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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Femme
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Propriété intellectuelle

Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Je m’appelle Laurent, j’ai vingt-quatre ans, et mon épouse Elodie est âgée de vingt ans. Elle est très belle, trop peut être. Nous venons de nous remettre ensemble après une séparation, suite à un écart de conduite de sa part. Je l’ai surprise en train de tailler une pipe à un autre homme.

 

L’histoire se passe il y a quelques années, où nous étions mon épouse et moi, en vacances à Annecy. Lors d’un repas dansant, nous faisons la connaissance d’un charmant garçon avec qui nous sympathisons.

Ma femme se laisse vite séduire, et ne manque aucune occasion pour danser avec lui. J’ai une entièrement confiance en mon épouse, donc, je ne me fais aucun souci.

 

Cependant, au bout d’une heure, je ne les vois plus. Peut être est-elle allée aux toilettes, et lui griller une cigarette ? Dans le doute, je décide d’aller prendre l’air, dans la ruelle qui jouxte la salle.

Et là, je découvre Elodie en train de sucer l’inconnu que l’on connait  à peine !

Je vois la bite, entièrement décalottée, se branler dans la bouche de ma femme, ses joues se creusaient lorsqu’elle avale. Je vois nettement un filet de sperme couler à la commissure des lèvres. Elle fini juste de nettoyer le gland, quand elle m’aperçoit.

« Oh mon dieu, s’écrie-t-elle, Laurent…ce n’est pas ce que tu crois…c’est juste une petite pipe… »

 

Juste une « petite pipe » ? Elle plaisante ou quoi ???

Sans un mot, je tourne les talons, et regagne ma chambre. Mon épouse m’y rejoint juste quand je boucle ma valise. Elle met ses mains devant son visage, et se met à pleurer.

« Que fais-tu ? me demande-t-elle. Ne pars pas, je t’en supplie…je ferai ce que tu voudras.

- Ce que je voudrai ? je lui réponds, étreint par une colère intense. Et si je te demandais de faire la pute, hein, salope ?

- Je le ferai s’il le faut, pleure-t-elle, mais s’il te plait, ne me laisse pas…ne pars pas… »

 

Je suis interloqué par le fait qu’elle accepterait même cela pour que je reste avec elle…

 

La nuit porte conseil, et malgré l’infidélité de mon épouse, je décide de rentrer avec elle. Sur le retour, elle me confirme qu’elle fera ce que je voudrai, et je réfléchis déjà comment je vais me venger, pour l’humilier. Je pense à Gérard, un copain de longue date, célibataire, qui a toujours flashé sur Elodie, même si elle le trouve affreux. Raison de plus pour pimenter ma vengeance !

 

Je projette de l’inviter pour le weekend. Pour l’occasion, j’ai acheté à mon épouse une nuisette ultra courte. J’imagine la tête de mon copain quand il va la voir dans cette tenue ! Le soir, je l’offre à Elodie, qui s’empresse de l’essayer. Elle est loin de se douter de ce qui l’attend….

« Oh merci mon chéri, c’est magnifique. C’est pour t’exciter que tu l'as choisie si courte…vilain.

- Tout à fait, mon amour, c’est pour ça que je voudrai que tu la portes sans culotte.

- Mais enfin, si quelqu’un vient, il va voir ma petite fente.

- Mais c’est le but, poursuis-je, avec un sourire vicieux. Lève les bras pour voir…super, par contre, tu penseras à t’épiler…je veux que tu aies la fente d’une petite fille… Samedi, on a de la visite.

- Comment cela, on a de la visite ? Tu ne m’as rien dit !

- Bien sur, ma chérie, tu te souviens de ce que tu m’as promis l’autre soir, après ta trahison ?

- Euh… oui, rougit-elle, en baissant la tête.

- Et bien, le moment est venu. Tu vas faire la pute. La pute gratuite, mais la pute quand même.

- Ah, c’est donc pour ça…tu y tiens toujours… D’accord, puisque j’ai promis, mais ne m’en demande pas trop la première fois…et…je le connais ?

- Mais bien sur, j’espère que tu apprécieras », ricanai-je, les yeux plissés.

 

Ma femme me regarda d’un air inquiet, et ce qu’elle vit sur mon visage ne la rassure pas. Elle accuse le coup, baisse la tête. Elle sait qu’elle a fauté, et que c’est le prix à payer pour se faire pardonner son infidélité. Il me tarde maintenant de voir comment la soirée va se dérouler. !

 

Pourtant, comme je l’aime encore,  je ne veux pas brusquer les choses, pour un premier contact. Il faut aussi que Gérard se sente à l’aise, qu’il participe au jeu. Le voudra-t-il ? C’est en tous cas, ce que j’espère.

 

Le samedi, Gérard arrive vers vingt heures. C’est moi qui ouvre la porte.

« Ca va, entre, asseyons nous sur le canapé, Elodie se prépare.

- Pourquoi, elle sort ?

- Mais non, âne que tu es. Elle se prépare pour la soirée… Tu vas voir, tu ne seras pas déçu d’être venu ce soir ! »

 

Il me regarde, intrigué, mais n’a pas le temps de me répondre..En effet, ma femme apparait, excitante en diable dans sa petite nuisette transparente. Elle a un mouvement de recul en voyant Gérard, qui n’est pas son style d’homme. Mais elle comprend à mon regard, qu’elle n’a pas le choix. Quant à mon copain, il pousse un sifflement admiratif.

