Sophie, marquise de
R.
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Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
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Bises libertines,
Sophie
A plat ventre sur mon lit, de la bave au coin de la bouche, je me réveille encore sonné par une nuit très mouvementée, sans me souvenir réellement de ce qu’il s’est passé.
En ouvrant un œil glauque, je vois sur le tapis une bouteille de vodka couchée, une paire de baskets qui ne sont pas les miennes, car elles sont petites et rose.
Puis je perçois un tas d’habits qui je crois, contient, un survêtement à l’envers bleu ciel extensible, puis dépassant, des courroies
d’un soutien-gorge blanc en dentelle.
« Merde mais qu’est qui s’est passé ici ? » me dis-je m’accoudant et voyant un cendrier contenant plusieurs mégots écrasés ou pas
finis. Pourtant, je ne fume pas.
Enfin, je vois mon paquet de capotes taille xxl ouvert, mais toujours rempli…
Soudainement, des flashs érotiques m’apparaissent :
« T’aime ça grosse salope, t’aime ça la grosse bite !!! » dis-je donnant de fortes fessées sur une fille qui me tourne le dos,
reins cambrés avec un cul exceptionnel et qui rebondit sur moi.
- Ouiii je l’aime !! Ouiiiiiiiiiiiiiiii j’adore çaaaaa !!! » crie-t-elle secouant sa longue chevelure blonde et s’enfonçant avec rage sur ma grande bite, que je n’ai jamais eue aussi dure.
Puis je m’adosse contre le lit, frottant mes yeux, et je vois une superbe culotte fine en dentelle blanche de marque Aubade qui doit
être assortie au soutien-gorge. Malgré le mal de crâne qui résonne, je la saisis me donnant involontairement des frissons dans l’entrejambe. Je distingue qu’elle est déchirée dans l’endroit le
plus fin, l’entrecuisse et des flashs reviennent encore :
« Whao ! T’as encore mis une petite culotte qui me rend dingue !! » criai-je, hargneux, derrière cette blonde qui agite son cul en
ricanant avec son survêtement baissé aux genoux. Je déchire cette dentelle qui me fait saliver alors que je suis toujours habillé et la bouteille de vodka est à moitié vide.
Toujours adossé au lit, avec maintenant une pleine érection qui suinte de sécrétions odorantes, je vois maintenant contre le mur, une
valise ouverte, mais inconnue.
Soudain ma porte s’ouvre.
« Dépêche-toi ! Maman va arriver dans peu de temps ! » dit cette blonde totalement nue à la chatte blonde assez dense, qui se
frictionne les cheveux dans une petite serviette. Elle me montre enfin son visage, qui porte un grand sourire, et qui s’avère être celui de ma sœur Estelle.
« Quoi ! On dirait que tu vois une morte ! Allez dépêche-toi maintenant ! » dit-elle jetant bêtement sa serviette sur moi.
Et elle se retourne pour entrer dans la salle de bain en secouant son beau cul cambré et rond. Est-ce moi qui l’ai rougi ainsi, des
fessées que j’ai vues dans mon esprit pervers ?
« Non c’est pas possible !! » murmurai-je en me levant.
J’entourai ma taille de mon drap froissé, pour dissimuler mon érection matinale, et j’entre dans le salon. Stupéfait, je vois Estelle
tenir son enfant de six mois dans ses bras. Elle l’allaite goulûment avec son grand sein qu’elle palpe elle-même.
« Tu veux me la cacher maintenant !! » dit-elle fixant son entrejambe caché du drap fortement bombé.
- Mais Barbara ! Que s’est-il passé cette nuit ? » répondis-je en revoyant la scène où je l’embrasse.
- T’as saisis ta chance ! Tu m’as sautée… Et comme il faut !! Merci !! » dit-elle, semblant très heureuse.
Soudain, la sonnette de la porte d’entrée retentit, et chacun va vite s’habiller nerveusement avant d’ouvrir la porte à notre
mère.
« Merci de bien vouloir héberger ta sœur aînée pour quelques temps ! » dit notre mère alors qu’Estelle a pris l’air le plus triste que
j’ai jamais vu sur son visage.
Puis tout me revient.
« Aucun problème, ma chère sœur et mon neveu peuvent rester le temps qu’ils veulent ! » soufflai-je.
Je me souvenais soudain qu’elle venait de se faire plaquer par son mec, et qu’elle avait emménagé hier soir chez moi. Elle était arrivée dans sa main, une bouteille de vodka qu’elle me tendait en souriant…
J’hésitais entre honte et plaisir. Ma sœur avait été un super bon coup, mais elle était ma sœur !... Allons, au diable les convenances, je ne l’avais pas forcée ! C’était même plutôt l’inverse. Je voyais s’ouvrir devant moi une longue période de plaisirs ardents et intenses, d’autant plus qu’ils sont interdits…
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