il s'enfonça autant qu'il put en elle. Les yeux rougis par les larmes, elle le sentait s'agiter dans tous les sens en elle et, au bout de deux minutes seulement... elle l'entendit pousser un râle de satisfaction. Il s'immobilisa lourdement sur elle et se retira...
 
Hélène, observait les lèvres de son sexe largement écartées... s'en échappait lentement le sperme de son violeur...
 
Elle n'eut pas le temps de reprendre ses esprits qu'un second homme entra. Sa voix était bien plus jeune.
« Gérard, tu es là ? Dis donc mon salaud ! Tu devais m'attendre !
- Regarde ce que je t'ai attrapé ! Allez vas-y, aide moi... Moi j'ai foiré, j'ai tout lâché en deux minutes...
- T'inquiète pas ! Tu vas voir, ouvre les yeux et regarde ton Dédé... »
 
Le jeune sortit son sexe et le passa sur les fesses d'Hélène. Il ne bandait pas encore, mais il était déjà long et assez fin. Le vieux se dégagea et glissa au sol. Il se positionna entre les jambes d'Hélène et entreprit de lui lécher le minou... son propre sperme souillait sa moustache et sa langue commençait à exciter le clitoris d'Hélène.
 
Si son viol par le vieux ne lui avait procuré aucune sensation, sa langue commençait à activer ses sens... Hélène sentait ses seins se raffermir... ça la dégoûtait, mais elle se sentait aspirée dans une spirale qu'elle ne maitriserait pas.  
 
Derrière, il était évident que le jeune avait atteint le summum de son excitation. Il trouva directement l'entrée et Hélène sentit alors s'introduire en elle un sexe particulièrement long. D'emblée il la lima consciencieusement, le rythme était soutenu et parfaitement régulier. Chaque coup tapait le point G.  
 
Hélène se sentit prise de panique, car tous les signes avant coureurs du plaisir apparaissaient, et plus elle luttait, plus c'était irrésistible. Son vagin se contracta peu à peu autour de cette bite qui s'activait et pompait en elle.  
 
Le jeune, par ses mouvements, chassait complètement le sperme de son compère, qui mêlé à la cyprine à nouveau abondante, coulait le long des cuisses de la jeune femme. Le vieux continuait d'aspirer, de sucer le clitoris... et ce que redoutait Hélène arriva : elle sentit une déflagration en elle. Un puissant orgasme accompagné de râles de jouissance non dissimulés.
 
Le jeune se libéra à son tour en elle. Lorsqu'il se retira, Hélène s'effondra, hagarde sur le sol.  
 
Elle reprit ses esprits quelques instants plus tard. Ils avaient disparu. Son regard glissa lentement vers son entrejambe martyrisé... son minou était inondé du foutre de ces deux ouvriers ou marginaux : qui étaient-ils ? Peu importe... elle rassembla ses affaires, puis sortit en titubant dans le couloir.  
 

Par Tony Blair - Publié dans : Trash - Communauté : VIVRE TOUS SES FANTASMES
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