« Ben mon cochon, ta femme ne fait pas les choses à moitié !

- Tu trouves ?

- Putain, elle est super bandante !

- Si elle te plait, elle est à toi ! »

 

Il me regarde, stupéfait. Je l’encourage des yeux, et attrape Elodie par la main. Je la force à s’assoir entre nous sur le canapé. Mon copain est comme un fou. Malgré la lumière tamisée, je vois qu’il bande, tant son pantalon est déformé. Du coup, j’en bande aussi, et bien raide !

D’une main, il caresse ses seins, qui ne tardent pas à darder à travers la dentelle… Elle aime ça, ma salope de femme !

« Gérard, si tu veux bien, on va procéder par étapes…. Ce soir, on la fait soft, mais chaque samedi, tu auras droit à plus… Ca te va ?

- Et comment ! J’ai toujours rêvé de baiser ta femme !

- Et moi, je n’ai rien à dire ? souffle mon épouse, un peu inquiète.

- Non, toi, tu obéis. D’ailleurs, tu vas le sucer, comme tu sais si bien le faire !

- Mais…. tente-t-elle de protester.

- Pas de « mais », tu le pompes, là, maintenant ! »

 

Elle baisse les yeux, et n’ose plus protester. Gérard n’a pas perdu de temps, et en entendant notre petite discussion, a déjà dégrafé son pantalon et sorti sa queue de son boxer.

 

Résignée, elle se penche avers le vit tendu, et commence à pointer sa langue sur le gland luisant. Il ne se passe que quelques secondes avant que Gérard, hyper excité, n’empoigne la tête de ma femme à deux mains, pour lui faire s’enfoncer sa bite en entier dans la gorge.

 

Je suis un peu surpris de la violence du geste, mais en fait, cela m’excite encore plus…. Elodie ente de protester, mais la barre de chair qui lui obstrue la bouche l’empêche de parler. Résignée, elle entreprend de pomper avec application le sexe raide. Jamais je ne l’ai vue aller si loin dans sa gorge !

 

Je ne me retiens plus, je sors ma bite, et me branle en lui caressant les fesses. Elle continue sa fellation, et semble même y trouver’ un certain plaisir, car je la vois très appliquée et langoureuse… Finalement, je suis mariée avec une belle salope, et je ne le savais pas !

 

Gérard gémit sous les habiles coups de langue de ma femme. Pendant plus de quinze minutes, elle le titille, le mordille, le lèche autant qu’elle peut. Gerard n’y tient plus et crie :

« Putain, je vais jouir, je vais lâcher ma purée ! »

 

A ces mots, Elodie tente de se relever, mais là, c’est moi qui force sa tête à rester en place. El pleurant, elle reçoit la crème épaisse au fond de la gorge. Je jouis moi aussi, excité à mort de voir ma femme humiliée de la sorte…

 

Elle se redresse, et déglutit pour avaler le sperme de mon pote. Elle me regarde, les yeux plein de larmes. Mais sans aucune pitié, je lui saisis la tête, la penche vers ma queue et lui ordonne :

« Lèche, nettoie mon foutre. Comme ça, tu auras double dose ! »

 

Elle obtempère, et me nettoie consciencieusement le sexe. Elle n’en laisse pas une goutte. A croire qu’elle aime, la chienne !

 

Quand elle a finit, elle se lève et se dirige sans un mot vers la cuisine.

«  Alors, mon pote, tu as aimé ? demandai-je à Gérard.

- Tu parles, faudrait être difficile pour ne pas aimer ! Quelle pipeuse, ta femme !

- Alors, reviens le week-end prochain.. tu auras chaque fis quelque chose en plus !

- Ah bon ? Tu veux bien ? Moi, je veux tout avec elle !

- Tu auras tout… »

 

Au moment où je dis cela, ma femme arrive. Elle me fusille du regard.

Je lui réponds très naturellement :

« Alors, ma chérie, tu nous sers le diner ? »

 

Sans un mot, elle retourne dans la cuisine, et revient avec le repas. Nous dinons tous les trois, elle dans sa tenue sexy… Et ni Gérard ni moi ne manquons une occasion de glisser nos doigts là où nous pouvons…

A la fin du diner, mon ami s’en va, et nous lance un très joyeux :

« A la semaine prochaine ! Je vais bander toute la semaine en y pensant ! »

 

Il part, non sans glisser une langue épaisse sur les lèvres closes de ma femme.

 

Ma femme me regarde droit dans les yeux :

« Alors, tu es content ? Ca va durer longtemps, ce petit jeu ?

- Oui ma chérie, tant que JE le voudrai ! Tu es ma chose, je te le rappelle. Ou alors, je pars, je te quitte.

- Non, geint-elle, reste, je ferai tout ce que tu veux, même à cet affreux Gérard…

- C’est bien. En attendant, viens me sucer. C’est mon tour ! »

 

Elle obtempère, et me pompe avec entrain…

Ce soir, j’ai tout gagné ! Je me rends compte que j’adore la voir jouer les salopes…

 

A suivre…

Par L'Amoureux et Sophie. - Publié dans : Les belles histoires de L'Amoureux - Communauté : Au royaume des salopes
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