Sophie, marquise de
R.
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Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
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Bises libertines,
Sophie
Louis :
« Fred va me sodomiser » …
Je pense à mon petit trou de puceau et à l’épais sexe noir. Je bande. Je te regarde respectueusement, l’œil allumé par le désir d’être
en ta possession. Tu me fais mettre à quatre pattes et tu cambres mon jeune cul d’une main caressante. Fred presse ses doigts durs dessus pour me malaxer les fesses.
Tu glisses félinement sous moi, toute nue. Ton sourire exigeant m’attire mais tu repousses ma bouche, puis tu attrapes ma longue queue
d’une main décidée. « — Je veux voir ton visage quand Fred va prendre ton petit cul ». Tu décalottes mon chibre et tu fais jouer mon gland suintant de plaisir contre ton clitoris en me
branlant.
Je sens soudain la langue de Fred sur mon anus, elle le fouille après un tour délicat et frais. Ma rondelle s’ouvre doucement pour
avaler la langue de Fred, mais celle-ci se retire. Tu fais glisser ma queue le long de ta fente, entre tes grandes lèvres, pour heurter au bout ton clitoris gonflé. Je te sens trempée.
Françoise nous regarde d’un air amusé et elle caresse négligemment sa chatte, coulante et roucoulante de plaisir. Je sens le bout de la
bite de Fred cogner et forcer mon anus. Il rentre simplement le gland et me fesse pour me dilater le cul.
Je sens ton regard brûlant sur mon visage crispé par la douleur. Tu me branles plus vite et tu gémis en ondulant du bassin, ma bite en
main. Soudain, le chibre de Fred, d’un coup sec, me pénètre entièrement. Je sens toute l’ampleur de sa bite dans mon cul et je pousse un râle. Ses mains sur mes fesses cambrées, il va et vient en
me défonçant de son pieu épais. Tu fourres alors brutalement ta langue dans ma bouche. Je suce instinctivement ta langue qui envahit ma bouche. Tandis que tu jouis avec ton clitoris frotté
rapidement par ma longue queue dure que tu branles, l’étreinte de nos langues se fait plus étroite et tu la mordilles.
« Prends-moi salaud... »
Ma queue fébrile plonge aisément dans ta chatte béante. Je remue mon bassin douloureux pour te prendre énergiquement. Je m’accorde au
rythme soutenu de la bite de Fred qui m’écartèle le cul. Je ramone ta chatte pendant que tu me manges le torse et me titilles les tétons de tes dents voraces. J’entends les couilles de Fred
claquer contre mes couilles qui claquent contre ton cul. Fred accélère et je le sens décharger lourdement en m’inondant le cul de son sperme. Tu sens que je vais jouir aussi, mais tu attrapes
alors ma bite hors de ta chatte et tu la sers puissamment pour me frustrer.
« Tu jouiras plus tard mon salaud… »
Fred se retire et je sens le foute dégorger de mon cul défoncé. Tu m’installes à quatre pattes.
« Hé la garce, ramène ta bouche. A toi de lui lécher copieusement le cul. »
Tu me regardes, relève mon visage et m’embrasse fougueusement.
« Et toi, tu vas lécher le mien.
– Bien Maîtresse. »
Je réponds d’un air gourmand, armant ma langue tandis que tu te tournes pour remuer devant moi ton cul superbe. Je passe
langoureusement ma langue le long de la raie de ton cul, appuyant au niveau de ton délicieux petit trou avant de l’embrasser fougueusement.
Sophie :
Je me rendais compte que l’hôtesse de l’air était de nature soumise.. Car elle obtempéra sans moufeter, et vint lécher le sperme de mon
mari, qui dégoulinait toujours de la rondelle de Louis.
Le jeune soumis, quant à lui, me dévorait consciencieusement l’abricot bien offert par la position en levrette. Fred vint m’embrasser
amoureusement et me chuchoter :
« On a une bonne recrue, ion dirait… On va plus loin avec lui ?
- Ou… oui oui.. articulai-je difficilement, car j’étais au bord de jouir.
- On en fait quoi ? On l’amène aux Salines ?
- C’est un peu tard pour ce soir, mais demain, ce sera bien. En plus, nous serons samedi, et il devrait y avoir foule… »
Les Salines sont une plage de Rémire-Montjoly, près de Cayenne, réputée pour abriter la nuit des homo confirmés ou occasionnels, à la
recherche d’une relation non tarifée rapide et discrète.
En attendant, je me laisse aller au plaisir, et je jouis sous les coups de langue de Louis, et la vision de Françoise entrain de se
fourrer quatre doigts au plus profond de sa chatte dilatée…
Repue, je me laisse tomber sur le lit, et viens me lover contre mon homme. Je regarde le couple devant nous, Louis qui n’a pas encore
joui, et Françoise, qui semble encore affamée… J’ai pitié d’eux :
« Allez, les amoureux, faites-vous plaisir ! Louis, défonce-lui la chatte, si tu ne t’y perds pas trop… La garce est tellement
dilatée qu’on y mettrait deux bites comme celle de Fred ! «
Françoise gémit en guise d’assentiment, et se met en levrette. Louis se redresse et s’enfonce d’un coup en elle. Vicieusement, il
entoure sa bite de sa main, et ainsi, arrive à la remplir. Il la baise sans ménagement, sous nos yeux amusés. Nous nous caressons tendrement, en les matant, un peu comme nous le ferions avec de
jeunes chiens. Ils font une belle paire de soumis, ces deux-là !
L’hôtesse de l’air jouit bruyamment, suivie de près par Louis, qui crache sa semence sur le ventre de sa belle. Ils retombent sur le
lit, encastrés et morts de fatigue. Je les interpelle :
« Alors, les tourtereaux, vous avez bien joui ?
- Euh... oui, hoquète Louis. Ca va maitresse, merci de m’avoir autorisé à jouir.
-Tu as mérité ta récompense. Demain, tu es avec nous.
- En fait, j’avais prév...
- NON. Soit tu acceptes, soit tu ne nous revois plus jamais. »
Je le vois hésiter, puis sembler se résigner :
« Oui Maitresse, je serai avec vous. Que voulez-vous ?
- On va t’emmener aux Salines, près de Cayenne. Une plage où tu vas servir de vide-couilles à tous les hommes qui voudront bien de
toi…
- Vraiment ? J’en rêve depuis longtemps !
- Alors, prépare-toi pour vingt heures, et n’oublie pas d’acheter au moins deux douzaines de capotes.
- Oui Maitresse, à vingt heures dans la cour. Je serai là.
- Bien, on vous laisse. Bonne nuit Françoise, et si tu reviens, fais-nous signe ! Tu es une belle petite salope comme je les aime
!
-Si vous voulez, laissez-moi votre mail. »
Je lui griffonne notre adresse sur le bloc de la chambre, et nous partons, les laissant seuls.
La nuit entre mon mari et moi fût torride, tant j’étais excitée par ce qui venait de se passer et ce qui allait se passer le lendemain
!
A suivre...
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